Le sens de la vie

  • bagayaga

    Membre
    9 mars 2022 à 15 h 37 min

    @zaza05

    Je comprends la nuance, mais je ne suis pas d’accord pour autant^^ Dieu est aussi à l’image des Hommes mais ceux de quatre ans^^ Genre enfermer Jonas dans une balaise parce qu’il ne veut pas aller à Ninive🤭 Et que dire du pauvre Ezéchiel 🙆🏻‍♀️🙆🏻‍♀️🙆🏻‍♀️ Le mec doit:

    -Avaler un parchemin.

    -Construire une maquette de Jérusalem et l’éclater.

    -S’allonger trois cent quatre-vingt dix jours sur le flan gauche à côté. Quatre-vingt dix jours ensuite sur le flanc droit en pointant la maquette en miette.(Très Nelsonien)

    -Puis après il devra cuire son pain sur de la merde humaine.(La blague, niveau de ma fille de quatre ans, que je fais rire quand elle boude, en disant poudre de Poils d’oreille de papi, saupoudré de crotte de nez grillées de la boulangère) Le gars négocie et il arrive à ce que ce soit de la merde de boeuf ( c’est moins pire?).

    Mais déjà rien que Noé, on tue tout le monde sauf les animaux ???(Ah ba oui sont gentils et pur les animaux,alors que les humains c’est des méchants, méchants des sales,sales) Sans parler de tout les autres coups de putes tordus de Dieu^^ Les si tu te retourne tu te transforme en statut de sel (un,deux,trois soleil?) Et j’en passe^^

  • bagayaga

    Membre
    9 mars 2022 à 15 h 43 min
  • Membre Inconnu

    Membre
    9 mars 2022 à 21 h 05 min

    @Dhimminy_Cricket Je crois avoir exposé ma vocation

    Peux-tu la rappeler (car j’ai du la ratter).

  • le_bacteriophage

    Membre
    10 mars 2022 à 15 h 43 min

    @joelliberte13

    Et si je te dis que je n’ai pas envie de te la rappeler? Que je préfère que tu ailles relire mes postes pour ensuite venir me dire ce que tu as compris de mes réponses? Pour que finalement tu m’indiques en quoi aucune vocation ne se dégage dans la lecture que tu fais de mes postes en m’expliquant pourquoi? Est-ce que c’est ok pour toi?

    Tu sais, j’aime à dire que je ne suis pas quelqu’un de rancunier mais je le suis parfois et c’est le cas te concernant. Je n’ai que peu apprécié l’attitude que tu as adopté il y a quelques mois sous ton autre compte, y compris envers des gens qui t’appréciaient. Alors, il me serait très simple de passer à autre chose, surtout maintenant que tu t’es repenti mais… Je ne le ferai pas.

    Si tu souhaites discuter, je te demanderai de faire quelques efforts que je ne demande pourtant pas à d’autres. Ensuite, nous verrons 🙂

  • Membre Inconnu

    Membre
    10 mars 2022 à 15 h 49 min

    @Dhimminy_Cricket

    Est-ce que c’est ok pour toi

    No problemo, c’est simplement que je n’ai pas le net à la maison!

  • cinematographe

    Membre
    22 juillet 2022 à 22 h 54 min
  • diotime

    Membre
    26 septembre 2022 à 18 h 26 min

    Bonjour,

    Pour moi le sens de la vie, c’est peut-être bien de le chercher.

    C’est donc moi le sens, sans arrêt à chercher, tâtonner, user des voies, ré-aiguiller selon les circonstances et la nécessité. Point de repos dans cette quête il me semble, tant la vie est inconstante, mouvementée, pleine de surprise et de découverte.

    Tout ce qui semble compter, c’est moi seule, trouver les chemins qui sans cessent ramènent au “centre”, à l’accord avec soi.

  • matty

    Membre
    26 septembre 2022 à 19 h 36 min

    Jolie prose, je partage car ainsi je vais aussi dans ma vie.

  • minos

    Membre
    26 janvier 2023 à 22 h 06 min

    “Le sens de la vie” ?… Pour commencer par des bases évidentes qui me paraissent “immanentes” et qu’il ne me semble pas inutile d’énoncer : Dans ma conception, la vie à une valeur en soi (qui lui est propre et “nous dépasse”), il ne faut pas la galvauder, on doit la respecter, mais (pour moi) la nôtre nous appartenant et au titre de notre libre arbitre, “on peut en disposé”, et ce, y compris au travers du suicide (il est aussi vrai que ça m’arrange bien de penser ça un peu comme pour “me déresponsabiliser” moralement et objectivement du “crime existentiel” que ce geste peut représenter d’un point de vue catholique (religion avec laquelle “j’ai pris (et assez largement) mes distances”, mais de laquelle provient l’essentiel de mes valeurs morales)…

