[Membre Inconnu]

@kamigoroshi_no_yugen

Manque de bol, tu sais que je chie déjà sur sa gueule de troll 😂😂😂😂

[matty]

Les émotions sont-elles souhaitables ?

Je me posais la même question avec, la pesanteur, l’alternance jour/nuit, l’eau qui mouille, la dureté de la pierre et plein d’autres trucs. Mais j’ai fini par lâcher l’affaire vu que de toute façon c’était pas comme si on avait le choix.

[hautpotentieldeconneries]

@matty

Regarde @Alfa et tu verras que l’alternance jour/nuit n’est pas forcément une réalité inaliénable 🤭

[matty]

Nooonnn ! Tout mon bel agacement de l’univers s’effondre à cause d’une d’une toute petite et improbable anormalité. Arghhh !

@hautpotentieldeconneries

[minos]

Bon ben ” @Alice874512 ” n’est plus… Mais comme je n’ignore pas que cette Alice que je connais ne s’empêchera pas de venir me lire, je voulais ajouter quelque chose à son intention :

Si on s’en tient à ton raisonnement et que je serais vraiment ce PN manipulateur que tu crois ; pourquoi me serais-je privé de te rencontrer IRL pour finir d’abuser de toi bien plus complètement et concrètement ?

Tu aurais été “la victime idéale” pour moi, une jolie jeune femme crédule et éprise, c’est “du pain béni” pour ces profils, normalement ; ils cherchent à tirer un max’ parti de leur position de force, en principe, non ?

Puisque je serais un menteur et qu’en vrai, je vivrais en métropole, “près de chez toi”, pourquoi je ne t’aurais pas rencontré ? Ce faisant, j’aurais pu “te baiser” encore bien plus profondément dans tous les sens du terme, et ce, sans le moindre scrupule… Pourquoi me serais-je contenté de te détruire psychologiquement quand j’aurai pu le faire bien plus substantiellement et m’alimenter de ta faiblesse ?

Quand on a besoin de ça pour se donner une importance, “on saute” sur la première occasion, et toi, tu en aurais été une putain de sexy pour ce genre d’individu !

Mais à moi, ça ne m’apporte rien. Je n’ai pas besoin de ça, je n’ai pas besoin de toi (ni de personne), pour être assuré de ma valeur absolue. Et je ne suis pas sociable… Je n’aurais même pas pu t’exhiber comme “un trophée” pour “me faire mousser”… Je n’ai pas nécessité d’être populaire, ou en attente d’une reconnaissance extérieure.

Tu penses sérieusement qu’avec ma personnalité et la place qu’occupe mon égo dedans, je solliciterais d’en passer par d’autres (et des plus fragile d’entre elles) pour “remplir” (encombré plutôt !) mon esprit avec ?

Non, cette approche peut être entendable pour t’expliquer à la va-vite et de façon caricaturale ton dépit ou pour me discréditer comme tu pouvais (dans ton état émotionnel, c’est naturel que tu cherches à le faire “n’importe comment”), mais elle ne tient pas la route dès lors que tu y réfléchies un peu plus posément.

Tous et toutes (en plus de toi, Alice, qui y a été singulièrement exposée, de facto), vous pouvez “apprécier” ma violence verbale… Elle est dérangeante et inquiétante à un esprit commun, elle sème le doute et interroge sur les intentions de celui qui en est l’auteur, ce n’est que normal et naturel… Mais c’est moi et je ne m’en cache pas, il me semble que j’ai laissé assez d’éléments sur ce site et sur d’autres pour que chacun puisse “apprécier” ma personnalité… Et qu’on la déteste ou qu’on lui trouve quelques intérêts, “c’est la même pour moi”.

Je ne suis pas disposé à me défendre d’être moi-même, mais je m’attache à être sincère et à me dire sans filtre. C’est important pour moi-même et je crois que, ce faisant, en restant fidèle à cette démarche, je peux prétendre à être “entendu” de quelque-uns…

Alice, toi, tu étais “réceptive” à mon propos et à ma façon de m’exprimer “décalée” t’a séduite… Et j’ai moi-même été “charmé” de partager plus avec toi ; tu en avais particulièrement besoin à ce moment, et moi aussi. Je te trouvais intéressante, attirante, intelligente, marrante, troublante (et es assurément toujours tout ça aujourd’hui)… De sorte que je me suis attaché à toi et que je n’ai pas assez prêté attention aux points qui mettaient en évidence notre incompatibilité. On s’est apporté mutuellement, pendant un temps… Et ensuite, c’était fini. Pour moi, ce n’était pas si grave, mais pour toi, c’était dramatique et insupportable… Et tu n’es pas “folle”, tu es juste “désespérée” et tu te sens “abandonnée” (par ma faute).

