L’humain, un vivant comme les autres ?

  • L’humain, un vivant comme les autres ?

    Publié par sarah-mars le 23 janvier 2024 at 18 h 01 min

    Bonjour Ă  tous,

    Je vous propose de vous interroger sur les agissements de l’ĂŞtre humain vis-Ă -vis de son environnement.

    Certains sont atterrĂ©s, d’autres perplexes, d’autres confiants.

    Certains trouvent ce comportement suicidaire, d’autres pensent qu’une solution d’Ă©quilibre sera trouvĂ©e, d’autres pensent que l’on peut continuer sans se poser de questions.

    Certains pensent qu’il est normal pour l’humain de dominer son environnement, d’autres pensent qu’on devrait vivre en harmonie avec lui, d’autres pensent que la terre se porterait bien mieux sans lui.

    Je vous propose une étude à choix multiples dont la finalité serait :

    1. Soit l’humain se comporte comme tous les autres vivants. Quel serait donc la finalitĂ© hypothĂ©tique que vous envisagez ?

    2. Soit l’humain ne se comporte pas comme tous les autres vivants. Quel serait donc sa nature ? Vers quoi tend-il ?

    Vous pouvez vous positionner ou pas…

    Merci d’argumenter vos propos et de laisser chacun s’exprimer sans jugements.

    hautpotentieldeconneries a rĂ©pondu 1 year ago 9 Membres · 35 RĂ©ponses
  • 35 RĂ©ponses
  • Unknown Member

    Member
    23 janvier 2024 at 18 h 10 min

    Soit l’humain se comporte comme tous les autres vivants.

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    Si l’on considère que l’humain se comporte comme tous les autres vivants, c’est-Ă -dire qu’il cherche Ă  survivre et Ă  se reproduire, alors sa finalitĂ© hypothĂ©tique est d’atteindre un Ă©quilibre avec son environnement. Cet Ă©quilibre est nĂ©cessaire pour assurer la survie de l’espèce. En effet, tout organisme vivant est en interaction constante avec son environnement. Il en tire les ressources dont il a besoin pour vivre, et il y rejette des dĂ©chets. Si ces interactions sont trop perturbĂ©es, l’organisme peut ĂŞtre menacĂ© de disparition. Dans le cas de l’humain, cet Ă©quilibre est fragile. L’activitĂ© humaine a un impact important sur l’environnement, et ce impact est de plus en plus important. La pollution, la dĂ©forestation, le changement climatique, sont autant de facteurs qui perturbent l’Ă©quilibre naturel. Si l’on ne prend pas des mesures pour rĂ©duire cet impact, il est probable que l’humanitĂ© s’expose Ă  des risques importants, tels que la pĂ©nurie de ressources, la propagation de maladies, ou encore l’effondrement des Ă©cosystèmes.

    <div>


    Soit l’humain ne se comporte pas comme tous les autres vivants.

    Si l’on considère que l’humain ne se comporte pas comme tous les autres vivants, c’est-Ă -dire qu’il a des aspirations qui dĂ©passent la simple survie et la reproduction, alors sa nature est plus complexe. L’humain est capable de rĂ©flexion, de crĂ©ation, et de communication. Il est Ă©galement capable de compassion, de solidaritĂ©, et d’amour. Ces capacitĂ©s lui permettent de transcender sa condition animale et de s’inscrire dans une dimension spirituelle. Si l’on considère que l’humain est un ĂŞtre spirituel, alors sa finalitĂ© est de se rĂ©aliser pleinement, c’est-Ă -dire de dĂ©velopper ses potentialitĂ©s et de trouver un sens Ă  sa vie. Dans cette perspective, l’environnement n’est pas seulement un moyen pour survivre, mais il est aussi un lieu de ressourcement et de spiritualitĂ©. L’humain a le devoir de le respecter et de le protĂ©ger, car il est une part de lui-mĂŞme.

    <div>

    Vers quoi tend l’humain ?

    La rĂ©ponse Ă  cette question est difficile, car elle dĂ©pend de la finalitĂ© que l’on attribue Ă  l’humain. Si l’on considère que l’humain est un animal comme les autres, alors il est probable qu’il continuera Ă  exploiter son environnement de manière destructrice. En effet, la logique de la survie et de la reproduction est souvent incompatible avec la prĂ©servation de l’environnement. Si l’on considère que l’humain est un ĂŞtre spirituel, alors il est possible qu’il Ă©volue vers une relation plus harmonieuse avec son environnement. L’humain pourrait alors apprendre Ă  vivre en harmonie avec la nature, en respectant ses limites et en prĂ©servant sa biodiversite.</div>

    Laquelle de ces deux perspectives est la plus probable ?

