[Membre Inconnu]

@Daniole

Oh oui vas-y apprends moi la vie grâce à tes métaphores puissantes et aux mots d’esprit des surfemmes charmantes que tu as la chance de côtoyer!

Je trépigne…

Bon en vrai tu peux toujours essayer, mais je pense que tu n’arriveras à rien (je suis blindé et n’ai pas besoin de tuteur tkt)

[Membre Inconnu]

@odradek

Tu trépignes au lieu de piner,

T’es pas blindé t’es juste blasé,

T’apprendre la vie, en mode grand V ?

C’est sûr que je ne peux y arriver !

Je ne connais pas de surfemme, bébé,

Sur ta (sur)face, je porte des surchauss(ures),

Esprit futé, pas mauvais gosse,

J’veux pas te rayer, ni que tu me serres

Ou que je te cire,

Si seulement tu te laissais rire…

Tu verrais bien qu’c’est pas atroce,

Sous le brouillard de tes cigares,

Tu distingues même plus ton écorce,

Vire les tuteurs, c’est pas le viager

Donne lui de l’espace, à ton verger.

Sur ce j’me calme, je retourne bosser.

[micka111]

Salut faiseuse-de-foret,

merci beaucoup pour ta réponse.

Je pense que je suis dans cette phase en ce moment, ce qui me semble est positif.

[Membre Inconnu]

@Daniole

Pas mal, à côté de la plaque en ce qui me concerne, mais j’apprécie l’effort. Je ne suis pas blasé je te rassure. J’aime encore voir des amoureux se bécoter, j’ai des passions encore bien vivaces, etc. Je dis que le bonheur n’est plus vraiment possible c’est tout, ce qui ne m’empêche pas d’être joyeux à des moments, je ne me fais juste pas d‘illusion sur la précarité de ces doux sentiments. Le bonheur dans un bunker j’y crois moyen, pas plus qu’à la guerre la fleur au fusil.

Et comme si je ne savais pas me laisser rire… J’ai ri en te lisant par exemple, parce que c’était drôle et stupide. Arrête de croire que tu comprends si vite ce que vivent et ressentent les autres en les jugeant, on est pas tous comme toi et tes charmantes amies, pov’ tarte (ce n’est pas une insulte, c’est même plutôt affectueux)

[Membre Inconnu]

@odradek

“Pas mal”

C’est la façon des hommes blasés de dire que c’est excellent. 😎

“stupide”

C’est la façon des hommes blasés de dire que c’est brillant. 😎

“on est pas tous comme toi et tes charmantes amies”

En attendant t’attends qu’ça qu’on t’invite à notre virée au lac, avec mes charmantes !

Allez c’est d’accord, viens on t’embarque, tu fais partie de la bande. Mais tu vas à la place du milieu. Dès aujourd’hui je te renomme “Joyeux luron”.

“Je dis que (…)”

Oui oui, t’es le bienvenu mais cause moins gravement un instant et écoute ce bon son. En plus tu m’empêches de me focaliser présentement sur le solutionnement des problèmes de Micky.

On discutera de ta conception faisandée du bonheur, de la vie, du gris temps prochainement. Y a qu’à voir comment tu tentes de te justifier, t’attends que ça la conversion.

[Membre Inconnu]

@micka111

Bonjour,

J’en reviens à ton post initial.

Ainsi qu’au “pire” que je t’ai offert, en prenant à contre-pied tes attentes, pour te montrer la graine de cruauté qu’il y avait sous tes intentions, ton feuillage touffu d’empathe.

Tout comme dans cette phrase qu’on te répète souvent apparemment au point que tu l’anticipes, tu la mets dans nos bouches sans qu’on ne t’ai rien demandé: “Oui c’est déjà quelque chose vous pourriez me dire, d’autres sont pire que moi”…

Si cela peut te rassurer (nous resterions alors dans cette tendance souterraine) : des hommes ont passé leur vie à théoriser la cruauté, celle-là même qu’il y aurait au fondement de chacun d’entre nous, puis à débattre sur le koi-ken-fair .

