La vaccination contre la COVID

  • matty

    Membre
    3 décembre 2021 à 14 h 33 min

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    Toujours dans la même veine du JIM</div><div>

    Publié le 02/12/2021

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    On en sait plus sur le contrôle de l’obligation vaccinale en ville
    Paris, le jeudi 2 décembre – Hier, le gouvernement a rendu public un arrêté du 28 octobre qui détaille les procédures de contrôle de l’obligation vaccinale des libéraux et des officinaux.

    Comment contrôlent les ARS ?
    C’est au ARS (Agence régionale de santé) qu’il revient de procéder à la vérification du respect de l’obligation vaccinale des professionnels de santé libéraux.

    Or, la loi prévoit que les ARS accèderont aux données relatives au statut vaccinal des professionnels de santé avec le concours des organismes locaux d’assurance maladie. « En pratique, afin de cibler au mieux leurs contrôles, les ARS disposent de fichiers de professionnels non vaccinés, transmis par l’Assurance Maladie à échéances régulières, et issus du croisement de plusieurs bases de données » souligne le ministère de la santé.

    A partir de ces listes, les ARS effectuent des contrôles sur les professionnels ne présentant pas un schéma vaccinal complet au 16 octobre 2021.

    Pour vérifier le respect de l’obligation vaccinale, deux possibilités s’offrent alors à l’ARS : le contrôle sur pièces, par voie dématérialisée (envoi de mails ou courriers demandant la production sous 72 heures des justificatifs attendus) ou le contrôle sur place, notamment pour les situations ou les professionnels n’auront pas répondu au contrôle sur pièce.

    Comme nous le savons, en cas de non-respect avéré de l’obligation vaccinale, c’est une suspension d’exercice qui s’imposera. Il revient au directeur général de l’ARS d’en informer le soignant. En parallèle, l’ARS transmet l’information à la Caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) du lieu d’exercice principal de ce professionnel de santé qui informe, par tout moyen, les assurés suivis habituellement par ce professionnel de santé de la suspension d’exercice.

    Sur la base de ces éléments, l’Agence du numérique en santé (ANS) peut alors désactiver temporairement la carte professionnelle de santé.

    Notons, qu’en cas de suspension, le professionnel ne pourra se faire remplacer. Un point particulièrement important pour les pharmaciens titulaires qui ne pourront céder temporairement la place à leurs adjoints, obligeant à la fermeture de l’officine.
    Non-respect de la suspension : des sanctions ordinales jusqu’à la radiation
    En cas de non-respect de l’interdiction d’exercice, passé un délai de 30 jours après la signification de la suspension, une plainte peut être déposée face à l’Ordre pour manquement déontologique.

    La plainte peut être initiée par différentes catégories de plaignants : les Ordres bien sûr mais aussi les ARS, les CPAM, les associations de patients, le ministre des solidarités et de la santé, le préfet de département, et le procureur près du tribunal de grande instance (TGI), ainsi que par l’ANSM et l’ANSES pour les pharmaciens.

    Les sanctions prononcées peuvent être l’avertissement, le blâme, l’interdiction temporaire d’exercer avec ou sans sursis pour une durée maximale de trois ans voire la radiation du tableau.

    Cette saisine de la juridiction ordinale ne fait obstacle à aucune action de droit commun devant les juridictions judiciaires ou, le cas échéant, administratives. A noter que lorsqu’un praticien contrevient à une décision de la chambre disciplinaire de son ordre, c’est-à-dire qu’il continue d’exercer malgré l’interdiction temporaire d’exercer, il est tenu de rembourser à l’organisme de sécurité sociale le montant de toutes les prestations qu’il a effectuées…

    F.H.

    Merde les complotistes y disent, dans cette futur société transhumaniste de contrôle tout individu pourra se voir désactivé d’un clic. “l’Agence du numérique en santé (ANS) peut alors désactiver temporairement (ou non) la carte professionnelle de santé”. Ah bon !

    Alors si vous êtes obéissant et silencieux la vie deviendra pour vous un véritable enchantement.

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  • cinematographe

    Membre
    3 décembre 2021 à 15 h 26 min

    @matty c’est un médecin corrompu ou bien est-il idiot ?

    La couverture vaccinale actuelle n’existe pas, elle ne protège ni de l’infection par le virus, ni de sa transmission, elle est seulement effective sur l’atténuation des formes dites graves à court terme, ce qui justifierait des injections tous les trois mois pour maintenir opérationnel son pass sanitaire ?