C’est en quoi, je ne réponds pas à tes insultes ; j’estime que tu as le droit d’être injurieuse à mon encontre, que c’est légitime que tu m’accuses de tout dans ce que tu éprouves… Si ça pouvait te soulager… Mais non, en fait, ça ne t’aide pas de te victimiser à outrance, de te dédouaner sur moi. Cela a pu te servir quelque temps, mais on en est à 3 ans maintenant ! Il te faut raisonner autrement sur cette histoire si tu veux t’en libérer et pouvoir de nouveau avancer et regarder devant toi plutôt que derrière.

J’y reviens, mais je discerne une évolution positive dans le dernier post que tu m’as adressé, et quand tu y seras disposée à nouveau, je le serai également pour te répondre.

[Membre Inconnu]

En amour, la solution est simple : FUYEZ PENDANT QU’IL EN EST ENCORE TEMPS ! 😱

[minos]

Ben non @Kitsunebi , quand tu réalises que tu es dans ce genre de sentiment, c’est déjà trop tard ; tu ne peux plus rien voir ni entendre que celui ou celle qui te l’inspire et tu t’accroches à lui ou elle… Dans ces situations, on ne peut qu’espérer que notre attirance est partagée… Quand c’est le cas, c’est le bonheur, mais quand ça ne l’est pas…

[Membre Inconnu]

@BioSS : je suis désolée pour toi… Tu parles toujours de J ? Ce qu’on ressent peut parfois durer des années… Une fois qu’on est bien accroché, si on n’arrive à pas trop s’isoler des autres et surtout si jamais on doit croiser la personne qu’on aime tous les 4 matins, c’est d’essayer de reconcentrer son esprit et son coeur sur ses proches, créer de nouvelles amitiés… Et se lancer encore plus dans ses passions, s’en créer de nouvelles… S’aérer… Mais je sais bien que c’est plus facile à dire qu’à faire… Sinon, j’espère que cela va mieux pour toi niveau santé. Bon courage à toi…

[Membre Inconnu]

@minos : la tristesse est une émotion qui permet de passer à autre chose. Si tu restes super en colère, tu ne risques pas de passer à autre chose. Et si tu restes sur ta colère et que tu as envie d’arracher la tête à l’autre parce qu’il t’a rejeté ou parce que tu as été trop lâche pour lui dire ce que tu ressentais parce que tu savais ou t’étais mis dans le crâne qu’il n’y avait aucun espoir qu’il t’aime en retour (et que tu n’as pas donc pu exprimer tes sentiments), c’est peut-être aussi que tu peux ne pas accepter qu’en fait TU ES TOUJOURS AMOUREUX. Et que, bah l’autre il t’aime pas. Et il ne t’aimera jamais. Ou jamais plus. C’est passé. Révolu. Toooo lllaaatteee. Or too soon. Alors que c’est son droit. En gros, plus tu manques de confiance en toi, et plus tu seras dans la merde car tu auras du mal à accepter le rejet. Donc, il faut commencer par rebooster son ego. Et il y a plein de méthodes pour ça.

Et même si on pourrait tout abandonner pour traverser les enfers pour rejoindre la personne qu’on aime ou encore la suivre jusqu’au bout du monde, on peut tout de même réussir à s’en éloigner sans lui trouver des défauts qu’elle n’a pas ou noircir le tableau… On peut réussir à se concentrer sur d’autres personnes, des projets… Il faut réorienter son obsession. C’est comme nos addictions… On peut remplacer cette névrose obsessionnelle amoureuse par une autre obsession.

Après, je sais que lorsqu’on vibre très haut et très fort il est très difficile de garder sa raison mais il faut changer son état d’esprit pour ABANDONNER TOUT ESPERANCE (à chaque fois je pense à Dante…)… Il faut savoir dans la plupart des cas briser les boites de Pandore, mais si on veut se sortir d’un état amoureux, il faut absolument réparer cette putain de boite de Pandore de merde et y refoutre de force cet espoir inutile et contreproductif qui ne peut que nous entrainer dans un état qui ne risque pas de s’arranger.

