Haut Potentiel Intellectuel, quelle intégration dans l’entreprise ?

  • Haut Potentiel Intellectuel, quelle intégration dans l’entreprise ?

    Publié par olbius le 4 juillet 2022 à 17 h 18 min

    Better Together : haut potentiel intellectuel, quelle intégration dans l’entreprise?

    BFM Business

    Ce dimanche 3 juillet, Hélène Vecchiali, directrice de DH Conseil, était l’invitée de l’émission Happy Boulot le mag présentée par Laure Closier, pour une émission consacrée à l’intégration des HPI dans le monde du travail, à voir ou revoir ici :

    https://youtu.be/idpYX31It3A

    elsasvenise a répondu il y a 10 mois, 1 semaine 11 Membres · 26 Réponses
  • 26 Réponses
  • pulsar

    Membre
    4 juillet 2022 à 20 h 59 min

    Oh, la jolie perle à 6min 32s !

    « On nous dit que, en France, il y a 2,3% de HPI. Moi je ne suis d’accord, je pense qu’il y en a au moins 10%. »

    Encore une qui se prétend spécialiste mais qui ne maîtrise clairement pas son sujet : les fameux 2,3%, c’est pas une valeur à la con décrétée par le premier random venu ; c’est une valeur obtenue par construction du QI lui-même !

    (Plus précisément, cette valeur estbtenue par la normalisation du QI moyen de la population sur la valeur 100 et l’étalonnage du QI moyen + un écart-type à 115.)

    Les statistiques avec elle, ça doit être un grand moment de rigolade !

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    5 juillet 2022 à 1 h 47 min

    Sauf qu’on peut très bien être en désaccord avec ce fondement qu’est la répartition en courbe de Gauss.

    Il y a d’ailleurs déjà des publications qui sortent en ce sens, le jugeant arbitraire & très discutable· :3

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 juillet 2022 à 9 h 22 min

    @faiseuse-de-foret : effectivement, elle peut aussi par exemple juste penser que l’échantillon de base n’est pas représentatif et qu’il y a des données aberrantes qu’il y aurait fallu écarter avant de construire ce modèle, et puis aussi que les tests eux-mêmes ne sont pas représentatifs, non plus, etc. Je pense pour ma part qu’il y a des personnes qui ratent le wais et dont le HPI se verrait à l’IRM : densité de neurones deux fois plus importante (matière grise), et matière blanche avec des gaines de myéline plus épaisses entrainant un traitement de l’information plus rapide, etc. Parce que certains tests sont notamment plus sensibles que d’autres à l’état de santé de la personne ou encore à certains troubles qui n’empêchent pas pour autant d’être HPI. D’ailleurs, quand on sait que certaines personnes ratent Mensa et qui pourtant peuvent même être THQI quand elles passent le wais… 🤷‍♀️Avec mes recherches, je soupçonne aussi que certains schizophrènes puissent par exemple rater le wais quand ils n’ont pas de traitement suffisant pour leurs troubles… Certaines études commençant à mettre en avant que c’est justement un QI très important qui peut être corrélé à la schizophrénie et non l’inverse… Bref, les statistiques et les études sont bourrées de biais et peuvent aller dans tous les sens… Aux USA aussi certains chercheurs pensent que bien des HPI ratent le wais mais certains estiment plutôt à 4 ou 5 % cette part de HPI dans la population et non 10%… Ce qui ferait quand même le double de ce qui est indiqué actuellement.
    D’ailleurs, si on augmentait le QI calculé de 130 à 135 en changeant le modèle du test, en supprimant certains subtests et en ajoutant d’autres, peut-être qu’au lieu d’avoir moins de HPI on en aurait bien plus… C’est marrant que certains ne pensent pas à ça et aussi qu’ils raisonnent en terme de QI global sans s’intéresser aux résultats des subtests (un pic de douance c’est à partir de 16, d’ailleurs), et que cela ne reste que des tests, à un moment T, et que certaines personnes peuvent passer ces tests plusieurs fois et avoir un bond de plus de plus de 10 points de QI dans un sens ou dans un autre, et pas qu’entre l’adolescence et l’âge adulte (là j’avais lu que cela pouvait aller jusqu’à 20 points de différence !), mais au cours de l’âge adulte, en fonction de leur état de santé du moment. Mais là aussi, ce ne sont encore que des statistiques… Alors rien de tel qu’un bon IRM ! Une densité de neurones qui est doublée rapport à la normale, franchement, cela ne doit pas être compliqué à repérer, si c’est vraiment ça qui caractérise entre autres un HPI ? 🤷‍♀️

