Coronavirus – Infos pratiques

  • olbius

    Organisateur
    15 mars 2022 à 12 h 48 min

    L’une des explications les plus convaincantes de ces énormes bonds dans le nombre de mutations est que le virus SARS-CoV-2 a pu évoluer pendant de longues périodes dans l’organisme de personnes immunodéprimées.

    Source : Deux ans après le début de la pandémie, le coronavirus continue de surprendre les experts

  • matty

    Membre
    15 mars 2022 à 16 h 47 min

    Photographie au microscope et en couleurs de la transmission des électrons du SARS-CoV-2.

    Trop fort, des électrons photographiés au microscope et en couleur svp. Ils ont fait comment ? Ils ont mis le virus sous forme de gaz, l’on réduit à 2 dimensions et placé entre 2 couches de graphène, le tout à -273°c. Mais où va s’arrêter le délire ?

  • matty

    Membre
    16 mars 2022 à 16 h 43 min

    Savez-vous comment a été établi la séquence génétique de référence du coronavirus ?

    Simple :

    Cela se rapporte à l’article de Fan Wu, et al décrivant l’homme de 41 ans qui a été admis à l’hôpital central de Wuhan le 26 décembre 2019 avec une pneumonie bilatérale et malgré l’absence de nouvelles caractéristiques cliniques, on a dit qu’il était atteint d’une maladie qui a ensuite été appelée “COVID-19”.

    Le spécimen était constitué de lavages pulmonaires bruts, il contenait donc un mélange de cellules humaines et potentiellement toutes sortes d’autres micro-organismes et fragments génétiques. Ils ont simplement affirmé qu’il y avait un virus dans le mélange. À partir de cet échantillon mixte, ils ont généré à l’aveugle des dizaines de millions de séquences différentes, puis ont mis leur logiciel au travail pour voir comment ils pouvaient les assembler. Pour réaliser cet “ajustement”, le logiciel a recherché des “contigs”, c’est-à-dire des zones où différents fragments semblent avoir des séquences qui se chevauchent. Parmi les centaines de milliers de séquences hypothétiques générées de cette manière, ils ont constaté que la plus longue séquence “continue” que l’ordinateur a pu créer faisait environ 30 000 bases et ont conclu que cette création informatique devait être le génome du nouveau virus présumé.

    Ils pensaient qu’il s’agissait du génome parce que leur séquence de 30 000 bases générée de manière hypothétique était similaire à 89,1 % à ” un isolat de coronavirus (CoV) de chauve-souris semblable au SRAS, le SL-CoVZC45 “. Le “génome” de l’”isolat” de CoV de chauve-souris a été généré en 2018 après que “19 paires d’amorces PCR dégénérées ont été conçues par alignement multiple des séquences SARS-CoV et SL-CoV de chauve-souris disponibles déposées dans GenBank, ciblant presque toute la longueur du génome.” En d’autres termes, ils connaissaient déjà la séquence à rechercher sur la base des séquences qui avaient été précédemment déposées dans la GenBank. Mais comment les producteurs de ces séquences déjà déposées savaient-ils qu’ils avaient trouvé des génomes viraux ? Bienvenue dans le raisonnement circulaire de la virologie moderne.

    L’équipe de Fan Wu n’a jamais trouvé de virus, elle a simplement affirmé
    que sa simulation informatique de séquence génétique était une
    “nouvelle souche de virus à ARN de la famille des Coronaviridae”, sans
    prouver que la séquence existait dans la nature ou provenait de
    l’intérieur d’un virus. Par conséquent, il n’y a pas eu de “détection du
    SARS-CoV-2 à partir d’échantillons de matières fécales de patients”
    comme le prétend le titre de l’article de Hazan

    Auteur : Dr. Mark Bailey

    https://drsambailey.com/covid-19/warning-signs-youve-been-tricked-by-virologists/

  • olbius

    Organisateur
    16 mars 2022 à 17 h 21 min

    Après 55.600 en 2020, en 2021, 58.200 habitants de la région Paca sont décédés, indique l’Insee dans une publication parue mardi 15 mars.
    “Cela représente 13% de plus qu’en 2019”, où il y avait eu 51 500 décès. “La poussée de la mortalité s’explique en grande partie par l’épidémie de Covid-19”, estime l’Insee.

    Cette surmortalité par rapport à 2019 a été particulièrement marquée de janvier à avril, puis à nouveau entre août et octobre, puis en décembre.

    Source : Covid-19 : une mortalité record due à l’épidémie en Provence-Alpes-Côte d’Azur, selon l’Insee

  • matty

    Membre
    17 mars 2022 à 0 h 01 min

    C’est normal y a que des vieux grabataires par là, y ont dû forcément plus oublier de prendre leur Doliprane.

    Pas besoin d’invoquer le truc le plus improbable pour se donner l’air pointu, j’imagine que les 3 000 supplémentaires de 2021 aurait donné 30 000 sans la vaxxination. Comme c’est Bô

  • olbius

    Organisateur
    22 mars 2022 à 18 h 05 min

    Nous sommes des êtres intelligents, il faut faire en fonction de ce que l’on voit et analyser la situation.

    Philippe Amouyel, épidémiologiste et professeur de santé publique à Lille

    Source : Covid-19 : quand porter un masque ? Voici les situations dans lesquelles il vaut mieux le garder

    Si seulement c’était vrai… 😅

  • olbius

    Organisateur
    22 mars 2022 à 18 h 21 min

    L’infectiologue Gilles Pialoux a bien raison, ces jours-ci, de faire cette comparaison : «Ce n’est pas parce que le préservatif n’est pas obligatoire qu’il ne faut pas le mettre.» Et pourtant, le masque a disparu du jour au lendemain, ou presque. Le 14 mars, avec la levée du pass vaccinal et du port obligatoire du masque, tout le monde a obéi. Comme s’il n’y avait que l’obligation comme baromètre de nos attitudes.

    Source : Port du masque et Levothyrox: la politique de santé publique du tout ou rien

  • matty

    Membre
    22 mars 2022 à 22 h 44 min

    Pr Gilles Pialoux, sa déclaration de liens financiers :

    Abbott – Bristol Myers Squibb – Gilead – Janssen – Roche – Pfizer – MSD – Gloaxosmithkline – Viiv healthcare sas – Tibotec le tout pour des Board réguliers (Paris, France et Etranger), rémunération au déclarant, régulièrement invité depuis 2002 à donner des conférences, à participer à des congrès, à des board d’experts pour ces laboratoires pharmaceutiques.

    Ce mec m’a en effet l’air au dessus de tout soupçon de conflit d’intérêt avec le complexe pharmaco-industriel.

    https://cns.sante.fr/wp-content/uploads/2017/07/dpi_pialoux-gilles_2016.pdf

  • hautpotentieldeconneries

    Membre
    22 mars 2022 à 23 h 41 min

    Oui je propose que les infectiologues, virologues, etc… ne travaillent plus jamais à l’élaboration de vaccins ou de médicaments, comme ça on sera certain qu’ils n’ont pas de conflits d’intérêt 😁 et on pourra crever l’esprit tranquille 😂

    👍👍👍

  • matty

    Membre
    23 mars 2022 à 13 h 18 min

    On pourrait aussi payer ces médecins-chercheurs pour faire de la recherche publique ou analyser les études faites par l’industrie. Mais ce mariage des genres, des fonctionnaires publics payé par le privé, est la porte ouverte à tous les abus.

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