L’univers

  • Membre Inconnu

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    10 mai 2021 à 19 h 01 min

    Oui, bon après c’est pas grave, je comprend ton point de vue. Je sait que le sujet du temps est essentiel , c’est pour ça que j’insistait aussi dessus. Donc pour moi c’est sa définition même qui n’est pas exact selon moi, à la base c’est un concept philosophique, et un rapport mathématique , donc considérer plus le mouvement et le facteur énergétique me semble plus cohérent et correct, car ce sont données bien réelles. Le temps étant qu’un rapport , il est variable en fonction des différents facteurs, ce qu’a démontré Einstein, et un facteur variable ce n’est pas bon pour établir une théorie stable. Le temps peut servir à établir et mesurer des variables et c’est tout pour moi.

    Quant tu à un concept sémantique et conceptuel inexact et variable de base il y’a de forte chance de mal penser et appréhender un concept.

    Donc oui, réellement il existe matière, particules, énergie, ondes, vitesse et mouvement qui sont des facteurs stables et mesurables concrètement sans calculs pour unifier quantique et cosmologie. Ça semble cohérent. Voilà moi je te parle purement logique, parce que dans les détails techniques je suis pas spécialiste, mais je pense qu’avec ça tu à un bon angle , et correct de travail.

    Après je peut te donner ma vision logique globale du fonctionnement, fluctuation quantique de base qui produit la matière, univers cyclique extension contraction. La matière noire pour moi c’est des trous noirs qu’on n’a pas détecté, et l’énergie noire c’est leurs influences. Voilà, je pense ça parce que c’est les objets et interactions qu’on connait déjà, c’est plus cohérent que d’imaginer des matières hypothétiques.

    Voilà, sur ce, j’espère t’avoir donner des pistes, logiquement ça colle, après j’suis pas capable de te faire les équations et démonstrations, j’ai juste une image du mouvement global que j’ai affiner au fil du temps et de mes connaissances.

  • Membre Inconnu

    Membre
    10 mai 2021 à 19 h 22 min

    PoPour être plus précis les fluctuations produisent de l’énergie, au fil du temps la matière s’agrège, c’est un phénomène déjà connu, quant la masse est suffisante elle rebondit, ça donne un premier univers qui au fil du temps et de ces zones dense fini par s’agrèger à son tour , se contracter et rebondir, et ainsi de suite. Voilà comment je le vois.

  • Membre Inconnu

    Membre
    10 mai 2021 à 19 h 32 min

    @Argon avoue que conceptuellement c’est séduisant et cohérent. Après moi j’ai pas pu faire science, donc à vous les calculs et démonstrations 😊

  • Membre Inconnu

    Membre
    11 mai 2021 à 14 h 33 min

    @Zeno Je t’avais rédigé une réponse, mais comme tu es parti entre temps, je ne sais pas si ça vaut le coup de la publier ^_^’

    Bon, au cas où ça intéresserait quelqu’un…

    => Bah très concrètement, hum… Imagine un circuit imprimé. Tu as une puce que tu peux programmer, grâce à elle tu vas pouvoir mettre tes calculs et gérer ce qu’il se passe. Ton circuit est alimenté par un courant continu (onde électrique), tu as juste un seul composant : une LED. Tu ne peux pas faire plus simple. Si tu prends la mesure aux bornes de la LED, tu as par ex du 3,20V et 60mA (ça éclaire très bien). Maintenant, considère ton circuit comme un référentiel à part entière, et tu vas ralentir au max son temps.