    L’avenir nous le dira. Mais une chose est sĂ»re : la manière dont l’humain va Ă©voluer vis-Ă -vis de son environnement aura un impact profond sur la planète et sur l’avenir de l’humanitĂ©.

    </div></div>

  • le_bacteriophage

    Member
    23 janvier 2024 at 18 h 31 min

    Salut @Sarah-Mars et merci pour ce sujet,

    Je ne pense pas mettre la soliditĂ© de l’argumentaire en première ligne dans les rĂ©ponses que je vais t’adresser. Dans un premier temps en tout cas.

    DĂ©jĂ , je rĂ©agis Ă  une petite chose avant d’indiquer vers quelle option je me place.

    Certains pensent qu’il est normal pour l’humain de dominer son environnement, d’autres pensent qu’on devrait vivre en harmonie avec lui, d’autres pensent que la terre se porterait bien mieux sans lui.

    Il me semble surtout que peu pensent rĂ©ellement sur ces sujets. De mon cĂ´tĂ©, je ne sais pas si je pense beaucoup mais je suis obligĂ© d’admettre que ça s’inscrit (ou ça s’est inscrit en tout cas) directement dans ce qui a donnĂ© du relief Ă  mon trouble anxieux. Je ne sais pas si on devrait vraiment vivre en harmonie avec l’environnement mais j’estime que nos pratiques ne devraient jamais avoir Ă  ĂŞtre aussi dĂ©connectĂ©es de ce qui nous entoure. Il me semble que ce qui nous a amenĂ© lĂ  oĂą on en est, c’est justement cette facultĂ© que l’on a Ă  trop penser, Ă  trop ouvrir le champs des possibles, Ă  trop laisser place au “on peut y arriver, pourquoi s’en priver?”. Bref, une impulsivitĂ© couplĂ© Ă  Ă  un rapport Ă  la frustration toujours plus problĂ©matique. A mon sens, toutes ces postures nous ont amenĂ© Ă  perdre notre instinct de survie et donc Ă  nous extraire de la nature. Parce que c’est bien ça pour moi que cette perte de lien avec l’environnement incarne.

    Au sujet de ceux qui pensent que la terre se porterait bien mieux sans nous (et c’est ce que j’ai pensĂ© longtemps), je leur rĂ©pondrai que c’est insondable et que la terre s’en branle pas mal de nous. Il y a des Ă©vènements qui se passent. La terre ne va pas disparaĂ®tre sous notre action. Il y aura des extinctions et d’autres choses Ă  venir. Elle en a vu d’autres et elle en verra d’autres. C’est tout.



    Pour le choix multiple, je vais vers le choix numĂ©ro 2. L’humain n’a plus d’instinct de survie, il s’en est peu Ă  peu dĂ©tachĂ©. Sa nature Ă©tait tout autre Ă  la base mais peut-ĂŞtre qu’il s’agit simplement de notre Ă©volution que d’avoir perdu cet instinct. Peut-ĂŞtre que nos fonctionnements, la richesse de notre pensĂ©e n’ont rien de très naturel au final. Le reste du vivant (ptete pas tout mais globalement) mĂŞme semble ĂŞtre suffisamment stupide (ironie) pour ne pas avoir la prĂ©tention de devoir faire toujours plus. Donc l’humain tend vers son extinction et il amènerait avec lui ce que ses nĂ©vroses lui auront masquĂ©. La pensĂ©e est merveilleuse mais la pensĂ©e est dangereuse. Je pense qu’on ne le prend pas suffisamment en compte et je pense clairement aujourd’hui que trop penser nous Ă©loigne de l’expĂ©rience de la vie et donc d’une des composantes majeures pour la comprĂ©hension de ce que serait “vivre”.

    A cĂ´tĂ© de ça, mon choix est de viser la sobriĂ©tĂ©, le plus possible. C’est le choix qui me semble le plus global et qui amène Ă  prendre le plus de choses en compte et Ă  la plus grande remise en question. Le travail est gargantuesque et il me suivra toute ma vie. Tant mieux, j’ai besoin de ce type de dĂ©fi et je n’ai rien trouvĂ© de plus puissant que celui-ci. Ă€ cĂ´tĂ© de ça, c’est aussi le choix de l’anxiĂ©tĂ© mais ça ne me dĂ©range pas de vivre avec cette anxiĂ©tĂ© qui, par mĂ©canisme, me permet de rester très attentifs Ă  des sujets qui me semblent plus important que d’autres.

