Le pire amalgame.

  • haeresis

    Membre
    20 décembre 2023 à 6 h 00 min

    Étonnamment raccord avec la conversation d’ailleurs.

  • haeresis

    Membre
    20 décembre 2023 à 6 h 29 min

    Ca faisait longtemps que j’avais plus écrit.
    Je suis bien rouillé. Ca me stimule de t’écrire.
    J’avais besoin de ça.
    Alors merci.

  • hautpotentieldeconneries

    Membre
    20 décembre 2023 à 9 h 32 min

    @HaeresisObsoletus

    Je ne fais pas cette remarque par volonté de contredire ou quoi, mais j’ai l’impression de relever une contradiction dans ton discours.

    Tu dis t’élever contre l’approche idéologique du réel, et pour ce faire tu nous fais ce qui ressemble beaucoup à une apologie du nihilisme.

    Pour tes attaques contre les “psy” , j’entends les 2 critiques parfaitement justifiée de l’environnement franco français de l’univers psychiatrie/psychologie concernant la psychanalyse et l’usage mitraillette des molécules dans le “traitement” des troubles associés (je ne vois pas comment appeler autrement ma mysophonie par exemple), à des schémas cognitifs pour le moins câblés avec une certaine forme de confusion entre les sens, les pensées et l’affect en ce qui me concerne.

    Fort heureusement il existe aujourd’hui autre chose que des “chanalistes” imbéciles pontifiant sur la manière dont nous nous tirions sur la nouille à 10 ans, ou les “chiatres” à la papa qui sont des annexes de la pharmacie centrale et qui ont une molécule magique chaque “symptôme” psychologique supposé.

    La Tcc, les neuropsy, un psychiatre également psychologue clinicien ça n’est pas des mitraillettes à médoc et je parle en connaissance de cause. On m’a proposé, expliqué, un traitement possible qui n’est qu’une BÉQUILLE et j’étais le seul décisionnaire.

    Par ailleurs ma psychiatre/psychologue est spécialisée dans les neuroatypiques de tous poils et rayures et elle est donc au fait des problématiques singulières des tsa tdah hpi etc… et ne fait pas dans la morale. Elle fait dans la logique factuelle. Je précise qu’elle n’écrit pas de livre qu’elle n’a pas de site ou toute autre marque d’intérêts mercantiles hors médecine.

    Tu es très en colère et elle est sans aucun doute justifiée, cette rage par le fait qu’elle est très certainement un moteur puissant.

    Ce n’est pas de la morale c’est mon expérience, fragile, imparfaite, singulière :

    À chaque fois que j’utilise la rage comme carburant, j’ai un moteur… à explosion.

    Mais j’avoue, j’essaie bien, imparfaitement et très humainement, de prévoir l’avenir dans une ridicule tentative de conjurer quelque chose que je ne peux que supposer.

    Est-ce idéologique de penser que mes actes ont des conséquences?

    Certaines que je ne contrôle pas du tout, certes, mais les conséquences chrono-logiques les plus immédiates sont directement la conséquences de mes actes. Sans morale aucune, par enchaînement factuel. La suite peut m’échapper totalement mais c’est bien mon action initiale qui est la clef de la chaîne causale.

    Je n’ai, que gratté une allumette pour ma clope, pas incendié 300ha, c’est pourtant strictement vrais si je ne suis pas pyromane, mais in fine j’ai bien factuellement incendié 300ha.

    Que ce soit bien (300ha de mais transgenique) ou mal (300ha de forêt) d’un point de vu “moral” ne change rien aux faits.

  • bagayaga

    Membre
    20 décembre 2023 à 10 h 27 min

    Gros amalgames aussi.

    Psychanalyse= Pas d’études. Pas remboursé. Pas reconnu comme science.