    Je ne peux pas entrer dans les détails techniques, mais devine ce qu’il se passe ? Si tu prends la mesure aux bornes de la LED, tu as toujours de l’énergie, l’électricité ne disparaît pas. Sauf que ta LED sera éteinte ! C’est comme si tu avais réussi à figer le temps de ton point de vue, qui fait que la LED ne s’allume pas, mais l’énergie circule quand même puisque la mesure indique toujours du 3,20V et 60mA. Entre ce que tu observes et ce que tu mesures, il n’y a plus aucun lien, le divorce est consommé ! Tout ça pour dire qu’en réalité, le mouvement est une illusion… Mais je n’ai pas souhaité m’aventurer sur ce terrain-là, car c’est trop laborieux… Disons qu’on se méprend sur la nature du réel…

    Quand j’entends des physiciens théoriciens expliquer que le temps n’existe pas, ils ont raison en ce sens où le “temps psychologique” est une illusion, mais le temps physique existe bien, puisqu’on peut jouer avec. Et quand tu réussis à faire ça, tu entres dans une autre logique, les calculs standards ne fonctionnent plus du tout (genre si tu mets deux courants en série, leur voltage ne s’additionne pas, ça devient logarithmique, comme en physique quantique avec les transformées de Laplace/Fourrier).

    Là, pour comprendre ce qu’il se passe, il faut introduire d’autres concepts, changer de paradigme, revoir notre conception de l’Univers, car il y a trop de problèmes mis sous le tapis. Ceci dit, ce n’est pas trop mon problème, quand certains en auront marre de perdre leur temps dans des modèles qui ne servent à rien, ils changeront alors leur façon de faire. Ma seule frustration est que j’ai des moyens très limités, mais je réussis quand même à avancer petit à petit ^_^”

    Allez, @+ !

  • Membre Inconnu

    Membre
    11 mai 2021 à 16 h 49 min

    Re, j’ai vu ta réponse en passant vite fait, et il se trouve que je suis électronicien et électricien de formation, autant dire que je comprend parfaitement ton circuit.

    En vérité ce qu’il se passe c’est que tu allonge ta longueur d’onde , ce qui allonge ta fréquence et n’a pas la différence de potentiel suffisante au temps t pour allumer ta diode, et non ralentis le temps. @Argon

  • Membre Inconnu

    Membre
    11 mai 2021 à 19 h 36 min

    @Zeno Non, pas vraiment…

    Le voltage et l’ampérage restent identiques. Le nombre de charges ne change pas, ce n’est pas une affaire de potentiel électrique (exprimé en Volt). Tu peux même l’augmenter, ça ne changera rien. La fréquence est bien positive (aux alentours de 10Khz pour ma config) et je n’y touche pas (idem pour la longueur d’onde).

    Il n’y a aucune onde stationnaire, ce n’est pas du courant alternatif. Et le “temps propre” correspond bien à la fréquence, comme je l’ai précédemment expliqué. Mais j’ai déjà trop écrit sur ces histoires de temps à mon goût. On va éviter de remettre une pièce dans la machine, car cela me saoule ^^

    Je bosse en parallèle avec un électricien/électronicien qui est pas mal câlé, car moi ce n’est pas du tout ma formation de départ. Mais pour les expériences, je suis obligé d’avoir un avis éclairé. Donc si je me permets de m’avancer, c’est que je suis sûr de mon coup. Fait est qu’il y a des principes qui ne sont pas encore enseignés, je le sais pour en avoir déjà discuté avec mon pote.

    A ma connaissance, il n’y a que Jean-Pierre Petit qui aborde les concepts que j’exploite (de façon plus ou moins gauche), et t’as vu comment il est traité par la communauté scientifique. Et c’est dommage que vous n’ayez pas plus de bonnes bases en physique, car vous avez le mérite de bien maîtriser a technique !

    Ceci dit, je ne suis pas avare pour les coups de main.
    Enfin si ça te dit ! N’hésite pas à me contacter en MP !

    Bonne soirée !

  • Membre Inconnu

    Membre
    11 mai 2021 à 19 h 58 min

    Merci c’est sympa, oui je connaît jpp , il fait parti des théoriciens atypiques auquel je pensait.

    Je suis curieux de savoir comment tu ralentis le temps, pour moi tu à forcément un signal électrique, le courant c’est nécessairement un différentiel de charge , même sans être alternatif. Le temps n’étant qu’une mesure tu joue forcément sur ta longueur de signal, ce qui change ta mesure temps , logique. Bref.

