Bonjour,
Il me paraît évident qu’un zèbre, qui ressent les choses de manière +++, vive, différemment, une rupture amoureuse.
Avant de parler de rupture, il y a, déjà, cette difficulté à rompre, qui nous caractérise souvent : on ne veut pas faire de peine, ménager l’autre sans se ménager, soi.
Avec ce trop plein de sensibilité, d’émotivité, d’empathie, on “a peur de faire du mal”. Les “C’est comme ça et pas autrement”, sortent rarement de notre bouche.
Et puis, le problème vient aussi du fait (nos parents….?) qu’il est très facile de nous faire culpabiliser, de nous coincer dans un chantage affectif, de retourner les torts contre nous…
Une fois que l’on a, enfin et avec mille difficultés, réussi à rompre, on continue souvent à vivre dans un monde magique, dans lequel notre ex resterait notre meilleur ami, ou nous regretterait, reconnaîtrait ses torts, s’amenderait.
Avec notre grand coeur et toujours prompts au pardon, nous sommes les proies privilégiées des joueur(se)s de pipeau, en tout genre et je me suis rendu compte qu’il fallait, en règle générale, se méfier de ceux (celles) qui, très vite, trop vite, nous promettent monts et merveilles et nous embarquent, avec de trop belles promesses, projets grandioses et déclarations enflammées, du style : “Tu es la femme (l’homme de ma vie”.
Alors, je ne sais pas ce que vous en pensez, mais je crois que, oui, rompre est toute une affaire pour nous