Pensée en arborescence

  • petitezebre

    Membre
    15 janvier 2022 à 13 h 46 min

    La pensée en arborescence est un mythe et une déformation de la pensée divergente – La pensée en arborescence… Vous avez tous forcément entendu ce terme si vous https://revueduzebre.com/la-pensee-en-arborescence-est-un-mythe-et-une-deformation-de-la-pensee-divergente

  • petitezebre

    Membre
    15 janvier 2022 à 13 h 54 min

    @Faiseuse

    Et les neurosciences ne reconnaissent pas la pensée en arborescence. Je t invite aussi à lire l article de Stéphanie Aubertin, sur surdoué.fr, histoire de te faire redescendre de ton piédestal 🤣

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    16 janvier 2022 à 0 h 11 min

    ‟l’histoire de suivre une conversation tout en écoutant la radio, ce n’est pas réfléchir, absolument pas”
    Une de mes réponses précédentes a déjà répondu @ ce point·

    ‟tout le monde est capable de faire ça, et heureusement”
    Alors là pas du tout… Tu sembles pas te rendre compte de ce que tu dis, comme le prouve aussi ton très mauvais choix d’article pour t’appuyer·
    Moi je ne sais pas le faire pour de la phonie alors pour de la télégraphie il n’y aurait aucun risque vue @ quelle lenteur je décode auditivement le Morse en étant pleinement concentrée dessus·

    ‟J’espère que tu pourras également être plus claire dans tes propos et arguments.”
    Si tu as des difficultés de compréhension je n’y suis pour rien. En fait on dirait que tu ne m’as pas vraiment lue.

    ‟Est-ce que tu n’as pas un peu l’impression de t’éloigner du sujet de base ? Tes pseudo connaissances en neurosciences n’apporte rien au sujet.”
    Ça répondait au jeune homme qui m’a répondu.

    ‟la pensée en arborescence est un mythe et une déformation de la pensée divergente”
    Donc tu es surdouée mais la logique ne t’est pas accessible ¿ Tu ne comprends pas que quand on dit ‾A = B‾ & ‾B est reconnue‾ ça revienne @ ce qu’A soit reconnue aussi ?
    J’ai lu ton article, je suis seulement d’accord avec ceci : ‟NON les surdoués ne pensent pas différemment du reste de la population. Ils utilisent les mêmes mécanises de pensée que tout un chacun.” puisque pour ma part je n’ai jamais cru ni affirmé que la pensée en réseau soit réservée aux surdoué[e]s, même si le terme ˜penser˜ n’est pas assez rigoureux & pourrait pousser @ une autre interprêtation, donc comme je le fais dans mes publications (voir ‾modalité de la pensée‾) il faudrait parler de mode de pensée & non juste de pensée.
    Cependant le contenu de cet article est NUL (au sens quantitatif, même si ce serait vrai aussi au sens qualitatif) car il ne dit absoluement pas en quoi l’arborescence serait une déformation ou un mythe de la pensée divergente. Ce qui prouve le manque d’intelligence de qui l’a écrit. Car il ne contient ni définition ni argumentation. C’est pas en postant des publications qui se contentent d’affirmer que tu vas faire avancer quoi que ce soit : @ ce compte-là je peux te poster un article qui affirme que les extraterrestres existent suivi d’un qui affirme que les extraterrestres n’existent pas· ^^ On sera pas plus avancées·
    PS : Après lecture des commentaires je me rends compte que tous sont d’accord avec moi…

    ‟les neurosciences ne reconnaissent pas la pensée en arborescence”
    Alors ça c’est de l’argument… Pour rappel il y a quelques décennies on pensait la Terre la seule capable d’abriter la vie· ^^ & puis la science a découvert moultes planètes habitables… & on comprend encore moins le cerveau que l’univers hors de notre Terre…

    ‟il faut qu elle m explique ce qu elle entend vraiment par pensée en arborescence”
    pensée en arborescence = cas particulier de pensée en réseau où le cheminement dessine un arbre
    pensée en réseau = chaque objet en amène simultanément plusieurs autres peu importe comment on les disposerait sur un diagramme organisant les objets de pensée d’une manière rationnelle
    Pour la pensée divergente ton article ne fait pas apparaître la notion de simultanéïté donc j’ose espérer que ce soit juste mal défini, car si les associations d’idées sont successives (un seul objet @ chaque instant différent de la pensée) il n’y a justement rien d’assez solide qui distinguerait cela de la pensée linéaire. Car avoir plein d’idées les unes après les autres tout le monde peut le faire (@ moins d’être limité[e] par l’inspiration mais pas par le mode de pensée). & par le passé j’avais compris ˣpensée divergenteˣ comme synonyme de pensée en réseau·

  • matty

    Membre
    16 janvier 2022 à 0 h 31 min

    Pensée divergente, pensée en arborescence, neuro-divergence, neuro-atypisme =

    une vaine tentative de mettre en mots sur une réalité qui échappe au langage.

    La seul réalité complexe et juste est ce que nous vivons peut importe les noms qu’on y donne.

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    16 janvier 2022 à 1 h 03 min

    Matty tu me déçois énormément car tu me donnais l’impression d’être capable de comprendre les notions & les concepts par toi-même & de ne pas te raccrocher qu’@ l’imprécise norme comme le font les normopensant[e]s.
    Comme notamment la fois où tu avais tenté de me transmettre ce que tu entends par ˣespritˣ par opposition @ ‾âme‾ — ce que j’ai compris imparfaitement au début puis beaucoup mieux plus tard car dans mon modèle ça se nomme ‾faculté d’autoscience‾ (que je ne considère pas comme distinct de l’âme mais inclus dedans) & j’emploie ˣespritˣ comme le fait le domaine de la psychologie donc membre du psychisme.

