L’humain, un vivant comme les autres ?

  • le_bacteriophage

    Membre
    25 janvier 2024 à 18 h 58 min

    @ex_

    Essaierais-tu de dire qu’il n’y aurait pas pire que ce type de démarche pour toucher le spirituel?

  • ex_

    Membre
    25 janvier 2024 à 19 h 26 min

    @le_bacteriophage

    Nan.
    Moi Yana Singe!

    Houba. Skoupdvavic! hiphips HOU!

  • sarah-mg

    Membre
    25 janvier 2024 à 21 h 00 min

    @le_bacteriophage

    je suppose que la formulation “nous extraire de la nature” n’est pas la bonne pour toi. Tu penses que c’est quelque chose d’extrême ou d’irréalisable?

    <font color=”rgba(0, 0, 0, 0)” face=”inherit”>Je ne pense pas que ce soit </font>extrême<font color=”rgba(0, 0, 0, 0)” face=”inherit”> ou irréalisable. Je m'</font>interroge<font color=”rgba(0, 0, 0, 0)” face=”inherit”> sur le pourquoi. Le comment est flagrant, mais le pourquoi… Pourquoi vouloir s’extraire de la nature ?</font>

    Si l’on considère que nous somme un “vivant différent”, on peut élaborer plein de perspectives, comme la notion même de l’énergie qui s’épuise…

    Si nous somme un vivant comme les autres, cela devient plus compliqué.

    C’est comme si l’humain cherchait à s’extraire de la finitude terrestre, si je devais utiliser d’autres mots pour laisser cours à ta pensée (ou ce que j’en comprend). Le but visé serait de pouvoir continuer à sur-consommer de l’énergie, à viser l’immortalité (que l’autodestruction cellulaire interdit) ? Quel serait l’objectif selon toi de cette exigence d’extraction ?

    Avons-nous perdu notre instinct de survie ou l’avons nous manipulé ? (car tu dis maquillé à un moment). Ce n’est pas très clair du coup.

    Sinon, rien à voir mais, est-ce que tu te souviens du pseudo de la personne qui a posté la première réponse à ton sujet?

    Elle s’appelait “civax” un truc dans le genre.

  • sarah-mg

    Membre
    25 janvier 2024 à 21 h 02 min

    @Vegeta

    Je ne peux pas te dire… Tu parles d’obsession, le suis-je ?

    Cela ne me semble ni contraignant, ni absurde (mais je comprend que tu puisse utiliser ce terme).

    Je cherche des mots… Ceux que je ne trouve pas, ceux que l’on a pas inventé parce qu’on a jamais eu l’idée de les chercher.

    C’est pas tant l’origine que je cherche, c’est quand certaines choses sont elles devenues lois et pourquoi. Où était-ce pourquoi puis quand ?

    Tu vois, c’est encore confus…

    La matérialisation répond à des lois complexes et immuables qui ont été en évolution constante plus la matière s’est complexifiée. Alors tout n’est pas arrivé du jour au lendemain, il y a eu beaucoup “d’essai-erreurs”. Ce que l’on observe est ce qui a fonctionné.

    Sommes nous un “essai” ou sommes nous fonctionnels ?

    Je sais que je n’aurais pas la réponse, mais les points de vues m’intéressent (pour les mots utilisés…)

  • sarah-mg

    Membre
    25 janvier 2024 à 21 h 04 min

    @hautpotentieldeconneries

    Donc, pour toi, on serait un essai-erreur. Mais pourtant, je m’interroge. Un essai erreur, peut-il éradiquer tout un système fonctionnel ? Etant de la matière complexe, nous sommes soumis aux lois de la physique, de la chimie et de la biologie. Cet ensemble de règles strictes, abondantes et contraignantes devrait empêcher une altération majeure du système.

    Je sais pas si tu vois ce que je dire…

  • sarah-mg

    Membre
    25 janvier 2024 à 21 h 08 min

    @generatrice_de_vierges_chemins

    Je t’accorde que nous n’avons aucun point de comparaison, d’où tant de questionnement sur ce que serait ce “nouveau vivant”.

    ok pour la spiritualité, je connais cette approche.

    Je sais que tu as lu ce que j’ai pu écrire ultérieurement alors j’espère que tu vas me suivre dans ma pensée.

    Il est une compétence que l’humain a développée, c’est celle du langage.

    J’expliquais que les mots étaient les signifiants de concepts. Que les concepts sont des représentations mentales (sous-entendant que la “vision” était le principal outil qu’utilise l’humain pour imaginer/visualiser).

    Qu’il existe deux types de concepts, ceux qui décrivent des choses matérielles et ce qu’on appelle les concepts abstraits.

    Autant les mots fonctionnent bien pour s’accorder sur les objets matériels, autant pour le reste les mots sont vides et pleins en même temps, donc ils ne veulent rien décrire de précis.

    Pour moi, la spiritualité, c’est tout ce je créé dans mon imagination qui est non-matériel (donc non-visible).

    La spiritualité ne peut pas être quelque chose de figé, c’est créatif.

    Tu parles d’information. Depuis la complexification de la molécule en cellule, la matière est informée. Elle est informé matériellement par l’ADN. Elle contient tout le code d’auto-organisation que devront adopter les cellules pour préserver l’intégrité de l’organisme complexe.

    Si la spiritualité était une nouvelle compétence ou une nouvelle loi, ne devrions nous pas avoir le code qui va avec ? Une sorte de “langage spirituel”, utilisable par tous les humains.