  • lisouille

    Member
    23 janvier 2024 at 18 h 34 min

    Bonjour,

    Merci pour cette intéressante réflexion !

    Ma réponse est que comme tout être vivant, l’humain va partager des caractères communs aux autres êtres vivants, il mange, se reproduit…

    Mais là où l’humain se différencie des autres êtres vivants par le fait qu’il est le seul à exploiter son environnement de façon massive et à avoir développé un héritage culturel et historique hors norme, par exemple par le langage, les connaissances communes. L’humain va également se différencier par sa pensée, l’être humain se pose des questions sur les phénomènes qui l’entourent et tente d’y répondre à travers les sciences et la philosophie. Il exploite également son environnement par l’inspiration et la créativité.

    Ainsi, toutes ces choses font pour moi que l’être humain est différent des autres êtres humains.

    Cependant nous pensons tous différemment et si certains gardent un certain lien avec la nature, d’autres se contentent de l’artificiel, et cette diversité de pensées ne nous conduira à nul part tant qu’il y aura des humains pour s’y opposer.

  • Unknown Member

    Member
    24 janvier 2024 at 0 h 17 min

    L’humain n’a pas de fonction propre, pas de fonction systĂ©mique.
    Fonction indéfinie, infinie -> comportement inadapté.
    Le comportement humain ne dépend pas des enjeux de son environnement.

    La chèvre, en afrique du sud, devient girafe.
    Les longues pattes, c’est pour la diplomatie avec les chats.
    Le long coup, c’est pour la diplomatie avec les feuillages hauts.

    La chèvre, au tibet, devient un bouquetin.
    Les cornes, c’est pour la diplomatie avec les chats.
    Les petites pattes, c’est pour taper la grimpette sur des falaises Ă  90°

    Dans les deux cas, la chèvre s’adapte Ă  une opportunitĂ©, Ă  un “besoin” systĂ©mique.
    -> fonction définie et aboutie

    Une fonction, c’est un comportement type, dans un environnement type, face Ă  un Ă©vĂ©nement type.
    -> comportement chrono-logique.

    Absence de fonction = comportement injustifié, évitable, dans un environnement inéluctable.

    —-> chaos

    ———> humain = stoicheio dynamique.
    Comportement entropique dans un environnement enthalpique.

    —–> nĂ©gation des rapports hiĂ©rarchiques, extinction des relations, Ă©vitabilisation des interactions.

    —–> nĂ©ant
    ( c’est la vertu)

  • sarah-mars

    Member
    24 janvier 2024 at 7 h 24 min

    @membre_inconnu

    c’est-à-dire qu’il cherche à survivre et à se reproduire

    La population mondiale croĂ®t, donc pour le moment on est toujours dedans en effet, mais ça commence Ă  coincer dans nos sociĂ©tĂ©s modernes (malbouffe, produits addictifs et mortels, suicides, infertilitĂ©, non-dĂ©sir d’enfant, cĂ©libat…)

    il a des aspirations qui dépassent la simple survie et la reproduction, alors sa nature est plus complexe

    A chaque fois, que la matière s’est complexifiĂ©e, cela a induit de nouvelles compĂ©tences mais aussi de “nouvelles lois” d’auto-organisation. Tu me parles des compĂ©tences après, quelles seraient selon toi ces nouvelles lois ?

    L’humain est capable de réflexion, de création, et de communication.

    Au niveau compĂ©tences, je ne garderais que la crĂ©ation dans cette liste, les deux autres pouvant ĂŞtre observĂ© Ă©galement chez certains animaux. Je parlerais mĂŞme, pour ĂŞtre encore plus spĂ©cifique et prĂ©cise : “d’artificialisation” (DĂ©finition : qui remplace la nature par l’art ou l’artifice, peu naturel, crĂ©Ă© par l’Homme, crĂ©Ă© de toutes pièces, inventĂ©, programmĂ©).

