Infidélité

  • max

    Modérateur
    18 septembre 2020 à 10 h 27 min

    Petite question : un bisexuel peut-il être monogame ?

  • Membre Inconnu

    Membre
    18 septembre 2020 à 15 h 21 min

    Bisexuelle = peux fort bien, ne jamais trouvé de stabilité dans sa vie amoureuse/ sexuelle= papillonnes ( femmes/hommes) = ad-vitam aeternam.

    Finir frustré dans une relation exclusive ( où) peut être stable = amoureux/investis.

    Les bisexuelles = destiné à vivre une vie d’insatisfaction chronique. Je trouve aussi qu’il y a une forme de rejet = vis-à-vis des bi ( h/f) = gager sur la crédibilité de leur comportement.

    Fidélité/infidélité = rien à voir avec l’ orientation sexuelle = + la personnalité de chacun et l’acceptation de qui on est = personne n’appartient à personne.

    Un bisexuel, peut très bien être en couple = femme/homme, ne pas aller ailleurs sans cette frustration/ ressenti = manque ( Aimer = amour partagé satisfaction).

    La fidélité n’est pas contraire à la liberté = être en couple ( fidèle ) = se définir des activités en solo, pas systématiquement avec sa moitié (( je trouve avoir chacun sa liberté, pour mieux se retrouver) c’est mon point de vue)).

    Après il y a aussi les couples libres, s’il n’y a pas de stabilité (dans le couple) là il n’est plus question d’infidélité vu qu’il y a acceptation = partager.

    Le mot = fidélité.

    Origine = religion, qui peut avoir une connotation péjorative ( catholique….). Quel que soit le système ( libre) = (stabilité/ fidélité) = l un n’est pas l’objet de l’autre.

    il faut que ce soit un choix fait à 2 et non un choix = plaisir à l’autre.

    Donc je ne vois pas pourquoi = bisexuelle ( autres), serait pas fidèle.

    Je trouve qu’il y a beaucoup de stéréotypes = dans le sens l’homme est + viril, + super sexuel = image positif.

    une femme qui couche à droite à gauche = s****** mêmes idées reçues, sur les homosexuels.

    il y a des hommes porter sur le romantisme = fleur bleue, et il y a des femmes = hard.

    Il y a de tout pour faire un monde = il n’y a pas que tu négatif, même si on est un peu mal barré.

    Y a-t-il vraiment une seule définition de couple? ( Fidèle/infidèle), je pense que non.

    Sur quoi est basé vraiment la fidélité?

    C’est pas imposer sa vision = (couple), à ton/ta partenaire = franc certes, de toute manière si tu n es pas franc = départ ( orientation sexuelle ), le couple se brisera c’est logique.

    ( Dsl) si j’ai un peu digresser ici et là = même si je trouve que tous les points se rejoignent = direct = indirectement.

  • casia09

    Membre
    18 septembre 2020 à 16 h 10 min

    Je suis d’accord, ce n’est pas l’orientation sexuelle qui va définir la fidélité ou infidélité d’une personne.

    Pour la fidélité je ne crois pas que le fait d’être hétéro, homo, bi soit vraiment la question. Mais plutôt l’état d’esprit et de la relation dans la quelle se trouve l’individu. Car c’est lié aux sentiments, aux engagements, non aux différents types d’attirance.

  • minos

    Membre
    13 décembre 2021 à 11 h 17 min

    Sans épiloguer sur les statistiques qui se rapportent à ce sujet, dans mon cas, l’infidélité est devenue un moyen “naturel” de supporter une situation, dès lors que je ne me sens pas bien dans mon couple.

    “Est devenue”, parce que mon histoire aura voulu que je ne vive les expériences sexuelles que d’autres font avant leurs vingtaines qu’à mes 46 ans. Etant (comme je le suis) peu enclin à la sociabilité, avant de rencontrer la mère de mes enfants, vers ma vingtaine ans (avec laquelle j’ai vécu en couple un quart de siècle !), je n’avais “connu” que 2 putes… Autant dire que je ne connaissais pas “les femmes” (ni vraiment, “l’homme” que j’étais par conséquent) et ce n’est donc qu’en quittant le foyer que j’avais fondé que j’ai pu éprouver “sur le tard” mes aptitudes en tant que “mâle actif” (auprès d’une dizaine de partenaires sur quelques mois).

