La vaccination contre la COVID

  • cinematographe

    Membre
    23 janvier 2022 à 22 h 52 min
  • olbius

    Organisateur
    23 janvier 2022 à 23 h 13 min

    J’ai vu passer ça y a quelques jours. C’est infiniment triste mais… Comme toujours, jusqu’à preuve du contraire, corrélation n’est pas causalité.

  • olbius

    Organisateur
    23 janvier 2022 à 23 h 22 min

    De nombreux antivaccins assurent que les non-vaccinés ne saturent pas les services de réanimation du pays, en s’appuyant sur des données de la Drees mal interprétées.

    Plusieurs enquêtes récentes menées sur des échantillons d’hôpitaux ont abouti à des chiffres situés entre 70 % et 90 % dans les services de réanimation.

    • Les non-vaccinés représentent 80 % des 896 patients recensés dans la récente enquête flash menée par la Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR) dans 165 services de réanimation répartis sur toute la France.
    • Dans ceux des hôpitaux de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), leur proportion est estimée ces derniers jours à 70-75 %.
    • A Marseille, l’AP-HM recense près de 90 % de non-vaccinés, selon une tribune récente de 500 médecins publiée dans La Provence.

    Comment, dès lors, expliquer la différence avec les chiffres de la Drees, précédemment cités ? Pour cela, il faut comprendre que la Drees ne regarde que les admissions dans les hôpitaux et les services de réanimation, sans tenir compte des sorties (c’est-à-dire les guérisons ou les décès des patients). Or, les patients complètement vaccinés séjournent moins longtemps à l’hôpital et guérissent souvent plus vite que les patients partiellement ou pas vaccinés. Il est donc logique que, même avec un flux égal de vaccinés et de non-vaccinés qui entrent à l’hôpital, les non-vaccinés finissent par y être plus nombreux à terme.

    Source : Covid-19 : la majorité des patients en réanimation sont bien non vaccinés

    (04 et 06 janvier 2022)

  • olbius

    Organisateur
    23 janvier 2022 à 23 h 31 min

    quelle que soit la pertinence des choix méthodologiques de la Drees, aucune des raisons avancées dans la première vidéo de «Décoder l’éco» pour expliquer «l’absence» de 900 décès dans l’étude de la Drees sur l’efficacité de la vaccination ne se trouve confirmée. Ce qui invalide, par là même, l’ensemble de son raisonnement visant à démontrer l’inefficacité des vaccins.

    Source : La Drees a-t-elle «oublié» 50% des décès Covid dans une étude sur l’efficacité des vaccins ?

    (22 septembre 2021, donc de toute façon plusieurs semaines AVANT l’article que j’ai partagé un peu plus tôt dans ce thread)

  • matty

    Membre
    24 janvier 2022 à 1 h 09 min

    <div>J’ai vu passer ça y a quelques jours. C’est infiniment triste mais…
    Comme toujours, jusqu’à preuve du contraire, corrélation n’est pas
    causalité.J’ai vu passer ça y a quelques jours. C’est infiniment triste mais… Comme toujours, jusqu’à preuve du contraire, corrélation n’est pas causalité.</div>

    <div>

    C’est bien ça qui fait la force de la vaccination et des traitements préventifs.

    Non ?

    </div>

  • cinematographe

    Membre
    25 janvier 2022 à 21 h 38 min
  • cinematographe

    Membre
    26 janvier 2022 à 21 h 25 min
  • cinematographe

    Membre
    27 janvier 2022 à 21 h 32 min
  • matty

    Membre
    28 janvier 2022 à 12 h 52 min

    <div>QUE VOUS DIRE DE PLUS SUR LA VACCINATION COVID QUE VOUS NE SACHIEZ DÉJÀ ?
    </div><div>

    </div><div>

    * “Ça c’est juste le résultat prévisible d’une vaccination de masse pendant
    une épidémie sur un virus mutagène et recombinant…continuez à piétiner
    une règle d’or en médecine épidémiologique les gars vous allez bien
    finir par nous en faire un bien coriace et létal à force !Ça c’est juste le résultat prévisible d’une vaccination de masse pendant une épidémie sur un virus mutagène et recombinant…continuez à piétiner une règle d’or en médecine épidémiologique les gars vous allez bien finir par nous en faire un bien coriace et létal à force !

