La Femme surdouée : Double différence double défi

  • Membre Inconnu

    Membre
    4 juillet 2022 à 14 h 19 min

    @petitezebre

    Et peut-être pour toi on en a vite fait le tour, mais pour nous les femmes, c’est important, parce qu’on ressent encore plus le syndrome de l’imposteur…

    Qu’en sais-tu ?
    Ne pourrait-on pas penser, par exemple, que les hommes vivent ce syndrome autrement ou qu’ils le refoulent plus ?

    …parce qu’on voit souvent que ce n’est pas au niveau de l’intelligence qu’on nous attend.

    Et tu penses vraiment qu’on attend les hommes au niveau de l’intelligence ?
    La demande des femmes ou de la société en général est rarement à ce niveau. Les premières attendent majoritairement d’être rassurées (de façon physique, financière, narcissique, etc.). Quant à la société, à travers ses différentes structures, elle a de plus en plus de mal à accepter l’altérité, la discorde, la remise en cause, l’insolence, etc. On n’emploie donc pas les gens pour leur “intelligence”, mais pour leur capacité à filer droit et à ne pas faire de vagues.

    Alors oui, tous les hommes ne pensent pas ainsi, mais beaucoup.

    Les femmes ne valent pas mieux.
    Il est encore une illusion qui consiste à croire que la capacité à faire du mal échoit principalement aux hommes. C’est ainsi, dans cette logique victimaire et complaisante, qu’on a inventé le terme “féminicide” qui veut dire de façon implicite : Meurtres de femmes par des hommes, pour principal motif que la victime soit une femme.
    Billevesées.
    Il y a beaucoup plus de meurtres d’hommes par des femmes que l’on ne l’imagine. Inventera t-on un terme équivalent pour autant ? De même, 75 % des meurtres d’enfants de moins de 15 ans sont commis par des femmes. Il faudrait donc parler “d’infanticide féminin” ou mieux, de “infantigynécide”…

    Même si mon raisonnement peut sembler tirer par les poils de QI, je souhaite simplement mettre en évidence qu’il y a un problème à la base qui fait que les hommes et les femmes vivent à travers des représentations fausses ou absurdes du sexe opposé.

    […] Je ne suis pas féministe, je ne suis pas une chienne de garde, mais ce livre reflète certaines choses, constats. Et on a le droit d’en parler, on ne peut pas faire comme si ça n’existait pas.

    Bien sûr qu’on a le droit! C’est le meilleur moyen pour faire le tri entre ce qui est réellement problématique et de ce qui relève de la posture.
    Moi ce qui me gène c’est : 1) L’auteur 2) Celle qui édite ce message (Geapix) 3) L’idée crétine de “double défi”. Je dis crétine parce que cela présuppose qu’être une femme est spécifiquement un défi.

    Mais as tu lu ce livre ? Ben non, surement pas, ça n’a pas d’intérêt pour un homme.

    Je ne l’ai pas lu, c’est vrai. J’ai lu “Une chambre à soi” de Virginia Woolf et pourtant, ce livre parle de la condition de la femme (et même, quelque part, de celle des hommes).
    Là je tique sur la personnalité vénale de l’auteur et ce qu’elle dit, implicitement, à travers son titre et le résumé sur le quatrième plat qui sous-entend qu’il y a plus de difficultés a priori à être une femme surdouée – d’où l’accroche de “double défi”.
    Pour moi c’est de l’ordre du concours de bite, si tu vois ce que je veux dire.

    Pour moi l’égo n’est pas le lot des HPI, ou alors seulement de ceux qui se cherchent, et cherchent surtout à trouver une raison à leurs problèmes. Ils sont en recherche de reconnaissance, et cherche à trouver une raison à leurs échecs, pour se déculpabiliser.

    Oui, on est globalement d’accord là-dessus.

    Pour moi la douance ce n’est surtout pas un fardeau, ce n’est pas un handicap comme j’ai pu le lire avec effroi, c’est plutôt une chance. Si les gens ont des troubles associés, ce sont ces troubles qui les empêchent de s’intégrer, s’adapter, c’est pas leur douance.