    Selon toi, sommes nous en train de développer cette compétence et que l’outil va venir ensuite ?

    Quel serait la finalité de la spiritualité ? Transmettre de l’information à des éléments non-matériel dans cet univers ? Leur donner la vue ?

    J’espère m’exprimer correctement.

  • le_bacteriophage

    Membre
    25 janvier 2024 à 21 h 21 min

    @Sarah-Mars

    Je pense effectivement qu’une bonne part des sociétés humaines n’aiment pas bien l’idée de la mort et qu’elles cherchent à s’extraire de la nature pour cela. Je fais un lien direct avec ce qui me semble incroyablement partagé aujourdhui (sans comprendre pour ça devrait être un but) : la recherche de la postérité. Comme si la postérité était forcément quelque chose de merveilleux quand moi j’y vois l’incarnation du plus grand trouble de l’homme.

    Pour l’instinct de survie, je pense que nous l’avons maquillé et finit par le perdre. L’un a conduit à l’autre.

  • haeresis

    Membre
    25 janvier 2024 à 23 h 52 min

    Obsession.. le terme est un peu fort.
    Mais c’est récurrent chez toi.

    Pour ce qui est des mots.
    On a inventé “irrémédiable”.
    C’est comme “inéluctable”, mais avec une connotation péjorative.
    Quoi qu’inéluctable, c’est pareil.
    C’est quand c’est dommage que ça ne puisse pas être différent.
    xd.

    Et, effectivement, les mots manquent quand seules leurs négations sont écrites dans le dictionaire.
    Cela dit, si l’on a eu l’idée de les nier… c’est qu’on n’a pas oublié de les chercher. xd.

    Ces lois… il est inutile de les inventer, pour les découvrir.

    Aujourd’hui je suis peu de choses.
    Mais j’ai beaucoup pratiqué l’essai/erreur.
    L’axiome, plutôt que l’interrogation.
    Dire, et se tromper. Jusqu’à s’être suffisamment trompé.
    Faire des équations pour tomber sur une conclusion…… c’est utopique.
    L’avantage de l’axiome, c’est que tu peux identifier pourquoi elle tient pas debout.
    Et donc, ne pas reproduire l’erreur en question.
    Mais tant que tu n’affirmes rien, tu n’as rien à remettre en question, sinon que des questions.

    Il s’agit de faire des phrases… des phrases à trous.
    De repérer les trous. Et de les remplir.
    Alors, en construisant la phrase, l’on repère autour de quoi elle s’articule.
    Il s’agit de mettre en contraste, de faire ressortir ce qui manque.
    Mais tu ne peux pas construire la phrase autour du trou.
    Tu ne peux pas partir de ce qui manque.

    Biensur que c’est confus..
    Mais avoir peur de passer pour un con…. c’est bien le pire ennemi de la science, et le meilleur ami de la confusion.
    Aujourd’hui, les analphabètes veulent se faire appeler docteurs.
    Et s’ils n’assument pas leur confusion…. ils ne s’en portent pas plus lucides.

    Essaie de formuler ce que tu cherches.
    Ta réponse à hpdc va dans ce sens.
    Formule-la, encore.
    Je t’encourage.
    Quant à ma réponse… tu la connais.
    L’humain n’est pas comparable au reste du règne élémentaire.
    Et s’il préserve son intégrité, il la préserve envers un danger non-avenu.
    Si la girafe est une chèvre qui pratique l’essai/erreur… elle n’en est pas moins irrémédiable.
    Ses ressources tactiques sont conséquence de ses essais, de ses erreurs.
    Des pixels noirs sur des pixels blancs…….. c’est la conséquence de rien du tout.
    C’est la partie essai qui n’existe plus.
    L’humain n’essaie pas de s’adapter à quoi que ce soit.
    Il est juste dans l’erreur. xd.

  • haeresis

    Membre
    25 janvier 2024 à 23 h 58 min

    Je fais le pitre, mais c’est très important, cette question d’affirmation/interrogation.
    D’essai/ d’erreur.

    La chèvre essaie et échoue à jouer à chat perché avec les lions.
    L’humain, il essaie et échoue à quel jeu ?

    Darwin nous disait que.. l’humain, c’est le seul animal à trébucher deux fois sur la même racine.
    Ce qui, venant du père de la question autour de la sélection naturelle… relève du dernier des sarcasmes.
    Si les animaux ne peuvent se payer le luxe de trébucher deux fois au même endroit… c’est que la première fois, ils en crèvent.
    C’est d’ailleurs en cela que réside la sélection naturelle. N’est-ce pas. Elle est qualitative.

    Tu te souviens quand je parlais de l’affirmation de l’interrogation, de la matière,
    Manger le solide, boire le liquide, respirer le gazeux…
    Et quid du feu ?
    C’est quoi l’énergie ?
    C’est le temps.
    Consommer l’événement, interagir, exister.

    La girafe est une chèvre interactive.
    Et c’est pas mal de savoir jouer à chat perché, par chez elle.
    D’façon elle a pas trop le choix, c’est ça ou s’éteindre.
    La girafe est une chèvre inéluctable, ou la girafe n’est pas

    L’humain… il consomme quel événement ?
    Il s’adapte à quoi ?
    S’il n’a pas de fonction.

    Il est chaud à quel point, le feu de demain ?

  • haeresis

    Membre
    26 janvier 2024 à 0 h 16 min

    (Et la girafe est)

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