    Psychologie= Master/cinq ans d’études. Remboursé par mutuelle approximativement. Gratuit pour les enfants dans les CMPP. La discipline s’appelle la psychologie clinique. Bien qu’il y ait des accointances avec la psychanalyse selon les facultés. Je pense à celle de Lyon notamment. À l’inverse de celle de Dijon plus cognetiviste. Ou celle de Chambéry, plus neuropsychogique. Il existe différents courants. https://www.wikipnl.fr/index.php?title=Grands_courants_en_psychologie

    La psychanalyse a un peu le rôle d’épistémologie pour guider la neuropsychologie. Les questions qu’ont soulevés la psychanalyse ont fait avancer la recherche en psychologie/neuropsychologie. (Inconscient/mécanismes implicites/mémoire comportementale évolutionniste)

    Cela-dit il y a eu des dérives dans la psychanalyse. Entre les postulats et les dérives sectaires, mystiques et les projections des théoristes. Et ces affirmations fantasques sont contredites neurologiquement avec les progrès de la science.

    Psychiatrie= Huit ans d’étude. Doctorat. Est le seul habilité à prescrire un traitement.Remboursé. Pour info il y a des vrais maladies mentales qui ne sont pas compatibles avec notre vie en société. Les psychotiques n’ont pas de plateau maximum pour l’angoisse. Du coup elle monte à l’infini sans redescendre. Ce qui implique qu’ils passent à l’acte de façon agressive. Ce qui est logique. Ces hormones là sont liées à l’instinct de survie.

    Donc sans traitement chimique, nous aurions de sérieux problème avec cette partie de la population qu’on souhaite garder parmi nous. Mais pas en l’état. Ce qui me paraît logique et normal. De plus ce n’est pas humain de laisser des personnes subir des déréglements au niveau du stress, aussi intenses. Car ils en souffrent énormément. Et le passage à l’acte ce n’est pas forcément décapiter sa grand-mère, le plus souvent c’est du suicide. Et secondo le stress détruit le corps.

    La modernité actuelle. C’est au delà de la psychologie classique avec l’anamnèse du patient. C’est plus une histoire de changer les conditionnements délétères. Ce qui est beaucoup plus rapide et efficace que juste les mettre en lumière et les replacer dans leurs contextes. Même si cette partie a son importance. Mais cela s’applique aux névroses. C’est à dire aux troubles qui ne nous empêchent pas de vivre au sein de la société. Pour les psychoses, les troubles sont envahissants. Et il faut traiter chimiquement car on a pas les moyens de parquer tous les psychotiques. Puis avec un traitement adéquat ils peuvent être autonomes.

  • haeresis

    Membre
    20 décembre 2023 à 16 h 12 min

    @hautpotentieldeconneries

    Y’a aucun moment où je te dis ce que tu dois être, ce que tu dois faire, ce que tu dois penser.
    En fait, au contraire, je t’explique là, que ceux qui invoquent ta responsabilité, théoriquement, non seulement ils en sont pas capable, mais en plus y’a rien qui le justifie.

    Ca veut dire quoi, apologie, pour toi ?

    Cela dit, oui, effectivement, l’armée est un corps militaire tourné vers les hérétiques externes.
    La psychiatrie est un corps militaire tourné vers les hérétiques internes.
    Et le terme mitraillette est tout à fait adapté. Même si on les appelles des mitraillettes à bisou.

    Cela dit, encore…
    T’as pas l’air de comprendre ce que je te raconte.
    Je te parle pas des méchants psychiatres qui feraient mieux d’être des gentils psychologues.
    Je te parle de ceux qui invoquent la vertu.
    Justifier d’altérer ton état, ton comportement, en vertu d’idéaux, à coup de cachetons, ou à coup de paroles qu’elles ont raison d’être gentilles, c’est pareil.
    C’est altérer ton état en vertu d’idéaux.

    “Est-ce idéologique de penser que mes actes ont des conséquences?”
    Ça c’est une question très pertinente.
    Il faudrait la développer beaucoup plus, mais là j’ai pas trop le temps.
    Très concrètement…. Non. Mais y’a une nuance à faire.
    Si tu te contentes d’observer, et d’accepter les conséquences de tes actes, alors c’est juste de la théorie.
    Si tu refuses d’accepter la légitimité des faits,
    Si tu refuses d’accepter que ces conséquences sont inéluctables.
    Et que tu te sers de cette perception de la conséquence pour altérer ton attitude, afin d’engendrer des conséquences que tu jugerais ” préférables”, à ce moment là, ce serait exercer une déontologie, en vertu de ton idéologie.
    L’idéologie, c’est pas juste avoir conscience de la conséquence.
    C’est quand tu fais la distinction entre les conséquences qui faut et celles qui faut pas.
    Alors que factuellement, les conséquences sont les conséquences, elles sont justifiées par les causes….
    Rien ne permet, objectivement, de les remettre en question.

