[minos]

Bon alors voilà, j’ai encore dû me frapper “de lire” (en diagonale, mais avec assez d’attention) ce qui ne reste que l’expression d’une profonde psychose qui persiste en toi depuis trois ans (elle qui était forcément présente bien “avant moi”) et même si c’est peine perdue et que tu n’entendras rien de mes lignes, il y a quelques points qui méritent d’être repris dans tes écrits… Ceci étant, j’ai été heureusement surpris de voir qu’en réalité, tes QUATRE (!) premiers msgs étaient à 90 % identiques, ce qui n’est (par ailleurs) pas très rassurant sur l’état de ta situation mentale, ma pauvre @Alice874512 …

D’emblée, je suis surtout consterné de tes commentaires vis-à-vis de @Kitsunebi ! Crois-tu vraiment qu’elle soit aussi fragile et inadaptée à une analyse cohérente que toi ?… Un truc spécialement “moche” (“dégueulasse” serait plus adapté) de ta part, ce sont tes estimations (toutes personnelles) sur son physique !… Venant d’une femme, ça en dit extrêmement long sur ton niveau de déconnexion de toutes rationalités et même, sur ton level d’éloignement de la moindre considération humaniste ou empathique, elles que tu annihiles “comme ça”, juste pour servir ton discours haineux à mon encontre !… Et ce, jusqu’à en devenir gratuitement cruelle vis-à-vis d’une autre femme, elle que tu ne connais même pas, il faut vraiment que tu sois lourdement atteinte pour en arrivé là !… Et ce n’est que toi qui te montre laide dans tes mots !

La réalité, “ma vérité”, c’est qu’elle est véritablement charmante physiquement (du peu qu’il m’a été donné de voir d’elle), alors épargne-toi de te faire plus repoussante humainement que tu ne l’inspires déjà en faisant des projections sur sa personne de tes propres complexes de femme qui ne s’assume pas, qui se trouve “moche et grosse”, garde bien pour toi seule ces autres éléments constitutifs de ta psychologie malade !

Que crois-tu Alice ? Qu’est-ce qui te passe par la tête encore ?… Que parce que Kitsu’ et moi, on échange (sporadiquement) agréablement ensemble, on va “mécaniquement” s’envoyer en l’air demain ?… Ou que je vais “m’emparer” d’elle pour la pervertir et la transformer une marionnette désarticulée que je manipulerais à ma guise ?… Outre le fait que l’on vive chacun à une autre extrémité du monde (parmi les nombreuses choses que tu refuses d’admettre) et que cela rend pratiquement impossible toute rencontre IRL entre nous, tu devrais tenter de comprendre que toutes ne sont pas aussi “désemparées” que toi à tout point de vue et spécialement relativement en leurs aptitudes à savoir justement considérer une situation et un échange.

On s’est déjà rencontré IRL Alice ? On ne se connait pas autrement qu’au travers de nos partages virtuels (à moins que tu te sois autoconvaincue du contraire)… Et, certes, c’est un moyen de communication qui peut faire des dégâts sur un esprit fragilisé comme l’est le tien ou qui te permet de cacher tes troubles pendant un temps, mais un temps seulement, parce qu’à un moment, ce dérangement devient évident et alors, il vaut mieux couper court… Sauf que tu ne l’acceptes pas et je suis instantanément passé de “demi-Dieu” au “mal incarné” dans ton esprit “tout en contrôle et en mesure”…

C’est moche, c’est sûr… Mais c’est toi-même qui te ridiculise et t’ôte toute crédibilité au fur et à mesure que tu reviens continuellement sur un sujet qui aurait dû être clos depuis des années.

