Communisme

  • Membre Inconnu

    Membre
    24 septembre 2020 à 11 h 48 min

    Merci pour votre sollicitude @Alfa

    Je ne vais pas fort ces temps ci, et les agressions et accusations fallacieuses de quelques utilisateurs ici contribuent à une profonde tristesse et baisse de moral. Parfois, l’amour des proches ne suffit plus. Tant qu’il y a des gens malheureux… Ah ! Comme s’il n’y avait pas assez d’horreur dans le monde, ces idiots viennent ici en rajouter !

    Je suis sur le point de publier la bombe que tu aurais dû publier,

    Ah ! Il me tarde de vous lire alors ! 😁

  • Membre Inconnu

    Membre
    27 septembre 2020 à 15 h 39 min

    Le communisme est une religion, avec tous les attributs d’une religion : un ordre sur-humain, un clergé, un dogme, des saints, des schismes etc…

    Marx, lui, n’est pas responsable de la création de cette religion autour de ses écrits.

    Tout d’abord ses écrits économiques restent encore largement valides pour décrire l’économie, ses écrits politiques, et notamment sa rédaction du manifeste du parti communiste, qui serait son péché capital 😁, est largement dictée par sa rancœur contre la bonne société britannique qui l’a marginalisé et ridiculisé, à tord.

    Quand au caractère “naturel” du capitalisme, alors là quelle excellente blague.

    Les canards spéculent-ils, les bulots exploitent-ils les bigorneaux ?

    Le capitalisme est un construct socio-économique, la somme de tous les intérêts particuliers. Il n’a pas été inventé, soit, mais il est bien devenu un modèle défendu becs et ongles par ceux qui en tirent les marrons du feu.

    Je pourrais le comparer à un virus mutagène qui attaque les gardes fous démocratiques de la régulation par les zones de moindre résistance.

  • Membre Inconnu

    Membre
    28 septembre 2020 à 1 h 43 min

    @alfa

    J’avais vu que tu m’avais cité mais je ne viens que de lire ton post.

    Pour l’histoire du “level” que tu évoques, c’est très subjectif… Perso’, je ne fais pas trop de complexe déjà dans l’absolu, mais si toutefois cette idée aurait pu effleurer le reliquat de modestie qui me reste, il suffirait que je lise certains com’ pour que je me dise que non (décidément) “ça va, si j’m’exprime sur ce fil-là, je ne m’exposerais pas trop à pâtir de la comparaison” ^^…

    Je crois qu’il serait quand même souvent bon “d’oser” dans la vie en général (elle ‘se gêne de rien elle !)… Et si tu en es à t’interroger sur ta propre pertinence, ça dénote plutôt positivement de ce que tu ne prétendrais pas être l’unique détenteur de “LA Vérité” ici-bas… Donc vas-y, lâche-toi… D’animer un débat ou de partager des idées à son sujet, c’est également lui donner une petite chance de le faire avancer, d’échanger des opinions et (même parfois !) de parvenir à se faire entendre (mais c’est clair que cela nous expose encore plus souvent à ce qu’il se “congestionne” dans des échanges improductifs).

    Je crois savoir que tu es assez actif dans “la zone” mais je ne passe plus trop “par ici” et je n’ai donc pas vraiment d’élément pour préjuger de toi (ce que l’on ne peut s’empêcher de faire)… Je répondrais donc sans a priori ou d’idée préconçue à ton mot :

    Quand tu écris (en substance) “oui mais, le communisme (par opposition au nazisme), c’était des bonnes idées-intentions à la base”… Je suis d’accord sur le principe, sauf qu’on s’en fout “des bonnes intentions” initiales lorsque le résultat est ce qu’il est et qu’il s’est (en outre) répété avec des variables d’inhumanités fluctuantes suivant les cas, les époques et les situations (certes, mais…), puisqu’avec toujours un degré constant d’incapacité à atteindre ses grands idéaux “dans la joie et la bonne humeur” (ce qu’ils laissent par contre entrevoir) et au contraire, en développant systématiquement un système liberticide et totalitaire sois-disant “pour la bonne cause”, parce que (simplement), cette conception utopiste va à l’encontre de la nature humaine, qu’il ne prend pas en compte ce paramètre qui est pourtant essentiel et qu’en conséquence, il ne peut que nous être asséné de force plutôt que de se voir admis en conscience… Il n’est pas réaliste et donc, pas réalisable si l’on veut la faire accepter-adopter par une majorité sans la contraindre.