    Cela dit, et je voudrais que ce soit bien clair.
    Si l’idéal n’est pas objectif, ca veut pas dire que tu dois pas en avoir.
    Tu peux très bien assumer d’avoir des idéaux, arbitraires, subjectifs.

    Moi, mon problème, c’est pas que tu ai des idéaux.
    Mon problème, c’est que le corps psychiatrique/psychologique./psychanalytique…
    Il veut uniformiser les idéaux de tout le monde.
    Comme si tu voulais écrire un dictionaire idéologique.
    ET ça c’est pas possible. J’crois pas non plus que ce soit souhaitable.
    L’idéal n’est pas objectif, il n’est pas universel.
    Quand tu répands un idéal uniforme, qui prétend à son objectivité, on appelle ça une religion.
    Et moi j’ai pas de problème avec toi et tes idéaux.
    J’ai un problème avec ceux qui voudraient qu’on s’aligne à leurs idéaux.
    Surtout quand leurs idéaux c’est l’incarnation du néant.

    En fin de compte, mon discours, c’est de dire que tu peux pas mélanger la science et l’idéologie.
    C’est tout. C’est juste ça.

    Maintenant, si toi, au fond de toi, t’as envie de manger des fraises.
    Et que t’en as pas sur toi.
    Et que tu vas en chercher, parceque ce que tu veux, ton idéal, c’est de bouffer des fraises…
    Bah va te chercher des fraises fréro.
    Moi je veux juste m’assurer que personne n’arrive à te convaincre que la science a dit que les framboises c’est mieux.
    Parce qu’en l’occurrence, la science, elle dit pas ça. La science elle dit, si tu crois que tu veux manger des fraises, c’est que tu veux manger des fraises.
    De la même façon, si tu crois que tu veux pleurer, c’est que tu veux pleurer.
    Le mec qui va te dire que rire c’est mieux…. il ne reconnait pas ta légitimité à vouloir pleurer.

    D’accord, le diagnostic, il justifie l’état et le comportement.
    Le bipolaire pleure, c’est logique, c’est inéluctable, c’est ce qui le caractérise.
    Un chat, c’est un chat, il miaule, c’est inéluctable, c’est ce qui le caractérise.

    Et y’a rien qui justifie d’altérer le chat, ni le bipolaire.
    Au contraire.
    Tout leur reconnait entière légitimité à agir de la sorte, car ils sont ce qu’ils sont.

    Un psychiatre, c’est un gars, il va te dire, “Un chat, il miaule alors qu’il faut pas, il ferait mieux d’être un chien joyeux parceque pleurer c’est triste”.
    C’est un mec qui refuse de reconnaitre la légitimité des faits.
    Il refuse de reconnaitre, d’accepter qu’un chat c’est un chat.

  • haeresis

    Membre
    20 décembre 2023 à 16 h 19 min

    En fait t’as pas essayé de comprendre ce que je t’ai dit.
    Donc je vois pas pourquoi je ferrai des efforts pour te répondre.

    Effectivement, les hérétiques sont incompatibles avec la religion.
    Est-ce que ça justifie la conversion des hérétiques ?
    Non.
    Tu as tort.
    Ciao.

    @Bagayaga

  • bagayaga

    Membre
    20 décembre 2023 à 17 h 24 min

    Tu te sens peut-être isolé, dans ta situation. Et tu n’as pas l’impression que tu vas te faire du mal ou faire du mal aux autres. Et je te comprends. Mon frère est aussi un “hérétique”. Mais je peux t’assurer que grandir avec un hérétique dans sa famille. C’est tout sauf une partie de plaisir. Et que lorsqu’il a arrêté de prendre son traitement, il a disparu pendant des années. Années durant lesquelles nous ne savions pas s’il était mort, en danger ou quoi.