Car c’est bien ça, en amour… Tant qu’on continue à se mettre dans la tête qu’il y a de l’espoir, et bien on risque de continuer à foncer dans le mur comme un con. Mais putttaaainnnn, il y a des priorités dans la vie. Et la priorité, c’est sa survie. Quitte à aller défoncer le cul de l’autre ou lui arracher la tête !!!! Mais je m’emballe… Il y a bien d’autres stratégies.

On peut d’ailleurs commencer par “simplement” :

1. lui HURLER “Je t’aime, espèce de connnarrrdddd!” et te barrer en courant en lui foutant un gros taquet dans la tête (ça fait du bien). Attention cependant de ne pas le lyncher, on risque juste de se fatiguer pour que dalle, en plus.

2. Prendre de la distance avec cette personne (et ne pas écouter quelqu’un qui te dit : “mais je t’aime bien, soit mon ami”, ou pire “tu es la seeeuullleee personne à qui je peux parler, ouin ouin !, resssesstttee aupprèèèsss de moi” (car là tu te dis : “puttainnn d’égoïïste de merrrddee, je vais te faire la peau, tu vas voir !!!!!!”)

3. Réorienter son attention… Et il y a plein de façon de concentrer son esprit ailleurs.

Et dans tous les cas ne pas perdre son esprit combatif. Tu es au sol ? Tu ne peux plus voler ? Tu ne peux même plus marcher ? Bon, ben tu rampes jusqu’à ce que tu puisses remarcher puis voler (tu peux même aussi nager, tiens… Ou encore rester immobile un moment…). Il faut prendre le TEMPS de réparer ses ailes brisées. Et oui, cela peut prendre des années. De très longues années parfois. Mais c’est toujours mieux que d’aller tout détruire autour de soi ou de se foutre une balle dans la tête.

[astragale]

“la tristesse est une émotion qui permet de passer à autre chose”.

Sans doute…

Sans doute la tristesse permet-elle à certains (certaines) de laver la douleur, de noyer tout ce qui ronge et de l’évacuer.

Toutefois, comme la colère, la tristesse si on s’y accroche, si on persiste à se complaire dedans (en demeurant triste ad vitam aeternam) ne règle rien.

Au contraire, elle nous emprisonne plus sûrement qu’elle ne nous libère.

Je serais plutôt favorable (et mon Dieu que je la conseille à beaucoup!!!!!) à ce que j’appellerais: ” La responsabilité indulgente” ( ou ” l’auto-responsabilisation bienveillante” … En vérité je n’avais jamais réfléchi à la dénomination du procédé…que j’ai décidé de pratiquer un jour, il y a fort longtemps et au cours duquel je me suis trouvéE pitoyable, méprisable, ridicule et LACHE dans mon rôle de Caliméro)

Et qui consiste (mon procédé donc) à se responsabiliser (c’est à dire prendre sa part de responsabilité dans ce qui nous oppose à l’autre ou même simplement face aux méchants hasards, aux injustes aléas de la vie) plutôt que d’accuser, de gémir, se lamenter, hurler…et à reconnaître ses erreurs plutôt que de se poser en victime (on n’est jamais victime que de soi-même et de ce qu’on a cru, de ce qu’on s’est bercé d’illusions, de tout ce qu’on a laissé à l’autre la possibilité de nous faire).

Mais ceci sans s’autoflageller! Non!! Surtout pas d’autoflagellation! (responsabilité INDULGENTE j’ai dit!)

Il s’agit seulement d’admettre avec bienveillance (vis à vis de soi) qu’ici ou là, dans telle ou telle conduite, on a merdé, on s’est trompé (et on a le droit bordel!!! Qui ne se trompe pas? Vivre, communiquer, aller vers l’autre c’est prendre des risques et sans eux, sans risques pris, si on évite le pire on ne pourra jamais accéder au meilleur)…qu’on a laissé une porte ouverte à cet autre qui s’y est engouffré pour casser des trucs. Qu’on a tendu, en quelque sorte le bâton.

Soit, on est bien puni…Mais quoi? Ca valait le coup d’essayer (Si! Tout vaut le coup! Tout n’est qu’expérience)…Et la prochaine fois, on sera plus prudent (ou pas, mais VIVONS, OSONS des expériences et félicitons nous d’avoir ces COUILLES là ).