    * Quand le virologue/vaccinologue Geert Van den Bossche qui a travaillé
    pour l’OMS la fondation Bill Gates le CDC, Gavi a alerté sur les dangers
    de vacciner en pleine épidémie, l’un des vaccinologues les plus
    célèbres au monde lui a répondu : « oui tu as raison ces vaccins vont
    créer des variants mais personne ne va t’écouter car tu vas contre le
    sens de la pensée dominante».

    * Le Docteur Stéphane Gayet « le vaccin à ARNM dans sa version actuelle ne protège pratiquement pas
    d’Omicron. Ce variant est la conséquence de la vaccination. C’est à dire
    qu’il s’est développé, recombiné chez des personnes vaccinées et sans
    doute immunodéprimées».

    * Geert Vanden Bossche « les vaccins que l’on utilise ne sont pas capables de prévenir
    l’infection et la transmission. Donc il ne faut pas les utiliser pendant
    une pandémie et avec un virus qui peut muter. La réponse immunitaire
    doit être totalement établie avant de se rendre aux champs de bataille…»

    * Kaarle Parikka, virologue : « les virus à ARN ont la particularité de
    muter énormément. Vacciner en pleine pandémie c’est mettre une pression
    de sélection qui va créer une multitude de variants qui vont affecter
    les gens qui ont déjà été malades ou vaccinés ».

    * Quant au fait que le vaccin protège des formes graves pourquoi y a-t-il 63% de morts du Covid vaccinés selon la DREES (information relayée par RTL)? 63 % des décès…pour des personnes inoculées Et bien c’est vrai @olivierveran pic.twitter.com/Oyut50LtU0

    * Très intéressant de regarder le cumul des décès sur l’Ile de Man, vaccinée à 100%, donc sans #NonVaccinés à emmerder. L’augmentation des décès post-vaccination est éloquent : ces vaccins ne protègent en rien des formes graves, ni des décès. pic.twitter.com/bNTB41bhXg

    * En Angleterre, où 71% de la population est vaccinée (2-3D), on a 89% des contaminés #Omicron vaccinés (https://t.co/SS3Tx7vIvF) et 74% des patients hospitalisés #Omicron vax (et à peine 54 DC). le Vaccin NE MARCHE PAS (ou marginalement) sur #Omicron.
    Pourquoi le #PasseVaccinal ? pic.twitter.com/QKcV5QzfDyEn Angleterre, où 71% de la population est vaccinée (2-3D), on a 89% des contaminés #Omicron vaccinés (https://t.co/SS3Tx7vIvF) et 74% des patients hospitalisés #Omicron vax (et à peine 54 DC).
    le Vaccin NE MARCHE PAS (ou marginalement) sur #Omicron.
    Pourquoi le #PasseVaccinal ? pic.twitter.com/QKcV5QzfDy

    * Au Danemark, en Islande les vaccinés sont également sur-représentés parmi les cas positifs.

    « Ce vaccin est inefficace.L’argument gouvernemental de la vaccination altruiste [je vaccine Paul pour protéger Pierre] ne tient pas une seconde face à ces données qu’on peut qualifier de « générales » ou « d’universelles » note un cardiologue dans son blog.

    Pire selon l’Office National des Statistiques anglais. Les triples vaccinés ont 4,5 fois plus de chance d’être positifs au variant Omicron que les non vaccinés (à titre d’exemple dans notre famille 2/3 des vaccinés étaient positifs à Omicron pour Noël contrairement aux guéris et aux enfants non vaccinés).« Cela signifie que la vague Omicron est principalement une épidémie de vaccinés deux ou trois doses » estime un journaliste.