    Au passage, on notera (ironiquement) que les nazis se seront (eux) exemptés d’en passé par une “révolution” en bonne et due forme pour s’imposer à leur propre peuple. Car c’est bien la voix démocratique qui les aura menés au pouvoir là où d’emblée, le communisme nécessite presque “mécaniquement” d’en passé par la force pour émerger… En soi, cela donne tout de même à réfléchir sur sa validité intrinsèque je trouve…

    Je dirais aussi qu’à partir de plus d’un million de cadavres, je considère que ce n’est plus seulement l’esprit originel (présupposé “pur”) d’une doctrine qui serait dévoyé par les hommes qui la mettraient en oeuvre mais que c’est bien elle-même qui est mauvaise par son essence et ce, malgré les apparences trompeuses qu’elle véhiculerait. Et dans le même ordre d’idée, la sémantique n’a (à mon sens) alors plus lieu d’être lorsqu’on atteint une telle récurrence dans l’échec et la tragédie… Et qu’un Marx n’ait pas été aussi malveillant ou malintentionné qu’un Hitler ne signifie qu’une chose ; Il était finalement bien plus naïf et déraisonnable que son peintre raté de politicard-dérangé autrichien… Et si le barbu est décédé une cinquantaine d’année avant que ce dernier (moustachu) ne naisse, ils se rejoignent tous deux par leurs langues d’enfances et par leurs attraits communs pour l’imagerie liées au terme “socialisme”… Et ça encore, ça donne matière à réflexion…

    Pour finir, je pense (malheureusement) qu’on n’en a (toujours) pas encore fini avec cette idéologie… Parce qu’on est incorrigible et que ses desseins demeurent séduisants et très capable de nourrir “l’espoir d’un monde meilleur” auprès de certains esprits qui se sentent “exclus du système”… Aussi parce que le seul qui prévaut en laissant quelque place à la liberté, c’est le démocratique, mais que son expression “efficace” met en avant l’inégalitarisme (lui qui est à l’état naturel) et que ceux qui sont “en bas de l’échelle” peinent à en grimper les échelons et prétendront continuellement à mieux et plus pour eux-mêmes… C’est-là une antienne de “l’humanitude” et on devrait s’attacher à y apporter des réponses alternatives viables si on veut se prémunir de se perdre à nouveau dans les affres connus et reconnus d’une politique illusoire.

  • Membre Inconnu

    Membre
    29 septembre 2020 à 1 h 06 min

    @alfa

    Je suis partagé à vrai dire ; Je suis naturellement enclin à (bien sûr) “goûter” ton sentiment personnel sur la qualité que tu perçois dans mon raisonnement… Mais d’une part, je ne sais pas trop comment réagir à ce genre de “congratulation” (très explicite ou “tout court”), aussi parce que je n’en ai pas l’habitude et en outre, pour que j’en conçoive réellement la valeur et que j’apprécie vraiment une telle évaluation, il faudrait que je t’estime moi-même pas mal, ce qui n’est pas le cas en l’occurrence et pour l’heure, puisque je n’ai pas les éléments suffisants me permettant de me faire cette opinion à ton sujet… Il y a aussi que comme je ne suis pas tant touché par les critiques extérieures, je ne porte guère plus d’attention aux félicitations qu’on pourrait m’adresser et je n’en attends pas ; Je pense être conscient de qui je suis et cela me contente en soi ^^ (même si je ne me trouve pas si exceptionnel que ça ou que je connais mes manques et mes travers ainsi que ma perfectibilité)… Je pourrais aussi penser que c’est suspect d’ailleurs… Puis, il me semble que ce pourquoi tu me fais part de ton estimation n’est que naturel et somme toute, très banale comme idée, que cela n’est pas assez significatif pour justifier des mots aussi élogieux…

    Mais bon, j’arrête de faire mon “pisse-froid” de compèt’ et j’accepte (pas gratuitement du coup) ta reconnaissance en la concevant comme sincère a priori… Et en sachant bien que ce dont tu m’as fait part pourra vite évoluer dans un autre sens…

    Pour ce qui est des “échanges improductifs”, j’ai écrit cela en considérant la chose généralement et donc, sans “te viser” (puisque je ne t’ai quasiment jamais lu)… Si j’avais voulu te mettre en cause personnellement, je l’aurais fait plus directement et en me passant de sous-entendus.

    Par contre, c’est vrai que j’ai (“de loin” et très vaguement) “capté” que tu pouvais avoir été toi-même impliqué dans des échanges de cet ordre avec d’autres membres sur ce site (dont certains avec lesquels j’avais probablement communiqué ici et que j’ai pu reconnaître pour avoir eu des partages d’une certaine qualité avec eux)… Néanmoins, au risque de me répéter, je ne connais pas les raisons de ces dissensions que tu as eu, ni la teneur de vos propos et je ne peux alors me faire un avis sur rien…

