Adulte surdoué et dépression

  • Membre Inconnu

    Membre
    29 mars 2019 à 21 h 18 min

    Je ne suis pas sûr que cette remarque provocatrice te visait @filledelair. Il semble que citer Albet Camus qui a pourtant travaillé sur les questions du suicide ou s’inscrire dans un logique d’analyse voisine à celle de Philippe Le Ferrand (psychiatre) ne soit pas assez rigoriste pour certain ; encore que je ne suis pas certain que tes messages et les miens aient été réellement lus.

  • Membre Inconnu

    Membre
    29 mars 2019 à 21 h 36 min

    Ce que tu soulèves n’est pas inintéressant @etienne31 , mais tu fais essentiellement l’inventaire de symptômes ; tu ne t’attaques pas aux causes profondes. C’est ta grille de lecture, ta façon d’aborder la question soit, mais les études de Durkheim, Girard, Camus et d’autres sur les racines de la dépression ne peuvent pas être balayées d’un revers de manche sous prétexte que tu désapprouves les approches philosophiques, philosophiques ou anthropologiques.

    Je ne vois pas en quoi les points de vue de @filledelair ou le mien sont hors sujet. Soit tu tentes d’être constructif quitte à être un peu rentre-dedans (ce qui me va très bien) en tâchant quand même d’être un peu plus respectueux (je te suggère de te relire), soit tu vas te trouver d’autres faire-valoir.

  • Membre Inconnu

    Membre
    30 mars 2019 à 0 h 17 min

    Non en effet, je ne m’attaque nullement aux causes profondes.
    L’ensemble des symptôme, pris individuellement, peut avoir un certain nombre de remèdes.
    Mais on peut soit généraliser, soit prendre un cas réel.
    Peut être faudrait il créer un fil de discussion pour chacun de ceux ayant une forme de dépression plus ou moins tenace ?
    Dans mon explication précédente, je met en évidence que, selon moi, il ne faut pas se contenter de rechercher la causalité entre “dépression” et “surdoué”, mais simplement rester concentré sur l’aspect dépression.

    Il me semble qu’il a été maintes et maintes fois expliqué en quoi une personne plus intelligente, plus à même de comprendre ce qui va et ce qui ne va pas, plus encline à vouloir, par et grâce à son intelligence, que le monde tourne dans le bon sens, aura en conséquence aussi cette propension à ressentir une forme de tristesse et désespoir face à ce qui inéluctablement ne pourra jamais aller mieux. Mais la même intelligence peut aussi faire comprendre que, n’ayant pouvoir dessus, il faut l’accepter, et alors choisir de vivre heureux avec les petits plaisirs de la vie, et là aussi, toujours grâce à l’intelligence, avec toute modération nécessaire. Le juste équilibre.
    Parfois expérimentant quelques excès pour ensuite comprendre là où se situent les limites.

    L’humain a cette propension à se créer de la souffrance mentalement, quand bien même tout irait pour le mieux dans le meilleurs des mondes. Tout comme il peut aussi se faire croie l’inverse, en se rendant heureux par la pensée, quand bien même ce serait la fin du monde et non loin de là son dernier souffle.

    Pourquoi je râle ? Parce qu’on est pas sur le mur des lamentations, chacun à vouloir faire de son cas une généralité.
    Ma façon de l’exprimer peut certes paraître vexante, mais je ne vois pas comment l’exprimer autrement.
    Il y a plein d’autres sujet par lesquels un utilisateur présente ses difficulté, sa détresse, voir son mal être, et on y répond alors du mieux que l’on peut.
    Mais au final c’est un peu toujours les mêmes chose : l’humain et son fonctionnement, ainsi que je concluais précédemment, et comprendre les causes des symptômes et agir dessus.