    Il est revenu, complètement délirant, et il a cambriolé de nuit, en cassant une vitrine ,une boutique d’ordinateur. Car il essaye de s’interfacer avec des composants électroniques. Tout en essayant de construire un sabre laser pour empêcher une entité extraterrestre mère, en orbite autour de la terre, de lui nuire personnellement. C’était aussi super sympa de venir passer une nuit chez lui et qu’il commence à mettre des films pornos, alors que je suis sa petite sœur de dix-sept ans de moins. Ou péter la porte de la chambre de ma mère, car il était convaincu qu’elle essayait de l’empoisonner. Jetter un énorme fauteuil du dix-huitième étage d’une tour d’habitation.

    Tu m’expliqueras ce que l’on fait des hérétiques. Et de leur famille qui sont condamnés à les aimer. Avec toutes cette souffrance occasionnée.

    Je ne peux pas me mettre à ta place. Mais je sais ce que c’est de subir des hérétiques.

    @HaeresisObsoletus

  • bagayaga

    Membre
    20 décembre 2023 à 17 h 41 min

    Mon problème, c’est que le corps psychiatrique/psychologique./psychanalytique…
    Il veut uniformiser les idéaux de tout le monde.

    Ton problème c’est surtout que tu uniformises toi le monde de la psychologie. Parce que ta le seum.

    Mais tu fais des gros amalgames aussi. La citation est là pour dire que ça ne suffit pas de faire la distinction que je t’ai faite. Il faudrait avant ça que tu étudies tout les courants de psychologie que je t’ai mis en lien. Et que tu lises des parutions de recherche en neuropsychologie pour voir que ce que tu dis n’est que l’œuvre de ton seum. On fait des progrès tout les jours pour soigner les hérétiques. Qui ne sont pas hérétiques en vrai. Ils sont justes malades. Il faudra que tu nous expliques ce que la société doit en faire sinon. Les envoyer dans l’espace ? En plus les “hérétiques” ne sont pas forcément potos entre eux. Pas sûre qu’à anxiétéeland tout soit de tout repos pour des gens qui nécessitent un environnement calme.

  • haeresis

    Membre
    20 décembre 2023 à 18 h 27 min

    @Bagayaga

    J’assume.
    Toute ma vie j’ai détruit l’égo de tout le monde.
    Aujourd’hui, j’ai pas le dixième de mes capacités, et je continue de détruire l’égo de tout le monde.
    Et crois moi, ma vie sociale, ça a pas été super marrant.
    J’ai mis beaucoup de temps avant de comprendre pourquoi je faisais ça.
    Sauf que j’ai pas attendu de comprendre, j’ai pas attendu de me justifier, pour l’assumer.
    Aujourd’hui, je comprends.
    Mais avant de te dire ce que je comprends, j’voudrais te dire autre chose.

    J’ai pas été moins exigeant avec moi que je ne l’ai été avec les autres.
    J’ai pas moins détruit mon égo que je n’ai détruit celui des autres.
    Je te dis que tout ce que j’étais de partial, de subjectif, je l’ai cramé.
    Théo, il est mort, il a rien à perdre, rien à gagner, il est plus en mesure d’altérer mon jugement.
    Regarde le sur la photo, y’a rien dans ses yeux. il n’a pas d’idéaux, c’est un fantôme.
    Et je te dis pas qu’être un fantôme c’est la vertu.
    Je te dis c’est le prérequis pour utiliser des mots.

    Cet égo, cette subjectivité, anéantis, je me prétend objectif. Y’a peut-être une marge d’erreur.
    Mais j’estime, désormais, que je suis en mesure de parler à l’affirmatif.
    Et là, je suis pas en train de comparer mon égo au tiens.
    Je suis pas en train de comparer mes idéaux à tes idéaux.
    Je te parle, me semble-t’il, d’états de faits. Objectifs.
    Il n’y a aucune place pour mon égo, aucune place pour le tiens.
    C’est de la science.
    Je ne tire aucun avantage à cela.
    Je ne tire aucun avantage à justifier que mon isolement est légitime.
    Crois mois.
    Et je le fais pas pour moi. Et je le fais pas pour toi.
    Je ne le fais pas pour la raison, ni la vertu.
    Je le fais contre ceux qui ont tort.