  • Membre Inconnu

    Membre
    12 mai 2021 à 9 h 21 min

    @Zeno 😉

    Tu emploies le même jargon que mon pote héhé… J’ai du mal à le comprendre car les électrons ne sont pas vraiment des petites particules qui tournent autour du noyau atomique.

    Il s’agit en réalité d’une onde. Quand on dit qu’il y a une charge en plus, c’est juste que l’amplitude de l’onde est plus élevée, ce qui se traduira par un ampérage plus élevé. Et le voltage est analogue à la fréquence (liée de facto à la longueur d’onde, comme pour une électromagnétique, car la taille d’un photon ou d’un électron est la même).

    Et pour cette histoire de potentiel, ce n’est pas nécessaire pour avoir du voltage. C’est une vision mécaniste. Avec la méthode Hartree-Fock tu peux calculer la fonction d’onde d’un système, que ça soit des bosons ou des fermions. Et selon l’état de phase et/ou la densité, tu peux créer une résonance qui se traduira par l’apparition d’un voltage, même s’il n’y a pas d’anions ou de cations.

    En revanche, pour les raisons évoquées plus haut, tu auras un ampérage nul. Par ex, tu prends un glaçon d’eau pure (distillée) que tu compresses entre une lamelle de cuivre et d’aluminium, tu auras zéro volt. Dès que le glaçon change de phase, les chaînes hydroxyles à l’état liquide entre en résonance avec les couches de valence de tes deux métaux et tu auras environ 0,5V.

    Dans nos piles, cette chaîne hydroxyle est synthétisée dans un gel, qui contiendra par ex de la poudre de manganèse, et dès qu’il y a contact avec la petite barre de cuivre centrale, tu as du courant. Le problème est que la liaison covalente entre H et O se brise ce qui crée une oxydoréduction des métaux avec création de liqueur de Fehling par ex (toxique, c’est pour ça qu’il ne faut pas jeter les piles dans la nature).

    On ne s’en rend pas compte, mais la chimie repose pour bcp sur des mécanismes quantiques. Et l’énergie, ce n’est que de ça in fine, avec les problèmes théoriques que ça implique dès qu’il y a des phénomènes relativistes.

    Par ex, si tu mets ta pile dans un moteur que tu fais tourner, avec un système pour prendre des mesures, hé bien la vitesse compresse les longueurs d’ondes, la freq augmente, donc le temps ralentit (c-à-d que les processus chimiques seront plus lent). Et concrètement, ça se manifeste par une chute du voltage et de l’ampérage, ce qui est totalement contre intuitif, puisque la vitesse est associée à de l’énergie…

    Mais dans le référentiel de la pile, le courant circule normalement, c’est comme pour mon expérience de pensée avec l’aimant et la dynamo. Pour JPP, il est l’un des rares qui parle d’énergie négative (ce qui sort du cadre des modèles thermodynamiques, puisqu’ils ne raisonnement qu’en terme d’énergie positive). C’est ni plus ni moins ce qu’il se passe avec la led éteinte.

  • Membre Inconnu

    Membre
    12 mai 2021 à 15 h 38 min

    Alors recapitulons, ondes-particules c’est ok.

    Ce n’est pas ta pile qui fourni l’énergie dans ton expérience donc ce n’est pas contre intuitif, elle subit le mouvement , ce qui allonge la longueur d’onde de ces réactions dans notre référentiel.

    Dans les systèmes relativiste donc c’est les longueurs d’ondes en fonction des mouvements et densité qui changent d’un référentiel à l’autre.

    Ça doit être vérifiable en mesurant tes differences de longueurs d’ondes .

  • Membre Inconnu

    Membre
    12 mai 2021 à 15 h 47 min

    @Argon , soit la longueur soit l’amplitude, y’a pas 36 solutions de toutes façons.

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