[petitezebre]

Ici, se faire des amis ? Tout n est qu ego. C est très décevant. Je suis atypique, HPI, je suis venue ici quelques temps, puis repartie, je vois que c est toujours la même rengaine, ça tourne en boucle. Donc je m en fous désormais d être ça ou autre chose. Je suis une personne avant tout, unique, comme tous…

[matty]

Les aigreurs d’estomac tu sais, ça va ça vient. @petitezebre

[Membre Inconnu]

Je remets quelques traits autistiques de défense possibles d’un HPI (liste que j’avais récupérée dans un des posts écrits sur ce site) :

– Troubles Dys (dyspraxie, dyslexie, dyscalculie, etc.) ;

– Troubles de l’attention ;

– Prosopagnosie ;

– Sentiment d’irréalité, déconnexion ;

– Difficultés avec le langage non-verbal ;

– Attitudes stéréotypées ;

– Tendance à l’imitation (syndrome de Zelig) ;

– Obsessions, idées fixes ;

– Sommeil difficile et chaotique ;

– Regard défocalisé (lointain), difficulté à fixer un interlocuteur ;

– Manies diverses ;

– Besoin obsessif de rangement, de classement ou d’ordre ;

– Sensualité dévorante ou hors norme ;

– Appétit important ;

– Maladresses physiques diverses ;

– Hyperesthésie.

[Membre Inconnu]

https://www.youtube.com/watch?v=fcLvGhx9x84

[dalifan]

Bonjour,

Il me semble pertinent, avant de débattre sur le “profil type” du HPI, le HQI, ect… de plutôt s’intéresser à la source: le test en lui même. C’est comme comprendre le ORLA sans s’intéresser à son auteur. Et chacun pourra se faire son propre avis.

Je vous invite à faire des recherches dans ce sens. Ci-joint un lien qui traite de la naissance des tests de QI.

https://www-nationalgeographic-fr.cdn.ampproject.org/v/s/www.nationalgeographic.fr/sciences/2017/05/lhistoire-du-qi/amp?amp_gsa=1&amp_js_v=a9&usqp=mq331AQIUAKwASCAAgM%3D#amp_tf=Source%C2%A0%3A%20%251%24s&aoh=16821352633571&referrer=https%3A%2F%2Fwww.google.com&ampshare=https%3A%2F%2Fwww.nationalgeographic.fr%2Fsciences%2F2017%2F05%2Flhistoire-du-qi

Conclusion: “on ne reconnaît uniquement l’intelligence que nous sommes capables de comprendre” autremendit, la sur efficience, voir l’intelligence tout court, reste invisible pour ceux qui ne la comprennent pas. D’où peut être la mise en place d’un test fait par des normaux pensants ?

J’ai presque envie de dire que si vous ne comprenez pas les différentes appellations, leurs définitions, leurs différences, similitudes, ect… et que manifestement la question de la surdouance n’est pas claire, et fait toujours autant débat, c’est qu’effectivement elle ne l’est pas. C’est donc normal et evident de ne pas comprendre ce qui n’est pas compréhensible. Seul un normo pensant dira qu’un surdoué a un QI de 160 et c’est tout. Certains diront: ” c’est une tête, il a fait de brillantes études” ou alors, “il est devenu médecin, le petit Paul solitaire qui restait au fond de la classe”. Mais aucun ne reconnaîtra que son camarade de classe qui était un cancre, pouvait être un POTENTIEL geni. Et il faut bien une preuve. Un test.

Ce qui est dommage, c’est que personne ne semble s’intéresser à la façon dont ces enfants se sont construits dans la vraie vie et ce qu’ils ont accompli. Personne n’en parle, même pas les psy. Dommage. On ne parle que de courbe et de traits psychologiques, avec a la clé quelques troubles dys, TDAH…

A croire que les actions ne comptent pas. C’est un peu comme les autodidactes. C’est le hasard peut être? Tout se joue sur un papier? Tel un diplôme? Un césar?