    * Le
    professeur Jean-Marc Sabatier directeur de recherche au CNRS et docteur
    en biologie cellulaire et microbiologie, affilié à l’institut de neuro
    physiopathologie à l’université d’Aix-Marseille explique dans cet
    article
    pourquoi le vaccin pourrait favoriser l’infection à de
    nouveaux variants : « le problème peut survenir ultérieurement et se
    produire lorsque vous êtes infecté par un autre sérotype viral,
    c’est-à-dire par un autre variant du Sars-CoV-2 qui va suivre le
    phénomène ADE, c’est-à-dire pour lequel le phénomène ADE de facilitation
    par les anticorps existe. À ce moment-là, c’est problématique parce que
    vous allez avoir des anticorps qui vont faciliter l’infection. Ce qui
    signifie que si les personnes qui ont été vaccinées avec le
    vaccin fait à partir du virus Sars-CoV-2 d’origine, celui de Wuhan, sont
    infectées par la suite par un autre variant (Delta, Omicron ou autre),
    elles pourraient faire des formes plus sévères de la maladie
    ,
    justement parce que ces anticorps facilitants sont là (ces anticorps
    facilitants vont se fixer sur le nouveau variant/sérotype du virus). La
    balance anticorps neutralisants/anticorps facilitants était favorable
    pour les variants Alpha et Beta du Sars-CoV-2. Pour les derniers
    variants dont le Gamma, Delta, Lambda et Mu, c’est la tendance inverse
    qui s’observe, avec une balance anticorps neutralisants/anticorps
    facilitants défavorable.Et lorsqu’on va faire des rappels vaccinaux
    multiples (troisième, quatrième, voire cinquième injection, etc.), le
    rapport bénéfice/risque de la vaccination va être de plus en plus
    défavorable. À vouloir trop protéger en faisant produire des anticorps neutralisants, finalement, on fait l’inverse.
    On va donc augmenter la proportion d’anticorps facilitants par rapport
    aux anticorps neutralisants. Nous n’aurons plus de protection vaccinale,
    mais au contraire une facilitation vaccinale, avec une infection
    cellulaire facilitée. Ainsi, les personnes qui seront infectées par les
    nouveaux variants pourront faire des formes plus sévères que si elles
    n’étaient pas vaccinées». Ce chercheur a d’ailleurs demandé dans une
    étude pre-print à ce que ces vaccins soient adaptés rapidement car « ils
    posent des problèmes d’efficacité et d’inocuité ».Le professeur Jean-Marc Sabatier directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire et microbiologie, affilié à l’institut de neuro physiopathologie à l’université d’Aix-Marseille explique dans cet article pourquoi le vaccin pourrait favoriser l’infection à de nouveaux variants : « le problème peut survenir ultérieurement et se produire lorsque vous êtes infecté par un autre sérotype viral, c’est-à-dire par un autre variant du Sars-CoV-2 qui va suivre le phénomène ADE, c’est-à-dire pour lequel le phénomène ADE de facilitation par les anticorps existe. À ce moment-là, c’est problématique parce que vous allez avoir des anticorps qui vont faciliter l’infection. Ce qui signifie que si les personnes qui ont été vaccinées avec le vaccin fait à partir du virus Sars-CoV-2 d’origine, celui de Wuhan, sont infectées par la suite par un autre variant (Delta, Omicron ou autre), elles pourraient faire des formes plus sévères de la maladie, justement parce que ces anticorps facilitants sont là (ces anticorps facilitants vont se fixer sur le nouveau variant/sérotype du virus). La balance anticorps neutralisants/anticorps facilitants était favorable pour les variants Alpha et Beta du Sars-CoV-2. Pour les derniers variants dont le Gamma, Delta, Lambda et Mu, c’est la tendance inverse qui s’observe, avec une balance anticorps neutralisants/anticorps facilitants défavorable. Et lorsqu’on va faire des rappels vaccinaux multiples (troisième, quatrième, voire cinquième injection, etc.), le rapport bénéfice/risque de la vaccination va être de plus en plus défavorable. À vouloir trop protéger en faisant produire des anticorps neutralisants, finalement, on fait l’inverse. On va donc augmenter la proportion d’anticorps facilitants par rapport aux anticorps neutralisants. Nous n’aurons plus de protection vaccinale, mais au contraire une facilitation vaccinale, avec une infection cellulaire facilitée. Ainsi, les personnes qui seront infectées par les nouveaux variants pourront faire des formes plus sévères que si elles n’étaient pas vaccinées». Ce chercheur a d’ailleurs demandé dans une étude pre-print à ce que ces vaccins soient adaptés rapidement car « ils posent des problèmes d’efficacité et d’inocuité ».

