Qui nous a volé la France ?

  • Membre Inconnu

    Membre
    19 avril 2023 à 11 h 36 min

    Et je me sens français, presque habiter par cet esprit parce que ce qui a fait les lettres de noblesse de ce pays, dans toute son histoire peut être résumer ainsi :

    Aller trop vite, trop loin et trop fort.

    Et c’est un peu ce qui nous caractérise ici. Enfin je pense.

  • matty

    Membre
    19 avril 2023 à 12 h 59 min

    La dette est du vol. Alors depuis quand la France s’endette ? Il me semble que Louis XIV avait eu recours à l’usure.

    Sinon volées, oui mais à quelle date ?

  • Membre Inconnu

    Membre
    19 avril 2023 à 13 h 01 min

    François I est le premier de l’histoire de France à l’avoir usé à grande échelle. Pour soutenir ses guerres italiennes

    Mais là je pose une question avec un idée plus métaphysique. On pourrait débattre des heures sur des questions comptables et matérielles. Mais quel intérêt actuellement ?

  • matty

    Membre
    19 avril 2023 à 14 h 11 min

    Alors peux-tu contextualiser ta question et nous dire à quel moment le vol dont tu parles a-t-il eu lieu ?

  • olbius

    Organisateur
    19 avril 2023 à 14 h 14 min

    @felicia

    Il existe en réalité un dernier sujet, ultra dynamité, dont il ne faut absolument pas parler en France (et je n’en parlerai pas non plus ici) sous peine de passer pour un vrai dingue.

    Le Peuple veut savoir.

  • Membre Inconnu

    Membre
    19 avril 2023 à 14 h 20 min

    Je parle de culture, de ce qui définie un français au-delà de sa carte d’identité ! Ce qu’il fait qu’on puisse se reconnaître comme voisin, que malgré les divergences et les différents on est prêt à l’aider !

    Ce truc qui faisait qu’on était un peuple râleurs, gueulard mais profondément attaché à un idéal commun.

  • max

    Modérateur
    20 avril 2023 à 10 h 05 min

    La France regrettée pourrait-elle être une image fantasmée d’un temps que nous n’avons pas connu ?

    Le “c’était mieux avant” c’est assez facile, mais c’est oublier beaucoup de progrès qui ont été faits. Certains côtés ont empiré, c’est vrai. Il n’y a qu’à voir l’expression écrite pour s’en rendre compte, mais d’autres choses ont connu des évolutions positives.

    De tout temps, les gens ont préféré la facilité et le divertissement, c’est naturel. Du pain et des jeux, c’est tout ce qu’il faut pour satisfaire un peuple. Et depuis les années 60, on est en mesure d’offrir ce que le peuple demande, et il en demande toujours plus ! Plus de divertissement, plus de facilité… ce n’est pas spécialement français, c’est universel.

  • Membre Inconnu

    Membre
    20 avril 2023 à 10 h 18 min

    Par cette question ce n’est pas le temps passé que je regrette. Nos parents, nos grands parents ont connu des choses que nous ne connaîtront surement jamais. Heureusement. Il y a aussi beaucoup de mauvaise chose qui furent faites au nom de la France. Je ne peux pas le nier et je le regrette aussi.

    Non ce que je déplore c’est plutôt que de constater une avancé positive qui pourrait faire aimer cette nation, on voit de plus en plus de gens qui pourraient nous faire avancer dans le bon sens jeter l’éponge et fuir. J’ai l’impression qu’on a perdu le goût d’avancer ensemble, de revendiquer des idéaux grandiose. Tout ça au profit de basse revendication.

    Je crois que l’actualité parle bien mieux que moi à ce sujet. Les gens manifestes pour une basse considération pécuniaire (les retraites) alors qu’on vient sous leur yeux d’encore une fois nier leur volonté commune de s’exprimer. On assiste à des manifestations pour défendre les retraites et non pas à des manifestations contre l’abus du pouvoir.

    Où est le panache français dans tout ça ? Pourquoi personne ne défend les fondements même de notre si belle nation ?

    Alors oui, j’ai bien remarqué que nous sommes dans la pure conséquence de ce qu’avait commencé la bourgeoisie de 1789. Mais qu’est-elle devenue avec le temps cette même bourgeoisie ? A la place d’un terreau fertile d’idée novatrice, elle n’est maintenant réduite qu’à des petits arrivistes cupides et encore plus poudré que les rois à qui nous avons coupé la tête.

