J’aime dire ce que je pense. Me cacher, je le fais sûrement, mais je ne me rends pas vraiment compte. En tous cas quand je viens ici, c’est pas pour chercher des problèmes, semer la merde. Non, je suis là pour apprendre, avec mes propres moyens parce que ce que fait tout le monde ne me convient pas, ne m’a jamais convenu. Mais ça n’empêche pas que le monde a beaucoup à m’apprendre.
Rien de nouveau dans mes propos, la seule différence/nouveauté, c’est que idapresti tepatondele… c’est Que moi.
L’Amour est un sujet dans lequel je me sens complètement dépourvue de connaissances profondes (théorique ah ça oui!) Je me sens handicapée. J’avais envie de le dire, c’est fait.
Je ne peux pas définir l’Amour alors comment savoir si j’ai aimé.
Je ne comprends pas non plus comment “on” peut espérer des gens de prendre en considération les émotions de l’autre. C’est un travail impossible pour moi. Je veux dire ressentir l’autre, ça je sais. Mais me mettre à sa place, choisir les mots, ça ça me paraît laborieux. Voire impossible.
Je suis changeante, c’est ce que je considère d’Instable chez moi, et Manipulatrice. Je ne m’en cache pas. Quand j’apprécie, je le dis. Quand je n’apprécie pas, je le dis. Et c’est à la même personne.
J’aime parler. Ça va dans tous les sens. C’est pas fait pour être analyser, tu vas te perdre. Je m’y perds tous les jours au moins une fois. Je ne sais pas, et je ne veux pas, vivre autrement.
Ce site est riche en nouvelles perspectives. J’adore! Il y en a pour tous les goûts. Merci d’exister. Internet nous rapproche. C’est un cadeau fabuleux, je trouve.
Rêver encore et encore, espérer, attendre,.. ça peut plaire, satisfaire, réconforter même. C’est connu, ça devient confortable même. On s’y retrouve, rien ne change, rien chamboule.
Non, merci.
C’est trop de contrôle vouloir adoucir les autres.
Un message d’Amour, c’est le début du post. Ben j’ai trouvé. De beaucoup de façons. Grâce à plusieurs, dont tu fais partie. To be continued..
Bienveillante, malveillante. Je me considère exactement, mais très exactement, les deux.
La plupart du temps, je trouve que c’est trop, d’ailleurs, rentrer dans le monde de l’autre, alors que je ne demande rien. Mais ça, c’est pas contrôlable.
On ne se voit pas bouger, respirer, réagir, mais on se parle quand même. J’adore ça. Ça m’aide dans mes “vraies” relations. Je les vois autrement, je les aborde autrement. Je fais plus d’effort, juste parce qu’ici, je reçois d’autres perspectives.
Je ne peux pas juste penser “Oh merde, tous des cons, allez! entre surdoués! parlons!”. Non, c’est trop sec, vide. Je n’aime pas ça. J’aime bien les gens. Et je ne veux pas me coincer dans un groupe. Je préfère flotter d’un groupe à un autre. Tous ensemble.
ET L’ESSENTIEL EST CONTENU EN SES MOTS : Son Être, souffre, son corps aussi souffre et elle semble perdue, quelque part, entre ses deux pôles extrêmes.
“La musique me touche oui, énormément. Certaines notes, certains accords font exploser mon coeur souvent, trop souvent. J’en pleure. Ce ne sont pas les notes, je crois, c’est l’intention derrière que je ressens, toujours. J’écoute la musique puis je découvre leur vie et je me dis “Ah ben bien sûr! Oh putain… ils savent l’exprimer leur douleur”. Oh mon dieu oui ils savent.”