    * « Les anticorps vaccinaux ont plus d’affinités pour le virus que les
    anticorps innés. Si on vaccine les enfants les anticorps vaccinaux vont
    entrer en compétition avec les anticorps innés. On va remplacer une
    immunité naturelle très très puissante qui couvre plus qu’un seul virus
    et tous les variants par une immunité qui devient de moins en moins
    fonctionnelle. Les anticorps innés sont mis hors jeu cela veut dire
    également que les enfants risquent de perdre leur protection naturelle
    contre par exemple la grippe. Ces anticorps innés ont de plus un effet
    protecteur contre la maladies auto-immunes. Cela veut dire que quand on
    les met hors jeu, il y a risque de voir de plus en plus de maladies
    auto-immunes chez l’enfant» assure Geert Vanden Bossche.

    * Professeur Caumes face à @LaurenceFerrari : on ne va pas vacciner les enfants contre un rhume !

    * En plus de ces risques de maladies auto-immunes chez l’enfant, les médecins Sucharit Bhakdi, MD et Arne Burkhardt estiment que les vaccins « peuvent déclencher une autodestruction».

    Ils expliquent ainsi les nombreux effets secondaires des vaccins à ARNm : « chez la plupart des individus, une infection naturelle par le SARS-CoV-2 (coronavirus) reste localisée dans les voies respiratoires. En revanche, les vaccins amènent les cellules situées au plus profond de notre organisme à exprimer la protéine de pointe virale, ce que la nature ne leur a jamais permis de faire. Toute cellule qui exprime cet antigène étranger sera attaquée par le système immunitaire, qui fera intervenir à la fois des anticorps IgG et des lymphocytes T cytotoxiques. Cela peut se produire dans n’importe quel organe. Nous constatons aujourd’hui que le cœur est touché chez de nombreux jeunes, entraînant une myocardite, voire un arrêt cardiaque soudain et la mort ».les vaccins « peuvent déclencher une autodestruction».

    Ils expliquent ainsi les nombreux effets secondaires des vaccins à ARNm : « chez la plupart des individus, une infection naturelle par le SARS-CoV-2 (coronavirus) reste localisée dans les voies respiratoires. En revanche, les vaccins amènent les cellules situées au plus profond de notre organisme à exprimer la protéine de pointe virale, ce que la nature ne leur a jamais permis de faire. Toute cellule qui exprime cet antigène étranger sera attaquée par le système immunitaire, qui fera intervenir à la fois des anticorps IgG et des lymphocytes T cytotoxiques. Cela peut se produire dans n’importe quel organe. Nous constatons aujourd’hui que le cœur est touché chez de nombreux jeunes, entraînant une myocardite, voire un arrêt cardiaque soudain et la mort ».

    « l’analyse histopathologique montre clairement une pathologie de type auto-immune induite par la vaccination
    dans de multiples organes. Il est évident qu’il faut s’attendre à ce
    qu’une myriade d’événements indésirables découlant de ces processus
    d’auto-attaque se produisent très fréquemment chez tous les individus,
    en particulier après des injections de rappel».

    * Parmi les effets secondaires des vaccins le Professeur Jean-Marc Sabatier cite : « des thromboses, des thrombocytopénies, des myocardites et péricardites, des maladies auto-immunes par exemple des diabètes, de l’hémophilie acquise, des thyroïdites de Hashimoto, des scléroses-en-plaques, des sclérodermies, des polyarthrites rhumatoïdes, et autres. Ainsi de nombreuses maladies auto-immunes apparaissent ou s’aggravent. Idem pour les cancers et troubles neurologiques ».