    Là, je crois que tu généralises un peu. Parler de handicape est sans doute inapproprié, mais la douance peut engendrer de l’ostracisme ou de l’isolement. Cela dépend de l’histoire de chacun et de la qualité de la douance, dans le sens où je pense que certaines formes entrainent des troubles du développement (TED) chez l’enfant ou des formes d’autisme.

    Et si les personnes ne font pas un peu preuve d’empathie, elles n’arriveront jamais jusqu’à l’autre.

    D’empathie… ou d’altérité ?
    Qu’est-ce que cela veut vraiment dire “empathie” finalement ?

    Je ne suis pas quelqu’un d’empathique à proprement parlé. Je garde mon empathie pour les gens que j’aime et je ne l’expose pas comme une verge turgescente afin de prouver au monde que je suis “meilleur”.

    Je ne te vise pas du tout en disant cela. Je dis que ce terme est devenu une façon commode de se passer la brosse à reluire pour peu de frais… ou de s’autopersuader de sa douance.

    Pour moi il n’y a finalement pas beaucoup plus de chance de bien s’entendre avec un surdoué qu’avec un non surdoué.

    Je n’en sais rien. Vraiment.
    Je constate que tous mes amis sont HP ou le sont presque. C’est une question de langage et de compréhension mutuelle. Pourrais-je transmettre mes idées et mes impressions au point de consolider une intimité avec un non-surdoué loin de mes 138 de QI ? J’en doute.

    Et quand je lis l’autre folle qui passe son temps à me dire que je suis laminaire et tellement normopensante, mais qu’est ce que j’en ai à foutre ?

    D’un autre côté tu t’obstines à lui répondre et à essayer de le raisonner. Preuve que tu ne t’en fous pas complètement… ou que tu joues son jeu sans t’en apercevoir.

    Qu’en penses-tu ?

    🙂

  • danaee

    Membre
    4 juillet 2022 à 19 h 03 min

    Bonjour,

    les femmes ont plus de pression que les hommes pour affirmer leur surdouance.

    Déjà en tant que femme dans le monde des études et le monde du travail, il faut se faire une place ce qui n’est pas évident et le fait d’être surdouée rend encore cette question plus difficile.

    La surdouance n’étant que difficilement acceptée

  • Membre Inconnu

    Membre
    4 juillet 2022 à 22 h 02 min

    les femmes ont plus de pression que les hommes pour affirmer leur surdouance.

    Il y a des pingouins en Ardèche.
    Des preuves, un raisonnement, une explication ?
    Bah non, puisque je le dis !

    Déjà en tant que femme dans le monde des études et le monde du travail, il faut se faire une place ce qui n’est pas évident…

    Déjà en tant qu’homme dans le monde des études et le monde du travail, il faut se faire une place ce qui n’est pas évident.

    En d’autres termes, voilà un bel exemple de tautologie.

    …et le fait d’être surdouée rend encore cette question plus difficile. La surdouance n’étant que difficilement acceptée

    Faut-il encore être surdoué et testé pour pouvoir le dire, @danaee . Or là encore, tu affirmes des choses sans preuves, sans faire part d’un développement ou sans faire part de ton expérience.

  • petitezebre

    Membre
    5 juillet 2022 à 8 h 02 min

    @jabberwocky

    Juste une toute petite réponse sur l empathie parce que j ai pas le temps de faire plus. L empathie, c est la capacité de se mettre à la place de l autre, de pouvoir ressentir ses émotions. Parce qu on sait à peu près tous ce que c est que souffrir, ou éprouver de la joie. Se mettre à la place de l autre, c est s enrichir. C est beaucoup plus d effort que de cataloguer, d exclure. Mais je suis pas en train de dire que je suis empathique avec tout le monde. Je suis pas mère Térésa, loin de là. Je suis dans l hyper protection. Et puis tout le monde ne m intéresse pas. Mais certaines personnes me touchent, même tres différentes de ce que je suis, et par l empathie je me sens plus proche, et comprends mieux l autre, en tout cas sur certaines parties.