    Ce que je regrette le plus c’est la disparition de cet esprit commun, cette volonté commune qui faisait de nous un peuple si particulier.

    Triste constat pour ma part.

  • auto-smiley

    Membre
    24 avril 2023 à 19 h 20 min

    @Cherichoux

    Je ne pense pas UNE SEULE SECONDE qu’il soit trop tard pour agir… 😳 Je ne me suis peut-être pas bien exprimé pour que tu retiennes finalement “ça” de mon expression.

    J’ai tendance à critiquer (très vivement) toutes les intentions qui me semblent vouées à l’échec. Mais, en vrai, non seulement je ne pense pas qu’il soit impossible de résoudre la situation, mais en plus de ça : je suis concerné personnellement, directement, par l’engagement à essayer tout ce qui est possible pour y parvenir ! Seulement, pour avoir étudié tout ça énormément, je pense que c’est une tâche extrêmement délicate/difficile => et donc qu’il vaut mieux s’y être préparé depuis un tas d’années en avance… Alors : je fais ce que je peux, même si je ne suis sûr de rien, et je pense que tout est encore jouable (dans un micro mouchoir de poche, par contre, vue l’immense difficulté à résoudre). Et j’ai plutôt tendance à décourager de trop se prendre la tête avec ça, d’encourager les gens à s’occuper de ce qu’ils peuvent s’occuper, même si dans le même temps (ce qui peut aussi sembler paradoxal mais je trouve que ça ne l’est pas) j’encourage à rester vigilant, à s’instruire, à être “au minimum prêt” pour la suite ==> parce qu’une Suite, et très différente de ce qu’on a connu jusque là ces dernières années, à moins de vouloir à 100% jeter l’éponge ==> il en faudra bien Une, sinon ça serait du défaitisme (ce qui ne me concerne tellement pas ^^).

    J’ai tendance à envisager la (les) solution (s) à la hauteur des enjeux actuels ==> tellement hauts, profonds et complexes, à la mesure de ce que j’ai étudié durant environ 25 ans ==> que l’immense majorité des gens n’est pas prête à mener cette lutte là, en Leader, avec succès, d’aucune façon… Plus j’ai étudié les problématiques, et plus ça me posait dans une logique guerrière (de conquête) tellement les gens au pouvoir ne le laisseront pas facilement à quelqu’un très différent (y compris à quelqu’un qui remplirait globalement un grand vide par rapport aux incompétences observées le plus souvent en politique). Je veux dire par là “dans l’hypothèse ou moi ou qui que ce soit serait en mesure de faire quelque chose techniquement, par ses connaissances acquises” => encore faut-il que cette personne ait accès aux responsabilités, au Pouvoir (dit grossièrement) ce qui fait à mon avis envisager : une lutte d’accès au pouvoir, ce pourquoi je me bats jour et nuit depuis 25 ans (en ce sens là « je ne lâche RIEN »).

    Mais, même à mon endroit, je ne peux que constater que la marche de manœuvre qui pourrait avoir un résultat positif : est extrêmement réduite. Et donc je ne peux pas, à moins d’être incroyablement prétentieux, dire “c’est OK, je vais y arriver, et bien sûr que c’est possible”… Le doute d’échouer est bien là, et énorme ! Mais (en même temps / c’est un paradoxe peut-être) je ne désespère pas, je ne lâche RIEN, jamais, sinon j’aurais abandonné depuis longtemps tellement c’est très facilement désespérant.