Malgré “tout” (malgré “toi-même” donc), je ne peux m’empêcher d’éprouver de la peine pour toi Alice. Tu n’es pas laide (tu es jolie), tu n’es pas bête (tu es intelligente), tu n’es même pas méchante (tu es bienveillante), je le sais et je ne t’ai jamais accusé que de manquer gravement de cet équilibre émotionnel (lui qui était déjà instable, mais qui aura été lourdement perturbé par des considérations sentimentales) indispensable pour permettre un raisonnement sensé… Et donc, c’est bien ce que tu démontres “aux yeux de tous” avec un terrible entêtement depuis des années…

Je t’ai proposé de redialoguer ensemble pour tenter de dénouer ce nœud que tu as dans la tête et qui te bloque (jusque dans ta vie quotidienne, il semblerait), c’était très hasardeux et certainement pas très malin (ou très présomptueux) de ma part, mais, à ce stade de déraison, il m’a semblé que l’on en était plus à ça près et que toutes les pistes possibles méritaient d’être explorées pour te sortir de cette impasse… Y compris celle qui te confronterait frontalement à “ton bourreau”… Et je maintiens mon offre si tant est que l’on puisse communiquer avec une conscience “inconsciente”, et ce, en croyant que si le côté “psychiatrique” est inaccessible et qu’il demeure profondément atteint, cela n’interdirait peut-être pas que l’empathie et qu’une affection humaniste soient à même d’ouvrir une porte de sortie de ce schéma oppressant et handicapant dans lequel tu es enfermée…

[byaku]

Nope bro, la dernière fois qu’elle voulait me faire parvenir quelque chose elle l’a envoyé chez toi, je suis tranquille !

J’disais ca au punk à chats 🤭

[Membre Inconnu]

@minos : je prends tout cela comme une démonstration que des émotions ou sentiments ou sens intenses peuvent nous faire perdre la raison… Ou encore de la crédibilité. Quoi qu’il en soit, si les gens écoutent les personnes qui les rabaissent et insultent voire menacent et ne prennent pas de distance avec elles, notamment émotionnellement, je comprends alors pourquoi ils peuvent manquer de confiance en eux et éprouver tant de frustration… Mais il faut commencer par réduire les attentes qu’on peut avoir envers les autres et nous-mêmes… Et ne pas faire de plans sur la comète avant d’avoir bien pris le temps d’apprendre à connaître l’autre… Ce que permet difficilement une relation qui reste virtuelle.

[minos]

Bonne approche-analyse @Kitsunebi , j’avoue que “tout cela” me fatigue et que c’est un putain d’exercice de maîtrise de soi (elle qui nécessite des ressources insoupçonnées chez moi !) que de garder son calme lorsque l’on est confronté à un esprit tel que celui d’ @Alice874512 …

Mais il y a aussi que si elle semble se complaire à se vautrer dans la victimisation, elle est surtout engluée dans ce modèle en ce qu’il conforte son profond malaise (en lui donnant un sens) et la conviction qu’elle s’est échafaudée à mon sujet (en trouvant avec moi un “coupable idéal” à tous ce qui dysfonctionne en elle)… Et si je ne me réduirais (j’espère !) jamais à ce genre de trouble lénifiant pour tout discernement, perso’, en tant qu’individu “responsable” d’une part de son dérangement (en ce que ma façon de communiquer sollicite de se livrer mutuellement), je ne peux l’ignorer ou la condamner pour sa faiblesse et ce qu’elle entraîne de propos diffamatoires ou injurieux à mon encontre… Et encore moins la mépriser (quoique sa démarche la mettrait aisément en position de l’être).

Du coup, même ici et maintenant, en mon attitude “détachée” et “insensible” à ses dérapages incriminants et violents (parce que c’est dans ma nature profonde et que j’ai développé ce pan en moi (aussi pour des raisons d’autodéfense face à l’incompréhension que l’on m’adresse souvent durement)), on voit bien à quel point mon fonctionnement était incompatible avec ce qu’elle est, elle qui est très facilement affectée émotionnellement, elle qui est déstabilisée psychologiquement, et elle qui “demande” (hurle !) que l’on comble son vide affectif… Et elle attendait ça de moi !… D’un homme qui se trouve quasiment à l’autre opposé de ses besoins, qui a près du double de son âge et qu’elle n’a “connu” que par écrans interposés !…

