Que faites-vous de vos émotions désagréables ?

  • felicia

    Membre
    26 janvier 2024 à 15 h 57 min

    le_bacteriophage

    Ha ha !

    Non, je cherche moi à ne pas être touchée ou au moins à ne pas paraître l’être quand eux utilisent consciemment des techniques de déstabilisation.

  • le_bacteriophage

    Membre
    26 janvier 2024 à 16 h 07 min

    D’accord. Je vais y réfléchir un petit peu alors mais, à priori, ça va probablement toucher le sujet de la confiance que tu as envers toi-même 🙂

  • bagayaga

    Membre
    26 janvier 2024 à 19 h 40 min

    Ma solution pour les émotions fortes. Malheureusement je ne les sens pas forcément. Mais je sais qu’elles sont là car il y a des conséquences sur mon corps. Pour ça je chante sur une appli de karaoké. Parfois des heures durant. Pour reconnaître, accueillir et évacuer.

    Pour le stress qui me paralyse je fais de l’auto-hypnose sur YouTube. Je m’endors pendant le commencement relaxation. Et ça se diffuse lorsque je dors. Et le lendemain c’est réglé.

    Sinon pour les personnes qui cherchent à me déstabiliser, avant je m’insurgeais ou j’en faisais une affaire personnelle. Désormais, j’analyse à froid. Je prend le temps de réfléchir et de répondre ou de ne pas répondre en fonction de ce que ça provoque chez moi. Mais j’accorde peu de crédit aux gens extérieurs à mon cercle privé, qui ne me connaissent pas et qui pour la plus-part projettent des choses sur moi qui ne m’appartiennent pas.

  • haeresis

    Membre
    26 janvier 2024 à 21 h 55 min

    Tu sais… ceux qui veulent te déstabiliser, le fassent-ils par intérêt, ne le font pas nécessairement sans objet.
    Cela dit… quand on joue au con, on gagne.
    Et c’est très facile de gagner au jeu du con en 2024, la plupart des gens sont extrêmement limités dans ce qu’ils se permettent, de part leur éducation idéologique.
    Le jeu de la domination… il est très simple.
    Il suffit d’être con.
    A ne pas confondre con et impertinent.
    Con… dans le sens inflexible.

    Voilà, c’est tout, soit plus conne que ton interlocuteur.
    Pas besoin d’un master en philosophie astro-politique.
    Assume-toi.
    Je rejoins la notion de courage face à la peur… j’aimerais y ajouter celle de la honte.
    Tout le monde a honte de tout aujourd’hui.
    Honte d’avoir de l’égo, honte d’avoir des envies, honte d’avoir des opinions, honte d’avoir honte…
    Moi je t’invite à être conne, trop conne pour avoir honte de quoi que ce soit.

    C’est inutile de chercher à dominer le déstabilisateur par la raison et la cohérence.
    Peu importe ce que tu diras, comment tu le diras..tu seras humiliée.
    Il se montrera critique, mais ne se dévoilera pas.
    Il t’interrogera, semblant qu’il te discrédite, mais n’affirmera rien.
    Il fera tout pour pointer tes faiblesses, mais n’exposera jamais les siennes.

    Si tu veux vaincre cette créature sournoise….
    Ouvre toi, gratuitement, intégralement.
    Expose toi, ne le laisse pas te tenir par la honte.
    Montre lui par l’exemple, la créature discrète et maline qu’il est.
    Et à l’époque où les rats tiennent les lions dans des filets…
    Rugis.
    Rappelle lui qui c’est la vermine.

    Il parait que la raison ne revient pas à celui qui s’exprime le plus fort….
    C’est vrai chez les double-sapiens.
    Pas chez les mammifères.