    Il ajoute : « si je reviens aux différents diabètes, le diabète de type 2 est dû à une intolérance au glucose tandis que le diabète de type 1 est d’origine auto-immune. On voit les deux qui apparaissent. Pour ma part, c’est sur l’émergence de toutes ces maladies que j’ai alerté. Ces rappels multiples sont à haut risque pour la santé — à plus ou moins long terme — des personnes qui les reçoivent. Pourquoi ? Parce que l’efficacité vaccinale est devenue quasiment obsolète tandis que les effets délétères visibles et encore invisibles de la protéine Spike sont toujours bien présents et s’intensifient au fil des rappels. Si au départ, il est vrai que le vaccin était capable de neutraliser le virus, aujourd’hui, en revanche, l’efficacité vaccinale est en train s’effondrer ».Parmi les effets secondaires des vaccins le Professeur Jean-Marc Sabatier cite : « des thromboses, des thrombocytopénies, des myocardites et péricardites, des maladies auto-immunes par exemple des diabètes, de l’hémophilie acquise, des thyroïdites de Hashimoto, des scléroses-en-plaques, des sclérodermies, des polyarthrites rhumatoïdes, et autres. Ainsi de nombreuses maladies auto-immunes apparaissent ou s’aggravent. Idem pour les cancers et troubles neurologiques ».

    Il ajoute : « si je reviens aux différents diabètes, le diabète de type 2 est dû à une intolérance au glucose tandis que le diabète de type 1 est d’origine auto-immune. On voit les deux qui apparaissent. Pour ma part, c’est sur l’émergence de toutes ces maladies que j’ai alerté. Ces rappels multiples sont à haut risque pour la santé — à plus ou moins long terme — des personnes qui les reçoivent. Pourquoi ? Parce que l’efficacité vaccinale est devenue quasiment obsolète tandis que les effets délétères visibles et encore invisibles de la protéine Spike sont toujours bien présents et s’intensifient au fil des rappels. Si au départ, il est vrai que le vaccin était capable de neutraliser le virus, aujourd’hui, en revanche, l’efficacité vaccinale est en train s’effondrer ».

    * La Canadian Covid Care Alliance (500 médecins)
    décrit dans un document de plus de 50 pages que « la première étude sur
    la sécurité des vaccins Pfizer publiée le 31 décembre 2020 dans le New
    England Journal of Medecine montre une réduction du risque relatif de
    -95% mais la réduction du risque absolu n’est que de -0,84%. Une étude
    scientifique du plus haut niveau doit être effectuée avec un groupe de
    contrôle randomisé en double aveugle. Dans l’étude Pfizer publiée le 31
    décembre 2020, le groupe contrôle placebo est vacciné à partir de 2021.
    Ce n’est plus une étude de contrôle randomisée en double aveugle alors
    que le groupe de contrôle n’existe plus» lit-on. Cet article explique
    très bien la différence entre le risque absolu et relatif et les biais de l’étude.Un comité de 500 médecins canadiens demande dans cette présentation à ce que la vaccination soit « arrêtée immédiatement car elle fait plus de mal que de bien ». La Canadian Covid CareAlliance (500 médecins) décrit dans un document de plus de 50 pages que « la première étude sur la sécurité des vaccins Pfizer publiée le 31 décembre 2020 dans le New England Journal of Medecine montre une réduction du risque relatif de -95% mais la réduction du risque absolu n’est que de -0,84%. Une étude scientifique du plus haut niveau doit être effectuée avec un groupe de contrôle randomisé en double aveugle. Dans l’étude Pfizer publiée le 31 décembre 2020, le groupe contrôle placebo est vacciné à partir de 2021. Ce n’est plus une étude de contrôle randomisée en double aveugle alors que le groupe de contrôle n’existe plus» lit-on. Cet article explique très bien la différence entre le risque absolu et relatif et les biais de l’étude.

    * Deux des plus importants responsables du service chargés de la
    régulation des vaccins à la FDA, Marion Gruber et Philip Krause ont
    démissionné
    alors que les régulateurs américains ont lancé une
    campagne de vaccination pour la 3ème dose sans attendre le feu vert
    normalement obligatoire de la FDA. Ils étaient reconnus comme des
    experts dans leur domaine. Ils ont expliqué leur point de vue dans le Lancet
    en soulignant qu’il y aurait des risques si les boosters « sont
    proposés trop tôt ou trop fréquemment, particulièrement avec des vaccins
    qui peuvent avoir des effets à médiation immunitaire.