    Dans l’ensemble, j’aurai tendance à avoir un regard plutôt tolérant sur ces “confrontations” en les trouvant naturelles et acceptables dans la mesure où on parvient à rester dans une maîtrise et que l’on n’en arrive pas à insulter grossièrement son interlocuteur ou à chercher de le blesser de façon plus perfide… Mon attachement à la franchise et mon propre passif me conduisent aussi à me montrer peut-être plus dans l’acceptation de ce type de relation “vivante”, parce que c’est aussi ainsi que des dialogues peuvent consacrer un rapprochement en donnant un éclairage spécialement intéressant sur l’autre et que nos caractères comme nos personnalités devraient pouvoir s’exprimer plus librement qu’une certaine bien-pensance aseptisée ne nous le permettrait communément… Si tant est que l’on aurait quelque chose à (se) dire bien sûr et dans le cas où tout ceci ne se réduirait pas à des espèces de “règlements de compte” puérils…

    Je note que tu reviens pas mal sur ton rapport à la mort en estimant que ce n’est pas une fin en soi et en soulignant que ta conception impacte sur ton approche de la vie. Je suis en phase avec toi sur cette idée qu’on n’est “ici-bas” que “de passage” et que la fin de notre présence dans ce monde ne correspondrait pas à la terminaison définitive de notre existence (même si ma vision de “l’après” est forcément nébuleuse)… Mais, disons qu’il ne s’agit-là, à mon sens, que d’une croyance très personnelle et que je l’appréhende comme une facette inhérente à ma personnalité et issue de ressentis profonds plutôt que comme une base de réflexion qui influerait tellement sur le reste de mes observations quotidiennes ou sur mon comportement habituel (même si oui, ce n’est pas anodin).

    Je veux dire par là que je peux avoir cette certitude intime, que je peux m’intéresser à la philosophie et au spirituel, mais que je ne suis pas fondamentalement un “mystique” pour autant et qu’à l’opposer, j’ai un pan de pragmatisme très prégnant en moi, lui qui me porte à ne pas mélanger l’ensemble qui est diffus, intemporel ou immatériel à celui qui recouvre le concret, le visible ou le palpable… En n’ignorant cependant pas que les deux peuvent être aussi consistant l’un que l’autre par contre, ni qu’il est possiblement des liens entre tout.

  • Membre Inconnu

    Membre
    30 septembre 2020 à 22 h 19 min

    “Méga cerveau” ça me ferait plaisir si c’était vrai (ou pas en fait)… Je dispose du mien (comme tous) qui est un modèle dont je pense qu’il est plutôt standard et je m’en sers à hauteur de 10% de ses capacités (il paraîtrait) simplement. Ensuite, quant à savoir si j’utilise positivement cette petite partie qui est accessible à ma conscience au travers de mes réflexions et des choix qu’elles entraînent, je dirais que j’ai “la faiblesse” de croire que oui, globalement et relativement, mais bon… Je ne vois rien de si remarquable là-dedans et je suis aussi très capable d’énoncer des conneries (sans efforts apparents) par ailleurs…^^

    Il faut aussi considéré que je suis “vieux” (55 berges) et que peut-être, mes expériences de vie (que je n’estime pas si nombreuses) m’auront été profitables en ce que j’aurais su (en général) correctement les analyser par ma réflexion et que, partant de là, j’aurais su en former quelques conceptions cohérentes parce que (aussi) ma personnalité et ce qui la caractérise aura pu, au fil du temps, conforter un certain discernement (ce que je m’accorde)… Mais je n’ai pas à déplorer de traumatisme perturbateur dans mon parcours et cette chance-là ne dépendait en rien de moi.

    En matière de “Near Death Expérience”, je n’ai pas de position arrêtée puisque que cela ne relèverait alors que d’une conviction (profonde ou pas) et qu’il serait bien difficile (ou impossible) de démontrer quelque chose de très fiable partant de ces souvenirs que l’on nous rapporte, eux qui sont plus ou moins diffus et normalement empreints d’émotivité, d’affect ou d’autres paramètres susceptibles de laisser planer un doute sur comment les considérer, non pas qu’ils seraient inventés mais de par ce qu’ils seraient plus issus de sentiment que de constat factuel et appréciable objectivement avec assez de détachement… Je me contente donc d’écouter (sporadiquement) ces témoignages, avec attention, sans les négliger a priori mais sans non plus ignorer qu’ils sont forcément discutables aussi.

    Effectivement donc, la science ne pourra jamais valider formellement l’intangible ou le subjectif qu’un ou plusieurs individus peuvent exprimer et ce que nous racontent ceux qui ont perçus intérieurement ou intimement ces visions ne peuvent être que de cette nature… Cela n’empêche nullement que l’on s’en passionne ou qu’on y trouve des points communs ou des éléments pour se forger une idée personnelle et j’entends que le tient semble déjà fait. Il y a de toute façon toujours un intérêt à tendre de rassembler et d’analyser statistiquement ces récits ou à tenter d’appréhender ces vécus sous un regard psychologique et de s’arrêter sur les profils des témoins en question par exemple…

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