

Surdoué et travail
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Quel métier pour un Haut Potentiel Émotionnel ? Quel métier pour un Haut Potentiel Intellectuel ?
Comment manager un surdoué ? Reconnaître un surdoué au travail ?… Tout sur l’adulte surdoué au travail et les rapports entre douance et monde du travail.
Quel métier pour un surdoué ?
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Unknown Member
Member27 septembre 2023 at 9 h 19 minCasse-burnes !
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Guide animateur musée des sciences ! 🙂 je ne suis pas sourdoué mais si le discours de certain étais travailler pour toucher les normaux pensant avec une touche de dérision puis ancrer avec des illustations ! La visite serais top ! J’ai fais un park animalier avec un guide chevronné et jeune et bah il envoyais le paté ! L’inconvenient c’est qu’il suffit d’un pourri pour gacher l’ambiance 😑 mais c’étais cool comme même..
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Dans la police depuis ouhhhh quelques bonnes années. Avec le recul je ne suis pas certain que ce soit un métier adapté à un hypersensible empathique ne supportant pas l’injustice et instable de surcroit. Mon niveau scolaire déplorable et une charge de famille m’a empêché d’aller voir ailleurs. Par contre c’est une des rares professions ou l’on cotoie le meilleur comme le pire de l’Etre humain; mes nombreuses années de police judiciaire ne me contredirons pas. Avec le recul j’aurai aimé, sans doute, me tourner vers le monde du spectacle. Je l’ai quand même un peu approché, jouant un rôle depuis mes 12 ans voulant à tout prix être accepté de l’Autre.
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Unknown Member
Member4 juillet 2024 at 18 h 37 minQuel métier pour un HP: Agent de maintenance polyvalent !
J’ai fait de longues études supérieures, réussi moult classes préparatoires, écoles et eu la possibilité d’intégrer des postes de catégorie A+ dans le tertiaire.
Problème à chaque fois : incompatibilité d’environnement. Sur le papier, cela rendait bien….mais dans ma tête et dans mon coeur, il y avait cette certitude que “la Vie ca ne peut pas être cela, sinon quel intérêt d’exister ?” Et cette conscience toujours plus aigue que, dans la haute fonction publique, bien souvent, on n’attends pas de vous que vous soyez compétent ou proactif ou critique….on attend de vous que vous soyez lisses, manipulables et capables de “rester à votre place, occuper une chaise et c’est tout”. On ne vous demande pas d’être une personne. On vous demande d’être un clône. Et d’avoir un goût prononcé pour l’absurdité et le traitement de surface/d’urgence en permanence.
A l’inverse, les emplois dans lesquels j’ai toujours été la plus épanouie, étaient des métiers manuels (ceux-là même, dont on nous rabâche les oreilles, qu’ils sont : “pour ceux qui ne sont pas assez intelligents pour faire de longues études”) ou considérés comme “tout en bas de l’échelle sociale”.
Et pourtant, quelle intelligence, liberté et créativité peuvent se déployer dans ces métiers d’artisanat ou techniques, de terrain.
Un job dans lequel je m’éclate absolument, qui est en parfaite adéquation avec mes aspirations/besoins actuels est celui d’agent de maintenance polyvalent. Vous savez : ceux qui nettoient les caniveaux, désherbent les trottoirs, nettoient et entretiennent graviers et parterres de fleurs, vident les poubelles, tondent les plaines…
J’adore ce travail car :
– il m’empêche de rebasculer dans la boucle de la sédentarité (il assure ma santé physique),
– il m’évite d’avoir à supporter H24 des collègues méprisants ou blasés (ce qui assure ma santé psychique, n’étant toujours pas capable de contourner l’effet “éponge”),
– je peux cultiver ma bulle de solitude grâce à un mentor/collègue, qui me donne le champs libre et qui, encore plus que moi, aime écouter le silence entrecoupé du chant constant des oiseaux.
– Je suis constamment dans la nature, à respirer le bon air frais de la campagne. Ce qui est un luxe.
– Les gestes, répétés, me permettent de me focaliser sur ce que je fais, de m’ancrer dans mon corps et de ne pas partir mentalement dans tous les sens, je constate que cela améliore également ma concentration.
– L’effort physique me permets de me défouler et de trouver un véritable apaisement émotionnel constant (finit l’effet yoyo, finit l’anxiété)
– enfin je participe à rendre mon village beau, accueillant, agréable ( ce qui donne un “sens” suffisant à mon action) et je m’y intègre/attache d’autant plus (car j’en découvre les lieux cachés et les habitants qui viennent tantôt m’apporter de l’eau, faire un brin de cosette, ou tenter de me glisser un billet dans la poche pour de minuscules services rendus…..Cela me permet d’avoir “juste ce qu’il faut” d’interactions sociales dans ma journée : courtes, belles-intenses, épisodiques).