    Ou sinon je vais m’y mettre aussi :
    Ô malheur que d’être né !
    Incompris de toutes et tous,
    conspué, lacéré, insulté, bousculé, moqué, ridiculisé …
    … et la terre qui se meurt pendant ce temps là ! Adieu, Terre bien aimé ! Tu a été, est, et sera toujours mon seul véritable amour !
    Souvenir d’hiroshima … 75000 âmes envolées sur le coup !
    75000 cris de souffrance silencieuse et fracassante, tonitruante cacophonie sans témoin qui résonne jusqu’en mes entrailles !
    Ah ! La douleur du souvenir des âmes en détresse du passé !
    Lancinantes douleurs sans non, éternelles, comme des coups de couteaux traversant de part en part mon coeur à vif, écorché !
    Mais faites donc cesser ce supplice ! Je vous en supplie !
    Libérez moi ! Je n’en peux plus !
    Je veux de la douceur ! De l’amour ! De la joie !
    Que sur chaque visage, ces oeuvres d’art de Dieu, se dessine des bienheureux sourires !
    Mais non, au lieu de cela, c’est chacun pour soi !
    Comme si humanité s’était donné mission d’assassiner Terre bien aimée !
    A quoi bon exister sur ce bateau qui coule et fera inéluctablement naufrage ?
    A quoi bon se battre contre vents et marées ?
    Lutter pour qui ? Pour quoi ? Pour une vie sans intérêt ? De toute façon on va tous mourir, alors pourquoi attendre ?
    Adieu Terre, je m’en vais d’où j’en suis venu, loin là bas, très loin, mais aussi loin que ce sera, jamais je ne t’oublierais …

  • eskanderbkm

    Membre
    30 mars 2019 à 9 h 57 min

    Bonjour, j’ai suivi les événements récents de ce sujet via le fil d’actualité et ce que vous avez dit à fait écho en moi et à mon vécu. Je suis moi même sujet a des phases dépressives, souvent provoquées par le constat de l’inconséquence des humains les uns envers les autres, envers la Terre et l’incohérence de ce monde. Ceci sur fond de manque d’amour. En somme, je perds espoir et le pamphlet de lamentations que tu as écris juste avant etienne31 résumé assez bien le tout haha
    Et si tu as été assez dur, je te rejoins sur le fond : peu importe le niveau de dépression, se lamenter ne sert absolument à rien. Le bonheur se cultive et pour s’en sortir il faut commencer à le cultiver en soi, quitte à se faire aider pour arracher les mauvaises herbes et retourner la terre avant. Mais attendre qu’il vienne de l’extérieur est futile et voué à l’échec. Ce qui m’a guidé dans ces moments est une pensée de Gandhi : “Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde”. Ainsi, puisqu’à mes yeux ce monde manque cruellement de joie et d’amour, je m’efforce d’en offrir autant que possible. Bien sûr il y a des moments où c’est plus compliqué que d’autres, mais les hauts et les bas vont partis de la vie, pas de joie sans peine, pas de vie sans mort, pas de plaisir sans souffrance, sinon le monde serait d’une platitude infinie… S’efforcer de savourer les bons moments et de rester fort et plein d’espérance lors des moins bons est le seul moyen d’arriver à demeurer en paix dans cette vie je pense.
    En ce sens la Foi m’a bien aidé et éclairé.

    Pour ce qui est des causes, j’ai lu récemment un article dans Pour la science sur les causes organiques de la dépression. Il semblerait que 10 à 15% des troubles psychiatriques, tels que la dépression, soient d’origines organiques.
    En cause, une inflammation généralisée due à un excès de stress, physique ou psychique, à une infection, une pathologie, au surpoids ou d’origine alimentaire (alimentation acide). Le tout entraînant un déficit de sérotonine au niveau cérébral et une baisse de l’humeur.
    Également, un manque de vitamine B12 ou de magnésium peuvent être en cause.
    Pour investiguer cela un examen sanguin suffit.