  • max

    Modérateur
    5 juillet 2022 à 10 h 53 min

    On peut être en désaccord avec ce qu’on veut, c’est pas pour autant qu’on a raison. Cette répartition de la courbe de Gauss est la définition du HQI.

    Est-ce que vous êtes aussi dubitatif pour l’autre extrémité de la courbe ? Est-ce qu’un QI à 70 n’est pas la définition clinique d’une capacité inférieure ?

    Clairement, le terme HPI a été défini à la base par le calcul qu’à donné pulsar, contester cette proportion, c’est comme contester la définition d’une tomate par exemple

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 juillet 2022 à 11 h 40 min

    @max : je ne dis pas le contraire, et cela m’arrange, ces tests, vu que j’ai dépassé les 130 de QI moi aussi et que j’ai pu transmettre mon bilan wais à la médecine du travail (c’est pour ça que je l’ai passé, ce test, surtout, d’ailleurs), mais il faut aussi être réaliste sur les limites de cette méthode. Sinon on n’en serait pas au wais IV, d’ailleurs ! C’est en perpétuelle évolution !

    Et si on accepte que les résultats de ces tests représentent quelque chose, il faut savoir ce que cela veut réellement dire et encore une fois, en connaitre les limites. Tout comme pour les statistiques…

    De plus, on ne peut pas ignorer non plus les recherches de certains experts dont la conclusion est que certaines personnes ratent le wais à cause notamment de leur état de santé (exemple : mémoire de travail déficiente lors d’un burn out et/ou pour certaines dépressions, par exemple, vu que l’on peut avoir des troubles cognitifs et émotionnels importants à ce moment là) ou encore que leur douance s’exprime aussi dans d’autres domaines que la logico-mathématique et le langage… La logico-mathématique n’ayant pas le monopole de la logique et encore moins celle de la cognition intellectuelle…

    C’est pour quoi on pourrait peut-être parler que de HQI et non de HPI, avec le wais, et préciser de quelles cognitions on parle, aussi… Chacun ayant ses points forts et ses points faibles (enfin, ok, certains n’ont que des points forts ! Ce qui n’est clairement pas mon cas !) Et pour certains experts, on peut être HQI et pas HPI et inversement, si on n’a pas de pics de douance supérieurs à 16. Donc, on pourrait avoir plus de 130 de QI et ne pas être HPI, et inversement.

    Sinon, chaque subtest a ses limites et il faut savoir en décrypter les résultats. Le test des cubes est très sensible à la gestion de ses émotions ou encore à certains troubles cognitifs et aussi au perfectionnisme. Il peut donc ne pas aider à repérer la douance chez certains HPI, mais peu permettre notamment d’aider à repérer s’il n’y a pas certains troubles comme le TDA(H) ou encore les “dys” (si ton subtest est bon, cela voudrait dire qu’a priori tu n’aurais pas ces troubles). Mais chaque test et subtest a ses avantages et ses inconvénients et il faut savoir les interpréter correctement, en fonction aussi de comment les individus les ont passés.

    Bref, je pense qu’il faut quand même arrêter d’être aussi figé dans ses façons de penser et chercher à comprendre les choses au lieu de les accepter telles quelles sans se poser de questions, juste parce que c’est comme ça et puis c’est tout. Ben non, pour moi il faut prendre du recul par rapport à tout cela…
    Mais c’est à chacun de voir !

