Coronavirus – Infos pratiques

  • Membre Inconnu

    Membre
    13 juillet 2022 à 21 h 55 min

    Un correspondant me précise ceci :

    Covid est l’acronyme de COrona VIrus disease que l’on peut donc traduire par maladie provoquée par le coronavirus. D’où le LA covid. Mais, parce qu’il y a un “mais”, vu que tellement de personne disent LE covid, les deux sont maintenant admis. Quant à Thermos, c’est marrant que tu en parles parce que justement on se demandait (…) si c’était la ou le. Pareil les deux. La pour le diminutif de la bouteille de la marque Thermos et le pour le diminutif de un récipient isolant. Tout dépend de ce que tu sous entends.

    Personnelement, dans les magazines où j’ai bossés, LE thermos était considéré comme une faute…

  • cinematographe

    Membre
    19 juillet 2022 à 5 h 29 min
  • matty

    Membre
    23 juillet 2022 à 15 h 03 min

    <div>Union européenne : le Remdesivir revient par la fenêtre</div><div>

    Prescrit pour soigner les malades du virus Ebola, le remdesivir est un traitement antiviral issu des laboratoires Gilead. Durant la première vague du Covid-19 en 2020, ce médicament administré par intraveineuse a été le premier traitement à avoir obtenu une autorisation de mise sur le marché (AMM) au niveau de l’Union européenne. Mais à l’époque, les scientifiques américains alertaient sur la dangerosité de ce médicament. Vomissements, nausées, mais surtout augmentation dangereuse des enzymes hépatiques, pouvant causer des dommages irréparables au foie, ont été signalés. De même, l’OMS reconnaissait son inefficacité face au Coronavirus. Malgré sa toxicité, en octobre 2020, l’Union européenne s’était engagée à acheter 500.000 doses de ce médicament dangereux, une précipitation qui a toujours intrigué. En France, si l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament lui avait accordé une autorisation temporaire d’utilisation. Dans son avis, la commission de la transparence de la Haute Autorité de Santé avait émis des réserves. Face au risque de se voir opposer un refus officiel de remboursement de ce médicament inefficace, Gilead a décidé de retirer sa demande auprès de l’assurance-maladie.

    Toute la question est de savoir pourquoi les autorités sanitaires mondiales continuent toujours à autoriser l’usage de cette molécule pour combattre le COVID?

    https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/21/union-europeenne-le-remdesivir-revient-par-la-fenetre/

    </div>

  • olbius

    Organisateur
    23 juillet 2022 à 15 h 09 min

    Selon SPF, 30% des personnes interrogées ayant été infectées par le Sars-CoV-2 il y a plus de trois mois présentent les signes d’un Covid long.
    […]
    Santé publique France, qui a appliqué cette estimation de la prévalence à l’ensemble de la population, estime que 2,06 millions de personnes majeures étaient atteintes d’un Covid long début avril 2022, au moment de la réalisation de l’étude.
    […]
    Une deuxième étude de SPF, sur un échantillon aléatoire en population générale, est prévue “à la fin de l’été”. Elle devra produire des estimations “plus robustes” sur le recours aux soins, la santé mentale et la qualité de vie des personnes concernées par un Covid long.

    Source : Covid-19 : ce qu’il faut retenir de la première étude de Santé publique France sur le Covid long

    Trop tôt pour en tirer des conclusions, car étude basée sur des personnes volontaires. Il faudra donc attendre la deuxième pour, peut-être, commencer à y voir plus clair. Ce qui ouvrirait la porte à une estimation, forcément très grossière, du coût social et humain de la pandémie.

  • matty

    Membre
    23 juillet 2022 à 15 h 59 min

    SPF quézaco ?