    Pour ce qui est des émotions fades “normales”….
    Oublie. Tu fais des nuances qui n’ont pas lieu d’être.
    Toutes les émotions sont traumatiques.
    Toutes les émotions sont le résultat d’une altération d’état.
    Toutes les émotions sont le fruit d’une atteinte à ton intégrité.
    Toutes, sans exception.
    Et gratuitement, je te retire toute autorité, toute légitimité à les trier.

    Si tu veux survivre à tes émotions… embrasse-les.
    Ce n’est pas en conservant ton innocence intacte que tu deviendras impassible.
    Quand elles auront brisées, de toi, tout ce qui est altérable… il ne restera que l’immuable.
    Alors, sans que tu ai besoin de recourir à des artifices, elles ne t’atteindront plus.
    Cela dit………………….
    C’est comme les petits qui voudraient être grands.
    Ils ignorent encore, que grands, ils voudront être petits.
    L’innocence, quand elle est foutue, ça se récupère pas.
    Et je préfère te mettre un warning…..
    Tu n’as pas envie d’être capable de rester intacte, face à ces émotions intenses.
    C’est la dernière chose que tu veux.
    La dernière.
    Juste, crois moi sur parole.

  • sarah-mg

    Membre
    27 janvier 2024 à 9 h 50 min

    @felicia

    Salut

    Tout ce qui t’as été dit est bien.

    Concernant la déstabilisation que tu ressens lorsqu’on “t’attaque” je vais t’offrir une donnée, qui a son importance.

    Tu es une femme. Saches que lorsque un homme entend un mot, il l’analyse à 90% avec son cerveau analytique et le reste avec son cerveau émotionnel.

    Pour les femmes c’est presque 50/50.

    Cela crée un déséquilibre majeur notamment si tu essaye de te défendre et de lui rendre la pareil.

    C’est vain. Alors garde cette donnée et fais en ce que tu veux, mais je te conseille d’en faire une force.

    En tant que femme tu as le pouvoir de te laisser guider par tes émotions, ne te refuse jamais ce droit.

    Ils n’aiment pas notre tristesse, ils n’aiment pas nos colères, ils n’aiment pas nos peurs et encore moins nos joies. Fais leur péter à la gueule !!! 😉

  • haeresis

    Membre
    27 janvier 2024 à 11 h 51 min

    Ouais, ouais….
    Je t’ai parlé de rhétorique moi, pas de féminisme.
    Faut pas tout mélanger.
    Tu fais ce que tu veux…..
    Tiens le toi pour dit, moi je porte pas trop d’intérêt aux femmes viriles.

    Il n’y a aucune notion, aucune tendance politique dans mes interventions sur ton topic.
    Je parle purement et simplement de diplomatie, sans faire de distinctions de genre.
    Il faut pas m’inventer ça.

  • felicia

    Membre
    27 janvier 2024 à 11 h 59 min

    Je vous remercie tous pour avoir pris le temps d’exposer vos différents points de vue. Je vous avoue qu’ils me font me poser des questions sur la façon dont les émotions sont considérées d’un pays à l’autre ou même sur le changement de perception à leur sujet au fil du temps.

    J’ai quitté la France depuis un moment déjà et là où je vis actuellement, c’est la maitrise de soi qui est valorisée avant tout. Les émotions sont acceptées bien sûr, mais plus réservées au domaine de l’art, d’une manière générale. Je constate aussi que dans ce pays les parents ont tendance à apprendre très tôt à leurs enfants à maitriser leurs émotions, sans pour autant les dénier. Peut-être devrais-je donc creuser du côté de leur culture à eux pour compléter les éléments que vous m’avez apportés dans vos réponses.