  • max

    Modérateur
    5 juillet 2022 à 12 h 00 min

    @kitsunebi ce que dit pulsar et où je le rejoins, c’est que la proportion de 2,3% est invariable puisqu’elle est définie par un calcul statistique, si 10% des gens obtiennent un score susceptible d’être classé dans les HQI, alors le score nécessaire ou la difficulté augmentera de façon à conserver cette proportion. Ce qui signifie aussi qu’il est possible que mon test datant de 20 ans soit obsolète. Si la population a globalement monté en capacité, alors je ne suis peut-être plus HQI !

    Peu importe les tests et les subtests, on ne parle que de statistiques et de définition. La dame dit un truc faux, pulsi le fait remarquer, et l’autre princesse estime que c’est les règles qui sont fausses… C’est lassant cette prévisibilité.

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 juillet 2022 à 12 h 30 min

    @max : vous ne l’avez pas écoutée/lue… 😅 Le HQI, OK, mais le HPI ? On parle là notamment d’avoir une densité de neurones deux fois plus importantes que la moyenne, entre autres, de différences neurologiques, et on ne parle pas de médiane, d’ailleurs (qui en théorie est certes plus robuste que la moyenne, mais elle a aussi ses limites et elle n’est pas toujours pertinente à utiliser en préférence à la moyenne !), donc cela ne va pas changer en modifiant quelques peu la frontière du HQI (125, 135, on s’en fou !). Le problème de ces tests c’est que oui, cela présente du HQI et il faut être bien d’accord sur le fait que cela ne représente que cela, car le HPI c’est un mode de fonctionnement qui se voit même à l’IRM ! Ce n’est pas une proportion de personnes dans la population, et il pourrait d’ailleurs y avoir plus de HPI à l’avenir ! C’est un fonctionnement cérébral particulier… Donc, peu importe l’évolution de ces tests, tu resteras parmi les HPI, que tu le veuilles ou non, vu ton fonctionnement cérébral. 🤷‍♀️

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 juillet 2022 à 14 h 21 min

    La nana qui est invitée sur bfm fait du marketing…

    Mais dans le monde réel, ça ne se passe pas comme ça.
    Déjà, de quelle entreprise parle-t-on ?

    Les institutions ne veulent pas de gens “différents”.
    Il y a toute une psychologie sociale derrière…

    Je l’ai expérimenté récemment, en tentant d’échanger avec d’autres.
    Et c’est même pas que c’est compliqué, c’est un gros mur dans la gueule lol

    J’ai deux anecdotes, ché pô si c’est super intéressant, mais bon…
    Je les trouve assez symptomatiques…

    La première était une conférence d’un astrophysicien. Il était question de comment faire de la bonne science, qu’il fallait se baser sur des faits, etc. Egal à moi-même, je suis intervenu en expliquant que ce n’était pas aussi simple, car c’est aussi une affaire de concepts et d’interprétations.

    Donc je me suis dit que c’était une bonne occasion pour échanger sur le concept d’énergie sombre. L’Univers observable est en expansion, et nous savons que cette expansion accélère. Et comme nous ne l’expliquons pas et qu’on n’est pas capable de détecter quoi que ce soit, nous avons inventé la notion d’énergie sombre…

    Je lui ai donc soumis une autre façon de voir les choses. Imaginons que l’Univers tourne sur lui-même. Cette hypothèse n’est pas plus conne que d’inventer une énergie sombre que nul n’a jamais détecté. Mais à partir de là, il y a la force centrifuge, qui est une force fictive (on ne peut pas la détecter, c’est normal), et qui accélère…

    Cela ne change rien aux modèles mathématiques, c’est juste un cadre interprétatif différent, mais qui a l’avantage d’expliquer les choses, sans invoquer de nouveaux concepts nébuleux. Je ne suis pas fan du rasoir d’Okham, mais là ça offre plus de solutions que de problèmes…

    En face, ça a été le silence total. Forcément, tous les matheux qui bossent sur l’énergie sombre, bah ouep ça les fait passer pour des cons… Donc par principe, on a tenté de me contredire, en se demandant ce qu’on entendait par “l’Univers tourne sur lui-même”… Alors que personne ne se demande ce qu’on entend par “énergie sombre”… Car ça fait partie du corpus académique, c’est officiel, donc c’est sérieux…

