Hello, je la fais courte car pas le temps ici.
Mais j’ai quand même un conseil (ce qui est antagoniste au conseil lui-même), c’est de ne pas dire aux autres ce qu’ils devraient faire….
Si je dis ca c’est parce que j’en ai été et en suis un e toute toute grosse victime (et dans 99,9% des cas, les injonctions et autres conseils n’étaient absolument pas pertinents en plus) et ca fait mal.
Même si l’autre se trompe, si tu veux son bien….
Suggérer quand c’est quelqu’un de proch ou aborder l’idée de ce en quoi tu penses ca oui. Mais chacun son chemin, chacun son temps pour découvrir le monde et ce qu’il doit faire de son état.
Puis, quant bien même la personne finirait par faire ce que tu as dit, surtout jamais de “je te l’avais dit” car c’est quelque chose d’humiliant. Ca je l’ai pas (vraiment) vécu (sauf avec qq personnes mais qui n’avaient en plus rien dit dutout, juste des personnes malveillantes et manipulatrices). Par contre, il fut un temps, il y a des années ou j’avais cette tendance et en effet, j’ai eu droit à des surnoms forts désagréables.
Après j’ai fait l’idiote. Qui sait rien. Pas mieux….
Maintenant, amener l’autre à réfléchir sur lui-même sans jamais lui donner TA solution (car in fine, ca n’est jamais que la tienne) et rien ne dit que cette personne avec ce qu’elle est et la manière dont elle suit son chemin, est prête à réaliser ce qui te semble toi l’évidence.
Alors je peux bien te dire cela alors qu’en l’écrivant je fais pas mieux 🙂
Mais on se comprend….
Si je le dis, c’est pour l’avoir vécu dans les deux plans. Celui qui “sait” (et qui, dans la majorité des cas, mais pas toujours !) avait raison (ne pas oublier que notre cerveau oublie les fois ou nous nous sommes trompés, biais cognitif de confirmation) et j’ai toujouuuuurs été dans le cas de celui à qui on dit savoir (et qu’en plus c’est destructeur… j’en paye et payerai ad vitaem les frais).
Je pense qu’aider l’autre c’est l’amener à ouvrir son esprit pour qu’il réfléchisse plus loin que ce qu’il fait déjà et trouve sa propre voix. Quant bien même elle ne correspond pas à celle qui (te) semble idéale.
Il n’y a pas qu’un chemin…
J’ai fait plus long que prévu.
Mais je suis touchée par le tite “seul”. Car ca me définit assez bien aussi et j’en souffre.