  • Membre Inconnu

    Membre
    27 janvier 2024 à 20 h 31 min

    D’habitude j’y vais en ordre… 1) Reconnaitre l’émotion qui est là; 2) L’accepter inconditonnellement sans jugement; 3) La respirer, au moins 5 grandes respirations 4) Diminuer l’intensité calmement 5) Respirer encore une fois ou même deux… 4) revenir à la normale 5) Trouver une façon de l’exprimer (écrire, parler, chanter, marcher etc.) La vie est faite d’émotions; il faut donc apprendre effectivement à bien les gérer et ça passe par la reconnaissance et l’acceptation de ce qui est là, sans vouloir ni la changer, ni la nier. Je t’invite à suivre Fabrice Midal sur You Tube. Il est excellent pour les émotions justement. Il parle surtout d’hypersensibilité, mais c’est pareil. Nous sommes des grands et grandes hypersensibles et son discours, sa philosophie m’aide beaucoup. Bonne chance! Bon courage!

    https://www.youtube.com/@FabriceMidalFM

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    28 janvier 2024 à 5 h 53 min

    Bonjour Félicia, mes chats t’apprécient mais je n’ai rien d’intérêssant à t’apporter. J’ai tout lu.

    Les affects sont mon point faible, je crois pas avoir conscience de ce que je ressens la plupart du temps. La preuve est que je ne sais même pas ce qu’il en est. Quand j’étais aux ateliers d’habiletés sociales pour les autistes les deux neuropsychologues donnaient des astuces pour mieux gérer ses émotions mais je comprenais même pas @ quoi ça servait.

    Cela dit elles ont laissé des documents papier, je devrais y retomber dessus d’ici deux mois.
    Je pense que dans un certain nombre de cas je fais pression sur les émotions pour les estouffarasser, pour pas qu’elles existent. Je me doute que ce soit une mauvaise chose @ faire mais encore faudrait-il que je conscientise tout ça.

    Par contre ce dont j’ai trop conscience ce sont les affects des autres. & même leurs intentions, leurs effectogrammes. Eh oui, je suis syntonique & télépathe. & ça c’est pas facile @ vivre quand c’est passif. Ça fait comme une puissante vague chargée vibrant d’une façon dissonnante ou harmonieuse qui m’emplit depuis l’intérieur.

    Dans le passé lointain ça me troublait beaucoup mais je ne comprenais pas ce qui se passait. J’avais juste conclu que les interactions humaines soient quelquechose de très envahissant, très perturbant.
    Puis quand je me suis sue autiste j’ai pensé que ce soit de l’hyperémotivité pourtant je n’avais aucune raison de ressentir des choses aussi fortes & étranges devant ces personnes, cet excès d’intimité ou promiscuïté. Ces affects ne m’appartenaient pas.

    Comme visiblement beaucoup voire énormément d’autistes j’ai donc été une télépathe refoulée pour essayer d’esquiver ces ressentis trop forts si gênants & malaisants au contact des autres. Donc pendant longtemps je n’ai pas vraiment su conscientiser les affects des autres.
    @ ce jour je sais le faire, & il m’a fallu apprendre.

    Quand j’apprenais @ maîtriser ma télépathie je m’ouvrais, j’accueillais ces affects pour les ressentir, les comprendre, en obtenir davantage… Puis dans un second temps les analyser. Je faisais tout le contraire du refoulement que j’avais pratiqué une bonne partie de ma vie, refoulement aboutissant @ l’état d’impuissance personnelle détruisant socialisation, estime de & confiance en soi, aptitude @ mener des projets…
    & avec le pack de télépathe est livrée une technique pour ne pas se laisser envahir des affects exogènes & perdre le contrôle soit les faire siens.

    & croyez-moi que la télépathie est une chose bien désagréable, surtout quand on vit dans une société où personne n’a un fonctionnement psycho-affectif comparable au sien. Où les vibrations des autres ne nous conviennent pas du tout. Biensûr il y a aussi des avantages & ça peut devenir fabuleux mais ce n’est pas le propos ici.
    Donc ma question ne serait pas ‾que faire pour ne pas être noyée par l’émotion désagréable de quelqu’un[e]‾ : ça je sais le faire, c’est de la technique.

