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sapiophile .. ha oui aussi !! décidemment, il faudrait créer un neologisme qui reprennent tout cela en le nuançant ^^

@ArthurAD en effet, je serais plutôt dans le “avoir une attirance simple ou une prédisposition à tomber amoureuse de ce type de personne” ..

du coup, j’ai deux mots qui me correspondent mais aucun qui ne soit “exactement” ça ^^

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“connexion, connivence, complicité” On pourrait très bien dire qu’il s’agit simplement d’amour, ce sont les caractéristiques à la base de toute relation amoureuse, que ses protagonistes soient ou non sapiosexuels.
Il me semble que sapiosexuel se réfère à quelque chose de beaucoup plus précis et concret. Je ne supporte pas la confusion que les gens font entre l’amour et la relation sexuelle qui n’ont pas rien en commun, mais qui sont deux choses absoluement différentes.
L’idée de “orgasme intellectuel” est intéressante car elle tente de diminuer le rôle de la relation sexuelle dans une relation amoureuse, mais le fait que cette expression reprenne un terme directement sexuel emêche l’amour de s’émanciper de la relation sexuelle: on peut être amoureux indépendemment des relations charnelles, mais il faut compenser en ayant malgré tout une “relation sexuelle par la pensée”.

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@isabelle1970, à mon sens , une des formes de courage,c’est de réussir à faire ce que l’on pense bien, tout en ayant “”un pincement au coeur””””( tu comprends les guillemets ^^), et faire en sorte que ce qu’il y a en nous s’apaise.

Je ressens avec explosion ce que tu veux dire par “lui rendre sa liberté ” . Je ne lai pas vécu avec une relation “amoureuse” mais amicale. Une fille qui avait développé une sorte de dépendance affective accrue à mon égard, me plongeant dans un profond conflit avec mes démons intérieurs. Ça me rappelait douloureusement les conséquences de la relation avec mes parents (en particulier ma mère. Peut-être si je trouve le courage j’en ferais un témoignage sur l’autre groupe ). Mais voyant pertinemment que c’était purement malsain et pouvant entraîner une complaisance inconsciente.

Donc avec tact il a fallu y mettre fin ^^

Jusqua rééquilibrer tout ça

Et c pas fini ^^

Baga, merci pour l’info sur la sapio,t’as trouvé les mots ^^

C’est pour ça que j’ai écrit hier ” passion, humour et folie”^^ s’attraper des fous rires à en pleurer , c’est un béaba ^^

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@ArthurAD “orgasme intellectuel” je n’emploie pas ça que dans une relation amoureuse, c’est juste une façon que j’ai trouvé d’exprimer une réelle jouissance ( et justement, ce mot n’existe pas que dans le contexte sexuel) dans plein de moments (qui n’ont rien à avoir avec un aspect sexuel)

Par contre, dans mes 3 histoires que j’ai expliquées, je n’ai pas eu la connexion, la connivence et la complicité en même temps , sauf avec ce drôle de zèbre . J’ai eu 1 ou 2 de ces aspects dans mes autres histoires mais pas les 3 en même temps .

Pour être plus précise : je peux dire qu’avec cet homme, nous avions des relations sexuelles mais peu fréquente et surtout uniquement si l’envie, le désir venait chez les deux .. d’où le peu de fréquence :). Et autre chose: en ce qui me concerne, il m’est tout simplement impossible de “faire l’amour” ( je suis incapable de “coucher”, de “plan cul” ) sans aimer la personne d’où le fait que je sois incapable de coucher ou de plan cul .

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@RoseDesVents ha oui, avec ton expérience je comprends mieux ce que tu voulais dire par “courage”, on va parler de “volonté ” ? oui avec un “”””””” pincement au coeur” “”””””” !!

je ne peux que comprendre, évidemment, ce que tu me décris par rapport à ton amie …tu es donc très “courageuse” aussi

(ps : purée tout ce que tu m’apprends ! les autres aussi mais vraiment je t’en supplie, cesse de penser que , de par ton âge, tu n’as pas grand chose à nous communiquer, apprendre, comprendre parce que c’est tout l’inverse !! je m’enrichis de toi , et des autres aussi )

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La définition du mot orgasme fait justement une référence directe de ce mot à quelque chose de sexuel, d’où le problème selon moi de cette expression, même si un orgasme intellectuel n’a aucun rapport avec une relation sexuelle, l’expression y fait quant à elle référence directement. C’est pour cette raison que je trouve l’expression un peu mal faite.

Je me pose aussi une autre question: Comment pouvez-vous être sûr que d’avoir quitté ces personnes que vous aimiez était pour le mieux ? On ne sait jamais vraiment avec exactitude ce que pense l’autre, et même en le sachant, il se peut que les conséquences soit différentes de celles prévues.

Pour avoir été à la fois la “personne dépendente” et la “personne qui coupe le lien”, je sais de quoi je peux parler.