[minos]

Ne réalises-tu pas que tu es tombé bien bas @Alice874512 ?… D’en venir à trouver normal de partager des clichés personnels de quiconque, de balancer des “horreurs” infondées et méchantes à l’égard de quelqu’un que tu ne connais même pas, et ce, dans le but (“très logique”) “bien intentionné” de “la préserver” de moi, ne te rends-tu pas compte que tu perds tout sens commun, toute notion de la plus basique humanité ?…

Franchement, on dirait “une folle” à te lire… Et d’ailleurs, ton problème rejailli assez manifestement dans tes écrits, en leurs formes autant qu’en leurs fonds. J’ai connu une toute autre Alice moi…

Une jolie jeune femme, pas “canon”, mais que je trouvais vraiment charmante et qui était touchante. J’ai partagé un long temps avec cette femme intelligente et sensible, mais qui ne se laissait pas emmerder et qui me communiquait d’être plutôt stable émotionnellement… Je suis sûr que ma mémoire ne me fait pas défaut, elle est bonne pour ce qui a trait aux relations humaines et, pour moi qui suis spécialement contraint d’en passer par des rapports virtuels pour “trouver à qui parler”, c’est important, alors je retiens bien ce qui s’y rapporte. Je n’ai pas inventé cette personne, je l’ai “connu” assez “intimement” (en ce sens qu’on a partagés des éléments personnels assez profonds) pour m’être convaincu que ce n’était pas un rôle que tu jouais avec moi.

Et oui, à elle, j’ai pu exprimer l’amour qu’elle m’inspirait. Il était sincère et vrai, je le ressentais honnêtement… Mais il ne pouvait qu’être plutôt “humaniste”, voire, “paternaliste” et pas de l’ordre de ce sentiment amoureux que tu as peut-être ressenti à mon égard. J’aimais ta personnalité et ce que tu me renvoyais de ta nature, mais conçois que ça ne tient pas debout d’envisager une vraie relation de couple en ne se fondant que sur des rapports par écrans interposés… Même si on s’exonère de notre grande différence d’âge (27 ou 28 ans quand même !… J’ai l’esprit large, mais bon, au-delà de 20 ans, ça devient difficile à conceptualiser pour un type qui a deux enfants plus âgés que toi… ^^) et si on avait été proche géographiquement de sorte que l’on aurait réellement pu se rencontrer en face à face et même en partant du postulat que ç’aurait vraiment “matché” entre nous, je n’aurais envisagé qu’une relation “occasionnelle” avec toi. Toute autre chose (“plus sérieuse”) n’était et n’a jamais été envisageable à mon sens. Comment il aurait pu en être autrement Alice ?…

Je m’encombre a minima de convention et de conformisme, mais je suis aussi rationnel et raisonné et tes velléités amoureuses n’étaient pas réalistes et même pas souhaitables à mon sens.

De cette incompréhension “sentimentale” (assez fondamentale), tu es “partie en vrille” en formant une sorte de dépit irrationnel et pour laisser libre cours à tes psychoses et à ta paranoïa… En m’imaginant tordu et sournois alors que je ne suis que terriblement cash et que je peux certes être dur si une personne en qui j’ai donné ma confiance s’en révèle “indigne” (fusse à “son corps” (à “son esprit” plutôt) défendant). Je m’en veux à moi-même de m’être fourvoyé sur ton individualité, de n’avoir pas su déceler ton état de fragilité mentale assez tôt et ensuite, d’avoir sciemment ignoré les signes qui auraient dû me faire remettre en cause mes estimations initiales à ton sujet… Mais c’était parce que tu comptais réellement pour moi, parce que nos échanges m’importaient beaucoup que j’ai tant tardé à y mettre un terme unilatéral.

Ceci étant, tu vaux bien mieux que ça Alice !… Et tu peux prétendre à bien mieux que moi (évidemment) !

