Anarchie entropie et désobscurantisme.

  • gingin

    Membre
    29 décembre 2023 à 12 h 35 min

    Ok tu es le paradoxe dans la politique de la nature ou le punk de “la politique de la nature “ si je vais plus loin tu assumes ton état d être humain . Et dans ton texte tu crées du paradoxe dans une société qui crée du chaos . Ok c est une expérience artistique humaine

  • sarah-mg

    Membre
    29 décembre 2023 à 14 h 06 min

    @haeresisobsoletus

    “On parle de l’humain qui est prêt à nier sa condition chimique, pour agir en vertu d’une loi… sortie du trou du cul d’un moine.”

    La question est très intéressante. Eliminons toutes les lois dogmatiques qui existent et ne gardons donc que le flux émotionnel chimique. Je peux donc décider de tuer pour survivre, en mode “c’était lui ou moi” et je peux tuer quelqu’un juste “parce qu’il est trop con” (je caricature). Chimiquement, un sentiment de violence s’empare de moi dans les deux cas (encore plus derrière un écran de nos jours 😄)

    Concernant le cas de la survie, nous sommes techniquement, psychologiquement et chimiquement élaboré pour (mais bon tant que ça ne nous ai pas arrivé, difficile de répondre à cette question objectivement).

    Concernant l’autre… Hors de tout dogme, est-ce que la nature, ma nature chimique, me pousserais à le faire ? Le débat est ouvert.

    Je me questionne et voilà que je me met à penser aux arbres… Lorsque deux arbres poussent trop proche l’un de l’autre, ils vont se développer afin de ne pas empiéter sur l’espace de l’autre. C’est une loi de la nature (de la vie) entre espèces (afin d’exclure les digressions sur les espèces invasives…).

    Que suis-je sensée retenir de ça ? Je pense, que par pure mimétisme d’apprentissage de mon environnement, je reproduirais cela à ma propre espèce.

    Après tout, si ma survie n’est pas en jeux, chacun peut bien vivre dans son propre espace…

  • haeresis

    Membre
    29 décembre 2023 à 16 h 33 min

    @possesseusedelultimeconnaissance
    Je te réponds à l’axiome.
    L’existence est chronologique , par définition.
    Si on en fait la sémantique, tout est censé être destiné.
    Toutes les réactions sont censées être inéluctables.
    Ce que j’appelle la nature, c’est ce chaos.
    L’influence inéluctable du temps sur l’espace. De l’énergie sur la matière.

    Maintenant je vais te dire quelque chose d’extrêmement violent.
    La nature n’a pas fait de toi une femme.
    Tu n’es pas une femme inéluctable.
    Mais un homme évitable.
    Tu es la définition même de l’élément auto-actif.
    Qui s’altère en cause et conséquence de lui-même.

    Tu es aussi le seul potentiel intellectuel sur ce site.
    La seule personne à dire et à relever des choses pertinentes.
    Tu fais de la science, il y a continuité logique entre tes données.
    Et tu fais ta propre science, avec tes propres données.
    Dans un environnement d’altérophiles du bouquin.
    Qui se la pètent avec des concepts qu’ils ne comprennent pas et ne cherchent pas à comprendre.
    Tu es l’outil de ta science. Quand leur science est leur outil.
    Et, en ce sens, je suis fier de toi, je te reconnais, et je te respecte.

    Cela dit,
    Je comprends ta réaction face à ce que je te dis.
    J’étais curieux de la voir, d’ailleurs.
    Mais il y a visiblement conflit d’intérêt.

    En ce qui concerne les rats…
    C’est de mon point de vue, un conditionnement, une adaptation.
    De la même façon que, le mec qui se conforme à la loi des hommes, est conditionné, il s’adapte.
    Et, effectivement, on ne peut pas raisonnablement parler de libre-arbitre.

    On ne peut pas dire qu’ils utilisent l’événement.
    Effectivement, ils se conforment à lui.
    C’est toujours l’événement qui les détermine.