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 juillet 2022 à 10 h 19 min

    @petitezebre
    Ma question était purement rhétorique. C’était une façon de dire que le mot “empathie” est maintenant galvaudé ; Je devrais même dire perverti.
    Si, comme tu le dis, c’est effectivement, à l’origine, la capacité à éprouver les choses du point de vue d’autrui, c’est devenu très souvent de la projection et, paradoxalement, un déni d’altérité. On projette ses émotions et ses névroses dans un creuset, dans une coquille vide ou que l’on a inconsciemment vidé de sa substance.

    Quand tu lis ou décryptes les anciens message de Geapix ou d’autres, à propos des femmes, des handicapés, des migrants, des homosexuels, des pandas, des ukrainiens, des ceci ou cela, tu constates que l’enjeu n’est pas d’essayer de comprendre ou de solutionner. Ce qui est enjeu, c’est le déguisement émotionnel. On se fout bien de savoir pourquoi ou comment les femmes sont restées dans les marges de l’Histoire – ou si elles l’on vraiment été au bout du compte. On se fout d’essayer de la dignité des handicapés. On se fout de faire le tri entre les minorités ethniques persécutées et les immigrés économiques. On se fout de mettre en perspective les questions en lien avec la sexualité. On évite de critiquer ou de passer au crible les événements qui ont conduit à la guerre.

    Si on faisait tout cela, on perdrait l’opportunité de rallier le camp du bien et d’usurper une souffrance (réelle ou totalement bricolée) qui ne nous appartient pas.

    L’empathie est devenue le cheval de Troie d’une forme particulièrement avancée de perversion…
    qui pour le coup, est réellement narcissique.

    Sans ces coquilles vides ou ces déguisements émotionnels que sont devenus les “autres”, on n’existe pas. Geapix et ses semblables vivent par procuration en vampirisant autrui.

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 juillet 2022 à 10 h 28 min

    @hautpotentieldeconneries

    Bof, être con comme un manche et avancer dans la vie doit être un défi nettement plus complexe.

    Pas sûr. Au moins quand tu es con comme un manche, tu peux te contenter de réponses simples ou simplistes à tes malheurs…


    Si on parle des abîmes de souffrance qu’ infligent aux surdoués leurs névroses, ils sont comme tout le monde sur ce point si je ne m’abuse.

    Oui, on a tous des problèmes que l’on soit surdoué ou pas. Ce sont juste des difficultés “différentes”. Rentrer dans une logique concurrentielle pour savoir qui a la plu grosse (je parle de souffrance, hein !), est stérile. Je ne vais pas citer Nietzsche, mais une part importante de son propos est en lien avec la victimisation. Victimisation qui interdit la liberté et le bonheur véritable.

    Être une femme, défi ? Je ne le vis pas, je ne peux que donner ma vision des choses, forcément biaisée.

    Tout le monde a une vision biaisée à partir de là, même les femmes. Ce n’est pas comme cela que l’on fait avancer les choses.

    Regarder 2 secondes la sociologie du monde du travail nous amène à 2 hypothèses possibles
    1 les femmes sont moins douées
    2 les femmes sont discriminées.
    Je vous laisse libre de votre interprétation, mais il me semble les choses sont claires.

    Ben moi, je conteste ta vision des choses. D’ailleurs je déteste la socialistologie (nom réel de la sociologie moderne). Les femmes ne sont plus particulièrement discriminées, pas plus que les hommes, pas plus que n’importe qui, car il y a toujours une limite indépassable.
    Parler de défi ou de discrimination aujourd’hui me semble assez obscène. On n’est plus au dix-neuvième siècle, ni même dans les années 1960, intervalle pendant lequel les droits des femmes en général se sont peu à peu ouverts. Aujourd’hui tout le boulot a été fait. Se revendiquer féministe a toujours du sens, mais pas à ce niveau-là. Il faut arrêter de croire que nous sommes, en France et aujourd’hui, dans une société machiste.

    Tout ça pour dire que je nie l’idée que les surdoués auraient par essence des obstacles qui se dresseraient sur leur route, même si évidemment la vie est une chienne pour tout le monde.

    Je n’irai pas jusque-là, mais je pense qu’on peut s’entendre en admettant que la douance n’est pas une maladie.