    À part ça, je ne crois pas trop au fait de me faire comprendre, de m’exprimer pour avoir du soutien ou ce genre de truc ==> je compte sur d’autres moyens possibles, d’après mes calculs, leçons et apprentissages etc. J’ai ramé, et durant de nombreuses années, avant d’avoir les projets en tête que je me suis fixé aujourd’hui. Et avant ça, j’ai ramé des années pour comprendre certains trucs qui ne sont pas si faciles que ça à résoudre (problèmes techniques je veux dire). Et depuis 2/3 ans je me “calme” un peu, parce que dans les grandes lignes mes idées sont fixées, et je continue les études, les approfondissements, mais ça n’a pas les mêmes “impacts” (qui retournent totalement mon point de vue) que durant les 20 premières années à étudier tout ça comme une brute. Là, je pense que ma principale option (histoire de donner un exemple concret) et évidemment pas simple du tout à mettre en place, réussir, c’est de réussir dans les affaires (comme d’autres industriels se sont tourné vers la politique par la suite)… Devenir immensément riche (même si ces histoires de monnaie c’est du vent) ça donne des possibilités, techniques, de faire tomber les barrières qui se tendent face au “moindre petit gars du peuple” qui voudrait faire quoi que ce soit. Inutile de dire à quel point cette lutte est démentielle de difficulté lorsqu’on met tous les problèmes bout à bout… Et, à l’heure où j’écris ces lignes, donc “au stade où j’en suis aujourd’hui” => je suis à peine sur le point d’essayer de me sortir, concrètement, avec un plan assez solide, de la misère… Pour ensuite essayer d’avoir les moyens d’accomplir mes idées… Mais, là, j’en suis encore très loin, juste au tout début pour ainsi dire. 😆😅 P.S. la société ne m’a pas “offert” une situation sociale resplendissante à vouloir essayer d’être vraiment utile suivant ce que je comprenais devoir faire => j’ai travaillé et étudié, sans pratiquement aucun soutien, avec des minimas sociaux pour survivre, H24/7 avec des horaires complètement digues, une moyenne de labeur (global) plus proche de 70H hebdo que 35H et sans aucun retour palpable (ni moral ni financier) // comme une brute…

    Je ne peux pas conseiller dignement de suivre ma voie aux gens qui ne s’y seraient pas préparés très très longtemps avant… J’en arrive au point de constater, que : si j’échoue nous sommes dans la merde, et si une personne réussis avec des connaissances moindres => ça peut échouer (aussi) ou juste résoudre d’une façon moins forte (ce qui reste possible) mais je ne crois pas trop à cette possibilité là ==> j’observe un tas de trucs qui pourraient bloquer une résolution, juste en ignorant des trucs qu’il m’a fallu 10 ans pour résoudre, d’autre 15 ans d’études acharnées, etc etc etc. Du coup : alors, en essayant de ne pas désespérer davantage, je compte surtout sur moi-même.

    La seule personne publique qui semble avoir pris la mesure d’une certaine urgence (mais pas en ce qui concerne TOUS les problèmes à prendre en considération, loin de là ^^) c’est Greta Thunberg. Mais bon, elle arrive au moment où c’est (selon mes observations) vraiment largement cramé dans le sens “je vais m’y mettre pour les années futures” d’ailleurs son discours en tient compte et elle en appelle “aux politiques en place et à leur responsabilité” => ce qui est réaliste, en fait, de se dire que là il fallait y avoir pensé largement avant, tellement la tâche est grosse et complexe… Or lorsque cette petite personne publique apparaît, moi ça faisait déjà 20 ans que j’étais sur tous les dossiers directement et indirectement concernés. Son appel à l’Assemblée Nationale Française pour dire “alors, vous avez un plan secret ou quoi?” ça m’a scotché littéralement… Dans le sens elle semblait avoir pris la mesure de la difficulté, intuitivement, dans les grandes lignes (juste ça). Je ne m’attendais pas à ça, même si je m’attendais (20 ans plus tôt) qu’en gros => tous les gens se saisiraient de la situation avec un énorme retard, sans avoir étudié la physique, les maths et un tas de trucs, et donc quasiment sans être capable d’agir de façon solide, organisée, sans mettre tout à plat sans être capable de faire le tri entre les bonnes idées et les mauvaises. “Se dire qu’un bon diagnostic de la situation” n’est pas nécessaire => de mon point de vue c’est irresponsable… Chaque choix mal pensé (un peu ou beaucoup) peut dans tous les cas amener un effet papillon catastrophique, soit qui amènerait dans un mur écologique “pas tellement plus éloigné” soit qui amènerait à désintégrer tout ce qui fait que la société se tient plus ou moins bien en place, et avec des risques de conséquences désastreuses non négligeables. Toute cette question de “résolution politique” n’est pas une mince affaire, en gros. 😬

    Je donne quelques exemples croustillants (de problèmes difficiles à résoudre) randomisés :

