@hautpotentieldeconneries
Je n’ai pas trop de dispo’ là tout de suite, alors je vais tenter d’être synthétique.
Déjà, pour “la cruauté de Dieu”, ce n’est pas mon avis : Je considère que si cruauté il y a, elle réside pour l’essentiel de celle que l’on a les uns envers les autres et on ne devrait s’en prendre qu’à nous-même si cet état de fait nous déplait.
Le monothéisme est plus subtil je dirais, il implique une certaine ambivalence, en effet… Et cela me convient mieux dans l’esprit de l’entité complexe (et simple en même temps) qui serait à l’initiative de nos vies. Elle s’exonère de représentation physique et manifeste d’une potentielle dualité, elle-même, qui s’avèrerait source d’évolution rationnelle en soi (dans ma conception).
Si on admet que “Dieu” n’est pas fini, on peut tout autant estimer qu’il n’est pas non plus totalement omniscient. “Il” nous a confié une part de lui et cela peut entraîner que nous même participerions potentiellement et y compris, à son évolution propre (en étant “interconnectés”), elle nous serait alors mutuellement profitable intrinsèquement et aurait des conséquences qui nous concerneraient de concert… Ce en quoi, cela soulignerait le pouvoir que nous détenons de par sa volonté.
Ensuite, s’agissant de la responsabilité humaine, je la comprends de sorte qu’elle engage également et aussi singulièrement un individu que tous ses semblables, nous ne pouvons nous désolidariser des autres, même si chacun est un être à part.
Le libre arbitre est en état de fait. Sa limitation, on se l’impose à nous-même en toute conscience ou par ignorance.
Notamment, la situation de précarité extrême qui constitue l’environnement immédiat de certains dans des pays ou famines, guerres et fléaux naturels prévalent nous permettent de nous interroger sur nous-même et d’évaluer notre responsabilité réelle. Pour ceux qui subissent de tels contextes, c’est une épreuve douloureuse à traverser et je crois que selon leurs comportements et leurs capacités de résilience, ils s’en trouveront mieux dotés dans leurs vies à venir (c’est ma vision) ou, on peut aussi penser qu’ils “payent” le prix de leurs fautes passées…
Pour les catastrophes naturelles qui ne résultent pas de nos actions, le monde est également vivant et s’il est propice à notre développement, il se comporte indépendamment de notre bon vouloir.
Désolé de n’avoir pas tout traité ou de l’avoir fait “à l’arrache”.