Je ne suis pas ce “monstre” que tu as façonné et qui te bouffe de l’intérieur… Comme je n’ai jamais été cet homme exceptionnel, “ce sauveur providentiel” que tu avais imaginé que j’étais et que tu as cru que j’aurais pu être pour toi. Les gens… Personne n’est aussi simplement caricatural et manichéen à définir.

L’un n’est pas plus réel que l’autre et ce ne serait pas désespérant de renoncer à ces croyances, mais au contraire, cela t’ouvrirait à ceux qui t’entourent et qui te côtoient. Ils ne sont pas plus tous laids que tu n’es “moche”, il suffit juste d’ouvrir les yeux…

Il faudrait que tu te réveilles de ce cauchemar que tu prends pour vérité. Il faudrait que tu prennes conscience que tu n’as été le jouet que de tes émotions et de tes sentiments. Que tu t’es trompé, et que ce n’est pas un drame, que c’est humain et pardonnable, que tu n’es pas “une merde” pour autant… Ça arrive à tout le monde de se vautrer et je sais que ça peut faire très mal lorsque c’est à cause de ce que l’on a ressenti que l’on est tombé. Mais tu es capable de te relever de ça aussi… J’en demeure certain.

[hautpotentieldeconneries]

<div>@byaku </div>

Boarf, tu sais, malgré des efforts constants, je n’ai pas ton talent pour susciter la colère ^^

@kamigoroshi_no_yugen

Le clown blanc et l’auguste sont un duo indémodable et fort respectable pour l’édification des enfants. Je vous laisse deviner qui est qui ^^ (indice : on remplace le violon par un piano 🤭)

[kamigoroshi_no_yugen]

Joke’s on you @hautpotentieldeconneries : je joue du piano moi aussi. Et du violon également, d’ailleurs. 😅

[hautpotentieldeconneries]

@kamigoroshi_no_yugen

Toi même tu sais ^^

Les instruments ne sont pas les seuls indices pour vous distinguer !

Et un clown punk pour faire plaisir à @byaku 🤭

[Membre Inconnu]

@byaku

“Nous allons bien voir si on peut avoir une conversation sérieuse.”

Ce n’est même plus du culot là…

Byaku, t’étais où ces deux dernières années ?

T’étais où ?

Alors malgré tout ce que t’as écrit, je vais considérer que t’es sincère et que tu changes de perspective (quoi qu’encore une fois, tu ne charges que contre moi) Et donc, tu sauras qu’il n’y a aucun soucis pour discuter, pour avoir une conversation sérieuse… en face à face. Les yeux dans les yeux. Tu poseras toutes les questions que tu veux (et moi aussi), tu pourras vérifier ce que je dis, voir les zones d’ombres et les incohérences, observer le puzzle d’ensemble ainsi que les croquis que j’ai fait pour tenter de remplacer les petites pièces qui sont encore manquantes par ci par là pour tenter de compléter le dessin d’ensemble. Mais ce ne sera pas derrière un écran de fumé.

[Membre Inconnu]

@Minos

Ton premier message, reste fidèle à ta ligne de défense jusqu’ici, que je serais une folle qui s’ignore.

Le truc, et toi et moi on le sait très bien, c’est que je tenais tellement à toi, tellement, que justement… moi-même j’ai préféré croire que j’avais sombré dans la folie. J’ai préféré douter de moi, jusqu’au bout…que de toi. J’avais tellement envie de te faire confiance, j’avais tant de respect pour ton intelligence, qu’à ce moment là c’était moins douloureux, plus “probable” que je souffre de maladie mentale, que je sois une sorte de schizophrène que toi…un pauvre menteur doublé d’un salaud.

Est-ce que tu imagines seulement ce que ma vie est devenue ? Peux tu seulement envisager le nombre de spécialistes que je suis allée voir, parce que je voulais être certaine, absolument certaine ? Est-ce que tu imagines la force qu’il fallait pour aller demander des diagnostics, encore et encore, consciente de l’épée de Damoclès au dessus de ma tête ? Et parler, et noter pour ne pas oublier, et ressasser la douleur, encore et encore. Et se justifier, encore et encore. Et ne rien cacher, pour être certaine des diagnostics. Et puis de nouveau être incapable de m’exprimer, complètement terrassée et épuisée. Ne plus avoir d’énergie pour mener n’importe quel autre projet dans ma vie.