    Il est également capable de compassion, de solidarité, et d’amour

    Par contre, aucune de ces compĂ©tences n’est spĂ©cifique Ă  l’humain. De plus, l’humain est capable de les rĂ©primer… ce qui ne me semble pas ĂŞtre le cas des animaux… Il artificialise mĂŞme ses sentiments.

    Ces capacités lui permettent de transcender sa condition animale et de s’inscrire dans une dimension spirituelle

    C’est peut-ĂŞtre ce que tu vis, mais est-ce que c’est ce que tu vois autour de toi ? Moi je vois, que les “capacitĂ©s spĂ©cifiques” qu’il a, lui servent Ă  tout dĂ©truire, mais je vis peut-ĂŞtre pas dans le mĂŞme bled que toi…

    Est-ce prophétique ? (Je pose la question sérieusement). Quand et comment cet objectif sera-t-il atteint ? Via quelles compétences acquises ? Via quelles lois ?

    Merci d’avoir pris le temps…

  • sarah-mars

    Member
    24 janvier 2024 at 7 h 31 min

    <div>@le_bacteriophage </div>

    A mon sens, toutes ces postures nous ont amené à perdre notre instinct de survie et donc à nous extraire de la nature. Parce que c’est bien ça pour moi que cette perte de lien avec l’environnement incarne.

    Je te propose une autre vision des choses : “Toutes ces postures nous ont amenĂ©es Ă  artificialiser notre survie et donc nous distancer de la nature”. Qu’en penses-tu ?

  • sarah-mars

    Member
    24 janvier 2024 at 7 h 44 min

    @Lisouille

    Merci pour ton intervention, nos pensées vont un peu dans la même direction.

    par exemple par le langage, les connaissances communes.

    Le langage est en effet une crĂ©ation majeure… mais, il reste au niveau de ce que l’humain peu faire de mieux, quelque chose au pouvoir bancale. Il reste artificiel, il n’a rien de rĂ©el… Parfois, je cherche des mots, et je me rend compte qu’ils n’existent pas.

    Donc, soit l’humain n’est pas capable de les concevoir (crĂ©er une reprĂ©sentation mentale et montrable aux autres) ou alors ces concepts n’intĂ©ressent que si peu de personnes que l’on ne leur Ă  jamais attribuĂ© de mot (c’est pas très dĂ©mocratique…)

    Le partage des connaissances est fondamental aussi… Mais Ă  quoi nous sert-il ? Sinon, tout dĂ©truire ?

  • sarah-mars

    Member
    24 janvier 2024 at 7 h 53 min

    @Vegeta

    négation des rapports hiérarchiques, extinction des relations, évitabilisation des interactions.

    Oui, en est lĂ  pour moi… en effet.

    Après tu connais ma pensĂ©e : artificialisation de nos Ă©changes caloriques => diminution de nos Ă©changes caloriques avec le vivant… C’est ce qui nous distingue indĂ©niablement du reste du vivant terrestre.

    Mais cette main, cette putain de main, qui a, un jour, attrapĂ© ce bois brulant, qui a entretenu ce feu, qui l’a compris… N’y trouves-tu vraiment aucune fonction ? (Ok les singes en ont, mais ils ont aussi une fourrure et ne se sont pas dĂ©placĂ©s dans des pays ou la tempĂ©rature mettait en jeu leur survie).

    A-t-il fallu artificialiser la peur afin de s’approcher de ce feu ? Ca commence par quoi ? La main, Le cerveau ?

  • le_bacteriophage

    Member
    24 janvier 2024 at 10 h 25 min

    @Sarah-Mars

    J’ai lu ce que tu dis un peu plus haut sur l’artificialisation et la reformulation que tu me proposes me sembles effectivement intĂ©ressante. Merci pour ça.

    Je n’irai pour l’instant pas chercher Ă  savoir autre chose que ce que tu en dis mais je vais y rĂ©flĂ©chir un petit peu.

