Amour et empathie…

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 février 2020 à 15 h 56 min

    oups mauvais post, je reposte au bon endroit ^^

  • cinematographe

    Membre
    6 février 2020 à 16 h 44 min

    @etienne31

    Tu as l’air de bien connaître le monde des éboueurs ?

    Il y a un demi siècle, c’était également le sermon normatif posé sur les mauvais élèves en classe, qu’ils finiraient employés de la voirie ou aux espaces verts !

    À présent les services d’entretien des espaces verts publics compte de plus en plus de personnes en reconversion professionnelle , ou choisissant sur le tard un tournant dans leur carrière professionnelle…

    Ce n’est plus un milieu exclusivement ouvrier, amenant des prolétaires d’origine plus que modeste, ou excessivement défavorisé.

    Évidemment il y a bien quelques cas sociaux, en comptant tout le personnel constituant des différentes équipes, couvrant le domaine d’administration de la municipalité bourgeoise de villégiature parisienne qu’est la ville de Meudon.

    C’est peut-être un hasard si j’ai atterri dans cette commune , mais j’avais des références de travail déjà qui pouvaient appuyer dans ce sens, notamment une année d’aide jardinier saisonnier au Jardin du Luxembourg à Paris (ce sont les jardiniers rémunérés par le Sénat qui reçoivent les plus gros salaires de France dans leur domaine !) , une année pour un entrepreneur privé Frederic Chevalier Appert Paysage (son arrière grand père c’était l’inventeur vers la fin du XIXe siècle de la boîte de conserve industrielle telle que nous la connaissons aujourd’hui ! ) qui comptait parmi sa clientèle de luxe , les plus grosses fortunes de France de familles industrielles, comme Monsieur Perdriel ayant déposé le brevet des sanibroyeurs SFA vers 1957, des broyeurs à merdes vendus dans le monde entier (et il possède une bonne partie de la presse comme Le Nouvel Observateur) ou dans une gamme nettement plus poétique, le styliste italien Emanuel Ungaro décédé depuis peu à présent, et qui possèdait à Paris un hôtel particulier datant de la renaissance, avec un décorum somptueux à l’intérieur digne d’un palais des Papes, tout ornementé de fresques baroques rococo, une baignoire en marbre massif tout droit sorti d’un péplum pour madame, un Majordome brésilien…

    Meudon compte de nombreuses célébrités du show business, du spectacle, des journalistes ou présentateurs de télévision, la maison de Renaud, celles d’acteurs d’actrices de cinéma … la maison de Wagner avec sa plaque historique, quand il habitait Meudon pendant une année, alors qu’il composait son Opéra « Le vaisseau fantôme » inspiré de la légende du hollandais volant …

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 février 2020 à 17 h 45 min

    petit incartade et anecdote : ça me fait penser à mon fils qui a 4 ans m’a dit qu’il voulait devenir éboueur parce que c’était le plus beau métier du monde que de ramasser les crasses dans les rues pour qu’elles soient propres 🙂

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 février 2020 à 23 h 23 min

    Il faut faire la différence entre les envies et les désirs, l’ego nous mène dans des endroits / des situations mauvaise et ou étrange.

    L’amour se ressens dans le coeur, c’est la base, il faut fuir les pêchers/erreur qui augmente l’ego (la même chose que le chemin du milieu) ce tourner vers le bien.

    Une chose toute bête et que beaucoup sont possèdé par leur désir de relations non sérieuse mais quand la femme de leur vie leur passera devant dans la rue, il ne l’a verront même pas !

    Ainsi que le fais d’avoir trop de “caractéristiques” je veux qu’il soit comme si comme ça etc, ce n’est pas utile car toi non plus tu n’as pas tout ça, qu’il faut trouver à son niveau, et que quand on aime on aime les défauts et la personne pour se qu’elle est.

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 février 2020 à 23 h 29 min

    Et différencier amour et attachement !

  • cinematographe

    Membre
    7 février 2020 à 13 h 42 min

    @etienne31

    Merci , il fut un temps où je rédigeais beaucoup de journaux intimes, tout d’abord par le vecteur de la correspondance privée manuscrite, puis de l’echange de SMS , quand c’est devenu possible avec la téléphonie mobile , mais cela fait plusieurs années déjà que je n’écris plus rien …

    Je préfère à l’écriture conventionnelle le médium de la vision , explorée par les moyens propres au cinéma expérimental , tel que je le pratique depuis vingt ans à présent …

    Éventuellement je compte revenir un jour à la composition musicale instrumentale (pas de chant ni de texte) sans instruments au sens classique du terme, portée par la seule pratique artisanale et intuitive , ouverte par les pionniers de la musique concrète ou electro acoustique …

  • Membre Inconnu

    Membre
    7 février 2020 à 19 h 25 min

    @cineaste “je préfère à l’écriture conventionnelle le médium de la vision”

    Peux-tu m’expliquer ce qu’est “le médium de la vision” ? je ne sais pas du tout ce que c’est (bon je comprends le mot “médium” et “vision” mais j’aimerais que tu m’expliques ta définition) merci 🙂

  • cinematographe

    Membre
    7 février 2020 à 20 h 16 min
  • Membre Inconnu

    Membre
    7 février 2020 à 20 h 24 min

    @cineaste je suis désolée mais je n’ai pas de connaissance sur ce sujet . j’ai regardé la vidéo, et est-ce que l’on pourrait rapprocher ça de quelque chose du genre ” filmer à l’instinct, filmer à l’instant T, filmer ce qui se présente” ? ou est-ce que ça se rapproche de ce jeune homme , dans le film American Beauty, qui a une façon très particulière de filmer ? ( le sac en papier qui vole, le pigeon mort, et sa jeune voisine )

  • cinematographe

    Membre
    7 février 2020 à 21 h 08 min

    @isabelle1970

    “Man with a Movie Camera (Russian: Человек с киноаппаратом (Chelovek s kinoapparatom) is an experimental 1929 silent documentary film, with no story and no actors by Soviet-Russian director Dziga Vertov, edited by his wife Elizaveta”

    https://www.youtube.com/watch?v=cGYZ5847FiI

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