    J’ai pas d’idéal à te vendre.
    Je te dis que ceux qui en ont, t’arnaquent.
    Mais j’ai pas mieux à te proposer.
    La réalité, moi, ça me convient.

    Maintenant la question que je vais te poser…
    Pourquoi t’as pas envie d’aimer ton frère ?
    C’est pas une question rhétorique vicieuse.
    Je dis pas que tu l’aimes pas.
    Je te demande, pourquoi tu voudrais justifier le fait que l’aimer c’est mal, parceque ça fait du mal.
    Ce sont juste des faits.
    Tu l’aimes. En conséquence de quoi, tu as mal.
    Tu ne peux pas comparer ça à une réalité alternative, dans laquelle tu l’aimerais sans avoir mal.
    Parcequ’il est ce qu’il est, donc tu l’aimes, donc tu as mal.
    C’est légitime.
    Et c’est pas illégitime parceque t’as mal. Ce sont des faits.

    L’autre question que je voudrais te poser c’est…
    Pourquoi tu crois que, dans la vie, il faut pas avoir mal ?

    Pourquoi tu crois qu’il faut altérer la vie, de sorte à ce que l’on n’ait pas mal ?
    Je te demande pas comment tu le justifies. Tu peux pas le justifier.
    Je te demande pourquoi.

    Est-ce que t’as la moindre idée, d’à quel point c’est stérile, une vie sans souffrance ?

    En fin de compte, tu vois, si j’écrase ton égo…
    C’est parce qu’il ne te permet pas d’être objective.
    Pas pour des questions de hiérarchie.
    C’est parcequ’il t’empêche de te remettre en question.
    Ton égo, il bute sur ” je souffre, je veux pas souffrir”.
    Et ton égo, il te permet pas de comprendre que, si t’arrête de souffrir, l’existence arrête d’exister.

    Donc, maintenant, je vais demander à ton égo….
    Il se passe quoi s’il arrête de souffrir ?
    Parce que c’est pas une finalité.
    Y’a d’autres conséquences après.
    Tu comprends, après l’orgasme, c’est pas la fin, c’est pas la vie qui exulte en touchant à son but…
    C’est une nouvelle vie qui commence.

    Ton frère, c’est pas une méchante cause, et toi, une pauvre conséquence.
    Tout deux coupés du reste de la chronologie des faits, de l’existence.

    Je vais te reposer la question une dernière fois.
    Mais ne me réponds pas pour me donner une réponse.
    Interroge toi, pour t’interroger.
    Pourquoi tu crois que la vie c’est mieux quand on souffre pas ?
    Comment tu peux croire que c’est plus positif, quand c’est moins négatif.
    Pourquoi t’acceptes pas la réalité.
    Pourquoi t’assumes pas que ton frère c’est ton frère.
    Pourquoi tu voudrais qu’il soit différent, s’il est ce qu’il est.
    Pourquoi tu crois que souffrir, c’est un truc qui doit pas arriver.

    Arrive ce qu’il arrive.
    Ca va être violent ce que je vais te dire.
    Mais si moi j’ai pas la prétention de pouvoir remettre ça en question…
    T’es qui en fait ?
    Voilà pourquoi j’écrase ton égo.
    C’est pas pour prétendre que je sais et que tu sais pas.
    C’est pas pour établir une hiérarchie.
    C’est pour te dire….. je sais pas.
    Je cumule 100 fois ton talent et ton travail, et pourtant je sais pas.
    Je suis objectivement plus objectif que toi.
    Mais…
    Je suis incapable de donner du crédit à tes idéaux.
    Je suis incapable de répondre aux questions que je viens de te poser.
    Alors dis moi. T’es qui ?

  • bagayaga

    Membre
    20 décembre 2023 à 19 h 42 min

    Ben Théo. Je me disais que ta tronche et ta prose ne m’étaient pas inconnues.

    Je m’en moque ce dont tu es capable ou non. De ton égo, etc…

    Ou de répondre à tes questions. Surtout que tu ne réponds pas aux miennes.

    Quand tu auras de quoi étayer ton postulat. Sur le désir d’uniformisation du corps psychologique, psychanalytique et psychiatrique. La conversation sera intéressante.

    Sans ça tu restes un gars de plus qui déblatére dans le vide.

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