[bene-b]

Ahah, c’était un jeux de mot @olbius ? XD

[generatrice_de_vierges_chemins]

@oliv31

Dans ton cas ça ressemble plus @ de l’autisme qu’@ du surdon — évidemment seulement @ partir de ce qui ressort du peu qu’il m’ait été donné de lire.

Les émotions intolérablement fortes juste au simple rapport d’autres personnes c’est quelquechose que je connaîs bien… @ ma connaîssance ça ne se retrouve pas chez les sujets surdoués non-autistes. On peut très bien être surdoué[e] & hyperémoti|ve–f| @ la fois mais tout de même là c’est encore d’un autre ordre…

C’est justement car je ne suis pas que surdouée que je n’ai pas répondu @ la question de Mayanne : il y a un phénomène d’intrication syndrômique — comme j’en parle sur mon blog — qui intervient qui fait qu’on ne puisse vraiment dire quel symptôme vienne de quelle particularité neurologique.

En outre {je parle pas pour toi} beaucoup de sujets se sentant atypiques n’investiguent pas leur situation de manière appropriée. Ils se sentent facilement ”zèbres‟ en n’en prenant en compte que les caractéristiques sociales & affectives & oubliant qu’il s’agit avant tout d’un synonyme de haut quotient intellectuel, particularité ne comportant justement pas systématiquement ces manifestations sociales & affectives atypiques (c’est pas pour rien s’il y a les profils ˜complexe˜ & ˜laminaire˜), & ne prennent pas en considération d’autres particularités neuropsychologiques comme les troubles de l’attention, l’hyperémotivité ou une simple évolution spirituelle hors norme. Les choses ne sont pas si simples & les apparences trompent…

& comme les gens ne jugent qu’@ travers leurs propres prismes limités elles ne peuvent réaliser & accepter que le cumul de tout cela existe pour une altérité quantitativement bien plus immense, juste car n’ont jamais éprouvé celle-ci.