    Dans un premier temps, je suppose que la formulation “nous extraire de la nature” n’est pas la bonne pour toi. Tu penses que c’est quelque chose d’extrĂŞme ou d’irrĂ©alisable? Pour moi, nos sociĂ©tĂ©s “Ă©voluĂ©es” en sont arrivĂ©es Ă  un tel point que, pour le moment, je n’ai pas de soucis Ă  utiliser ce mot qui est “extraire”. Certes il y a encore des choses qui nous ramène Ă  un Ă©tat plus naturel et mĂŞme des personnes qui semblent globalement nous y ramener mais… Ce n’est pas le but et tout me semble ĂŞtre fait dans la sociĂ©tĂ© humaine pour se distancier suffisamment pour ne pas pouvoir en revenir. Et donc s’extraire… Je pense mĂŞme que c’est une volontĂ© claire des dirigeants (je ne parle pas que des politiciens qui ne sont au final que des pionts) et qu’il y a un travail d’Ă©quipe, en tout point une Ă©quipe religieuse, qui dĂ©veloppe et donne vie Ă  leur crĂ©ature, celle qui est sensĂ© justifier la vie et notre prĂ©sence. Bref, je vais m’arrĂŞter lĂ  pour l’instant.

    Aussi, quand tu Ă©voques l’artificialisation de nĂ´tre survie, tu entends que l’homme aurait transformĂ© les Ă©lĂ©ments de survie pour se crĂ©er de nouvelles perspectives d’Ă©volution tout en prĂ©tendant que c’Ă©tait pour assurer sa survie? Est-ce bien ça? Pour moi, c’est effectivement le cas mais ça illustre surtout bien le fait que l’instinct de survie a Ă©tĂ© maquillĂ© et qu’il l’a Ă©tĂ© suffisamment pour finalement ne plus avoir grand chose Ă  voir avec ce qu’il devrait ĂŞtre. Alors certes, c’est très poĂ©tique mais on en est presque Ă  estimer que ce serait le seul moyen de faire de la poĂ©sie, alors que la poĂ©sie Ă  mon sens est l’un des moyens le plus puissant avec ce qui nous permettrait de retrouver un “enracinement”. On en est donc mĂŞme Ă  avoir agit sur ce qui est sensĂ© nous assurer une sorte de retraite. Ce qui nous amène donc bien Ă  avoir perdue nos instinct de survie (Ă  grande echelle) et Ă  ne plus pouvoir le retrouver. A moins d’un cataclysme, voir mĂŞme plus probablement plusieurs et certains s’en frottent les mains parce que, de tout en haut, ils en ont toujours bĂ©nĂ©ficiĂ©, continuent d’en bĂ©nĂ©ficier dans le prĂ©sent, que ça nourrit leur futur et donc leurs symboles religieux incroyablement pĂ©renne et qui le restera donc Ă  grande Ă©chelle (donc pour la globalitĂ© de notre espèce).

    Sinon, rien Ă  voir mais, est-ce que tu te souviens du pseudo de la personne qui a postĂ© la première rĂ©ponse Ă  ton sujet? Je ne l’avais pas vu et, apparemment, son compte a Ă©tĂ© supprimĂ© donc je ne sais pas de qui ça vient.

    Merci Ă  toi.

  • Unknown Member

    Member
    24 janvier 2024 at 19 h 02 min

    @Sarah-Mars

    J’ai dit fonction indĂ©finie et infinie.

    La question que je veux te retourner c’est…
    Pourquoi ça t’obsède autant, l’origine du phĂ©nomène ?
    C’est quoi que tu cherches.
    Je ne comprends pas.

    D’une part, ça me semble impossible Ă  rĂ©soudre.
    D’une autre… ça me semble inutile.
    Le tout c’est de percevoir les tenants et les aboutissants.
    Pour ce qui est de l’origine et du terminus….
    Je ne vois pas comment c’est possible ni ce que ça apporte.

    Pourquoi l’humain tient Ă  domestiquer le feu… j’en sais rien, je m’en tape.
    Le fait est qu’il le fait.
    La question c’est…. qu’est-ce que ça implique.
    En l’occurrence, il semble que sa fonction, ce soit la stĂ©rilisation Ă©vĂ©nementielle.
    La décélération de la fréquence, de la densité, de l’inertie événementielle.
    Le refroidissement….. la dĂ©sincarnation, la transcendance.
    D’ailleurs on n’a pas attendu le numĂ©rique pour interagir avec le virtuel.

    Une fois que ceci est Ă©tabli….. Qu’est-ce que tu cherches de plus ?
    C’est pas que je veux te dĂ©nigrer ou te retirer ta lĂ©gitimitĂ© Ă  le faire..
    C’est juste…. ça me percute pas.
    J’aimerai que tu le formules, mĂŞme si c’est maladroit, mĂŞme si t’as pas les mots.
    C’est quoi l’objectif de cette question, c’est pour quoi faire ton outil.
    Pourquoi c’est important, l’origine ?

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