Car un cancre qui finit chef d’entreprise, ou un dirigeant d’un grand groupe avec seulement un bac en poche et sans mention ça fait grincer des dents. C’est du piston. Pire, pour une femme, elle aura forcément couché. Le talent, dans notre société est mal vue, des lors qu’il n’est pas COMPRIS ou ne semble pas logique. Un ingénieur qui finit par vivre du rsa planqué dans une forêt c’est un raté aux troubles psy qui s’est marginalisé car il consommait trop de cannabis à la suite d’un burnout ou d’une rupture amoureuse. Les gens du village dirons qu’il vit sur une autre planète. Peut être est il devenu fou. Probablement oui mais pourquoi. Personne ne saurait vraiment le dire. Peut être était il trop intelligent? On n’en sait rien. Mais ça donne pas envie de l’être si c’est pour finir ainsi.

Un test c’est un test. Un morceau de papier. Rien de plus. Ca ne définit pas la valeur d’une personne. En revanche, c’est ce qu’elle en fait qui est interessant. Qu’a t elle fait de ses 10 doigts pendant ces 10 dernières années? Lu des livres? Capable de réciter la bible en 3D? Est ce utile dans le fond?

Croire ce que l’on est ou ne pas croire ne doit pas être un frein psychologique à ce que vous pouvez faire ou avez envie de faire. Quand on regarde derrière soi, on doit pouvoir savoir qui l’on est. Et quand on regarde devant soi, l’on doit savoir quel chemin prendre peu importe le résultat, il y en aura toujours un, faut en choisir un et composer avec. Ca sera une experience, un apprentissage. Pour ceux qui aiment apprendre, ca ne devrait pas poser problème. Enfin je l’imagine. Faut juste assumer. L’on est qui l’on est par la valeur de ses actions. Et ça c’est du concret. C’est de la responsabilité. C’est la preuve. La seule, la vraie. La plus évidente. Faut juste ouvrir les yeux sans attendre que quelqu’un d’autre vous dise ce que vous êtes à votre place. Enfin, j’ai la conviction qu’en premier lieu les premières questions viennent de soi, et les réponses aussi. C’est un problème d’ecoute de soi qui demande du temps. Parfois trop ou pas assez, mais c’est un mal necessaire. Le doute et encore le doute. La preuve ultime: vos actions. (Qu’elles soient intellectuelles, artistiques, manuelles, les deux, les trois…).

Il serait très intéressant d’en parler. Un parcours de vie ça doit pouvoir s’apprécier.

Je voulais juste intervenir parceque ça me semblait juste et important d’evoquer ce point et d’ouvrir le débat sur une autre vision. Éviter de tourner en boucle.

[Membre Inconnu]

Je plussoie !

« le petit Paul solitaire qui restait au fond de la classe”. Mais aucun ne reconnaîtra que son camarade de classe qui était un cancre, pouvait être un POTENTIEL geni. » —> et le petit Guy qui dessinait des QI hier au fond de la classe , hein ! ( oups je n’ai pas pu résister …)

[Membre Inconnu]

<div>Effectivement les HP ont pas mal de traits en communs avec les autres neurodivergents (les autistes et les narcissiques), d’où la confusion d’un grand nombre d’autistes qui confondent des HP (réels personnages fictifs) avec ces derniers.</div>

[matty]

Les HP ont aussi pas mal de traits en communs avec les neurotypiques lorsqu’ils se donnent les moyens de passer incognito. Nous avons un assez gros potentiel polymorphe en fait. D’où les confusions chez un grand nombre de non HP. Borderline, schizo, bipolaire, tdah, manipulateur, autiste et j’en passe, notre placard à costume est bien fourni.

[Membre Inconnu]

C’est exact, je suis contente de voir que vos analyses sont si pertinentes! D’ailleurs, je pense que pratiquement tous les acteurs connus sont HP, à l’exception de quelques narcissiques peut-être. Je trouve qu’on peut effectivement confondre ces derniers avec des HP sous contrôle de leurs émotions et/ou durcis par la vie.

Je me demande si les NP qui consomment les medias avec et sur des HP réalisent que ce genre de personne existe vraiment. J’ai eu des retours comme quoi cela est juste de la fiction et donc une exagération, ils ne réalisent pas que les vrais HP dans la vraie vie ressemblent, pensent et agissent vraiment comme plein de personnages de fiction. Ils ne le croit possible car ils projettent leurs limitations sur nous.

Les autistes, eux, je les observe projeter sur les personnages HP leur neurotype, ils ne sont pas conscients de notre existence pour la plupart. Beaucoup raisonnent en autiste vs. reste du monde NT.

[cinematographe]

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