Un voyage à la découverte de Soi – Nisargadatta Maharaj

  • Un voyage à la découverte de Soi – Nisargadatta Maharaj

    Publié par matty le 28 mars 2022 à 6 h 00 min

    “…Le chercheur doit disparaître, lorsque vous connaissez votre
    véritable nature, la compréhension “je suis” demeure, mais cette
    connaissance est sans limite. Il ne vous est pas possible d’acquérir la
    connaissance. Vous êtes connaissance. Vous êtes ce que vous cherchez.
    Votre être véritable est antérieur à tout concept, plongez profondément
    en vous même et vous le trouverez facilement et simplement. Allez dans
    la direction du “je suis”. Tout existe dans le mental. Le mental et le
    corps sont tout deux des états inter-mitants. Le résultat de ces flashs
    crée l’illusion de l’existence. Cherchez ce qui est permanent dans le
    transitoire, réel dans le non réel. C’est la Sadhana ou pratique
    spirituel …

    ” “Le plus grand Gourou est votre soit intérieur. En vérité il est le
    maître suprême. Lui seul peut vous conduire à votre but, et lui seul
    vient à votre rencontre au bout du chemin. Faites lui confiance et vous
    n’aurez besoin d’aucun Gourou extérieur. Mais vous devez avoir un ardent
    désir de le trouver et ne rien faire qui puisse créer des obstacles et
    des retards. Vous n’êtes jamais sans Gourou car il est éternellement
    présent en votre coeur. Ce qu’il veut de vous est simplement que vous
    appreniez la présence à Soit, le contrôle de Soit, l’abandon au Soit.
    Cela peut sembler ardue mais c’est facile si vous êtes fervent et tout à
    fait impossible si vous ne l’êtes pas. Tout cède devant la ferveur. Le
    véritable Gourou ne vous humiliera jamais, pas plus qu’il ne vous
    éloignera de vous même. Il vous ramènera constamment au fait de votre
    perfection intrinsèque et vous encouragera à chercher au dedans de vous.

    “…Je veux dire libre de tout contenu. Je ne suis pour moi même ni
    perceptible ni concevable. Il n’y a rien que je puisse désigner en
    disant “je suis ceci”. Vous vous identifiez à tout si facilement, je
    trouve cela impossible. L’impression “je ne suis pas ceci ou cela”, ou,
    “rien est mien” est si forte en moi que dès qu’un objet ou une pensée
    apparaît, il me vient immédiatement le sentiment “ceci, je ne le suis
    pas !” Je découvre qu’en déplaçant d’une manière ou d’une autre le foyer
    de l’attention, je deviens la chose même que je suis en train de
    regarder et je ressens le type de conscience qu’elle possède. Je deviens
    le témoin intérieur de la chose. Je nomme “Amour” cette capacité de
    pénétrer les autres foyers de conscience, mais vous pouvez lui donner le
    nom que vous voudrez puisqu’en tous les points du temps et de l’espace
    je peux être à la fois le sujet et l’objet de ce qui est vécu. J’exprime
    cela en disant que je suis les deux et aucun et au delà des deux.”

    “Vos pensées concernant l’individualité ne sont vraiment pas vos
    pensées. Ce sont des pensées collectives. Vous croyez être celui qui a
    les pensées. En fait, les pensées surgissent dans la conscience. Au fur
    et à mesure que se développe notre connaissance spirituelle, notre
    identification avec le corps mental diminue et notre conscience se
    déploie en conscience Universelle. La force vitale continue d’agir mais
    ses pensées et se actes ne sont plus limités à l’individu, ils
    deviennent la manifestation totale. C’est comme pour le vent qui ne
    souffle pas pour un individu mais pour la manifestation tout entière.”

    “Pourquoi vous soucier du monde avant de prendre soin de vous même.
    Vous voulez sauver le monde n’est ce pas ? Pouvez vous sauver le monde
    avant de vous sauver vous même ? Et que veut dire : être sauvé ? Sauvé
    de quoi ? De l’illusion ! Le salut c’est voir les choses telles qu’elles
    sont. Demeurez tranquille. Faites votre travail dans le monde mais
    intérieurement demeurez tranquille. Alors tout viendra à vous. Ne
    comptez pas sur votre travail pour vous réaliser. Il se peut qu’il
    profite aux autres mais pas à vous. Votre espoir est dans le silence de
    votre mental et la quiétude de votre coeur. Que rien ne vous retienne
    d’assumer vos fonctions. Une action pour laquelle vous n’êtes pas
    impliqué émotionnellement qui est bénéfique, qui n’est pas source de
    souffrance, ne vous lie pas. Vous pouvez être engagé dans diverses
    directions et travailler avec énormément d’enthousiasme tout en
    demeurant intérieurement libre et tranquille avec un mental comme un
    miroir reflétant tout sans en être affecté. L’imprévu est certain de se
    produire tandis que ce qui est attendu pourrait ne jamais arriver. Tout
    est parce que vous êtes. Accrochez-vous fermement et profondément à ce
    point et demeurez sans cesse en lui. Réalisez l’absolue réalité de tout
    ceci est la libération.”