    LES PRIORITÉS DE SANTÉ PUBLIQUE FRANCE<br role=”presentation”>Santé publique France a défini des axes prioritaires qui guident son action et l’ensemble de ses travaux, interventions et préconisations. En voici les grandes lignes :<br role=”presentation”>• la modernisation structurelle de ses approches, qu’il s’agisse de la dématérialisation, de la gestion des bases de données et des logiciels, de la sécurité informatique et de la communication via les réseaux sociaux et le marketing social (souligné par moi);

    Donc si je résume : SantéPubliqueFrance est un organisme qui dépend du ministère la santé et dont la mission est de modernise : la dématérialisation, la gestion les bases de données, la sécurité informatique, la communication et le marketing social. Génial, comment ne pas leur faire confiance !

    Le reste c’est de la novlangue :

    • la déclinaison systématique de la dimension régionale dans ses études ;<br role=”presentation”>• le développement de l’expertise interne ;<br role=”presentation”>• l’approfondissement du dialogue avec la société, à l’image de ce que l’agence a mis en œuvre sur la vaccination ou les sites et sols pollués ;<br role=”presentation”>• la prise en compte de l’Outre-mer ;<br role=”presentation”>• le développement d’une politique de partenariat tête de réseau pour soutenir et relayer les programmes de Santé publique France

  • matty

    Membre
    29 juillet 2022 à 17 h 46 min

    <div>Selon une nouvelle étude, la grande majorité des sites gouvernementaux et des sites de suivi COVID-19 utilisent des traceurs tiers sur les utilisateurs sans leur consentement.</div>

    <div>

    La révélation provient d’un récent article – « Mesure des cookies sur les sites Web gouvernementaux » – publié par une cohorte de chercheurs européens financés par des groupes comprenant le Conseil européen de la recherche (CER), l’Union européenne et le gouvernement espagnol.

    https://www.anguillesousroche.com/internet/etude-99-des-sites-web-de-donnees-covid-19-traquent-secretement-les-utilisateurs/


    </div>

  • matty

    Membre
    1 août 2022 à 22 h 09 min

    <div>Le Paxlovid
    est un traitement antiviral destiné à soigner les patients présentant
    des symptômes légers à modérés qui n’ont pas de risque de développer des
    maladies graves.</div>

    <div>

    https://lecourrierdesstrateges.fr/2022/07/29/polemique-aux-usa-sur-lefficacite-du-paxlovid/

    Le paxlovid est donc un médicament toxique, pardon moderne, avec AMM conditionnelle, urgence sanitaire oblige, destiné à soigner les patients qui ne présentent pas de risque.

    Mais comment peut-on en arriver là ???

    </div>

  • olbius

    Organisateur
    20 août 2022 à 17 h 32 min

    « C’est une bonne nouvelle que le risque plus élevé d’anxiété et de dépression à la suite du Covid soit de courte durée chez les adultes et absent chez les enfants », a déclaré le Dr Max Taquet, chercheur à l’Université d’Oxford, qui a dirigé les analyses. Le Dr Max Taquet a ajouté qu’il était « inquiétant » que d’autres affections comme la démence et les crises d’épilepsie continuent d’être diagnostiquées à des taux plus élevés, même deux ans après l’infection. Il a cependant déclaré qu’il était « important de noter que le risque global de ces affections reste faible ».

    Source : Selon une étude, le Covid augmente le risque de maladie mentale et de maladie cérébrale jusqu’à deux ans après l’infection

  • matty

    Membre
    21 août 2022 à 10 h 17 min

    Bravo aux récits institutionnels qui 2 ans après continuent de faire des victimes. Terreur dans les esprits, simplifications mortifères, faux espoirs et vrais désespoirs.

    Les plus fragiles ont basculé dans la démence, les plus rigoureux fourré dans la case du complotime, les va en guerre dans la case sauveurs de l’humanité, les pervers dans la caseddes gens responsable et soucieux du bien être d’autrui.

    Une petite dépression post traumatique covid dans ce contexte me semble donc aller de soi. Mais si c’est une bonne nouvelle, alors tant mieux pour tous ces malheureux !

  • olbius

    Organisateur
    21 août 2022 à 15 h 12 min

    Les plus fragiles ont basculé dans la démence, les plus rigoureux fourré dans la case du complotime

    Ou l’inverse 😅

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