Asociale Attitude ?… Pourquoi ce peut être mieux pour soi !

  • Asociale Attitude ?… Pourquoi ce peut être mieux pour soi !

    Publié par Membre Inconnu le 19 janvier 2020 à 9 h 47 min

    Etant moi-même peu porté à “la chose sociale” en ce qu’elle induirait automatiquement que je fasse semblant (ce que je fais très mal), je n’ai jamais cru bon d’entreprendre cette démarche malgré les réprobations ou les stigmatisations. Cela m’a toujours paru moins insupportable d’encourir le jugement négatif extérieur et le traitement qu’il entraîne que de renoncer (même superficiellement) à “mon intégrité”.

    Il est vrai qu’à mon niveau ça va quand même assez loin ; Je ne ressens aucune nécessité d’amitié et cette idée même est dérangeante à mon esprit si je m’imagine devoir poursuivre une relation et en ce qu’il faudrait alors que je partage quelque chose avec quelqu’un. Je ne comprends fondamentalement que vaguement ce besoin qu’éprouvent peu ou prou “les autres” tellement ça m’est étranger.

    Même d’un point de vue familial, je peux me détourner longtemps de mes propres enfants (dont je ne connais que très approximativement l’âge) et dont j’oublie toujours les anniversaires sans en éprouver que “des remords de principes” lorsque j’y songe ou qu’on me le rappelle. Ceci exprimé alors que je n’ai par ailleurs pas de conflit en cours avec eux qui justifierait de cet état de fait bien entendu. A mon sens, selon ma conception, ce n’est pas une preuve de manque d’amour (j’aime ma progéniture et ils peuvent compter sur mon assistance au besoin) mais juste, je n’éprouve pas du tout cette notion “d’entretenir des liens”.

    En ce qui me concerne, l’interaction humaine qui me garde dans un cadre relationnel standard se réduit aux rapports que je peux établir avec des femmes ; Celles d’entre elles que je convoite, celles qui deviennent mes partenaires sexuelles, ou celles qui ont réussies à “me supporter” quelques longues années au sein d’un couple… C’est là le seul cas où j’exprime une volonté qui réponds à mon besoin propre (et essentiel) et qui me fait me livrer naturellement.

    J’estime que mon caractère très peu sociable et ma personnalité m’ont autorisé à évoluer “selon moi et par moins” au mieux et en étant bien moins assujetti à l’influence extérieure que la plupart de mes congénères ne le sont… De ce fait, j’ai pu développer mes conceptions personnelles en dehors des carcans sociétaux habituels.

    C’est mon analyse (que j’estime objective) en tout cas… Et qui m’interroge quant aux sorts des individus qui se conforment contre leurs volontés aux contingences exigées par d’autres et qui “se fondent dans la masse” (j’ai souvent l’impression) jusqu’à se perdre ou s’oublier eux-mêmes…

    Loin de moi l’idée d’apparaître “exemplaire” en quoi que ce soit pour avoir adopté la seule attitude qui me semblait possible pour moi-même et qui m’est (ensuite) apparue “viable” pour m’autoriser une progression “honorable” (a posteriori) et compte tenu qu’elle s’inscrit ainsi dans “le prolongement de moi-même” plutôt que dans un apprentissage pré-établit… Mais je crois que pour au moins certaines personnes, le refus de céder à la sociabilisation et le développement autonome serait une option qui au contraire d’empêcher leur réalisation, serait la seule pouvant la permettre.

    Qu’en pensez-vous ?

    Membre Inconnu a répondu il y a 4 années, 3 mois 1 Membre · 0 Réponses
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