    Idem, j’ai eu l’occasion de discuter avec un prof, c’était pour avoir des aides techniques pour générer des impulsions électriques en nanosecondes. Ma question était simple, mais il m’a demandé pourquoi je voulais faire ça… Bon, c’était impossible à expliquer, car il lui manquait trop de concepts… Mais j’ai senti un petit malaise, donc je suis parti sur un exemple simple et contre-intuitif… Et sa réaction a été pavlovienne : c’est impossible ! Je lui ai bricolé un truc vite fait, j’ai même apporté un multimètre TRMS… Il n’a JAMAIS fait la moindre mesure ! Il a blablaté sans jamais chercher à comprendre quoi que ce soit, il a essayé de m’expliquer pourquoi il avait raison, sans jamais observer quoi que ce soit ! Québlo de chez québlo… J’ai jamais vu ça…

    Voilà pourquoi je ne crois pas du tout à une intégration possible des HP. Alors si c’est pour bosser dans les ressources humaines, pourquoi pas… Mais si c’est dans un milieu où il y a un fort conformisme, condition sine qua non pour être intégré professionnellement et être reconnu par ses pairs, c’est mort. Et c’est systémique, je ne vois pas comment on peut proposer de nouvelles idées, de nouvelles techniques, etc. Si ça sort du cadre, ce que j’ai pu observer comme comportements, c’est juste hallucinant. Cela m’a même déprimé… Mais ça va mieux ^^

  • cinematographe

    Membre
    5 juillet 2022 à 15 h 26 min

    @Sirkey ton commentaire est tout à fait la synthèse la plus éclairante que j’ai déjà entendu sur le sujet…

    J’aurai juste deux anecdotes à faire valoir au sujet de cette non intégration souhaitable, au conformisme social du monde du marché du travail, qui n’est hélas pas propre au seul domaine de la recherche scientifique, qu’elle soit fondamentale, institutionnelle, académique, ou financée par des sponsors de l´industrie, dont la finalité première restera toujours une attente d’un retour sur investissement, aucune finance ne peut être philanthropique ou désintéressée en ce monde…

    La première c’était à l’occasion de « la fête de la science » qui se tient traditionnellement en octobre, un événement médiatique ministériel équivalent des journées du patrimoine, et autres fêtes des jardins.

    J’avais entendu un échange du directeur, ou un de ses directeurs, du Museum d’Histoire Naturelle de Paris, qui s’expliquait auprès de visiteurs venus en curieux à l’événement public, au sujet de ses jeunes doctorants, qu’il encourageait à prendre des risques, à s’aventurer sur des chemins de traverse, de profiter de leurs jeunes années, avant de se retrouver irrémédiablement phagocytés par le système institutionnel, complètement sclérosé par le confort de leur fonction de carrière, puisque passé un certain âge toutes ces chaires et ces postes académiques n’ont pour seule vertu qu’un enfermement sclérosant, et forclos de ce qui reste de leurs premières velléités de jeunesse aspirant à la recherche fondamentale en sciences ?

    Le deuxième exemple, c’est un ingénieur de recherche fondamentale toujours, spécialisé en recherche d’agencement de structure spatiale des nouveaux matériaux semi-conducteurs, susceptibles de bouleverser les seules applications économiques possibles de nos jours, à commencer par le domaine de l’électronique appliquée à la vie de tous les jours ?

    Il m’avait confié qu’il s’etait résolu à se satisfaire d’une place tranquille de fonctionnaire, dans un des ministères dévolus à la recherche fondamentale, ce qui est tout simplement devenu impossible dans le monde financier de l’économie privée ?

    Il semblerait qu’il soit le seul à saisir le sens des expériences qu’il mène, même ses collaborateurs commis d’office, sensés le seconder sont tout à fait incapables de lui fournir des modèles mathématiques interprétables par d’autre pairs, suffisamment intelligibles pour restituer une synthèse probante, rapportant les fondamentaux de ses expériences ?