    Par contre, il me semble que les femmes ont des barrières supplémentaires dans leur cheminement, héritées de notre culture.

    Ce sont des conneries. Les dernières barrières – les plus difficiles à abattre – sont le fait des femmes elles-mêmes ; toutes se sont érigées à partir de leur complaisance et leur perversion masochiste. Elles ne valent pas mieux que les hommes à ce niveau-là.
    Hommes et femmes convoitent chacun avec leurs moyens une seule et même chose à savoir, le pouvoir.

    Les femmes, parce qu’elles n’eurent pas d’autres choix, usèrent des prérogatives de leur sexe ou de leur place dans la famille pour satisfaire leur propre phallus.

    Fut un temps où j’aspirais à travailler au Nouveau Détective. L’étude de la criminologie ou de la psychiatrie te montre que les femmes tuent, elles aussi. Elles tuent discrètement, sans violence directe ou pire, font tuer ceux qu’elles visent (ce qui pose souvent des problèmes, car la manipulation est compliquée à prouver de façon irréfutable). Elles tuent principalement des individus diminués, d’autres femmes ou des enfants.

    Les femmes ont leurs propres perversions parce que, là encore, elles utilisent les armes qu’elles peuvent face à la domination physique des hommes.

    Les femmes nous dominent sur le terrain de la sexualité. C’est comme ça et cela ne changera jamais ou tout au moins, totalement.

    Le fait que notre époque soit probablement la période la moins inégalitaire de l’histoire dans les rapports hommes/femmes ne nous exonère pas de nous poser des questions sur des constructs culturels qui nous font intérioriser des états de fait injustes comme normaux.

    Pour moi c’est du baratin néo-féministe sauce gauchiste.
    Pour les gens de sensibilité de gauche, tout est toujours la faute du culturel. A droite, c’est le naturel qui est fautif.
    Ne pourrait-on pas essayer de voir les choses de façon moins binaire en considérant que les deux (le culturel et le naturel) ont chacun leur part ?

  • hautpotentieldeconneries

    Membre
    6 juillet 2022 à 12 h 58 min

    @jabberwocky

    Tu me fais dire des choses que je n’ai pas dite, et je me suis partiellement mal exprimé. J’ai dit sociologiquement, ce qui est en effet un terrain où on peut dire tout et son contraire. J’aurais dû, tout simplement comme un bon crypto-marxiste, parler de l’inégalité économique incontestable hommes/femmes pour illustrer mon propos.

    C’est un fait.

    Que je m’aventure à en trouver une cause culturelle est en effet discutable, mais c’est un fait..

    Et s’il te plaît ne m’habille pas de cancel culture, il n’y a rien que je trouve plus ridicule en politique.

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 juillet 2022 à 13 h 03 min

    @hautpotentieldeconneries : selon mon expérience professionnelle personnelle, la douance est un avantage si on veut accéder au poste qui nous fait envie, mais si par contre on veut partir… Et bien on ne nous laissera pas nous échapper comme ça.

    Dans mon administration on a déjà été jusqu’à me menacer de faire une croix sur ma carrière pour essayer de m’empêcher de partir (des directeurs hommes) mais on m’a aussi proposé des postes très intéressants et on a même essayé de me débaucher (des hommes comme des femmes). Les personnes avec lesquelles j’ai pu avoir des problèmes sont des femmes jalouses de mes compétences, comme ma cheffe a été se plaindre que j’étais ingérable et d’autres femmes qui ont mis des années à avoir certains concours internes que j’ai eu dès le premier coup, et sans préparation, contrairement à elles.