    Le nombre statistique de 95% est celui annoncé par le fabricant, il est tout autre sur le terrain hospitalier, et il décroît rapidement passé un délai de trois mois après l’injection…

    Le mensonge le plus énorme concerne l’hospitalisation majoritaire des non vaccinés, alors que le ratio est complètement inversse, ce sont les « vaccinés » qui encombrent actuellement les services d’urgences des hôpitaux…

    Cela ne veut pas dire que le vaccin expérimental ne marche pas bien sûr, mais sans doute moins bien sûr ceux qui en ont le plus besoin ?

  • cinematographe

    Membre
    4 décembre 2021 à 12 h 34 min
  • matty

    Membre
    4 décembre 2021 à 19 h 50 min

    Je ne sais quoi choisir comme qualificatif, mais en tout cas ça montre à quoi on peut s’exposer si on n’y prend garde.

  • auto-smiley

    Membre
    5 décembre 2021 à 6 h 33 min

    J’ajoute quelques anecdotes croustillantes…

    Je participe actuellement à un atelier “art thérapie” en hôpital de jour psychiatrique. J’y croise des infirmières (il n’y a que des femmes dans ce service donc ce n’est pas un oubli de ma part ^^) et une personne qui vient pour le ménage & cuisine etc. J’y suis à ma demande, relayée par ma psychologue (que je vois dans un Centre Médico-Psychologique) au psychiatre qui semble avoir le poste de “validateur” des demandes… Je passe sur les détails, là c’est juste une vue du contexte pour situer.

    Les prises de têtes les +dingues :

    1) Discussion, entre patients et soignants, sur la Covid19 : j’ose dire qu’il y a une preuve de l’incohérence scientifique des institutions voire de la gravité du niveau de corruption dans lequel toute cette situation est gérée ; en substance “toute cette époque est pire que celle qui correspondait au scandale du Médiator sur le sujet qui lui correspond”… Réactions : “Ah bon ?” Moi : “Oui, c’est évident que l’hydroxychloroquine n’avait, depuis le début, aucune bonne raison valable d’être mise à l’écart de l’usage médical & cette mise à l’écart est toujours d’actualité !” Suivi d’un très long débat, que je résumerait par l’expression suivante : “patati patata, enfin bon, tout-le-monde peut avoir son propre avis sur la question”… Ce à quoi j’ai eu tendance à vouloir répondre : “OK, dans le sens que tout-le-monde n’est pas forcément en capacité de vraiment comprendre etc, ou informé etc, et donc on va se construire son propre avis indépendamment de toute pensée rationnelle solidement rattachée à ce qu’on sait sur un plan purement scientifique sur ce sujet, et NON dans le sens que ce n’est pas parce qu’il y a des débats sur la Terre ronde ou plate que la Terre peut se trouver à la fois plate et ronde… Or, dans le cas concernant l’hydroxychloroquine, je suis absolument certain qu’il n’y a aucune raison médicale sérieuse en faveur de cette mise à l’écart, pour m’être assez penché sur le sujet dès le début de cette histoire – vers Avril 2020 – quoique disent les médias en boucle ce n’est pas de la Science ‘ça’ & ceci tout autant que je suis absolument certain que la Terre est ronde quoiqu’en disent celles et ceux qui ne comprennent rien du sujet en science physique”. Au final, j’en parle à ma psychologue, sur le fond de cette affaire dans l’angle de vision “plusieurs vérités possibles” pour en arriver globalement à la conclusion qu’en ce moment je suis hospitalisé principalement pour apprendre à supporter la folie des gens “normaux” alors même qu’on m’a suivi médicalement pour risque de folie très sérieux (au départ). C’est un phénomène bizarre, un peu comme si on allait en stage à l’école pour se rendre compte le mieux possible à quel point il allait falloir compter sur une grande et ferme volonté d’apprendre en autodidacte pour être +efficace plutôt que s’imaginer apprendre à l’école davantage que cette simple petite notion particulièrement précise (du style “ici vous ne pouvez pas apprendre vraiment bien” ou quelque chose comme ça). À la finale de la finale, c’est tout de même très difficile à encaisser : d’être supposé accompagné pour risque de folie (“différence” & supposée maladie) car au départ ça fait sens effectivement – sans vouloir sortir ici mon CV médical => lorsqu’un bipolaire type 1 se retrouve exposé à trop de conneries/violences psychologiques, eh bien il devient fou & ce n’est pas un concept abusif – mais à la fin, parce que je suis vraiment en train de trouver la porte de sortie de cet enfer, je me retrouve plutôt proche d’être “le moins fou” dans une société qui elle l’est encore énormément (folle) de façon +inconsciente, avec une majorité d’individus qui n’a jamais su vraiment de quoi il s’agissait quand on parlait de folie (alors que moi, si, je pourrais vous en assurer).