    Mais quand toi tu es devenue une femme….
    Tu as agis en cause de conséquence.
    Ce qui a motivé ton acte, ce n’est pas l’événement, ce sont ses conséquences supposées.

    Maintenant, je voudrais que ce soit clair.
    Je ne reproche rien à personne.
    Du moins, je ne l’ai pas encore fait.
    Pour l’instant, je suis seulement factuel, et j’ai pas encore prétendu que la théorie justifiait l’éthique.
    Quand je le ferrais, je ferrai un topic dédié, qui parlera de l’incarnation de l’influence du néant.
    Pour l’instant, je suis impartial.

  • haeresis

    Membre
    29 décembre 2023 à 17 h 11 min

    @Sarah-Mars
    Alors, avant de te répondre, je voulais te dire…
    Ca ne m’avait pas percuté.
    Tu es la première personne à me dire “merci”.
    La première, de toute ma vie.
    Alors, c’est peu de choses.
    Et j’ai pas fait ça pour la reconnaissance.
    Mais c’est un peu mon tout premier salaire.
    Et, du coup, merci pour ça.

    Pas de soucis pour l’intelligibilité.
    C’est peut-être ce chaos ambiant qui nous organise.
    Plutôt que nous, qui l’organisons.
    N’est-ce pas.

    Maintenant…

    En ce qui concerne le marginal qui s’exclut, ou qui est exclu…
    C’est une question qui a beaucoup de mérite.
    Mais pour y répondre, il faut déjà déterminer ce qu’est une politique synthétique, humaine.
    Parce que, ce que rejoint ce marginal, ce n’est pas l’absence de politique, c’est une politique chaotique, naturelle.
    En fin de compte, c’est un peu plus complexe.
    Vulgairement, il faudrait dire qu’il s’extrait d’un contexte anarchique, pour dépendre d’un contexte hiérarchique.
    Donc…. je veux qu’on débatte de cette question… mais quand on aura posé les bases de ces deux politiques.
    La base de la dynamique de l’élément ne suffit pas. Il faut aussi la base de la dynamique de son contexte événementiel.
    Ce que j’ai d’ailleurs prévu d’aborder dans la sélection naturelle, en distinguant l’évolution d’un patrimoine biologique, de l’évolution d’un patrimoine technologique.

    Concernant l’étymologie de la relation….
    Merci, juste merci.
    Ca, c’est un donnée qui a de la valeur.
    Pour ce qui est de la paix….. on est loin d’avoir posé les données.
    J’ai abordé ça, pour donner une image, un avant gout.
    En fait, il s’agit de parler du néant. Un contexte dans lequel la densité interactive est nulle.
    Maintenant, effectivement, personne n’arrive à trouver la paix dans la paix.
    Tout simplement car, quand l’élément existe, il cherche à interagir.
    D’ailleurs c’est l’histoire de ma vie.
    Si je fais ça, c’est parce que je vis dans le silence. Parce que je n’ai pas d’interaction.
    Donc je fais tout pour justifier la légitimité de l’interaction.
    Mais c’est un peu tôt, encore une fois, pour parler de tout ça.
    Et pour reprendre ton mot, ouais, c’est ça le bug.

    L’inter-dépendance n’est pas un facteur clé pour la vie.
    C’est un facteur clé pour l’existence.
    D’ailleurs, il faudrait plutôt parler d’inter-influence.

    Pour ce qui est du conditionnement…. c’est pas ce qui m’intéresse.
    Et concernant la loi, et la loi du moine… mon exemple était vraiment pas pertinent.
    C’est, en l’occurrence, un conditionement, une adaptation, l’élément qui réagit à l’événement.
    Même si l’événement, lui, le jugement, n’est pas d’origine chrono-dynamique.
    Bon… je trouverai un meilleur support.