    & d’ailleurs on peut appliquer la même @ ses propres émotions mais encore faut-il avoir conscience d’en avoir…
    Comme je viens de réaliser cela je vais la donner : cette technique c’est la dissociation. L’association c’est quand vous vous identifiez @ l’affect reçu : vous le croyez vôtre & le laissez modifier votre état d’être.
    La dissociation c’est quand vous posez l’intention de ne pas adhérer @ cet affect, de le considérer comme un évènement externe ne vous concernant pas, de l’observer simplement. Vous vous posez en chercheu|se–r| scientifique en quelque sorte & il ne pourra pas avoir de prise sur vous. Il passera, vous le laisserez passer ; ou alors vous focaliserez votre attention ailleurs & ça vous déconnectera télépathiquement (ou de votre propre affect).

    Ça marche mieux de poser l’intention d’être en état de dissociation avant d’avoir un contact télépathique mais on peut aussi le faire alors que la réception est déjà en cours. & évidemment ça marche aussi pour le mental [les schémas de pensée de l’autre qui peuvent être très pénibles aussi comme quand on reçoit qu’elle ou il ne comprend rien @ rien, ne se pose pas de questions ou a des jugements stupides sur soi].

    Pour vous donner une idée cet été j’ai vécu un truc difficile, @ part quelques petites attaques de panique j’avais l’impression que j’encaissais drôlement bien & que le jour que j’allais décompenser ça risquait d’être très destructeur. Sauf que je n’ai jamais vraiment décompensé mais que je me suis apperçue de plein de symptômes de trouble post-traumatique qui font référence @ cette période.
    Besoin d’éviter d’y penser, tremblement intérieurs ou besoin de crier & frapper, envie de m’ouvrir les veines suivant @ quoi je repense… Autres preuves de traumatisme qui ne me reviennent pas pour le moment. Mais tout ça est consigné dans un coin de ma mémoire qui ne communique pas avec le reste.
    Si j’écoute la musique que j’écoutais @ cette époque je me sens si mal, mon désespoir devient très profond. Ça m’a forcée de noire-lister de belles musiques.
    & pourtant j’ai l’impression que mes affects n’étaient pas mauvais en cette période. Alors qu’est-ce que je ressentais vraiment ? Je n’en sais goutte.

    Je me demande si la télépathie ne serait pas responsable de l’ignorance de mes propres affects, comme si ceux des autres aient trop l’habitude d’avoir pris le devant de la scène en moi au point que je n’aie jamais pu connaître les miens. Ou alors le refoulement des affects pour inconsciemment refouler la télépathie que j’ignorais telle aurait nuï @ mon accès @ tout affect, exogène comme endogène.

    Donc pour en revenir ma question ne serait pas ‾que faire pour ne pas être noyée par l’émotion désagréable de quelqu’un[e]‾, ça je sais le faire c’est de la technique : ma question serait plutôt ‾que faire quand on n’est entourée que de personnes dont les émotions sont désagréables, qu’on ne peut se connecter @ presque personne car on a un fonctionnement exceptionnel au milieu d’une norme‾.
    Que faire au quotidien de toutes les émotions désagréables de ces personnes alors que je n’aie que le choix de les observer ou de m’en couper & qu’aucun des deux ne me convienne.

    Que faire quand on est seule au milieu d’une espèce n’étant pas la sienne car c’est @ peu près de cela qu’il s’agit.
    Que faire d’un super-pouvoir là où il ne s’applique pas : ça revient presque @ se demander ce qu’un poissonnet pourrait faire du don de passer @ travers les murs.
    Ce n’est plus de la technique mais de la gestion de son pouvoir au quotidien & de la gestion de son quotidien lui-même, de sa vie. Qu’est-ce que je fous sur cette Terre ?!? & j’ai bien deux pistes pour travailler, mais en tout cas ça c’est un vrai défi.
    Peut-être que je devrais travailler mes propres affects, mais ma première problématique c’est de savoir que faire de ceux des autres.