    * Sur la notice Pfizer en date du 5 janvier 2022 diffusée auprès des pharmaciens on lit : «
    aucune différence clinique significative n’a été observée (pour les
    plus de 12 ans après 2 doses) pour l’efficacité globale du vaccin chez
    les participants à risque d’évolution sévère de la COVID-19Sur la notice Pfizer en date du 5 janvier 2022 diffusée auprès des pharmaciens on lit : « aucune différence clinique significative n’a été observée (pour les plus de 12 ans après 2 doses) pour l’efficacité globale du vaccin chez les participants à risque d’évolution sévère de la COVID-19.

    * Le virologue et professeur émérite de l’université d’Aix-Marseille,
    Jean-Michel Claverie, a déclaré sur CNEWS : « on sait que la 3ème dose
    ne fait pratiquement rien sur le variant Omicron. On a l’impression
    qu’on a des doses en stock et qu’il faut absolument les écouler…Je
    m’élève contre beaucoup de confrères qui disent que ce produit est un
    vaccin. Prenons le cas de la poliomyélite, on ne parlait pas de petite
    poliomyélite ou de cas plus graves. Quand on est vacciné avec le vaccin
    de la polio, on ne fait pas de poliomyélite. Le vaccin contre la
    poliomyélite, ça c’est un vaccin.
    Je prétends que ce vaccin qui a été vendu par Pfizer est quasiment une escroquerie… Dans le dossier qui a permis l’efficacité du vaccin il est marqué que la fréquence d’effets indésirables et l’efficacité du vaccin au delà de 2 à 3,5 mois reste à démontrer.
    Et on s’étonne qu’après 6 mois on ait des résultats bizarres. C’est
    quasiment un défaut de fabrication un vice de forme. Je ne comprends pas
    que l’Europe ait pu s’engager sur 6 milliards de doses alors que l’on
    ne savait quasiment rien sur l’efficacité et la résilience de ce vaccin
    ».

    * 45000 effets indésirables avec tous les médicaments chaque année en France, 110000 rien qu’avec les vaccins Covid-19!

    La Directrice Générale de l’ANSM,l’Agence Nationale des Sécurités des Médicaments en France a alerté les parlementaires au Sénat d’une explosion des effets indésirables des vaccins anti covid et de la sous-déclaration des effets secondaires au niveau de la pharmacovigilance.

    * La cardiologue Michel de Lorgeril explique dans cette vidéo que les effets secondaires les plus terribles des vaccins Covid-19 sont cardiovasculaires. Il estime d’ailleurs que comparer les effets cardiovasculaires du virus et ceux des vaccins est « malhonnête car les effets du virus touchent une population âgée et que l’on n’a prouvé que les vaccins pouvaient les réduire alors que les
    effets du vaccin touchent une population jeune…Mais ces jeunes gens
    là ils n’auraient pas eu des complications si on ne les avait pas
    vaccinés…Dans le cas du streptocoque, des maladies peuvent apparaitre
    10 ans plus tard. On ne sait pas le mécanisme par lequel un vaccin
    provoque une myocardite
    ». Il estime qu’il y a eu « faillite
    d’un système » quant aux modalités des essais cliniques qui ont permis
    d’homologuer les vaccins Covid-19. Il ajoute que « le vaccin Pfizer qui
    est administré à des centaines de millions de citoyens repose sur une
    étude dont on conteste la validité…Il n’y a pas de bases scientifiques aux campagnes de vaccination actuelles ».


    </div>

  • olbius

    Organisateur
    28 janvier 2022 à 13 h 33 min

    Although the risk of infection after vaccination, and even more of severe illness, remains low, the gradual increase in clinical outcomes related to SARS-CoV-2 infection suggests that the booster campaign should be accelerated and that social and individual protection measures against COVID-19 spread should not be abandoned.

    Source : Persistence of protection against SARS-CoV-2 clinical outcomes up to 9 months since vaccine completion: a retrospective observational analysis in Lombardy, Italy (The Lancet, 27 janvier 2022)

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