    Bref, j’espère ne pas avoir dévié du sujet, ne pas voir fait trop de redites et avoir pu apporter quelque chose de constructif à la conversation !
    En tous les cas la vie est trop courte pour s’appitoyer sur le mal qui rode dans le monde, efforçons nous d’être dans la joie et la paix, “Pax et Bonum” comme disait St-Francois d’Assise, et avec un peu de chance le monde fera de même 🙂

  • eskanderbkm

    Membre
    30 mars 2019 à 10 h 22 min

    Petit rectification, le “avec un peu de chance” n’est vraiment pas à sa place ici. Il s’agirait plus de garder espoir et de s’émerveiller des choses simples de la vie, partager le bien, plutôt que juger le mal, pardonner plutôt que condamner et surtout être reconnaissant de la chance que nous avons d’être né, de vivre dans un monde où on a la possibilité de vivre, voir, sentir, ressentir, créer, aimer. S’Émerveiller et savourer la palette quasi infini de goûts, couleurs, sons, sentiments, personnes, horizons que la vie nous offre à découvrir !

  • Membre Inconnu

    Membre
    30 mars 2019 à 15 h 10 min

    C’est tout à fait cela.
    Pour s’en convaincre, il suffit de constater l’état dans lequel on peut être dans les cas suivant :
    Pour les besoins biologiques :
    – faim
    – fatigue
    – manque de nicotine
    – manque d’alcool
    – envie de se reproduire

    Pour les besoins psychologiques :
    – en cas d’erreur ou d’échec
    – face à une opposition
    – lorsqu’on apprend une bonne nouvelle
    – lorsqu’on apprend une mauvaise nouvelle
    – lorsque la France à gagné la coupe du monde (perso j’en ai rien à faire, mais les réactions de certain(es) me sidère(nt))

    Pour les besoin spirituel :
    – manque de câlins et/ou d’amour
    – sensation de dysharmonie avec le monde
    – manque de paix intérieure

    J’en oublie certainement, car je n’ai pas de liste référentielle. Alors j’ai manifesté par écrit les cas qui me sont venu à l’esprit dans l’immédiat.
    Et encore une fois, la dépression n’est pas une courte manifestation passagère (petite déprime du soir oubliée le matin par exemple), mais est bien l’entrée dans un cercle vicieux, duquel on n’arrive pas à s’extraire.
    Pour chacun des exemples énoncés au dessus, il y a des réponses évidentes, incluant aussi bien un côté cognitif qu’un côté comportemental.
    Parfois on peut le résoudre seul, des fois avec de l’aide d’autrui c’est plus facile, et même les cas où peut être que l’on ne peut plus du tout faire seul.

    Un exemple, avec le tabac, c’est de reconnaître en soi la sensation de manque, souvent induite et favorisé par des contrariétés, et alors faire autorité sur soi et refuser l’éventuel influx de colère intérieure pour favoriser un état de paix intérieure. C’est un travail qui s’apprend au travers de la pratique.
    On élimine pas les processus chimiques (état de manque), mais la façon dont on réagit à ces derniers (maîtrise de soi).

  • Membre Inconnu

    Membre
    31 mars 2019 à 11 h 42 min

    Pourquoi je râle ? Parce qu’on est pas sur le mur des lamentations, chacun à vouloir faire de son cas une généralité.

    Dans chaque “généralité” existe les détails qui la rendent fausse…et je ne comprends même pas comment quelqu’un qui n’a jamais sombré dans les profondeurs de la dépression de l’Être, peut s’essayer à disséquer les sources du puits en trois dimensions : biologique, psychologiques et spirituelles.

    @etienne31 : mon fils aîné (THQI) et 4 années d’études de psychologie a lu avec attention ce fil et m’a conduite à ces mots, pour seul élément de réponse en clôture.