    Maintenant pour les personnes qui se seraient reconnues dans ce que j’écris je dis ‾attention aux apparences‾. Il faut distinguer l'(hyper)émotivité, l’empathie, la compassion, la syntonie & la télépathie.
    Je vais vous donner une grille d’évaluation pour déterminer ce que vous êtes vraiment. Biensûr plusieurs peuvent se combiner.

    → Si vous vous portez beaucoup sur certains types de sentiments, d’interactions sociales ou avez une tendance @ la dépendance affective c’est de l’hypersentimentalité.

    → Si vous ressentez beaucoup d’émotions puissamment suivant ce qui vous arrive & en êtes déstabilisé[e] c’est de l’hyperémotivité.

    → Si vous ne supportez pas certains types de textures, de contacts au corps, de bruits, d’odeurs… C’est de l’hypersensibilité ou hyperesthésie.

    → Si vous avez une grande conscience de ce que les autres éprouvent ou pensent ou de leurs raison de vivre ainsi, facilité @ se mettre @ leur place… C’est de l’empathie ou hyperempathie en fonction du degré.

    → Si vous ressentez ce que les autres ressentent (violemment ou fortement ou modérément) quand vous savez ce qui leur est arrivé, êtes très réacti|ve–f| @ l’injustice… C’est de la compassion ou hypercompassion en fonction.
    La compassion utilise forcément l’empathie, c’est juste que dans l’empathie on se représente seulement le ressenti de l’autre alors que dans la compassion il naît également en nous, on éprouve le même en écho. Mais il peut être faux puisque l’empathie dépend de ce qu’on comprend, rien n’empêche de se tromper contrairement @ ci-après.

    Mais si des affects vous envahissent sans que vous vous y attendiez au contact de personnes ou de groupes ou de lieux là c’est autre chose.

    → Si vous recevez ces affects seulement là où vous vous trouvez, que cela peut fonctionner aussi avec un lieu, même vide [ressentir les affects qu’il a emmagasiné] il s’agit de syntonie.

    → Si vous les recevez seulement de personnes & qu’ils sont accompagnés de leurs intentions immédiates que vous pouvez plus ou moins décrypter, & que cela peut aussi se produire avec des personnes @ distance bien que cela ne soit pas un cas fréquent alors il s’agit de télépathie incontrôlée.

    → Si vous pouvez même recevoir leurs pensées (abstractions) ou des fragments de leur mémoire il s’agit de téléscience incontrôlée.

    Biensûr on peut être syntonique & télépathe. Être syntonique est le niveau inférieur @ télépathe & être télépathe le niveau inférieur @ téléscient[e].
    Mais la syntonie est toujours incontrôlée sinon ça deviendrait autre chose (je ne vais pas détailler car on s’éloignerait trop).
    Les autistes sont souvent syntoniques c’est à dire des papiers buvards d’affects & comme mes recherches ont montré que beaucoup d’autistes seraient télépathes refoulé[e]s on voit que tout se recoupe…
    Mais il m’a fallu des années pour tout ça. & j’ai encore beaucoup à découvrir. @ une époque je ne comprenais pas ce qu’était la syntonie & comme ça concerne beaucoup d’autistes ça m’intriguait.

    Voilà, j’ai parlé pour ne rien dire mais j’ai parlé.

  • lemien

    Membre
    30 janvier 2024 à 11 h 07 min

    pour ma part elles s’entassent dans une cocotte minute qui n’a pas de valve pour évacuer la pression alors ça pete à un moment ou un autre. Le constat posé, une aide exterieure en cours, j’ai fait une introspection et suis remonté jusqu’à l’age ou cette cocotte minute n’existait pas. J’ai repris ce qui, certainement, me permettait d’évacuer à cette époque et je constate que le couvercle ne saute plus aussi souvent. J’ai aussi cessé cette quête idiote consistant à vouloir se faire accepter de l’autre par tout moyen.

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