    – Comment contrôler les infrastructures bancaires… (pour sortir d’une politique de libéralisme politique pour cet exemple => s’assurer que le système financier n’alimentera pas ce qui devra être “coupé” du circuit / on sait bien qu’aujourd’hui le système financier fonctionne au court-termisme et donc ne trie pas entre ce qui est bon/durable et ce qui est destructeur/débile)

    – Comment contrôler les échanges diplomatiques qui assurent les prises de décision (sans se faire interférer par la NSA par exemple, et autres modalités de contrôle ne souhaitant pas perdre toute la capacité qui est la leur) de sorte de s’affranchir d’avoir l’autorisation (en aval) d’une nation qui n’a RIEN à nous dicter… Là on parle de la sécurité informatique, le plus technique à mon humble avis. Si on ne résout pas l’Hypothèse de Riemann, ou si on n’est pas en mesure de le faire, je pense qu’on ne sera jamais sûr de rien ; exploser l’identification des nombres premiers, ça fait juste 150 ans que tous les prix Nobel se cassent les dents => juste avoir une nouvelle piste de recherche, une nouvelle approche, forte, c’est le minimum syndical… L’avantage, avec cet “arme” c’est que si je résout : je n’aurais besoin de l’approbation de personne pour quoi que ce soit, sauf ma petite conscience morale individuelle… Si l’Univers est bien fait : aucun fou dangereux ne touchera à cette connaissance qui est la plus puissante qui puisse être. Alors on verra bien… 🙃

    – Comment se débarrasser des déchets nucléaires sans le moindre risque de pollution pour les eaux, même dans dix mille ans à un endroit donné, vu qu’on devra tabler sur du plutonium en très grande quantité : ce n’est pas une affaire résolue, par les industriels actuels, pas vraiment… Mais pourtant il existe une solution “simple” qu’aucun ne semble avoir imaginé sérieusement parce que leur métier n’est pas de “réfléchir sans limite hors des sentiers battus” à mon avis.

    – Comment optimiser l’énergie nucléaire, pour réduire ses déchets dans la configuration actuelle, en vue d’une migration énergétique prochaine/suivante (ce qui prendra un certain temps mais devra être planifié sans manquer cette étape là d’abord)…

    – Comment déterminer quelle est LA SEULE énergie renouvelable, non intermittente, durable, verte etc… De quelle force physique permanente (qu’on peut décemment appeler “la seule énergie perpétuelle mesurable”) découle-t-elle… ET comment l’exploiter dans un futur proche… (rien que pour celle-là => j’ai étudié durant une bonne dizaine d’années avant de trouver, et il m’a fallu presque autant d’années pour arriver à déterminer que ma solution était valable scientifiquement // quelque chose m’échappait // pourtant s’il y a bien une “matière” dans laquelle j’excellais scolairement c’est bien ça, les sciences physiques, cerveau câblé pour, et quand même il m’a fallu 20 ans d’études, alors je doute qu’on comprenne vite quoi/où en s’y prenant à l’arrache à cause de ce point là précis)

    – Comment exploiter l’énergie solaire de la façon la plus optimale possible (sans penser “panneaux photo-voltaïques” H24/7 merci, parce qu’il y a mieux à faire que ces panneaux là ^^)… Bien qu’elle soit une énergie très secondaire, très loin d’être la plus forte/abondante sur Terre, il faut la prendre en considération et ce pour quoi elle est vraiment plus efficace qu’autre chose à sa place (spoil : ce n’est pas la production d’électricité avec les panneaux que nous connaissons tous, là encore les études sont bâclées par les scientifiques parce que soit ils ne sont pas payés pour résoudre ça, soit ils sont payés pour des résultats rapides et bâclés, ce qui bien souvent revient au même => produire des objets, court-termisme etc // les plus talentueux, ou instruits, ne travaillent pas sur ces sujets là, comme celui juste avant, de ce que j’ai constaté en tout cas)

    Etc etc etc etc etc.

