Violence physique ou verbale

  • Membre Inconnu

    Membre
    25 février 2020 à 13 h 15 min

    Oui j’ai oublié de préciser qu’il y a aussi les épreuves des conséquences des autres qui sont souvent des injustices.

    Du coup il y a 2 styles d’épreuves et les châtiments.

    Mais elles servent aussi d’un côté mais ne sont sûrement pas obligatoire, ça pourrait se faire autrement mais vu que c’est comme ça, ça élèvera aussi.

    Mais qu’il y est du hazard ou non d’un côté ça ne change pas grand chose, après moi je n’y crois pas, je pense que le hazard c’est Dieu qui décide de ça d’un côté, Albert Heinchetieng a dit une phrase du style “Le Hazard c’est Dieu qui se promène incognito”.

    Après certain l’explique par le hazard, d’autre Dieu, d’autre les énergies en nous etc, d’autre le Lamar, d’autre les effet de cause et conséquences, finalement ça ne change pas grand chose.

    En faite tout mal vient de nous même, ce n’est pas dans le sens que c’est de ta faute, mais on naît faible avec un ego car nos parents n’ont pas fait l’effort de s’élever réellement, on naît pêcheur dans le pêcher, car on a un ego tout simplement, on naît dans une partie de haine en nous, ego source de la haine et des pulsions malsaine, juste en penser, cela détruit nos émotions, notre coeur et détruit notre amour.

    C’est dans le sens, que si ça te fais du mal la question est pourquoi ? Et pourquoi a t’il pû te le faire ? C’est là où tu trouves des choses pour t’élever.

    Ca ne veut pas dire que le mal est bien, car c’est de l’injustice est se ne devrait pas se passer comme ça (le bien fait plus souffrir que le mal et c’est comme cela que l’on devrait s’élever).

    Moi par exemple, si je me casse le doigt, pourquoi ça ne me détruit pas et pourquoi je ne suis pas mal, ça fait mal mais ça ne me dérange pas, car j’accepte la souffrance et par la compréhension des épreuves, j’ai construit mon être.

    Pourquoi toi ça ne te ferait pas ça ? Car tu n’as pas construit ton être. Tu n’acceptes pas la souffrance etc, pourquoi ? Car tu n’es t’es pas élever, tu as donc des faiblesses qui le jour où elles sont utilisés de détruit et te font mal, si tu n’as pas c’est faiblesse tu as mal, mais tu es content et tu ne te détruit pas. Tu vois c’est là où on peut s’élever. Je ne dis pas ça dans le sens, tu n’avais qu’à t’élever (peut être je ne sais je ne te connais pas, sinon ce serait plutot un châtiment du coup) mais les épreuves si utilisé correctement vont pouvoir t’élever, pour ne plus souffrir car plus de faiblesse mais des forces à la place.

    Il y a une chose à savoir, c’est qu’on ne rigole pas avec le mal, la plus part du temps les gens le prennent trop à la légère, ce qui donne des vies, entre le bien et le mal, sur un fil et pas terrible, des vies qui ne sont pas réalisé, avec une petite crise de la cinquantaine. Fin bref je dis ça car il y a un rapport avec les épreuves etc, et mieux vaut sacrifier une partie de soi même si c’est terrible, si c’est pour s’élever au point de ne plus entre entre l’ego et la vie, mais ça peut de gens le comprennent mais ça leur tombe dessus quand même.

  • ninette262

    Modérateur
    25 février 2020 à 15 h 34 min

    Je mets un petit avertissement parce que je vais aborder des sujets qui peuvent être difficiles pour les personnes sensibles.

    Tu as raison sur le fait que chacun attribue les épreuves différemment selon ses croyances. Pour ma part, et pour qu’on se comprenne dans nos discours, je suis agnostique. Je ne sais pas si un Dieu existe ou non, et je m’en tamponne autant qu’il s’en tamponne de nous s’il existe.

    Cependant, je ne suis pas d’accord avec la suite. Tout mal ne vient pas de nous-mêmes.

    L’ego ce n’est pas la haine. Mais on n’a peut-être pas la même définition, pour moi l’ego, c’est la vision qu’on a de soi-même. Il peut être déséquilibré, dans les deux sens, on peut avoir un ego surdéveloppé, qui mène notamment à l’orgueil ou un ego sous-développé qui mène notamment au manque de confiance en soi, au fait de ne pas s’aimer.

    L’ego, est important. Ce n’est pas quelque chose contre quoi il faut se battre, mais quelque chose qu’il faut équilibrer.

    Je ne pense pas non plus qu’on naît pêcheur (et pourtant j’ai été élevée dans la religion catholique). Pour moi, on naît neutre. Je pense qu’on a tous du bon et du mauvais en nous et que ce sont nos expériences, notre vécu, notre entourage et enfin, le plus important, notre volonté, qui nous façonnent tels que nous sommes.

    Dernier avertissement pour les gens sensibles ^^

    Tu parles de se casser un doigt, mais moi je parle de sujets beaucoup plus graves (du moins à mes yeux). Je parle par exemple de perdre un enfant ou de se faire violer. Et il y a encore pire dans le monde …

    Je sais pourquoi ça fait mal, j’ai accepté la souffrance, mais c’est difficile de se construire sur ce genre d’épreuves. Comment peut-on ne pas avoir de faiblesses sur ces sujets ? Comment peut-on en souffrir mais en être heureux ? Comment ça peut élever quelqu’un de vivre ça ? Comment en faire une force à part en survivant ?

    Certaines épreuves m’ont laissé des marques visibles physiquement, parce que j’étais jeune quand c’est arrivé et que je me suis construite comme j’ai pu avec ce que j’avais. Je veux dire par là qu’on ne peut pas demander à un enfant de ne pas avoir de faiblesses, c’est déjà tellement difficile pour un adulte … Et quand on se construit mal à cause d’épreuves difficiles, c’est un travail immense de casser les fondations pour se reconstruire …

    Ce principe de « c’est pour nous élever, si on en fait l’effort », est, pour moi, incompatible avec certaines épreuves. Et ces épreuves ont bien plus de risques de détruire que de chances de construire. Ce n’est que de l’injustice.

    Pour ce qui est du mal, c’est une notion qui est relativement subjective, donc difficile à aborder.

  • ninette262

    Modérateur
    25 février 2020 à 16 h 58 min

    J’ai pas trop le temps là maintenant mais, en effet, my bad, j’ai oublié de mentionner le caractère qui rentre beaucoup en ligne de compte ^^

  • chatsauvage28

    Membre
    25 février 2020 à 21 h 55 min

    @Zelos ma fin de ton message me fait penser à La sauvage de Jean Anouilh, où est abordé justement la question de la comptabilité des gens qui ont beaucoup souffert et des gens qui ont toujours tout eu dans leur vie. Ma pièce de théâtre préférée.

  • chatsauvage28

    Membre
    25 février 2020 à 22 h 05 min

    Ah je n’ai pas lu Le voyageur sans bagage il faudrait que je le fasse.

    Après j’ai du mal à trouver les pièces de Jean Anouilh noires comme tu dis car j’ai toujours eu l’impression que ses personnages étaient plus proches de moi que la plupart des gens de la vrai vie que je pouvais rencontrer. Donc pas noire, juste ce qu’aurait du être là réalité à mes yeux (qui me semblait bien trop grise elle). Apparemment il était incompris au début de sa carrière, peut être était il surdoué 😉

Page 3 sur 3

Connectez-vous pour répondre.