    2) Plein de fois, je fais face à des gros problèmes d’interventions des infirmières, vraiment très problématiques et que je qualifierais de “psychologie de comptoir” du style : – me dire que je semble aller mal, alors que je suis juste pensif… – me dire que je semble très préoccupé par un sujet, dans le sens que je semble particulièrement concerné, alors que c’est simplement parce qu’on en parle ==> si on parle de féminisme, je peux me sentir “concerné” alors que je ne suis pas une femme ; bref, confondre le fait qu’on s’interroge sur quelque chose, qu’on a un avis, ou parce qu’on en sait on en parle, alors ça voudrait “dire” qu’on s’en préoccupe actuellement pour soi-même ==> c’est de la psychologie de comptoir ! Voici un autre exemple de cette vaste “psychologie de comptoir” : à peine arrivé, on se retrouve à parler de mes enfants, et j’explique que je fais attention à ce qu’ils tiennent compte de leurs différences, que bien identifier leurs différences permet de bien se correspondre sans heurts en tenant compte de ‘comment’ fonctionnent les autres etc ==> il y a eu à la suite de ça, alors que j’étais à peine arrivé je le rappelle (et j’avais exprimé lors de mon 1er entretien : ne me prenez pas trop la tête avec des conneries débiles parce que là j’ai été diagnostiqué avec des troubles post-traumatiques malgré l’ineptie qui consiste à faire mariner, ici, pendant des mois, sans chercher à savoir de quoi exactement souffrent les gens) toute une grosse prise de tête, simple controverse de réflexion à la base, pour me dire “non mais, faut pas trop insister sur les différences, parce que, patati patata, les enfants après si on les compare trop alors ils développent des complexes etc” 🤯 … J’en arrive au point, au bout de quelques séances, même si c’est encore difficile pour moi, de devoir apprendre le +souvent possible à mettre toute mon intelligence de côté, parler de météo comme un crétin pour me donner une certaine contenance ; parce que bon, à la base, j’avais aussi besoin de voir du monde (parce que 4 ans de “confinement” au total, donc bien avant la Covid, à cause de la misère la plus totale, ça tue). Donc j’en arrive pratiquement à devoir considérer pratiquement tout individu, en particulier les infirmières dans un hôpital et à +forte raison les médecins quand ils ont un pouvoir sur nos corps alors qu’on est vulnérable, comme une menace potentielle, une cause énorme de prise de tête débile, en vue d’apprendre à sociabiliser (a minima) et donc pratiquement en les considérant secrètement comme des gros cinglés qui s’ignorent. Je me retrouve, dans le moins pire des cas : enfermé dehors… Aussi j’en profite pour tenter d’apprendre à survivre psychologiquement dans cet isolement intellectuel quasi-total à quelques très rares exceptions près, tout en me raccrochant (et même en me “focalisant sur” devrais-je dire) aux émotions pour lesquelles le poids de l’intelligence compte très peu ; ce qui pourrait m’ouvrir à une relation +épanouie même avec une non-zèbre soit-dit en passant…

    3) La plus grosse prise de tête que j’ai eue, pire que celle sur l’hydroxychloroquine, pire que celle sur l’acceptation des différences etc ===> me retrouver avec des infirmières qui font un effort de me tenir tête sur le fait que le Diagnostic n’aurait pas tellement d’importance !!! 😵‍💫 Ça, faut oser, tout de même… Après avoir passé 10 ans en errance de diagnostic, après avoir passé deux ans à “attendre” un rendez-vous psychologue en CMP suite à une situation pour laquelle j’ai été hospitalisé encore un an +tard (là où on m’a diagnostiqué des troubles post-traumatiques au final) => c’est le genre de connerie difficile à entendre… En médecine, c’est devenu +important de sous-estimer l’importance du diagnostic qu’y prêter attention : sacré niveau… 😂 Seul très gros avantage de tout ça : depuis longtemps la MDPH ne se base plus seulement sur un diagnostic établi pour valider l’attribution d’aides au handicap, ils se basent essentiellement sur une estimation (un peu vaseuse mais +efficace pour obtenir gain de cause ^^) de “comment on galère dans la vie” et qu’on soit schizophrène, bipolaire, ou n’importe quoi “on s’en tape” c’est comme ça que marche le Monde & en France les institutions à vocation de solidarité vis-à-vis du handicap l’ont bien intégré, ce qui est une chance car dans d’autres pays les capacités sérieuses à établir des diagnostics sont largement en difficulté (autant que chez nous en moyenne, en résumé) et si leur système de solidarité ne se base que sur l’obtention du soit-disant diagnostic irréfutable c’est ainsi +compliqué d’obtenir gain de cause !

