@sylvie7
J’ai lu le rapport détaillé de l’Inserm, dont tu m’avais communiqué le lien sur la toile, il est assez transparent, et facile d’interprétation moyennant un minimum de culture générale, sans aucun jargon ou barbarisme technique.
En effet je n’avais pas fait la distinction formelle entre thérapie génomique, de traitement de maladie d’origine mono génique, comme l’hémophilie par exemple, et thérapie ponctuelle non invasive à ARN messager, comme les vaccins déjà développés pour la rougeole, la rubéole, ou les oreillons.
Le vaccin actuel est promis à une rapide obsolescence, peut-être mais plus fulgurante que celle habituellement dévolue au vaccin préconisé contre la grippe saisonnière, réactualisé tous les ans….
Un effet secondaire indésirable à moyen terme, qui ne passe pas inaperçu, parmi la panoplie des corollaires évoqués, est une paralysie du nerf facial, figeant la personne traitée dans un rictus grimaçant du faciès !
Je sais ce n’est pas très drôle, mais pour une fois les reporters de la télévision, pourront assez difficilement travestir ou grimer l’information, acquise aux instances de pouvoirs financiers, qui détiennent les médias ?
Je ne me rappelle plus très bien de l’occurence exacte , si c’était un cas pour mille, pour dix mille, ou autre ?
J’avais refusé par exemple, la vaccination contre l’epatite B, quand sa campagne médiatique battait son plein, en raison d’une expertise annoncée d’une possible sclérose en plaques, pour un cas sur dix mille il me semble, ce qui n’est pas négligeable à grande échelle ?