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Coronavirus – Infos pratiques
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Il existe toute la panoplie médicale pour traiter les manifestations cliniques d’atteintes des voies pulmonaires, mais non comme il s’agirait d’une cause nouvelle (le Sars-cov2) alors on se contente de ne pas traiter ces symptômes connus, de laisser décompenser les plus fragiles et pour boucler l’affaire les ARS de demander aux services de réa : de ne plus oxygéner à plus de 9l/mn et de passer à l’intubation avec interdiction de réchauffer et d’humidifier et filtrer les flux. On ajoute à ça le Rivotril pour les vieux non prioritaires et tu m’étonnes que la mortalité flambe quelque peu. Mais non, c’est la faute de l’autre épouvantail.
Tremblez braves gents, on s’occupe de tirer sur l’ambulance.
Oui énervé quelque peu je suis.
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Cette communication de l’IHU Med. est assez édifiante.
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Bonjour @matty
Je m’interroge sur ce que tu affirmes avec tant… d’énervement. Peux tu me dire d’où te viens cette information sur le rivotril? En effet ce médicament ne peut être délivré que sur prescription d’un neurologue ou éventuellement d’un pédiatre dans une indication extrêmement précise qu’est l’épilepsie. Sa réglementation est très sticte et suivie puisque elle est régit par la loi de délivrance des stupéfiants afin de ne pas avoir de dérive sur l’utilisation de ce médicament. Donc je m’interroge. Comment peut il y avoir utilisation de ce médicament dont là réglementation est tellement stricte que le moindre écart est signalé par les inspecteurs de l’ARS.
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On ajoute à ça le Rivotril pour les vieux non prioritaires
voilà ce que tu dis. Ce que je comprends c’est que tu penses que le rivotril ( perso il n’a jamais été utilisé la ou je travaille) est administré en chez des personnes non prioritaire atteinte du Covid. Ce n’est pas ce que j’ai lu sur ton article. Moi je lis ceci
ces pratiques sédatives sont rares dans l’accompagnement des patients Covid-19, elles s’appliquent surtout en cas de détresse respiratoire insupportable, pour soulager le patient quand on sent que le décès va intervenir
Note bien le lorsque le décès va intervenir. Il s’agit simplement de soulager une personne en fin de vie que ce soit COVID ou autre. As tu déjà vu une personne en fin de vie? Lui permettre de s’endormir paisiblement parce que la mort peine à arriver est un soulagement pour tous que ce soit le patient ou la famille.
Dans la vidéo que tu as partagé le médecin anesthésiste est clair. Une personne de 85 ans avec poly pathologique et cancer metastasé n’est pas prioritaire… ben oui sinon c’est ce que j’appelle de l’acharnement thérapeutique.
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@matty je rajouterais que le valium est généralement utilisé en soin palliatif et que suite a pas mal de rupture le rivotril a été autorisé et ce jusqu’au 15 avril 2020 uniquement. Parce que pendant cette période il n’y avait pas QUE des gens qui mourraient du Covid et qu’il fallait trouver une solution pour soulager ce difficile passage.
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Bon après une petite recherche voici les dernières prérogatives et je precise qu’il s’agit de soins palliatifs
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Oui ça c’est le discours politiquement correct, la réalité sur le terrain ressemble parfois plus à ça.
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@matty Ne pas confondre euthanasie et soins palliatifs. Comme dis dans la vidéo du médecin anesthésiste, une oxygénation en HAD peut très bien soigner une personne hors hospitalisation et les Ehpad ont le matériel pour ou peuvent se le procurer auprès de prestataires de santé, donc peuvent très bien soigner leurs personnes âgées sur place.
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