– J’ai le bonheur d’avoir immédiatement le résultat de mon travail sous les yeux : finit la frustration et les projections douteuses. Je peux véritablement rester dans l’instant présent.
Pourvu que cela dure… <3
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Après un parcours atypique et plusieurs métiers certains passionnants d’autres non… je suis devenue professeur dans la voie professionnelle ( information cruciale) et parce ce que je suis aussi devenue maman et donc braquage toute vers la stabilité. Pour être tout à fait honnête ce métier est HORRIPILANT et FABULEUX 🤣.
Ce qui est horripilant : la ligne hiérarchique (le plus souvent incompétente et médiocre il faut le dire) mais gros avantage : vous êtes seul(e) dans vos classes et vous ne les voyez quasi pas ^^
Ce qui est fabuleux : les élèves, même si parfois on se dit qu’on va finir par mettre une tarte. Je suis dans la voie professionnelle et là on est avec le 20 /80 de la société …. et de futurs adultes ( seconde et BTS) Mais c’est avec cette population là que franchement notre potentiel fait la différence. Bref je le conseille même si c’est un métier border. Le plus dur est de tenir la 1ere année et ensuite de faire confiance à nos capacités.
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Unknown Member
Member7 juillet 2024 at 21 h 38 min@modesty ca t’a pris combien de temps pour faire abstraction de touuuuuuuuut le reste qui est complètement foireux dans le métier de prof ? Et tu te vois tenir combien d’années ? Comment ca se passe avec tes collègues ?
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Comme on est jamais mieux servi que par soi-même…
Je pense que de créer sa propre activité professionnelle me semble être une très bonne solution.
De cette façon, le champ des possibles s’offre à nous dans le domaine choisi
De mon côté, cela satisfait mon besoin d’autonomie, de créativité, de liberté d’action
En plus cela m’ évite de devoir suivre des ordres qui manquent de cohérence ou qui ne correspondent pas à mes valeurs
Pour ma part, depuis deux ans je propose des massages Ayurvédiques et serai bientôt Conseillère en nutrition et hygiène de vie selon l’Ayurvéda, avec l’idée de poursuivre mes études dans ce domaine pendant les deux prochaines années, au moins …
Mais comme j’apprends aussi l’iconographie, mon activité peut évoluer … on verra bien …
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Unknown Member
Member28 août 2024 at 17 h 40 minJe plussoie pour l’entrepreneuriat. J’ai pas mal switché entre salariat et mes propres activités, le seul réel point problèmatique pour moi est la nécessité de devoir faire du marketing/com et je déteste ça. Je préfère me concentrer sur mon coeur d’activité, chose en théorie plus à ma portée en bossant dans une entreprise (minus les réunions et tout le bullshit inutile qui vient se glisser) mais au bout d’un certain temps j’aspire à nouveau à la liberté et je repars dans l’entrepreneuriat, jusqu’à… vous avez saisi 😅
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Alors le foireux de l’éduc je m’en suis rendue compte au 1er @pasdevague totalement anti professionnel et là je me suis dit que cette administration était une boite qui faisait faillite… du coup j’ai pris soin d’éviter tout rapport avec la hiérarchie hormis celle de proximité qui est les proviseurs/ directeurs adjoints … Souvent bien / AB – mais c est facile quand on décide d’avoir de bonnes relations avec celle de proximité qui patauge dans le marasme avec nous… Et les rares incompétents je me retranchais dans le collectif ( très performant en voie pro)
Pour les collègues suis en voie pro justement donc nous sommes nombreux à avoir une gestion efficace des élèves sur les valeurs / règles / codes sociaux et résultats qui nous vient des entreprises. Du coup j’ai choisi mes pairs … Donc çà avance très bien avec une ambiance comme les entreprises indus – ce qui n’est pas le cas du général ( j y suis allée en passant le capes pour voir si c’était plus optimisé mais c’est une véritable cata… donc marche arrière toute ) et les élèves quand ils sont dans ce cadre là se rendent compte qu’ils peuvent se construire car ils n’ont pas de branquignoles et du coup çà marche. Par contre étrangement j’ai basculé sur un management (pédagogie et gestion de classe en terme educ ) rigide et potache / cynisme / bienveillant qui leur plait.
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