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@ArhurAD en ce qui me concerne, comme je l’ai dis, j’ai continué à le voir de temps en temps pendant presque 10 ans après notre rupture . Je ne peux donc dire que ce que j’ai vu : il était bien, heureux, nous avions toujours cette complicité, sans amour, sans rapport amoureux mais il me l’a dit lui-même après environ 7 ans : il se sentait mieux ainsi avec cette relation d’amitié/ complicité que dans notre relation “amoureuse”, il m’a dit se sentir moins sous pression

tu préfèrerais peut-être “jouissance intellectuelle” ? vu que “jouissance” n’est pas que sexuel ? ça peut , en effet être + approprié et en fait, personnellement, je vais donc changer ma formule de “orgasme intellectuel” ( tu remarque que d’ailleurs je le mets toujours entre guillemets pour cette raison d’ambivalence avec tout ce qui est sexuel) en “jouissance intellectuelle

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Mais dans ton cas @isabelle1970, comme tu as continué de le voir pendant 10 et à faire pleins de choses avec lui et sachant que vous étiez toujours amoureux (j’imagine), qu’est-ce qui différencie la relation que vous avez eu après votre rupture d’une relation amoureuse ?
C’est ce que je disais (si j’ai bien posté le message) à propos de la méconnaissance des gens sur l’amour. J’imagine que la différence pour toi est que vous avez, par exemple, cessés de vivre sous le même toi, cessés de vous faire des calins (ou moins souvent) ou bien que sais-je d’autre. Ca voudrait dire que c’est ça une relation amoureuse ?

Je trouve ça dommage de ramener l’amour a des habitudes… Tout le monde de voit pas la relation amoureuse de la même manière, tout le monde n’aspire pas au même type de relations amoureuses et peut-être qu’en fait, ton copain, c’était le type de relation que vous avez eu ensuite qu’il attendait d’une relation amoureuse (consciemment ou non).

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@isabelle1970 , exact, volonté aurait été plus simple pour le coup ^^.(quoi que non parce que.. ^^ stop j’arrête les dérives ^^)

merci beaucoup !! Ca me touche ^^, moi aussi je m’enrichis énormément à votre contact à tous <3

Je sais bien que la différence d’âge n’a pas de réelle pertinence en soi^^, et quon peut trouver des bonshommes de 70 ans au stade de gamin de 5. Et vice-versa ^^ et suis aussi consciente que de par mon vécu houleux, j’ai tiré un nombre incalculables de leçon (et y a des surprises tous les jours ^^).

Quand j’emploie “le gamine de 20 ans” c’est vraiment pour signifier que, je sais être un bébé ( c pas péjoratifffff ^^), quo a encore infiniment à apprendre de la vie, des autres, et je l’espère jusqua mon dernier souffle. Et que je n’ai clairement pas autant d’expériences (malgré tout), de la vie que mes aînés ^^.

(Je me sens un gros bébé tour d’un coup ^^)

@ArthurAD, merci pour la distinction !! Exactement. Et je rencheris comme isa, ayant des caractéristiques des deux, ça reste complexe à définir néanmoins ^^

Laisser quelqu’un se libérer de la dépendance donc de l’emprise involontaire et inconsciente (mais qui devient très vite consciente )qu’on exerce sur lui ne peut qu’être bénéfique. Dans les possibilités de résultats “negatifs”, tu parles du fait que la personne pourra se trouver en dépression ou/et avec des envies suicidaires et ou meurtrières après ?

Si c’est le cas, je te réponds que c encore bien plus bénéfique que ce qu’on peut croire. On aura fait qu’aider la personne à s’extraire d’un engrenage profond (si ce n’était nous, elle finirait de toute façon par rencontrer quelqu’un duquel elle deviendra dépendante. Ou quand ça atteint une autre forme de complexité, en faisant en sorte que ce soit autrui qui devienne dépendant d’elle. Et ainsi sans fin.

Cette “rupture de lien”, lui permet une prise de conscience, sûrement lente , progressive , et avec bien des hauts et des bas, et heureusement, avant de comprendre que le problème n’est pas intrinsèquement lié à la personne envers qui elle a développé cette dépendance, mais que ça renvoie à des carences narcissiques bien plus profondes en elle-même. Et ça ne pourra que l’aider, ce sera une transition dans sa vie. Accompagnée par des psys sera encore bien plus aidant ^^

Parce que, dans le cas ou la personne est psychiquement autonome et adulte, aime ce qu’elle est, ou du moins, quelle a fait ce boulot sur elle, elle ne développera pas des idées morbides après s’être séparé de l’amour , ami, etc, en question.

Sur ce, à ce soir everyone ^^ le devoir m’appelle ^^

Des bisous

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@ArhurAd et puis nous avions tenté pendant 1 ans 1/2 la cohabitation mais là, c’était vraiment trop “oppressant” pour luiet nous avons donc continuer notre relation sans vivre ensemble.

Quand on s’est quitté, on a continué à se voir mais sporadiquement, et je pense que pour lui, ça enlevait une notion de “devoir” , le “devoir” de se voir au moins de temps en temps si tu es en couple .là, en étant séparé, c’est comme si d’un coup, ça n’était plus un poids pour lui vu que déjà, il ne devait pas y avoir de “planification” sur quand on se reverrait. ( du moins, tout ça, c’est lui qui me l’a expliqué par après, donc je répète la façon dont lui percevait les choses)

En ce qui me concerne, tu as raison, chacun a sa conception d’une relation amoureuse et donc pour moi quand je l’ai quitté, je stoppais “une relation amoureuse”

Pour lui, en ce qui concerne ta dernière question, je ne sais y répondre vu qu’il ne m’a jamais dit comment lui appelait la relation que nous avions après que je l’ai quitté