La vaccination contre la COVID

  • hautpotentieldeconneries

    Membre
    18 janvier 2023 à 19 h 29 min

    @matty Donc tu crois plus le gouvernement chinois que les instances de santé occidentales.

    Qu’on puisse douter des instances de santé :ok

    Qu’on puisse donner le moindre crédit aux déclarations d’un régime qui fonctionne comme une société secrète et dont le grand timonier est un retour à la gouvernance de mao, par contre c’est strictement sidérant.

    Le doute à géométrie variable, c’est plaisamment comique, les seuls dirigeants honnêtes seraient donc les dictateurs.

    Excuses-moi mais je succule 🤭

    Pour info, en Chine, des propos de doutes sur la politique du parti mènent en tôle.

    C’est en effet très instructif sur le flou gloubi-boulguesque de la pensée antivax.

  • cinematographe

    Membre
    18 janvier 2023 à 23 h 14 min
  • matty

    Membre
    19 janvier 2023 à 11 h 15 min

    Autant je pourrais être tenté de prendre à la fois la pilule rouge ET la pillule bleu, autant je M’ABSTIENDRAIS assurément de gober tant la pilule du Parti Communiste Chinois que celle de la LREM, tant la pilule de Biden que celle de Poutine, tant la pilule de l’OMS que celle de Davos.

    @hautpotentieldeconneries

  • Membre Inconnu

    Membre
    20 janvier 2023 à 19 h 48 min

    Je partage à 100% cette position!

  • cinematographe

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    23 janvier 2023 à 23 h 16 min
  • cinematographe

    Membre
    27 janvier 2023 à 21 h 42 min
  • cinematographe

    Membre
    28 janvier 2023 à 17 h 22 min
  • cinematographe

    Membre
    29 janvier 2023 à 18 h 43 min
  • matty

    Membre
    31 janvier 2023 à 21 h 02 min

    Un comité américain se penche sur des problèmes cardiaques chez des jeunes vaccinés contre le Covid-19

    Des experts américains doivent se réunir ce mercredi aux États-Unis pour examiner quelque 300 cas d’inflammations au niveau du cœur déclenchées chez des jeunes après l’injection de certains vaccins contre le Covid-19.

    https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/un-comite-americain-se-penche-sur-des-problemes-cardiaques-chez-des-jeunes-vaccines-contre-le-covid-7315393

  • olbius

    Organisateur
    3 février 2023 à 16 h 02 min

    Une fois n’est pas coutume, un bon papier sur le sujet, très complet, par le Docteur Florian Zoles, cardiologue à Strasbourg, dont je vous copie-colle la conclusion :

    Le bénéfice global des vaccins ARNm n’est plus à démontrer. Ils ont radicalement transformé le visage de la pandémie au lever de l’année 2021. Mais, comme tout produit thérapeutique médical, ils peuvent entrainer, rarement, des effets indésirables, globalement transitoires et sans gravité, et, encore plus rarement, des effets indésirables graves. La réflexion sur la vaccination ne repose ni sur les seuls bénéfices ou sur les seuls risques, mais sur la comparaison entre les deux, sur les caractéristiques de virulence et de contagiosité des variants, la protection octroyée par les vaccins, mais aussi l’importance de la circulation virale. La balance bénéfice/risque est différente en pleine pandémie avec des contaminations au plus haut, ou si le virus devait devenir endémique avec des contaminations ponctuelles. En outre, au delà du bénéfice individuel, il ne faut pas oublier que la vaccination est aussi un geste collectif afin de protéger l’entourage en diminuant (incomplètement certes mais ça n’a jamais été le but initial) la transmission aux personnes fragiles et plus sensibles au SARS-CoV-2 du fait de leur âge et/ou de leurs pathologies. Le bénéfice populationnel et individuel de cette vaccination est robuste, mais il est important de réfléchir aux moyens de minimiser les risques des effets indésirables, notamment dans les populations les plus exposées.
    Aux regards des risques, le bénéfice de la vaccination ne se pose pas pour les femmes et les hommes de plus de 30 ans, et les données sur les myocardites publiées depuis l’été 2021 ne veulent certainement pas dire qu’il faut mettre fin à la vaccination des jeunes hommes de moins de 20 ou 30 ans, qui gardent un bénéfice sur la diminution des évènements graves liés à la COVID. On doit cependant chercher à réduire le risque des myocardites. Il faut privilégier dans ces populations jeunes le vaccin de Pfizer-BioNTech, moins dosé. Une autre possibilité est d’allonger l’intervalle entre première et deuxième doses, et entre deuxième dose et rappel. Néanmoins, nous ne connaissons pas l’impact de cet allongement sur l’efficacité vaccinale.
    La question est plus épineuse pour les plus jeunes garçons, dont la balance bénéfice/risque semble plus équivoque, d’autant plus si on en vient à multiplier les injections. La première dose de rappel est associée à un risque de myocardite, et nous n’avons pas d’information sur les risques de myocardites associées aux injections ultérieures. Comme la protection des vaccins contre l’hospitalisation et les formes graves reste élevée chez les sujets jeunes, le bénéfice d’une dose de rappel est moindre chez les sujets les plus jeunes. Si le risque de myocardite après la troisième dose est le même qu’après la deuxième dose, alors la balance bénéfice/risque devient un peu moins favorable dans cette population de jeunes garçons. C’est encore d’autant plus vrai si la circulation virale et l’incidence devaient chuter, diminuant mathématiquement le bénéfice de la vaccination.
    L’explication et l’information des patients sont donc fondamentales, des bénéfices de la vaccination, mais aussi des risques et des symptômes devant amener à consulter (douleur thoracique, palpitations ou essoufflement inhabituels dans la semaine suivant la vaccination), et des précautions à prendre dans les suites de l’injection (éviter les activités sportives dans la semaine suivante).

    Pour lire l’article en entier :

    COVID-19, vaccins et myocardites (et autres effets secondaires cardiologiques)

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