    Je voulais vous témoigner tout ça, en vrac, pour vous dire : ne vous attendez pas à ce que la société réagisse, comprenne etc. Si la vaccination devenait obligatoire, nous serions juste en pleine illégalité. Point. Ça peut arriver : en 1940, être juif en France c’était illégal. Ça peut aller loin, très loin, la connerie humaine. Mais on ne la changera pas, la connerie humaine, au simple prétexte que quelques intelligents semblent avoir compris un truc ou deux, ça non, c’est bien +compliqué que ça…

    Je crois qu’il faut apprendre à s’en moquer un peu, pas de façon cynique : de façon à ne pas y accorder trop d’importance, que les gens se trompent ou pas… Garder sa raison pour soi : ça me semble une étape importante de maturité, intéressante à atteindre, notamment suite à mes expériences personnelles dans cet hôpital de jour récemment. Chercher les émotions positives, et si elles sont “pauvres” => les chercher ailleurs, mais en tout cas se focaliser sur les valeurs liées aux émotions : ça me semble infiniment +riche et infiniment moins clivant.

    Et lorsqu’on éprouve le besoin d’échanger à propos des “raisons gardées”, soit on le trouve dans le travail, dans l’organisation autour des implications induites par ces raisons, soit on trouve des gens capables de comprendre (et ils seront forcément rares et jamais ils ne seront en mesure de Tout comprendre non plus) soit on écrit des livres (que très peu de gens liront avec intérêt => mais ‘peu’ n’est pas ‘rien’ ^^) soit on va voir des psychologues pour vider son sac et éventuellement décortiquer tout ça avec passion. Mais se mettre à fantasmer que les gens “devraient” comprendre, c’est possiblement toxique tout court, en tout cas c’est surtout un symptôme de malêtre +ou- conscient à mon humble avis.

    Et comme je pense tout de même que le Monde ne sera jamais “sain & sauf” (surtout sauf) sans Raison : je trouve que l’effort de la raison n’est pas quelque chose qui fonctionne tant dans la partage que dans l’organisation. La “Raison” du Sauveur, c’est une histoire de toute la belle architecture de son plan de sauvetage, sciemment organisé, méticuleux, à la limite d’un secret absolu, et non une invention de prise de conscience (dont la définition échappe) pour la foule toute entière qui deviendrait, à force d’éducation, tellement collective & sérieuse ; histoire de faire référence à ce symbole apocalyptique connu. 😉 Et, pour demeurer sain, ce qui reste la +belle préoccupation humaine : s’occuper de la beauté, du désir, d’émotion positive, de la paix.

  • cinematographe

    Membre
    5 décembre 2021 à 13 h 18 min

    Over 100,000 Psychiatric Disorders Like Hallucination & Suicide Reported After COVID Vaccination.

    https://greatgameindia.com/psychiatric-disorders-covid-vaccination/

  • cinematographe

    Membre
    5 décembre 2021 à 13 h 26 min

    Coup de théâtre en Israël : un médecin vacciné trois fois contre le Covid vient d’attraper le Covid.

    https://lecourrier-du-soir.com/coup-de-theatre-en-israel-un-medecin-vaccine-trois-fois-contre-le-covid-vient-dattraper-le-covid/

  • cinematographe

    Membre
    5 décembre 2021 à 13 h 44 min

    Un cardiologue de haut niveau prévient que l’étude liant les vaccins COVID à une augmentation massive des crises cardiaques est totalement ignorée.

    https://www.anguillesousroche.com/videos/video-un-cardiologue-de-haut-niveau-previent-que-letude-liant-les-vaccins-covid-a-une-augmentation-massive-des-crises-cardiaques-est-totalement-ignoree/

  • auto-smiley

    Membre
    6 décembre 2021 à 3 h 23 min

    Puisque tu parles de “ça”, eh bien justement, je m’en doutais que c’était énorme comme bilan ! (en vrai, à mon avis, nous ne saurons jamais exactement => un peu comme lorsqu’il y a une guerre avec des armes explosives envoyées par avion)…

