Doit on comprendre, dans votre compréhension, que le néolibaralisme pousse le vice à l’extrême au point de laisser totale liberté jusqu’au sens du néolibéralisme ?
Mais alors, c’est presque comme si cela n’existait pas en définitive. (tout comme le communisme. C.F. mon commentaire sur le sujet)
Pourquoi ne pas prendre un peu de hauteur sur quelque chose qui n’existe fondamentalement pas vraiment ? Ou en tout cas qui n’existe pas « tel quel » ?
Si on se tient à ce côté « fourre-tout » ou « valise » du terme néolibéralisme, c’est bien que son essence se meut en relation directe avec un contexte d’exploitation du principe.
Par exemple : « le néolibéralisme en France ».
On pourra extraire le même principe pour les autres mouvements politiques.
Exemple avec le communisme : le communisme soviétique lui même étant scindé selon la période, on parlera de « communisme stalinien ». Ou en chine, de « communisme Chinois » mais à préciser le gouvernement qui tient les rênes pour êtres précis. Par exemple en parlant du communisme de « Ji Xiping ».
Comme je le disais : le mouvement politique utilise une dénomination pour déterminer la « grande ligne », mais pour être précis, il faut se placer dans un cas précis.
Il en va de même, donc, pour le néolibéralisme.
Dans son essence, il convient d’admettre qu’il est surtout avantageux pour les grands entreprises de la mondialisation (comme Amazon par exemple), mais n’a dans son essence strictement aucun réel levier pour aider le peuple ou préserver la planète.
Cependant, selon le contexte, les politiciens, les entreprises… etc … il pourra être certains cas où le néolibéralisme bénéficie à la population et à l’écologie. Mais, ce détail est indépendant du principe de néolibéralisme.
Oui effectivement, les mots ont un sens, et il ne faut pas tout mélanger.
Quoi qu’il en soit, puisse ces principes ne pas être des prisons qui dictent les actes des dirigeants.