“Réjouissons-nous ! Toutes les pommes sont pourries et celle d’à côté à trois vers de plus ! ”

ou

“Gémissons ! Fouettons-nous ! Nous sommes tous pécheurs, maudits ! ”

ou encore

” Cessons d’avoir pour référence un idéal moral qui ne confirme en rien le réel et devient, dès lors, source de (tension, mal-être intérieur et de ) désespoir”.

Tu peux, si tu le souhaites, garder en tête cette dernière proposition (que j’ai, tu l’auras remarqué dans mes interventions, beaucoup de mal à appliquer moi-même et dont l’absence est flagrante dans l’histoire du “bon et mauvais pépiniériste”), tant ce qui ressort le plus dans ton texte à mes yeux : c’est ton tiraillement intérieur. Celui-là même que tu écris de nouveau en fin de texte :

“ma vie psychique est polarisé(E!) par deux aspect(S!)”

Et, effectivement, tu “sais” vraiment des choses – ou plutôt tu “sens” en vérité quelque chose en toi : cette tension là, que tu évoques plusieurs fois – tout en ignorant ( inconsciemment ?) beaucoup d’autres savoirs à ta portée (là encore ! écrits noir sur blanc…), mais dont la non application pratique t’empêche de te relâcher ou de faire un pas de côté. Cette application est impossible parce que ces “savoirs” ne trouvent peut-être pas encore d’écho dans ton expérience, ils ne “résonnent” pas en toi même si tu raisonnes.

C’est cette troisième voie, ce bruit, que je vais tenter (donc sans la moindre garantie de succès ), maintenant, d’explorer avec toi.

Entrons dans Capharnaüm…

[Membre Inconnu]

(Mais dormons sous les oliviers encore un peu avant…la journée va être longue)

[geneve-ozymandias]

Et ben mes aïeux… “aille, heu….” purée, j’ai pas lu toutes les réponses à Mika, mais je mets quand même mon grain de sel…

@mika : perso, je comprends un besoin de te vider la tête de tout ce paquet de questions et sentiments de solitude. Si cela t’a fait du bien, tant mieux. On a tous besoin d’un exutoire avec un public qui sait avoir une écoute active (c’est à dire, entre autre, en silence).

Tu n’est pas seul !

@daniole : si tu es HP, je suis la reine d’Angleterre : “pour te montrer la graine de cruauté qu’il y avait sous tes intentions, ton feuillage touffu d’empathe.“

=> “te montrer”, “tes intentions”, “ton feuillage”,… toi, Toi, TOI, TOI !!!!

Belle démonstration du “tu” qui tue et du principe du miroir : “Je ne vois chez l’autre que ce dont je suis porteur.”

Donc Daniole :

Vois-tu souvent la cruauté chez les autres ?

As tu le sentiment que les autres sont (ont été) cruels avec toi ?

Un fort sentiment d’injustice peut-être ? De la jalousie ?

Quelqu’un dans ta fratrie serai HP et a inconsciemment volé toute l’attention ?… ton boulot ? ta copine ?…

Je ne te connais pas, je ne te juge pas et probablement que je me plante, mais au cas où… tu es au bon endroit pour sortir du placard.

BISOUS

PS : et le premier qui sort que le cerveau n’entends pas la négation, je lui pète les rotules :

“Le cerveau (N’) entend (PAS) la négation“

[geneve-ozymandias]

@daniole : va jeter un œil aux écrit de Marchal Rossenberg :

“Tu es responsable de ce que tu ressens et je t’en prie, ne me confond pas avec la cause de ton émois alors que je n’en suis que le déclencheur.”

re Bisous

[Membre Inconnu]

Bonsoir @micka111 ,

Tu as écrit ceci:

En fait la réalité c’est que j’ai peur, et c’est cette peur qui m’empêche d’agir.

Pourrais-tu préciser autant que possible de quoi, de qui tu as peur ? Faire la liste des pensées qui te viennent alors? En ne l’écrivant pas, il me semble que tu fais l’économie d’informations essentielles, utiles pour te comprendre et pour ne pas “extrapoler”.

De même, peux-tu préciser ce que tu entends par

” je sent très bien les autres, mais je n’y suis pas connecté…”

Merci d’avance