    Concernant le récit alternatif…. on rejoint l’absence de récursivité du double pendule.
    Effectivement, s’il n’y a que renouveau, il n’y a pas nouveau.
    C’est d’ailleurs un sarcasme d’un terrible cynisme, que de dire “révolution” plutôt qu ” évolution”
    Comme tu dis, si les probabilités oublient de se recalculer, c’est la dépression, faute de récit alternatif…. comme si le temps ne s’écoulait pas.
    Comme si aujourd’hui était hier.

    Pour le reste, il faudra aborder la sélection naturelle.

  • haeresis

    Membre
    30 décembre 2023 à 3 h 01 min

    Bon.
    Je reviens vers vous.
    Il se pourrait que j’ai été sujet à un conflit d’intérêt.

    Non pas en ce qui concerne ce que je vous ai déjà dit.
    Ca, ça tient parfaitement debout, je m’en inquiète pas.
    Mais concernant ce que j’avais prévu de vous dire.

    En fin de compte, il se pourrait bien que, l’entropie dans la chronologie, ce ne soit pas l’être humain, mais l’être vivant.
    Il y a bien une nuance à faire entre le comportement humain et le comportement animal.
    C’est que l’humain est parvenu à s’émanciper de cette chronologie.
    Ce qui ne veut pas dire que les autres animaux n’essaient pas de le faire.
    Mais dans les deux cas, je commence à me dire que l’être vivant est auto-actif.
    Et, en effet, il se pourrait que ce soit une question de cerveau, de psycho-dynamie.
    C’est peut-être bien le cerveau, la pierre philosophale.

    En fin de compte, je commence à me dire, que la question que je traite, c’est pas celle de l’humain face au chaos.
    Mais celle de la vie face à l’existence.

    Et donc… vous imaginez bien que j’ai un certain nombre de choses à foutre par terre.
    Et ca va me prendre du temps de digérer, considérer, et traiter cette information.
    Vous imaginez bien, aussi, que j’ai pas du tout envie de mêler les chats aux accusations que j’avais prévu de faire à l’encontre de l’homme,
    Et que c’est un exercice qui va pas beaucoup me faire rire.
    Mais ouais, peut-être bien que les chats sont pas aussi logiques que les pendules.
    Peut-être bien que leur logique comportementale est juste en sursis.

    J’sais pas quoi vous dire de mieux.
    J’avais bon espoir d’accoucher enfin de ce que j’avais sur le coeur et dans la tête.
    Et, en fait, c’est pas terminé la torture.

    Ca m’a fait plaisir d’interagir un peu avec vous.
    Il va me falloir une pause là.

  • sarah-mg

    Membre
    30 décembre 2023 à 8 h 50 min

    “mais celle de la vie face à l’existence”

    Reviens nous en forme !!!
    Creuse aussi sur les origines cellulaires…
    J’ai hâte…
    On peut toujours discuter en mp ou tu préfère que non ?
    Me concernant, aucun problèmes si tu veux tester tes nouvelles idées.

  • generatrice_de_vierges_chemins

    Membre
    31 décembre 2023 à 7 h 58 min

    Très bien, je vais finir de parler du libre-arbitre & après je réagirai sur ce que tu m’as dit en dernier.
    Tu as dit que le libre-arbitre est l’influence du ’néant, c’est donc que tu reconnaîs un libre-arbitre chez l’humain.

    Si le libre-arbitre était produit par le cerveau ça voudrait dire qu’il obéïrait @ des réactions chimiques, des programmations… Donc que ce ne serait qu’un conditionnement de plus parmi les autres.
    Du coup ce serait auto-contradictoire, ça n’aurait pas de sens de la qualifier de libre-arbitre.

    Donc s’il existe il est forcément extérieur au cerveau. Il est donc un facteur contenu dans autre chose que le cerveau & qui s’en sert pour interagir avec le cerveau. On va appeler ça ‾âme‾, mais peu importe comment on l’appelle ce n’est pas ce qui compte ici.

    Si tu n’acceptes pas l’existence de l’âme c’est à dire cet élément extérieur pouvant produire un effet sur le cerveau il ne peut pas y avoir de facteur libre-arbitre qui s’exerce, donc si rien ne s’exerce le ’néant ne peut pas exercer d’influence, il n’a pas d’outil ou de voie ouverte pour ça, tout est déjà paramétré millimétré.

