Haut Potentiel Intellectuel, quelle intégration dans l’entreprise ?

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    6 juillet 2022 à 6 h 55 min

    Max :

    Sauf que si le retard mental est seulement un défaut d’intelligence, explicable par X ou Y raison, le surdon lui vient d’une typologie neurodéveloppementale différente (ce qu’étudie l’équipe de recherche de Lyon avec les profils complexe & laminaire) d’origine génétique donc il n’y a pas de comparaison possible entre ces phénoménogies.

    Aussi la population Française ne représente qu’une toute petite proportion de la population planétaire donc rien ne justifie que les quotients globaux n’y soyent pas répartis d’une manière différente que celle @ l’échelle de a planète.

    C’était juste pour répondre @ cela, pour le reste je n’ai pas le temps de lire donc répondrai peut-être plus tard…

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    7 juillet 2022 à 3 h 25 min

    ah j’avais pas vu cette perlette :

    ‟la dame dit un truc faux, pulsi le fait remarquer, et l’autre princesse estime que c’est les règles qui sont fausses”
    Forcément puisque c’est ma spécialité de définir des normes & d’analyser le bien fondé des usages sur la base de structures conceptuelles solides & complexes qui sont en moi & qui échappent aux autres·

    De toute manière je ne suis pas convaincue par la loi normale & je préférais largement l’époque où le quotient intellectuel était un vrai quotient c’est à dire une division représentant un positionnement dans une série de résultats effectifs @ un test·

    Mais l’essentiel de ce que j’essaye de dire est que ce qui nous intérêsse est de savoir si la personne est neurotypique ou neuroatypique bien plus que son score sur une échelle artificielle & c’est justement pour ça que certain[e]s neuropsychologues considèrent qu’il y ait des surdoué[e]s @ 122 ou 125 de quotient global… Car par le terme ˜surdon˜ on cherche @ repérer un fonctionnement cérébral inhabituel & non juste un éloignement par rapport @ une moyenne !
    De plus une différence de scores @ moins d’être remarcable ne représente pas significativement de différence d’intelligence entre deux sujets.

    Donc le vrai critère n’est pas ‾deux écart-types‾ ni ‾un écart-type & demi‾, ça ne se situe pas @ ce niveau. & c’est aussi pourquoi il y a entretien très important où on investigue sur le fonctionnement cognitif du sujet en complément de la passation du test officiel·

    Pour vos histoires d’HPI, HQI & compagnie je n’ai aucune idée de ce que vous voulez dire.
    Pour moi tous ces termes sont synonymes exacts : surdouance ; précocité [intellectuelle] ; haut potentiel (version intellectuelle ou émotionnelle) ; haut quotient intellectuel & zèbre [je dois en oublier]·

    feu-Kitsumyæw qui verra peut-être cette réponse avait notamment écrit :
    ‟pour certains experts, on peut être HQI et pas HPI et inversement”

    Cette proposition n’a pas de sens pour moi mais en poussant mon effort pour tenter de comprendre ça me semble correspondre @ mon modèle cognitif en couches où je distingue deux classes d’intelligence qui sont le POTENTIEL & l’EFFECTIF.
    Le test officiel tente de mesurer l’intellect potentiel & doit passer par l’intellect effectif pour cela ce qui le biaise partiellement.
    L’intelligence effective peut être travaillée toute sa vie puisque le cerveau fonctionne par entraînement comme un muscle alors que le potentiel d’intelligence est une base de départ qui dépend du | | cœur des possibilités | & de la structure | du cerveau & atteint son stade définitif vers la fin de l’enfance·

    ‣ Le potentiel intellectuel (couche 2 de mon modèle) a surtout une compétence linéaire de comparaison (qui permet la monodimensionnelle logique & correspond au quotient VERBAL) & une compétence parallèle d’association (qui permet les traitements multidimensionnels comme les images & correspond au quotient DE PERFORMANCE)
    ‣ alors que l’intellect effectif (couche 3 de mon modèle) correspond @ de multiples groupes de compétences plus spécifiques construites par complexification de traitements cognitifs sur la base de la couche précédente & sont habituellement connues en tant qu’”intelligences multiples‟·

    J’espère que cette réponse de ma part parviendra @ ouvrir quelques portes pour que vous réfléchissiez plus loin…

  • olbius

    Organisateur
    7 octobre 2022 à 15 h 14 min

    Hauts potentiels intellectuels : comment les détecter et les accompagner au sein des entreprises ?

    https://youtu.be/bw41q2hLkTI

  • geneve-ozymandias

    Membre
    7 octobre 2022 à 21 h 01 min

    Réaction à la vidéo :

    Encore une fois, un amalgame est fait entre hypersibilité et une pseudo “hyper” émotivité…

    Crotte !

  • olbius

    Organisateur
    28 septembre 2023 à 15 h 04 min

    Si le terme de « neurodiversité » ou « neurodivergence » était presque absent de notre vocabulaire et des médias il y a encore quelques années, on en entend aujourd’hui de plus en plus parler.
    A l’origine, une sociologue australienne, Judy Singer, propose ce terme en 1998 en rédigeant sa thèse. Son but ? Montrer que ce qui est considéré comme la norme n’est en fait pas la seule façon de penser, et qu’il est important, voire essentiel, de prendre en compte les fonctionnements cognitifs qui divergent de cette norme.

    […]

    La neurodiversité est un terme générique qui, comme son nom l’indique, regroupe plusieurs types de différences de fonctionnements cognitifs comme :

    • Les troubles du spectre autistique (TSA), dont le syndrome asperger par exemple ;
    • Les troubles de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA ou TDAH) ;
    • Le syndrome Gilles de la Tourette ;
    • Les personnes à haut potentiel intellectuel (HPI) ;
    • La dyspraxie, la dyslexie, la dyscalculie, ou encore la dysorthographie…

    Il est possible de se reconnaître dans seulement l’un deux, ou plusieurs à la fois.

    L’article développe ensuite point par point :

    Quelles difficultés peut rencontrer une personne neurodivergente en entreprise ?

    • Se sentir stigmatisé
    • Eprouver des difficultés à communiquer et / ou à s’intégrer
    • Faire face à des problèmes de concentration
    • Avoir besoin de directives claires et cohérentes

    Quelles sont les solutions à mettre en place pour accompagner un collaborateur neurodivergent ?

    • Adapter l’espace de travail
    • Adapter la communication
    • Adopter une culture d’entreprise inclusive

    A lire ici : Neurodiversité dans le monde du travail : mieux comprendre pour mieux gérer

  • elsasvenise

    Membre
    26 janvier 2024 à 23 h 29 min

    En me basant sur le graphique, je dirais que le QI a tendance à baisser Flynn effect and its reversal are both environmentally caused | PNAS Du coup, @max, ton QI devrait être encore plus élevé si tu repassais le même test et donnais les mêmes réponses. Faudrait vérifier (je n’ai pas lu l’article) que c’est toujours le même test.

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