C’est pour cela que je dis que tu es un homme dangereux, parce que tu es capable de briser une psyché et que tu le fais sans état d’âme. De toute façon c’est le métier de certaines personnes, tu n’es pas le seul à connaître les codes, et à aimer ” jouer” avec l’esprit des autres, comme si tu étais un grand horloger. Ce truc qui consiste à frapper, encore et encore, jusqu’à ce qu’enfin la personne craque. Trouver le point de rupture. Vaincre, conquérir “l’ennemi”.

Tant mieux, tant mieux si les autres y échappent. Tant mieux s’ils ne font pas mes erreurs. Tant mieux s’ils ont déjà la capacité de se défendre, n’ont pas ma faiblesse, mes doutes, mon manque de confiance, ma crédulité de l’époque. C’est un soulagement. Tant mieux si Kitsu a les armes pour se défendre et tant mieux si elle n’avait pas besoin que je me manifeste.

Mais quand tu dis que je veux cacher mes troubles, c’est un mensonge. Je suis allée à leur rencontre. J’ai voulu les identifier. Parce que c’était la seule façon de m’en libérer. C’était la seule façon d’espérer changer, de ne plus revivre tout cela. Faire face, c’était le seul moyen pérenne d’avancer. J’ai envisagé toutes les possibilités à ce sujet, et elles ont été exclues une par une. Lentement, patiemment. Et après, seulement après, je me suis autorisée à me défendre des accusations qu’on portait à mon encontre. Et toi, as-tu jamais passé le seuil d’un psychologue ou d’un psychiatre ? As-tu suivi une seule thérapie de ta vie ?

Ah oui c’est vrai ” tu n’en as pas besoin”.

Ensuite concernant son physique, j’entends que mes propos sont difficiles et que toi, tu prends la place du chevalier. Mais je me rappelle aussi de toutes les discussions que nous avons eues, toi et moi, sur le physique des femmes. A l’époque, c’est toi qui était intraitable, pas moi, loin de là. Tu t’inquiétais d’un kilo (un kilo) en trop chez l’une, de vergetures chez l’autre, d’un nez trop grand pour celle-ci, de boutons dans le dos pour une autre que tu venais de baiser la veille… Tu me faisais part de ton sens du détail, de l’harmonie et que tu détectais la moindre variation/ imperfections sur la peau, l’apparence et qu’ensuite tu n’étais plus capable que de te fixer sur cela et que ça te dégoûtait. Tu avais une liste de critères longs comme le bras. Tu m’as aussi parlé de l’intimité de toutes ces femmes. Et tu as ris d’elles, quand tu ne te vantais pas des services qu’elles te rendaient grâcement, incapables semblait-il de survie sans toi et ton engin enoooorme. Là encore, c’était un red flag : se méfier d’un homme qui se moque des femmes de sa vie, de son quotidien…car à coup sûr on est la prochaine ou déjà dans le même panier.

Et là, encore, vas tu dire que je mens ?

“Ne réalises-tu pas que tu es tombé bien bas”

Oui, parce que je suis tombée sur toi.

Sur ton profil tu fais gardien des enfers. On peut dire que tu m’y a tiré par les pieds, effectivement. T’avais besoin de divertissement. T’étais tout seul là dessous. Je ne sais depuis combien de temps…

“Mais il ne pouvait qu’être plutôt “humaniste”, voire, “paternaliste” et pas de l’ordre de ce sentiment amoureux que tu as peut-être ressenti à mon égard”

Ce n’est pas du tout l’axe/l’angle d’attaque, les cartes que tu as posées avec moi. D’abord c’était très sexuel….