    Mais au final il bénéficie d’une paix royale, sans souffrir d’aucune pénurie de financement, et sans aucune pression d’instance autoritaire, pour lui extorquer des résultats immédiats !

    Je n’ai pas pensé à lui demander son e-mail, suite à notre entrevue, issue d’une rencontre de groupe organisée depuis un autre site web, Apie People, puisqu’il semblait surtout aspirer à se trouver une conjointe, et n’ai de fait retenu que son pseudonyme « douceur de la nuit » !

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 juillet 2022 à 16 h 19 min

    @Sirkey : je suis dans un milieu professionnel dans lequel il a plus de HPI qu’ailleurs. Je m’en doutais et cela a été confirmé avec le psy HPI (Mensa) que l’Insee m’a envoyé voir après mes 5 semaines d’arrêt maladie de l’année dernière. Je connais notamment un HPI identifié depuis l’enfance avec un haut QI, avec lequel je m’arrange très bien, mais lui ne s’arrange pas du tout avec son ancien grand chef qui est un ancien agrégé de maths qui a été crier partout qu’il voulait me récupérer alors qu’il a une réputation de misogyne et certaines femmes voulaient monter un dossier de harcèlement moral contre lui avec les syndicats (mais vu que j’ai déjà travaillé avec je sais que ce sont des conneries, c’est juste qu’il est exigeant au niveau des compétences qu’il attend et qu’il manque cruellement d’empathie, et j’en ai fait part auprès de la direction) et qui je pense est aussi HPI vu notamment sa rapidité d’analyse que peu de monde arrive à suivre (ce qui lui fait penser que les gens sont incompétents, mais c’est lui qui va trop vite pour eux). En fait, c’est comme partout, c’est une affaire de personne, et pas de HPI, quand les choses se passent bien ou non… Sauf que bah, si tu as une vitesse de traitement de l’information trop rapide par rapport à d’autres et des tas d’idées qui fusent, et parfois des idées et/ou solutions originales, certains ne peuvent pas suivre, et toi tu as du mal à ralentir et à te la fermer, alors cela peut générer pas mal de frustrations et de tensions…
    Mais c’est la même chose au niveau de la personnalité ou d’autres facteurs… En réalité, pour moi ce n’est qu’un facteur à prendre parmi d’autres… Et je pense qu’il faut apprendre à travailler différemment quand il y a un décalage de compétences trop important. Le HPI pourrait cependant rentrer dans les risques psychosociaux et je l’ai d’ailleurs proposé à la direction, mais je pense qu’on peut trouver des solutions pour que les choses se passent bien ou mieux. Il faut surtout que les gens soient conscients de leur fonctionnement et savent en quoi il diffère de celui des autres… Et que chacun y mette un peu du sien. Je pense que c’est plus l’ego qui peut poser bien des ennuis… Ma cheffe avait été dégagée par ce fameux chef qui lui a été crier partout qu’il voulait me récupérer, donc forcément, cela allait être compliqué avec elle… Et quand elle a arrêté de s’en prendre à moi car j’ai fini par la menacer, elle s’en ait prise d’autant plus à d’autres… Dont une qui a fait une rupture de contrat avec notre administration… Mais cela a fini par s’arranger quand tout s’est effondré et qu’on a fini par me dire “on aurait dû t’écouter avant”. Ben ouaih, c’est emmerdant quand tout fini par se casser la gueule… Mais on peut reconstruire les choses. En tout cas, ce n’est pas cool d’être un canari des mines (d’où mon premier pseudo Foolish_little_bird). Plus jamais. Qu’ils se démerdent, je me la fermerai comme tout le monde, à l’avenir et je regarderai tranquillement les choses se péter la gueule. Je trouve en tout cas qu’on baisse les bras trop facilement, on se la ferme de trop… Mais en fait il faut parfois aussi savoir mieux choisir ses combats et aussi abandonner avant de dépenser trop d’énergie et de temps au risque d’y laisser des plumes… Même si heureusement elles peuvent finir par repousser.

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