    Je pourrais écrire un livre entier, juste à énoncer toutes les problématiques bâclées… L’Université, dans son modèle d’universalité, ne semble pas nous avoir préparés à “tout” comme la combinaison politique va pourtant bien devoir s’y coller…

    Là, encore, je n’ai pas parlé, par exemple, du fait que le budget globale pour la santé mentale est égale à 1/3 du PIB, et qu’on ne fait quasiment rien pour résoudre cette problématique… Et ce n’est pas vraiment un problème dont semblent se soucier (à la hauteur des enjeux) les politiques de tous les partis politiques qui existent. Et je n’ai pas non plus parlé là d’Économie… J’ai étudié tout ça (l’Économie) plutôt vers la fin de mon parcours libre, et finalement ça me semble plus complexe que les pires problèmes de mathématique ou de physique-chimie, et c’est encore un domaine de connaissance où j’approfondis toujours à l’heure actuelle… Et je constate une chose : j’ai fait le grand écart, de croire/dire/penser que je comprenais des choses sur la base d’observations plutôt philosophiques, simples, comme un utopiste au début de mon parcours, pour ensuite mettre ça “de côté” très longtemps, et au final voir que j’avais besoin d’apprendre une masse de choses considérables (en politique de façon plus globale) avant de pouvoir vraiment comprendre ce que j’en comprends péniblement aujourd’hui… L’économie est la chose la plus complexe, à mes yeux, avec l’informatique, si on veut vraiment bien comprendre de quoi on parle et savoir ce qu’il faudra faire. En fait je retombe sur des intuitions que j’avais eues plus jeune, longtemps avant, mais avec plus de détails, et “apprendre à faire le tri” m’a demandé une masse d’études démentielles (en terme de dimension, énorme, pas en importance sur le plan “valeur morale”) et même si ça peut paraître très secondaire, : on ne peut pas faire n’importe quoi sans risquer des conséquences qu’on ne mesure pas avant d’agir (et qui peuvent s’avérer catastrophiques, ne serait-ce qu’en terme de risque d’échec politique dans la durée). Et certaines idées sont tombées à la poubelle, mais j’étais incapable de le faire “à la volée” comme par magie. C’est une tâche, réelle… Vous pourriez voir ça autrement, libre à chacun de voir midi à sa porte, mais vous ne pourriez pas en discuter avec moi dans ces termes dans ce cas. 🤷‍♂️

  • auto-smiley

    Membre
    24 avril 2023 à 19 h 35 min

    @Cherichoux

    À te lire, je me souviens quelques réflexions que j’avais, certaines très proches sur le plan “moral” ou philosophiques… Je relirai tout ça plus tard avec plaisir. Moi aussi je suis parti des Sciences Humaines, pour le dire vite, avant de tout plaquer pour “devenir artiste” (passionné de musique) et par la suite m’engager dans ce que j’ai décrit ==> normalement, j’étais promis à un avenir tout tracé pour devenir docteur en psycho-pédagogie, et j’avais poussé les études quelques temps dans cette voie après un Bac S, même si logiquement j’étais surtout doué en informatique, maths et sciences dites “dures” à la base. Je pense que c’est un bon point de départ, je ne regrette pas ça en tout cas dans ma situation, car le problème Humain est effectivement au cœur du problème, et poursuivre avec “ça” en tête (tel un fil conducteur) ça me semble assez essentiel, oui… Car c’est bien de “système autour de notre Humanité” dont on parle lorsqu’on parle de politique, comment nous nous gérons ci et/ou ça, etc. 😎👍

    Notamment ce que tu écrivais qui apparaît en bas de 1ère page de ce fil ==> ça rejoint des réflexions fortes, préalables, que j’avais dans les premières années où je me penchais sur le problème politique profond… Ça remonte à “entre 1998 et 2003” à peu près… À cette époque c’était très différent pour se booster en connaissance et informations, Internet me servait surtout d’expérience sociale, un peu comme ici, mais en beaucoup plus bordélique (donc potentiellement plus riche d’expérience) et je passais surtout le plus clair de mon temps à dénicher en visionnant tous les documentaires de la nuit sur Arte, à écouter des radios qui étaient beaucoup moins vides qu’aujourd’hui, et en lisant beaucoup (aussi). Désormais : Internet a largement pris le dessus pour me permettre d’accélérer, depuis un sacré bout de temps. Mais les problèmes posés (observables) sont restés les mêmes pour certains (la plupart) car ce que nous connaissons de nos jours ça s’est peu à peu installé, ça ne date pas d’hier tout à fait, même si ça c’est encore très largement aggravé dans l’ensemble.

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