Puis ta pseudo première déclaration “Alice, tu me plaît, tu me PLAIT, GRAVE”, et toutes celles qui ont suivi et toutes les chansons, ça t’évoques quelque chose ? Tu te rappelles de ce premier jour là ? C’était la carte de l’amour d’un papa pour sa fille ? Si c’est ça tu confirmes que tu es plus atteint mentalement que moi.

Amour humaniste…tu n’inverses pas les rôles là ? Quand j’ai fait la bêtise de te dire une fois que j’avais des sentiments pour toi mais que je n’arrivais pas (encore) à les discerner, que je sentais plusieurs états. Et l’autre fois où j’avais identifié que c’était de la dépendance, que je n’aimais pas ça et que “l’amour”, intuitivement, je savais que c’était autre chose, que c’était plus subtile que ca.

N’es tu pas entré dans une rage froide ? Ne m’as tu pas ghostée immédiatement puis des semaines entières ? Ne t’es tu pas acharné ensuite à te moquer de moi ?

Et là, encore, vas tu dire que je mens ?

“Et tu peux prétendre à bien mieux que moi (évidemment) !”

Je peux enfin prétendre à moi-même – parce qu’être ton Lego, c’est absolument terrifiant – avoir une certaine connaissance en cela et vu mon parcours c’est déjà une belle victoire. La connaissance d’autres, je l’espère, suivra. Dans quelques années. Et oui, c’est mieux que toi. C’est mieux sans toi.

Pas un monstre

On va affiner cela: tu es un homme qui choisi d’être un menteur, un manipulateur et un escroc. Et qui n’a aucun scrupule, aucune pitié dès lors qu’il s’agit de défendre son intérêt personnel, à utiliser les autres pour arriver à ses fins. Tu es un beauf, cruel.

Qu’est-ce qui fait que tu en es arrivé là, à ce choix, je ne sais pas. Et je m’en fous.

Tu n’étais pas non plus mon sauveur providentiel. Je n’attendais pas cela de toi et tu le sais très bien. Un côté pygmalion dans nos tous premiers échanges, ok je veux bien le reconnaître. Mais après ça a très évolué. Et la formule qui me vient à l’esprit c’est tout simplement que…”Tu étais Momosse”. Tu étais là et ça me suffisait. Et j’avais de l’admiration et de l’estime pour toi. C’est le penchant de bien des gens qui se laissent aller à des sentiments ou bien tu vas encore dire que c’est l’état d’une maladie mentale ?

Mais il y a aussi que si elle semble se complaire à se vautrer dans la victimisation :

Tu ne peux pas me blâmer de victimisation, ou alors reconnaît sa présence en ton propre discours…un peu de sérieux malgré ta mythomanie, s’il te plaît.

“je n’aurais envisagé qu’une relation “occasionnelle” avec toi”.

Non, tu n’envisageais AUCUNE relation. T’étais juste là pour te moquer de moi, te satisfaire et te féliciter de l’effet que tu me faisais, me tester encore et encore, pour t’occuper entre deux magouilles, en mode rat-race et pour vérifier/ dresser une typologie de gonzesse.

Oui, d’ailleurs dans une (la dernière sur Skype) de nos dernières discussions tu m’expliquais que tu t’étais trouvé une fille plus jeune que moi avec qui t’envoyer en l’air. Que c’était le pied. Elle acceptait de baiser avec toi sans capote. Qu’en plus elle avait la position suivante : d’accord pour avorter si son mec le lui demandait.

J’ai passé outre – comme mon habitude – sur tes propos et tes manières de goujas (là encore…red flag), je me suis foutue de toi en disant “tiens, à ton âge tu souhaites finalement aoir des enfants ? C’est nouveau ça !”. T’as continué à broder des conneries et ça a débouché sur une conversation sérieuse sur les enfants/ou plutôt sur le fait que je partage ma position (parce que la seule chose que tu voulais c’était décortiquer ce qu’il y avait dans ma tête comme un écureuil avec une putain de noisette”. . Ce à quoi je t’ai tout de même répondu ” quel intérêt d’accueillir un enfant dans une famille qui ne voudra pas de lui ?” Confirmant ma position sur le droit des hommes à avoir leur mot à dire en cas de grossesse. T’avais ainsi obtenu ma réponse sur un sujet lambda de société.