    Si tu acceptes l’existence de l’âme, donc que tu vois le cerveau comme un émetteur-récepteur entre différents éléments c’est que l’âme a ses propres préoccupations & interactions & obéït @ sa propre logique qui nous échappe, elle a accès @ des informations propres @ son niveau qui définissent le type d’influence qu’elle va exercer via son facteur libre-arbitre donc ici le ’néant n’a plus de place pour intervenir.

    En plus l’âme se situant dans un contexte externe @ l’espace-temps elle ne peut pas faire des choix en fonction du futur puisque de son point de vue ce n’est pas le futur mais un ensemble informationnel dense. Donc des influences qui peuvent nous paraîtres insensées peuvent très bien avoir une causalité justifiée dans un référentiel plus vaste·

    Tout ça pour dire que modifier son état en fonction d’un apparent futur peut très bien être justifié & même naturel.

    Maintenant tu étais curieux de voir ma réaction : la voici, & elle sera faite sous le signe de la raison ce qui est presque toujours le cas dans mes interventions.

    Déjà les termes ˜femme˜ & ˜homme˜ ne s’appliquent pas @ moi puisque c’est pour les adultes. Tu dis que je serais devenue une fille. Le verbe ˜devenir˜ n’a pas de sens.

    Je ne suis rien devenue, je n’ai pas changé ce que j’étais. Une transition c’est : perdre toutes ses fréquentations, subir énormément de discriminations, débourser un très grand coût, procéder @ moultes procédures médicales, mettre sa vie en suspens plusieurs années, tout reconstruire depuis le début…
    Qui peut souhaiter tout ça ? Personne. Personne ne se dit un jour ‟j’ai envie de changer de sexe donc je vais le faire”· Ça n’existe pas·

    La seule motivation @ un tel parcours c’est d’être déjà ce qu’on se sent par conséquent être, au point d’en ressentir une très grande souffrance, donc de devoir le vivre pleinement & de briser ce qui nous empêche d’être.
    Une transition c’est mettre l’extérieur en conformité avec l’extérieur. On ne choisit pas ce qu’on aime, on ne choisit pas ce qu’on est. & on ne le change pas.

    Ainsi j’ai seulement fait des modifications @ mon corps. Je ne suis rien devenue. Ou alors juste ce que j’étais déjà. Je n’ai jamais été de genre masculin. Mon genre n’a jamais changé. Par contre j’ai été de sexe masculin. Mais les organes ne définissent rien : ce ne sont que des accessoires. Les définitions relèvent du domaine mental / psychique.

    Alors oui la nature n’a pas fait de moi une fille. La nature m’a fait un psychisme féminin & un corps masculin. La nature se moque de nos processus de discrimination dualiste, elle connaît la diversité.
    & il y a une raison génétique là-dedans (j’y reviendrai dans un fil de discussion dédié mais c’est une mutation qui empêche le cerveau de se masculiniser en le rendant insensible aux hormones mâles qui cause ça). La nature ne m’a pas faite garçon non-plus.

    La nature a fait que les deux versants de moi se développent dans un sens différent. & c’est toujours le psychisme qui emporte : la preuve de ceci est déjà de partout dans la société humaine, pour les plus grandes sublimations comme pour les plus basses vicissitudes, pas besoin que j’en rajoute. Tu peux pousser un organisme fait de matière @ changer de fonctionnement, il s’adapte, les cellules sont multifonction @ l’origine, mais pas un esprit d’aller contre sa nature. Une information pousse toujours @ se concrêtiser, une idée @ se réaliser. La matière n’est qu’un outil.

    Donc ce qui a motivé ma transition c’est mon réflexe de survivre. Mon adaptation @ la souffrance. Le projet pour le futur on le construit après, le besoin de faire la transition sans savoir ce que ça donnera dans l’avenir vient avant.
    & pour montrer pourquoi l’adaptation @ la souffrance est importante voici une explication que je t’avais préparée depuis bien une semaine & pas encore donnée.

