@matty les effets indésirables au long cours n’arrivent jamais par hasard, ils sont tributaires d’un historique de développement physiologique propre à chacun, en cela les maladies génétiques ou dite rares, parfois très discrètes, ou non invalidantes dans l’exercice d’une vie quotidienne, peuvent s’exprimer plus librement, sous l’impulsion d’une toxine non métabolisée par l’organisme, ou plus exactement non transformée ou dégradée , afin de faciliter son élimination à court terme, ce qui est le cas de la protéine « Spike » de synthèse plus toxique que celle véhiculée par le virus cible lui-même…
Tous est conçu pour que cette protéine de synthèse, qui reste fixée sur nos récepteurs de surface cytoplasmiques, soit très difficilement dégradable, tout du moins nécessitant certainement plus que les deux semaines de convalescence, prétendument indiquées par les fabricants de ces pseudo vaccins ?
C’est drôle parce que si je devais me constituer l’avocat du diable, je plaiderai en faveur de l’enrichissement aveugle des industriels, qui n’ont absolument aucune visée prédictive sur l’avenir de l’humanité, mais dont les finalités obscures sont mues par ce que Carl Gustave Jung qualifierait de synchronisme des processus évolutifs de nos inconscients collectifs, un déterminisme évolutif naturel affirmant la résolution de la crise de croissance économique mondiale, par la régulation de sa courbe démographique, la stérilisation provisoire ou le retard de fécondité des plus jeunes, et l’euthanasie diffèree des plus âgés, non pas en concordance avec une idéologie post nazi de la croissance, mais selon des modalités consensuelles d’applications politiquement correctes en accord avec des valeurs dites néolibérales…
Les maladies neuro dégénératives induites par ces pseudo vaccins au long cours, affecteront elles les plus démunis en potentiels de ressources auto régénératives, ou moins susceptibles d’auto guérison naturelle ?
Le trie sélectif darwinien se fera t-il en faveur des hypothétiques « HPI » , ceux-là même dont les capacités de régulation et d’auto réparation naturelles, dépasseront le préjudice physiologique induit par l’innoculation de ces nouvelles toxines ?
Dans ce cas le financement industriel conduit par Bill Gates serai obscurément traversé par un transhumanisme teinté d’eugénisme dissimulé, dont même les médecins nazi en leur temps, n’auraient jamais pu imaginer dans leurs rêves les plus fous ?