Et là, encore, vas-tu dire que je mens ?

Ensuite c’était toujours le même schéma : de nouveaux des énormités, des mots blessants, puis une caresses, des injonctions contradictoires sans cesse. c’était le lot de toutes nos discussions. Et j’étais effectivement le petit rat dans sa roue, tellement pris par la vitesse, le mouvement, qu’il ne peut plus en sortir et tourne tout seul avant d’être éjecté du système.

Et je maintiens mon offre si tant est que l’on puisse communiquer

Personne ne peut imaginer le niveau de mesquinerie de cette proposition. Faudrait vraiment qu’ils aient accès à nos échanges pour, comme dans une télé nova s’exclamer ” han, j’y crois pas il a osé ?! Mais quel pourri ! ”

Là, publiquement tu proposes donc d’entrer en négociation et qu’on s’explique pour trouver ensemble la vérité, et pour me “sauver” d’une psychose.

Quel fils de pute tu es.

Momosse, je me suis battue pour toi ! Je me suis battue jusqu’à ce que mon corps me lâche. J’ai tout fait ,tout, tout ce qui était en mon pouvoir….pour la vérité. Combiennde fois t’ai-je fair par de mes questions ? De mes doutes ?

Je t’ai limite supplié à l’époque pour qu’on s’explique. J’ai utilisé tous le moyens possibles. J’aurais tout accepté pour qu’on s’explique. Mais ton fonctionnement était le même , à chaque fois : dès que je te mettais face à un de tes mensonges, à une de tes contradictions, à une anomalie flagrante, que j’exposais des faits, immédiatement tu m’insultais, tu me rabaissais, ou tu raccrochais, ou tu disparais, me ghostais des jours, des semaines entières. Et alors j’étais rongée de culpabilité, je me trouvais la pire des personnes, imaginant quel grand mal j’avais bien pu te faire puis quand tu revenais j’étais de nouveau toute sage et toute soumise et…je me taisais. Je n’avais que deux droits avec toi : t’admirer et fermer ma gueule.

Tu n’es pas un homme de dialogue,Tu veux être un dominant et tu veux garder le pouvoir.

Toutes ces fois, où je suis revenue vers toi, pour avoir des explications, tu m’as inlassablement envoyée chier. Tu ne me devais semble-t-il aucune explication. J’en étais “indigne”. Tu avais l’ascendant, tu avais le pouvoir sur moi…alors, pourquoi aurais tu eu à négocier quoique ce soitm ? Tu étais le Price maker. J’étais qu’une petite merde écrasée sous ton pied.

Là, ça y est, le vent a tourné. Maintenant : t’es cuit. c’est toi qui est dans la merde jusqu’au cou. Et là, comme par hasard tu sors la carte “discutons, expliquons-nous”.

Alors toi qui a un faible pour la sodomie (ça aussi, tu m’en as tartiné des pages entières) je te le dis : va te faire enculer.

J’ai.tout.fait.pour.cela.

Et là, encore, vas-tu dire que je mens ?

Conclusion :

Ton argumentaire consiste seulement à prétendre que je suis folle.Tu ne reviens pas sur le reste…et le reste, toi et moi, on sait que ça fait beaucoup. Beaucoup, beaucoup, beaucoup. ^^

Mais, si vraiment, vraiment tu tiens à aider la pauvre fille que je suis, et bien je me répète, le geste le plus beau, le plus simple qui soit : que tu m’envoies une copie de ta carte d’identité. ET une vidéo de toi, déclinant ton identité devant le commissariat de Nouméa. Ce serait une “première étape”, ne garantissant évidemment rien des suites, loiiiin de là, mais…ce serait déjà ça.