    “Dis ce qui t’est le plus personnel, dis-le, il n’y a que cela qui importe, n’en rougis pas: les généralités se lisent dans les journaux..N’explique rien, ne donne aucune clé. Laisse quelque chose à faire à ceux qui auraient envie de se casser la tête.
    Le Coeur Secret de l’Horloge/Elias Canetti

  • Membre Inconnu

    Membre
    31 mars 2019 à 12 h 39 min

    J’ai souvent malgré moi le loisir de rencontrer des “sachant”, détenteurs de pseudo savoirs, à lesquels j’indique sans le vouloir les failles dans leurs prétendus vastes connaissances, et à quels points ces dernières tout juste facile à remettre en question, donc vraisemblablement fausse ou incomplète.

    Paracelse disait “Je préfère les sentiers et les routes aux universités où l’on n’apprend rien”.
    Rien de vaut l’expérience et la liberté face à l’enfermement dans le dogme et les croyances.
    Ce n’est sans doute pas la seule idée que je partage avec ce personnage du passé.
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Paracelse
    Lui même évoquant la “mélancolie” et ses origines, cela encore une fois à distinguer de la dépression.
    Il est étrange de constater que, dans une même classe, aux même cours, les étudiants ont le même enseignements mais n’apprennent pas la même chose.

    Il y a une distinction entre le prétendu savoir acquis au cours de longues études, et ce qui se rapproche le plus possible de la réalité ainsi que de la vérité.
    Je désapprouve l’usage de “généralités” pour en faire lois. Cependant, si l’on prends ces dernières comme base ou sources de réflexions, et qu’on est sans préjugé et ouvert d’esprit, ce n’est plus vraiment un problème.
    Justement, ces préjuges de toutes sorte … Attention !
    J’ai eu l’occasion d’explorer de multiples façon les ressentis des vicissitudes aussi bien pour mon cas, que par empathie pour autrui. Et peu importe jusqu’où j’ai pu aller, c’est par la seule force de l’âme, sur laquelle je me repose, que je puis affronter et dépasser ces conditions difficiles.

    Et là aussi pour distinguer “généralité” de “cas spécifique”, il me paraît bien que si quelqu’un souhaite exposer “sa problématique”, il est possible de créer un sujet, d’exposer ses ressentis, et éventuellement quémander l’avis des Challans.
    Comme cela a déjà été fait. C’est toujours mieux accueilli qu’un sujet traitant d’un thème particulier, et cela force le respect de la sensibilité de l’auteur du sujet (jusqu’à temps qu’une personne malveillante, type PN ou autre, passe par là pour traiter l’auteur du post de toutes sortes de noms d’oiseaux).
    De surcroît, rien n’empêche certaine généralité de rester “vrai” dans tous les cas, mais simplement chaque cas ayant ses spécificité complémentaires.
    Il peut paraître vrai d’affirmer quelque chose du genre “tous les humains ont deux yeux” ou “tous les humains ont dix doigts de mains”, or ce n’est effectivement pas toujours vrai. Mais l’explication du “pourquoi n’est ce pas toujours vrai ?” est en fait une confirmation que ça l’est toujours, lorsqu’on explore les causes de ces exceptions (pourquoi 11 doigts ? Ou 9 doigts ? Pourquoi qu’un oeil voir aucun ? 3 yeux … est ce possible ?).

    La vie, ce n’est pas laisser entropie prendre contrôle, mais avoir autorité sur soi. Ainsi, juste milieu entre libertés et contraintes. Les contraintes matérialistes du corps, mais les libertés de l’esprit et de l’âme. Si on laisse faire sans agir, c’est la voie directe vers “retour à la poussière” (à plus ou moins long terme).
    Pour éviter le cercle vicieux de la dépression, il faut respecter les lois du vivants. Le corps, l’esprit (mental), et l’âme. C’est un même objet au multiples facettes interconnectées.
    Parmi les étrangeté du corps humain, certains problèmes sont induit par le système nerveux, avec des problèmes au niveau de la tête se répercutant sur d’autres parties du corps et vice versa car tout est relié à ce système. (problèmes dents sur dos, problèmes de pied sur tête … etc …)
    D’ailleurs, qui ne connait pas la réflexologie ? (pas vu si un sujet est ouvert à ce propos)
    L’importance de la circulation sanguine n’est plus non plus à démontrer. Une mauvais posture peut entrainer une mauvaise irriguation du cerveau, et la sensation de fatigue allant avec.
    De même, tous les organes vitaux sont alimenté en sang. Et l’autosabotage voir l’automutilation en ne respectant pas les lois du corps peuvent aussi entrainer, à moment donné, vers le chemin de la dépression (voir pire).