    Je t’ai ignoré une fois mais là tu me forces de te répondre. Donc je regrette mais non, il y a quelquechose de magique qui se nomme ‾la définition‾.
    Comment cela fonctionne-t-il ?
    Avant : l’intelligence permet d’explorer en profondeur ce qui se passe dans un domaine en question pour y recueillir des données.
    Pendant : on associe le sens d’une de ces données @ un mot ou une expression que l’on crée pour l’occasion, & ainsi de suite pour les autres. Cela permet de cerner le contour d’une unité d’information par rapport @ ce qui l’environne.
    Après : on utilise ce[s] nouveau[x] terme[s] pour représenter avec précision ce qui se passe dans le domaine étudié, expliquer comment il[s] se lie[nt] avec ce qu’on connaît déjà etc.
    Éventuellement : on met en place un protocole expérimental pour valider ou invalider les liens logiques élaborés @ partir de ces termes.

    En gros tout se base sur la définition, aussi bien dans le langage que dans l’expérimentation, justement car les termes servent @ représenter le sens & que le sens est accessible au cerveau indépendamment des termes.

    Maintenant que se passerait-il si le cerveau n’avait pas accès au sens ?
    ‣ Pas de langage possible (jargons évolués, mais même le langage basique, donc on serait en un état préhistorique).
    ‣ Pas de science possible (donc ce site n’existerait pas vu que la technologie sur laquelle il repose non-plus).
    ⇒ Donc la complexité peut être d’autant plus pénétrée qu’on en a appréhendé & compris le degré précédent ; & sa seule limite est fixée par l’intelligence de la personne… & éventuellement sa motivation· Donc je ne peux laisser dire personne que quoi que ce soit soit trop complexe pour être étudié. Notre connaîssance, notre intelligence & notre espèce ont évolué & évolueront encore.

  • matty

    Membre
    16 janvier 2022 à 14 h 26 min

    @faiseuse-de-foret

    Il n’empêche, la carte n’est pas le territoire, définition pertinente ou non, lorsqu’on compare une carte et le réel, on comprend mieux que la carte n’est qu’une tentative de modéliser, il en va de même pour un mot et sa définition (sans définition pas de langage), particulièrement pour les concepts abstraits comme la nature de la pensée, le mot reste une tentative très approximative et fatalement inexacte de définir le réel.

    Alors discutailler de la primauté d’une association de mots sur une autre, c’est oublier un peu vite que justement on est dans une tentative d’approcher un phénomène qui échappe à la formalisation.

    Ceci dit je sais aussi qu’avec 1 000 mots on a déjà plus de chance d’approcher le concept.

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    16 janvier 2022 à 20 h 46 min

    Ça n’échappe pas @ la formalisation.

  • matty

    Membre
    16 janvier 2022 à 21 h 54 min

    Si ça n’échappait pas à la formalisation, 1 il n’y aurait qu’un mot et non le besoin d’en accoler deux (pensée + arbo ou diverge) et 2 il suffirait de rappeler la définition du concept que l’on cherche à décrire et nommer et l’affaire serait entendue. M’est avis que ce n’est pas ce qu’il se passe sous nos yeux.

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    17 janvier 2022 à 3 h 32 min

    ‾Arbopensée‾. Voilà, tu estimes toujours que ça échappe @ la formalisation ? C’est magnifique ce qu’on peut faire avec le langage. J’ai obtenu un mot comme tu le souhaites mais pourtant rien n’est résolu ce qui prouve que la question n’était pas là·
    Car la nuance est que l’unité de liaison ˜sémantique → linguistique˜ n’est pas le mot mais le terme (qui peut contenir un ou plusieurs mots)· Alors certes c’est plus clair & plus compréhensible quand le terme ne contient qu’un mot mais il n’empêche que ce ne soit une obligation.

    Donc où était la question ¿ Ce qui comptait était la définition du concept & non le[s] mot[s] qui le représentait dans la langue·˙ Car pour moi formaliser n’est pas formuler : la formule s’intérêsse @ l’enveloppe, la formalisation @ au message contenu·

    & d’ailleurs on s’en limite-fout que la pensée en réseau dessine une forme d’arbre hiérarchique, de filet de pêche, de clôture de berger, de trajectoire erratique d’OVNI, de saut stochastique de particule quantique ou des mailles transparentes du pull de mémé. Ce qui compte est de savoir si lors de la pensée les concepts s’enchaînent un par un (convergence – linéarité) ou plusieurs par plusieurs (divergence – réseau)·˙

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    17 janvier 2022 à 3 h 39 min

    Les définitions je les ai déjà posées·

    ‟la carte n’est pas le territoire”
    Ça rejoint ce que je disais en parlant de complexité qui augmente @ mesure de notre progression·

    Aussi s’il y a deux mots dans un terme c’est car (dans ce cas-là au-moins) au-moins l’un des deux a déjà sa définition précise mais plus générique & l’autre sert @ le préciser davantage· Donc au-moins l’un des deux peut être utilisé sans l’autre d’où la nécessité de séparation (par exemple la pensée en réseau est un cas particulier de mode de pensée)·

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