    Tu as déjà dit qu’il faille accepter sa condition, accepter de souffrir, que ce ne soit pas une bonne idée d’éviter la souffrance. Je pense qu’il y a une nuance que tu n’as pas faite.

    Oui c’est important d’accepter ce qui est, sinon on irait @ l’aliénation. Mais ça ne veut pas dire ne plus bouger ensuite·
    Toutes les espèces sont poussées @ évoluer, nous aussi, on n’a pas été dôté[e]s de la capacité de planification pour rien·

    Donc éviter la souffrance pour éviter la souffrance : c’est non, je suis d’accord… Car ce serait faire l’autruche & de toute manière la souffrance reviendrait de plus belle son message n’étant pas compris·

    Mais éviter la souffrance pour éviter sa cause problématique, enlever quelquechose de discordant en soi, augmenter sa compréhension de soi & du monde, donc au final comprendre le message pour évoluer & s’améliorer : là c’est intelligent & une bonne idée˙·

    Pourquoi ?

    Le corps a besoin d’être en bonne santé pour pouvoir interagir correctement. C’est pourquoi la nature a inventé la douleur.
    La douleur est le signal que nous devons agir pour changer la situation ayant provoqué cette douleur.
    Je ne dis pas que la douleur ce serait mal : au contraire puisqu’elle est un signal indispensable˙· Mais il faut le traiter correctement sinon il serait inutile·˙ Ça n’a pas de sens de ne pas retirer sa main du feu quand on ressent la brûlure.

    Pour la souffrance morale / psychique c’est exactement le même principe. Elle est là pour nous pousser @ changer une situation vécue, sauf qu’ici c’est pour que l’esprit soit dans les bonnes conditions pour interagir & non le corps. Car si l’esprit va mal il interagit de mauvaise manière ou pas du tout, il contrôle incorrectement le corps ou l’isole complètement…
    & la mission de vie ne peut pas être menée @ bien.

    Donc la souffrance ne doit pas être évitée pour être évitée : elle doit être prise comme le message nous demandant d’éviter ce qui l’a provoquée. De le comprendre & d’évoluer.

    Je comptais te dire tout ça depuis longtemps & ça tombe maintenant, ça s’applique @ tous les domaines. Les ressentis sont les facteurs de changement de la pensée & des actions.
    La cause est le facteur premier de l’évolution, il s’agit de l’information discordante ou obsolète, ensuite la souffrance s’y ajoute pour déclencher le processus de changement·

    Voilà le principe qu’applique la nature· Mais pour l’instant on ne peut pas encore savoir vers quoi on évolue, on ne fait que suivre ce qui est décidé pour nous & s’y présente spontanément·
    Les gens qui s’accrochent @ leurs croyances ou leurs habitudes ont tord car elles s’opposent au processus naturel, mais celles qui suivent le flux qui se présente @ elles ne contreviennent pas @ la nature·

    C’est pour ça que je dis que le ’stoïchéo-dynamisme n’est pas (seulement) changer en fonction du futur, c’est surtout changer en fonction du passé, & on ne sait souvent pas ce que sera ce futur…
    Mais le passé & le futur s’appellent entre eux. Le futur & le passé sont en interaction dans un système fermé. Si tout est orchestré depuis un point extérieur @ l’espace-temps alors il sait très bien pourquoi il nous pousse @ agir en fonction de ce qu’on croit être le futur de notre point de vue, c’est logique & bien construit même si ça nous échappe, il ne faut pas s’y opposer·
    Mais j’arrête là car ce n’est pas le moment de parler de rétro-causalité etc·

    C’était pour dire que la souffrance est légitime & le changement qu’elle amène l’est aussi·
    Par contre se maintenir dans la souffrance en refusant d’altérer son état ne l’est pas·

    & sinon pourquoi n’as-tu pas répondu @ mes derniers arguments sur ta discussion créée avant celle-ci ?

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