    Dans un ordre plus complexe à expliquer autrement que de façon empirique, mais de plus en plus reconnu grâce aux avancées en matière de neurologie et fonctionnement du cerveau, il est simple de comprendre que d’être entouré d’individu malveillant peut aussi nuire à la santé physique et mentale, et potentiellement conduire aussi vers la dépression.

    Encore une fois, attention à la distinction entre une petite mélancolie ou déprime passagère, et l’ancrage permanent du symptôme. En état de dépression, on se lève triste et fatigué, on passe la journée triste et fatigué, et on se couche triste et fatigué … tous les jours, parfois pendant des années.

  • Membre Inconnu

    Membre
    14 juillet 2019 à 12 h 25 min

    Bonjour,

    je me permet de faire interruption sur ce poste que je pense devrais être remis en avant car de nos jour les HP je pense sont de plus en plus assujettie à la dépression. Et ceux grâce a l’état qui considère le hp comme trouble mentaux mais je reviendrais sur ce sujet dans un autre poste.

    Malheureusement il n’y a aucune solution miracle car chaque personne a un fonctionnement cognitif différent surtout dans les hp (13% de la population total).

    En effet sans rentrer dans les détail la simple différence entre les HPI/HPE/THPI est leur fonctionnement cognitif et leur procès de défense. Entre ceux qui refoule leurs capacitées, les faux-self et autres nous sommes sur un sujet ne pouvant tarir.

    Mais pour ma part je pense qu’avant de consulter et de prendre tout un tas d’antidépresseurs qui vont surtout vous rendre accros, je pense qu’il est plus important de faire une introspection afin de recentrer nos choix de vie et de faire une mise au point de la situation afin de modifier ou d’éliminer les dis problème car être en accord avec soit même est le premier pas vers une vie heureuse.

  • Membre Inconnu

    Membre
    14 juillet 2019 à 14 h 42 min

    Bonjour dono5014,

    Je suis tout a fait d’accord avec tes 2 derniers paragraphes, dont je partage les conclusions, par contre je tiens à corriger quelques idées fausses que tu as écrite avant.

    L’état ne considère par les HP comme une maladie et ce n’est pas le rôle de l’état d’intervenir dans ce domaine. Débattre sur les diagnostiques des personnes neuro-atypique c’est le domaine de la psychiatrie, de la psycho et de la médecine, mais certainement pas des lois de la “république”, des politiciens et fonctionnaires de l’état sinon cela serait une dérive totalitaire étatiste. Alors dans le domaine médical et psychiatrique c’est écrit noir sur blanc dans leurs littératures, le haut potentiel n’est pas un trouble et encore moins une maladie !!!

    En ce qui concerne le pourcentage de la population HP c’est 2%.
    Voir la courbe de gauss des tests de QI.

    Pour conclure je dirais que les HP qui sont le plus en souffrance et susceptible de faire une dépression sont les HP non diagnostiqué !!!! Tout ses HPs qui se sentent anormaux, pas comme les autres, et qui souffre de cette différence qui ne leur a jamais expliqué !! Lorsque que l’on sais qui on est et ce que l’on est (dans notre différence) alors on peu enfin rencontrer ses semblables zèbres comme ici sur ce site et sortir de la dépression pour certain, de cette souffrance existentiel de ne pas comprendre de quelle planète on viens…

    Rien de mieux que de se rencontrer entre nous pour discuter pendant des heures pour broyer la dépression et isolement social de ne pas être comme “les autres.”

    Happy face !

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