    Après, dans ma réflexion, je ne me demande pas vraiment “pourquoi diable (!) suis-je venu au monde ?”… J’y suis, c’est d’ores-et-déjà réel et concret, c’est vrai et incontestable et si on veut absolument en connaître la raison, je me la donne en estimant que cela s’inscrirait dans le cadre “d’un grand dessein” tel que je me le suis représenté et en ai soumis ici les contours dans mon sujet “Atelier création de religion…” (au sein de ce même groupe de discussion), là où, si j’architecture plus particulièrement ma pensée sur ce que serait “notre devenir”, je souligne aussi “notre essence divine” en développant l’idée qu’autour de celle-ci, on poursuivrait nos progressions individuelles respectives (elles qui ne seraient pas perpétuelles, mais qui se réitèreraient nécessairement plusieurs fois) “vie après vie” (pour un nombre qui serait variable suivant les individualités), elles qui se succèderaient après chacune de “nos morts” (que l’on pourrait comparer à un “reset” (sauf que là, on en garderait quelque chose à chaque fois et on ne repartirait donc pas de zéro)) pour nous permettre d’évoluer personnellement… Et pour (une fois parvenu à un certain degré de cette évolution) nous permettre d’accéder “à la plateforme supérieure” (que l’on pourrait intituler “paradis” (lui qui ne devrait pas être cette “fin en soi” dans mon imaginaire)).

    Par contre, ce sur quoi je m’interroge se déclinerait plutôt en ces termes ; “est-ce que j’existais déjà (en tant qu’être à part entière) avant de “débarquer” sur terre pour y entamer le cheminement séquentiel “à vocation formatrice” (lui que j’évoquais plus haut) ?… Puisqu’à la question de savoir si on vivrait éternellement, ma réponse tendrait à être “oui” (hormis quelques réserves conceptuelles qui condamneraient à mon sens des développements issus d’êtres humains qui se seraient révélés déviants à l’extrême et qui pourraient entraîner leurs suppressions définitives)… Cette conviction “étant (relativement) faite” à mon esprit, il ne me resterait alors “plus qu’à” me demander si notre avènement personnifié sur terre marquerait véritablement la genèse fondamentale de “notre existence” (celle qui est identifiée et qui se synthétise en notre composante humaine) ou pas. Sur ce sujet, la réflexion que j’adopte me porte à appréhender que non… En considérant que notre humanité provient d’une essence divine originelle et primordiale, elle “nous apparenterait” ou nous “affilierait” (au titre d’une parcelle de ce qu’il est) à ce “Dieu créateur” et en cela, nous existions “déjà en lui”.

    Mon fonctionnement inné m’incline à chercher à échafauder mon propre univers et les croyances qui sont censées légitimer sa conceptualisation, cette approche spécifique sied à mon esprit et correspond à ma personnalité, mais je pense que ma démarche peut être juste en ce qu’elle est honnête et qu’elle se veut généraliste pour englober “indifféremment” tous “mes semblables” en son sein.

  • Membre Inconnu

    Membre
    27 janvier 2023 à 10 h 44 min

    Le sens de la vie n’a pour moi que celui qu’on lui donne…
    Et pour moi chacun y va de ses analyses personnelles pour se faire parfois une idée trop précise de la question, tellement que personne n’en a la même. Ce qui pour moi veut également dire que rien de tout ça n’a de sens. Que celui qu’on lui donne, donc. Ou plutôt l'(notre) histoire n’est que celle qu’on se raconte…

    Question moralité… Elle est souvent à géométrie variable, même si on essaye de suivre ses propres codes. Peut-être parce qu’on a besoin de quelques cadres ? D’autant plus quand notre esprit peut partir dans toutes les directions, et tellement loin.. Nous avons besoin de la stabilité que nos valeurs peuvent nous apporter, et pas que pour notre estime de nous. Parce que sinon, on peut de toute façon se mettre n’importe quoi dans sa tête pour justifier ses actions, et on peut hiérarchiser ses valeurs. Tout dépend du contexte dans lequel on se trouve. Et il y a certaines choses ou des gens qui nous tiennent tellement à coeur que nous sommes parfois prêts à nous mentir à nous-même pour ne pas se donner (trop) mauvaise conscience et pour avoir cette impression de rester cohérent et/ou juste.

    Mais je ne vois pas pourquoi on tient tant à donner du sens à tout, à trouver des réponses à des questions auxquelles on ne peut pas toujours répondre, et pourquoi on peut tant vouloir démêler des choses qui ne peuvent pas toujours l’être… Pour moi il faut aussi accepter notre impuissance à tout contrôler, à tout savoir, tout maîtriser… Y compris nous-mêmes. Nous nous mettons nos propres chaînes, nous construisons nous-mêmes les murs de nos prisons…

    En réalité, les choses peuvent être parfois si compliquées qu’on ne peut pas les défaire, et parfois, ou en même temps si simples, quand on les regarde d’une façon différente, ou lorsqu’effectivement, on réussit à trouver l’information qui nous manquait ou la pièce qui manquait au puzzle… Et qui peut parfois changer tout le sens de la scène que l’ont peut enfin voir dans son intégralité. Mais on peut aussi jeter le puzzle à la poubelle sans chercher à le terminer.

    Je pense qu’on a dans tous les cas souvent besoin de trouver du sens, même là où il n’y en a pas… Quitte à se mentir à soi-même pour cela… Et on peut aussi parfois croire celui dont les paroles peuvent nous paraître chargées de sens et/ou nous réchauffer de l’intérieur, même s’il peut parfois nous mentir ou se mentir à lui-même, tout simplement parce qu’on en a besoin…

    https://www.youtube.com/watch?v=Az-mGR-CehY

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