    “…Le chercheur doit disparaître, lorsque vous connaissez votre véritable nature, la compréhension “je suis” demeure, mais cette connaissance est sans limite. Il ne vous est pas possible d’acquérir la connaissance. Vous êtes connaissance. Vous êtes ce que vous cherchez. Votre être véritable est antérieur à tout concept, plongez profondément en vous même et vous le trouverez facilement et simplement. Allez dans la direction du “je suis”. Tout existe dans le mental. Le mental et le corps sont tout deux des états inter-mitants. Le résultat de ces flashs crée l’illusion de l’existence. Cherchez ce qui est permanent dans le transitoire, réel dans le non réel. C’est la Sadhana ou pratique spirituel …”

    “Le plus grand Gourou est votre soit intérieur. En vérité il est le maître suprême. Lui seul peut vous conduire à votre but, et lui seul vient à votre rencontre au bout du chemin. Faites lui confiance et vous n’aurez besoin d’aucun Gourou extérieur. Mais vous devez avoir un ardent désir de le trouver et ne rien faire qui puisse créer des obstacles et des retards. Vous n’êtes jamais sans Gourou car il est éternellement présent en votre coeur. Ce qu’il veut de vous est simplement que vous appreniez la présence à Soit, le contrôle de Soit, l’abandon au Soit. Cela peut sembler ardue mais c’est facile si vous êtes fervent et tout à fait impossible si vous ne l’êtes pas. Tout cède devant la ferveur. Le véritable Gourou ne vous humiliera jamais, pas plus qu’il ne vous éloignera de vous même. Il vous ramènera constamment au fait de votre perfection intrinsèque et vous encouragera à chercher au dedans de vous. ”

    “…Je veux dire libre de tout contenu. Je ne suis pour moi même ni perceptible ni concevable. Il n’y a rien que je puisse désigner en disant “je suis ceci”. Vous vous identifiez à tout si facilement, je trouve cela impossible. L’impression “je ne suis pas ceci ou cela”, ou, “rien est mien” est si forte en moi que dès qu’un objet ou une pensée apparaît, il me vient immédiatement le sentiment “ceci, je ne le suis pas !” Je découvre qu’en déplaçant d’une manière ou d’une autre le foyer de l’attention, je deviens la chose même que je suis en train de regarder et je ressens le type de conscience qu’elle possède. Je deviens le témoin intérieur de la chose. Je nomme “Amour” cette capacité de pénétrer les autres foyers de conscience, mais vous pouvez lui donner le nom que vous voudrez puisqu’en tous les points du temps et de l’espace je peux être à la fois le sujet et l’objet de ce qui est vécu. J’exprime cela en disant que je suis les deux et aucun et au delà des deux.”

    “Vos pensées concernant l’individualité ne sont vraiment pas vos pensées. Ce sont des pensées collectives. Vous croyez être celui qui a les pensées. En fait, les pensées surgissent dans la conscience. Au fur et à mesure que se développe notre connaissance spirituelle, notre identification avec le corps mental diminue et notre conscience se déploie en conscience Universelle. La force vitale continue d’agir mais ses pensées et se actes ne sont plus limités à l’individu, ils deviennent la manifestation totale. C’est comme pour le vent qui ne souffle pas pour un individu mais pour la manifestation tout entière.”

    “Pourquoi vous soucier du monde avant de prendre soin de vous même. Vous voulez sauver le monde n’est ce pas ? Pouvez vous sauver le monde avant de vous sauver vous même ? Et que veut dire : être sauvé ? Sauvé de quoi ? De l’illusion ! Le salut c’est voir les choses telles qu’elles sont. Demeurez tranquille. Faites votre travail dans le monde mais intérieurement demeurez tranquille. Alors tout viendra à vous. Ne comptez pas sur votre travail pour vous réaliser. Il se peut qu’il profite aux autres mais pas à vous. Votre espoir est dans le silence de votre mental et la quiétude de votre coeur. Que rien ne vous retienne d’assumer vos fonctions. Une action pour laquelle vous n’êtes pas impliqué émotionnellement qui est bénéfique, qui n’est pas source de souffrance, ne vous lie pas. Vous pouvez être engagé dans diverses directions et travailler avec énormément d’enthousiasme tout en demeurant intérieurement libre et tranquille avec un mental comme un miroir reflétant tout sans en être affecté. L’imprévu est certain de se produire tandis que ce qui est attendu pourrait ne jamais arriver. Tout est parce que vous êtes. Accrochez-vous fermement et profondément à ce point et demeurez sans cesse en lui. Réalisez l’absolue réalité de tout ceci est la libération.”

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    matty a répondu il y a 2 années, 6 mois 1 Membre · 1 Répondre
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