    Avant cela, ces 25 ans durant, j’ai été “fidèle” à ma compagne, et ce, bien que je me suis longtemps senti insatisfait dans le couple de parent que je formais avec elle (pour des raisons que j’ai développées précédemment et par ailleurs)… Ensuite, après notre séparation et consécutivement aux “aventures débridées” que j’ai expérimenté auprès de différentes femmes, j’en ai rencontré une avec laquelle je me suis engagé parce que je cherchais à “me poser” à nouveau (ayant un besoin intrinsèque de stabilité). Mais il s’est vite avéré que malgré mes efforts, notre entente n’était pas du niveau de celle que j’attendais… Nos caractères étaient en opposition et on a traversé des phases de séparations de durées variables, mais qui pouvaient persister pendant 6 à 8 mois. C’est pendant ces périodes que je me suis “autorisé” à “aller voir ailleurs” dans l’espoir objectif de découvrir celle qui pourrait m’inspirer de rester auprès d’elle… Mais, malgré le fait que j’ai pu côtoyer des créatures intéressantes et que j’ai appris de ces relations successives, aucunes de celles que j’ai pu croiser ne m’a séduite assez pour faire d’elle ma nouvelle compagne… Et, incapable de vivre totalement seul, je suis revenu aux côtés de “ma moitié”, elle avec qui je constitue cet attelage dépareillé depuis des années, elle qui peut me supporter de par les sentiments qu’elle éprouve pour moi… Moi qui me connais et qui sait que, comme je suis, je ne peux que transiger avec mes attentes tant il est improbable que je trouve une qui me correspondrait suffisamment pour que j’apprécie de rester avec elle.

    Sachant cela et ayant toujours ce besoin de ne pas rester complètement seul en moi, j’accepte sans scrupules de concéder juste ce qui est nécessaire pour faire perdurer une relation… Mais sans pour autant renoncer à ces “distractions” avec les peu connues qui acceptent de se rapprocher intimement de moi, elles qui me sont véritablement nécessaires… Mais moins d’un point de vue sexuel qu’à cause de ce qu’elle m’apporte en matière de liberté résiduelle, de cette latitude minimum que je m’accorde parce que sans elle, je me morfondrais, je dépérirais foncièrement.

  • geapix

    Membre
    13 décembre 2021 à 11 h 21 min

    Les infidélités des hpi : https://m.youtube.com/watch?v=oVqxZcAK3wE

  • Membre Inconnu

    Membre
    13 décembre 2021 à 12 h 52 min

    @minos Je comprends ta soif d’absolu, mais je ne suis pas d’accord sur l’infidélité.

  • minos

    Membre
    13 décembre 2021 à 13 h 18 min

    Ma “soif d’absolue”… Je ne crois pas que l’on puisse définir mes “incartades” en cette expression pompeuse et même si, oui, je voudrais (comme tous) découvrir cette femme qui me ferait oublier toutes les autres (quoi que cette idée est très “fleur bleue”). Mais en somme, je ne fais que rechercher ailleurs ce que je ne trouve pas chez moi, à domicile… Très connement.

    Il est vrai que cela m’entraîne à mentir (outre le fait de la tromperie) à ma conjointe et que je ne m’en sens nullement coupable. Moralement (selon ma conception des choses), étant donné que je demeure auprès d’une compagne qui ne m’apporte pas suffisamment et auquel je m’adapte tant bien que mal, je m’estime dédouané de m’astreindre (en plus) à une fidélité dans ces conditions.

    Je pense également qu’il serait bien possible que je ne sois foncièrement pas formaté pour demeurer avec et ne me consacrer exclusivement qu’à une seule femme… Dans ma réflexion, il faudrait que cette créature extraordinaire synthétise en elle tant de qualité pour me plaire complètement que ça la rendrait presque utopique et que cela disqualifierait la rationalité d’une telle attente. Toutefois, mon pragmatisme n’est pas un frein à mes velléités et je peux me fonder sur la diversité humaine pour m’amener à croiser (peut être un jour) une femme (bien réelle et imparfaite, comme elle se doit) en laquelle je pourrais me sentir assez bien pour considérer inutile de poursuivre cette quête-là.

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