    Et le Pr Raoult en a parlé très précisément, y compris dans un talkshow télévisé-télévidé – TPMP – de la TV à très forte audience => j’ai vu ça sur Internet pour ma part…

    Il disait en gros “la peur suscitée en permanence crée un sentiment de peur panique associée au soin qui peut être perçu comme une atteinte grave & ça peut provoquer des trucs très très grave…” Alors, à un moment, il explique même un peu mieux la réalité de ce phénomène (sur le plan biologique strictement) en disant que c’est quelque chose assez bien connu, que certains neurotransmetteurs agissent de façon violente : perte de connaissance etc.

    Et vu à quel point nous nageons en pleine dissonance cognitive : ce n’est pas étonnant que ce genre de troubles (médicaux) parfois très graves soient régulièrement observés. Je pense que c’est quelque chose qui devra un jour être considéré comme une forme de maltraitance psy… Un peu comme, il y a quelques temps, nous avons évolués dans la prise en charge des bébés en service néonatal, surtout pour les bébés prématurés ; de sorte que les bébés soient manipulés +précautionneusement afin d’éviter des traumas possiblement très graves…

    Mais, à mon avis, ça peut aller beaucoup +loin que “juste tomber dans les pommes” ==> en gros, ça peut aller jusqu’à tuer des gens, ce qu’on pourrait appeler directement (sans cynisme de ma part) => mourir de peur… Crise cardiaque, essentiellement, et les suicides aussi évidemment (je dis ‘évidemment’ parce que j’en connais un rayon en tant que bipolaire, désolé).

    Le confinement a déjà tué beaucoup de gens, mais de “ça” on n’en parle pas beaucoup non plus… J’ai personnellement perdu une amie, qui s’est laissée mourir littéralement, à ne plus vouloir s’alimenter à +de 75 ans on ne tient pas longtemps, à force d’être séquestrée (sans visites) dans sa prison-EHPAD. Et puis une autre amie dont on ne connait pas exactement la cause de sa mort, et qui était suivie à domicile (c’étaient donc deux “mamies” adorables) mais elle souffrait d’isolement parce que je ne pouvais plus venir la voir (sans aucun moyen de me déplacer suite au décès de mon autre amie ==> la misère, commune, moi je me retrouvais sans voiture) alors que j’étais sa seule visite en dehors du personnel médical. Une infirmière était là à l’enterrement et elle m’a dit discrètement (elle était bouleversée) que ça n’était pas du tout certain qu’elle ne s’était pas simplement suicidée d’après ce qu’elle avait observé dans sa chambre ; effectivement, non seulement elle était isolée à ce moment là mais en plus de ça elle souffrait physiquement et elle semblait très mal prise en charge à cause de ça (elle m’en avait beaucoup parlé au téléphone les jours qui ont précédé). On abandonne la 1ère, elle se laisse mourir… Du coup, en plus de ce choc, je me retrouve sans voiture et je ne peux plus rendre visite à la 2ème, qui elle étant diagnostiquée bipolaire très tardivement & en grande souffrance meurt également… Alors je résumerais ainsi : l’abandon, c’est la mort dans bien des cas… Et je ne pense pas qu’elles soient “comptabilisées” dans les morts suite au Covid, alors que c’est le cas de mon point de vue, dans le sens que sans ce mauvais traitement social elles ne seraient pas mortes ainsi ni l’une ni l’autre. Tout comme moi je pourrais mourir de froid ou (à force) finir par faire une vilaine septicémie, parfois je n’en suis pas très loin, et pourtant qui compterait ça comme “mort de misère sociale” puisque je suis ‘bipolaire’ on ne tarderait pas à supposer que je me suis simplement laissé-aller à ne pas me soigner correctement (étant donné que pour augmenter mes chances de survie, paradoxalement, je ne continue pas le traitement à base de chimie => je me gave de CBD et ça fonctionne très très bien pour moi ^^) ??

    Triste. Car ce ne sont pas uniquement-simplement des chiffres dont nous parlons sur ce fil 😖

  • cinematographe

    Membre
    6 décembre 2021 à 13 h 49 min

    « Nous accusons (les gouvernements d’être totalement dénués des capacités nécessaires pour gouverner) »

    https://www.covidhub.ch/carte-blanche-nous-accusons-les-gouvernements-detre-totalement-denues-des-capacites-necessaires-pour-gouverner/

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