    “partez maintenant, faites une croix sur votre carrière” ou encore faire des pieds et des mains pour m’empêcher de partir, j’ai connu ça les 2 fois où je signalais que j’allais changer de région… Et je ne pense pas que les directeurs régionaux s’amusent à aller jusqu’à menacer les gens qui veulent partir, femmes ou hommes. D’autres personnes que moi partaient et n’ont pas eu le même traitement, et c’était aussi des femmes. Moi je croyais qu’on se permettait de me traiter comme ça parce que je fais très jeune et que j’ai l’air douce, et qu’on me croyait influençable. Ben tiens, ils l’ont eu dans le cul… Je suis partie encore plus vite quand on m’a menacé (le système et ses failles…) et la deuxième fois le directeur m’a appelé avec une voix toute douce pour me demander de ne pas faire de vagues, car j’avais menacé d’appeler la direction générale s’il continuait à me faire chier… Hors, les directeurs régionaux n’aiment pas quand le national viennent fouiller dans leurs affaires…

    Sinon, quand en début d’année dernière, on m’a donné mes indicateurs de l’année 2020, qui étaient visiblement tous le double de ceux de mes collègues (on ne m’avait jamais donné ces indicateurs, en fait, c’était la première fois), j’ai commencé à me dire qu’il devait y avoir quelque chose de pas normal. Un ou deux indicateurs, ok… Mais tous… Euh… Ce n’est pas normal, non. Etant maniaque je ne faisais que mes heures, d’ailleurs. Et ma cheffe a commencé à changer d’attitude avec moi à ce moment là… Disons que je n’étais plus un cerbère à abattre mais que j’étais devenu un pégase ? Elle a même été jusqu’à se rabaisser devant moi, mais je ne sais pas si c’était un piège pour m’inciter à lui dire que oui, je pensais moi aussi qu’elle était idiote ou si c’était une façon de s’excuser de bien m’avoir fait chier, afin que j’ai envie de rester… Parce qu’elle qui voulait me dégager en osant aller dire que je faisais PEUR a eu soudainement tttrrrrrèèèèsssss envie que je reste. Mais j’ai quand même dû la menacer ensuite car elle a voulu me donner encore plus de boulot et surtout me FORCER à le prendre, en ne me laissant pas le choix, et il en était hors de question. De toute façon j’ai bien dit que c’était terminé de travailler plus que les autres, même si je ne fais pas plus d’heures, surtout qu’entre temps j’étais tombée en arrêt maladie pour burn out et que j’ai fait ensuite une dépression, qui était lié notamment à celui-ci mais aussi au harcèlement (qui a été “déplacé” sur une autre personne ensuite…) et des tas d’autres blessures psychologiques visiblement pas correctement soignées qui se sont réouvertes.

    Bref, il vaut mieux savoir ce qu’on est, nos forces et nos faiblesses, cela peut nous éviter d’aller dans le mur.

    Et qu’il s’agisse de douance, de genre, etc. Il ne faut pas rêver, il y a forcément pour moi de la discrimination positive ou négative, en fonction de ce que l’autre pense de nous, et qui va influencer grandement son jugement sur nous… D’ailleurs, si tu ne peux pas blairer quelqu’un, tu vas avoir tendance à le juger plus durement. Mais c’est la même chose pour tout le monde… Pour moi chacun va faire des discriminations, en fonction de sa vision de l’autre, qui n’est pas limitée par le genre, l’âge, la morphologie, etc. Après, si on en a conscience, on peut essayer de s’en libérer mais le truc chiant avec les biais cognitifs, culturels, émotionnels, etc. C’est que justement, on peut ne pas en avoir conscience, ou encore en avoir conscience et que cela joue quand même dans la balance, malgré nous. Mais on peut essayer de s’en libérer partiellement, une fois qu’on en prend conscience… Mais des fois, on n’y arrive pas…

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 juillet 2022 à 13 h 15 min

    Tu me fais dire des choses que je n’ai pas dite, et je me suis partiellement mal exprimé. J’ai dit sociologiquement, ce qui est en effet un terrain où on peut dire tout et son contraire. J’aurais dû, tout simplement comme un bon crypto-marxiste, parler de l’inégalité économique incontestable hommes/femmes pour illustrer mon propos.
    C’est un fait.

    Je ne le conteste pas @hautpotentieldeconneries .
    Je dis que c’est un fait passé et que les inégalités qui demeurent sont de plus en plus anecdotiques.
    Mais bref…

    Et s’il te plaît ne m’habille pas de cancel culture, il n’y a rien que je trouve plus ridicule en politique.

    Tu surinterprètes. Je ne t’accuse pas de cela, je pense même que tu es capable de plus discernement et de remise en cause que la moyenne sur ce type de sujet.

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