[generatrice_de_vierges_chemins]

& c’est moi qui m’exprimerais pas dans la bonne langue… Pourtant @ ce que je sache une image n’est pas une expression en une langue·

[hautpotentieldeconneries]

@faiseuse-de-foret

Il te manque les références culturelles pour comprendre, Sheldon

Ah, et oui, les images sont la spécialité du cerveau humain, il est fait pour traiter les images, les images le fascine. Les images sont un language, pour les humains, visiblement pas pour les romuliens 🤭

[generatrice_de_vierges_chemins]

Puisque tu fais exprès de rajouter un maximum de données irrationnelles pour te rendre le plus incompréhensible possible je te prends comme esclave pendant cinq semaines pour faire briller le sol du palais & mes ballerines & celles des filles de la cour & tu pourras presque pas dormir. Il fallait bien que la punition tombe…

[Membre Inconnu]

Si on n’est même pas capable d’échanger sans se taper sur la gueule même ici, comment est-ce qu’on pourrait empêcher une extinction de masse ?

https://www.youtube.com/watch?v=CR2CYBRNbss

[byaku]

Ne t’inquiète pas ! Se taper sur la gueule n’empêche pas des gens de baiser entre eux 👌

[minos]

@kitsunebi , “se foutre sur la gueule” (ici ou ailleurs), c’est une démarche somme toute bien “naturelle” (courante) pour “l’homme” (l’être humain), c’est un moyen d’expression pour lui… On exprime ainsi sa rancœur, ses peurs, son manque de confiance en soi (“paradoxalement”), son intolérance, son mépris, ses doutes ou ses certitudes… C’est un exutoire normal pour beaucoup, une réaction “proportionnée” à un environnement subi, oppressant et exigeant, c’est une façon de se rassurer et de se défouler aussi.

[Membre Inconnu]

@red_pills_distributor : tu veux dire que les gens qui se tapent sur la gueule peuvent aussi s’apprécier ? J’ai du mal à avoir envie de communiquer avec quelqu’un avec lequel c’est compliqué de se comprendre et/ou avec lequel la communication sera systématiquement agressive dès qu’on aura un avis ou une analyse différente… Sauf si je trouve que la personne en face est remarquablement intelligente, car dans ce cas là ses façons de voir les choses et analyses seront pour moi si grisantes que je pourrais m’en foutre de sa façon de communiquer, du moment que je puisse échanger avec. Mais cela n’arrive pas souvent.

[Membre Inconnu]

@minos : heureuse de te lire ! Des émotions, sentiments et sens intenses, je ne connais que trop bien… Et j’essaye de les gérer et de les exprimer de façon à ne pas trop les faire subir aux autres… Quand j’y parviens. En tout cas, pour moi se laisser trop envahir par notre émotionnel lors d’échanges avec les autres peut venir parasiter la communication et la relation, en plus de nous faire perdre notre capacité à raisonner. D’ailleurs, cela rend plus facilement manipulable, si on ne tient pas les rênes de notre émotionnel… Quelqu’un d’autre pourrait les tenir à notre place.

[minos]

@kitsunebi

Je parviens assez bien à gérer mes charges émotionnelles dans la vie (en général), alors dans le virtuel… Après, je ne suis pas non plus “un robot”, je peux être touché, affecté et réagir vivement à l’occasion.

Il y a aussi que je n’ai pas l’impression m’investir tant que ça dans un dialogue, la plupart du temps. Je me dis sans ressentir tellement l’enjeu qu’il y aurait à le faire (quoi que je pèse mes mots)… Je ne suis pas “courageux” puisque je n’ai pas peur du jugement des autres et je ne cherche à convaincre personne ; ce n’est pas le sujet pour moi, je ne cherche qu’à apporter mes idées, mes évaluations, voir à partager avec qui y serait ouvert. Il ne me semble pas non plus que j‘attende vraiment cette reconnaissance que beaucoup recherche… Alors, je ne m’expose pas vraiment.

C’est vrai que le conflit brouillera la com’ entre individus si on se perd dans notre émotivité… Et aussi que quelqu’un qui s’emporte facilement expose ses failles et, ce faisant, qu’il en sera d’autant plus aisément manipulable… Après, il n’est pas rare que l’on confie “les rennes” de sa conscience à autrui si on est perdu soi-même…

[hautpotentieldeconneries]

@faiseuse-de-foret