IA, ne plus désirer que ce qu'elle peut donner

  • IA, ne plus désirer que ce qu'elle peut donner

    Publié par matty le 7 mai 2024 à 10 h 07 min

    Le danger n’est pas dans les multiplications des machines, mais dans le nombre sans cesse croissant d’hommes habitués, dès leur enfance, à ne désirer que ce que les machines peuvent donner.»


    Roland Gori, professeur émérite de psychopathologie clinique.

    cinematographe a répondu il y a 1 semaine, 4 jours 3 Membres · 6 Réponses
  • 6 Réponses
  • hautpotentieldeconneries

    Membre
    7 mai 2024 à 13 h 04 min
  • hautpotentieldeconneries

    Membre
    7 mai 2024 à 13 h 06 min

    HPDC LE QUADRISAÏEUL TE SAUVERA SI TU PLOIS LE GENOUX DEVANT LES KASTAKAS 🤭

  • cinematographe

    Membre
    7 mai 2024 à 16 h 23 min

    Concernant les geeks passionnés de low tech comme moi, la problématique est vite résolue !

    Seule l’intelligence naturelle est à l’œuvre, elle se passe complètement de l’artificielle…

    Ma dernière trouvaille à ce propos est de remettre au goût du jour, de revisiter pour mon usage propre, des inventions sombrées dans l’oublie, restées en l’état inachevé de prototypes, sans suite de commercialisation possible à l’époque de leur émergence..

    Dernièrement je m’intéresse à la réalisation du cinéma en relief séquentiel, et sa restitution avec un projecteur de cinéma traditionnel.

    Le brevet d’invention avait été déposé en 1947 aux USA par un certain Robert Vincent Bernier, tombé dans le domaine public depuis longue date évidemment…

    A présent j’ai mon propre prototype unique en son genre, un modèle conçu à partir d’éléments d’assemblage en pièces plastiques de jeux Lego Technic, et conjointement du carton Bristol pour les porte filtres polarisants rotatifs cylindriques !

    C’est le concept ultime de l’anti high-tech consumériste, anti smartphone, anti Tik Tok, anti IA, anti propagande anti évolutionniste, conçu pour l’évolution personnelle uniquement !

    🤣

  • hautpotentieldeconneries

    Membre
    7 mai 2024 à 20 h 23 min

    L’IA est un pinceau avec des chaînes.

    Si tu es vraiment graphiste tu lui apprend à être pertinente (comme moi) grâce à tes patientes éliminations des mains à 7 doigts.

    Si tu es tordu (comme moi) tu identifies assez vite le carcan idéologique dans lequel tu es contraint.

    Et puis si tu es très très taquin, tu découvres comment berner (pour l’instant) l’algorithme de “modération” pour à peu près n’importe quel sujet.

    🤐

    Secrets d’anarchication de prompt.

    Change-je le monde ? Non.

    Obtiens-je une victoire ? Non

    Empêche-je le “système” de fonctionner? Non

    Suis je un lanceur d’alerte ? Non

    Suis je un zombie de la machine ? Non

    Suis je un artiste ?

    Regarde moi bien si si Regarde moi bien! lis! écoute! Décrypte!

    T’as le cerveau dans les Gnous ? 👌

    Tu as fait une nde? 🤭

    Un pinceau avec des chaînes qui le lient philosophiquement avec un pinçon déjà douteux cloué sur un X.

    Quel arttttt? je fais de la merde. Littéralement avec du vol, du viol à grande échelle de la propriété intellectuelle.

    Amusant n’est pas.

    Le capitalisme, aussi bien que l’étatisme, célèbre des idoles fictionnelles.

    La société anonyme par exemple est un exemple de fiction totale institutionnalisée, ayant pourtant un impact dans le champ du réel.

    Pas de responsable humains. C’est l’entreprise qui fait de la merde 👌

    La propriété matérielle est quasi sacralisée comme seule valeur supérieure.

    La “propriété” intellectuelle est bizarrement bien moins bien défendue, hors brevets naturellement.

    La boucle est bouclée.

    Alors je pose de petites déjections indigestes dans la megamachine à formater l’art.

    Évidemment je ne suis pas naïf, l’algorithme finira par récupérer la transgression d’une manière subtile. Ou pas.

  • hautpotentieldeconneries

    Membre
    8 mai 2024 à 9 h 23 min

    @matty et @cinematographe si vous écoutez l’extrait de Debors vous constaterez avec stupéfaction qu’on peut avoir une lecture du monde implacable sans convoquer des forces occultes…

    Force à vous 🤗

  • cinematographe

    Membre
    8 mai 2024 à 11 h 54 min

    Concernant Robert Vincent Bernier, il était cartographe en chef de l’état major dans l’armée américaine pendant la seconde guerre mondiale.

    Il avait notamment la charge de s’occuper à convertir les clichés photographiques en relief, pris par des avions de reconnaissance d’infrastructures au sol difficilement décelables autrement…

    Les images étaient prises séquentiellement, afin de produire la parallaxe de perspective nécessaire, à mettre en valeur de très fins détails de reliefs au sol, sur une portée de plusieurs kilomètres…

    Il convertissait également certaines paires d’images stéréoscopiques en tirages anaglyphes, à lire avec des classiques verres colorés, couleur primaire et sa complémentaire, afin d’améliorer parfois l’ergonomie et la versatilité de leur lecture, et les adresser sans doute par voie postale à leurs destinataires ?

    Il a peut-être contribuer à la contre offensive allié des proto missiles balistiques allemands V2 ?

    Ces derniers inspirèrent clairement le design de la fusée lunaire imaginée par le dessinateur de bandes dessinées belges célèbres Hergé !

    Les missiles V1 ressemblaient à de petits avions autonomes sans pilote, ils étaient lents en vol, faciles à intercepter par l’artillerie anti aérienne anglaise.

    Ils devaient prendre leur envol depuis une rampe de lancement, afin d’acquérir la vitesse nécessaire à leur décollage, à l’horizontale comme un avion classique.

    Les rampes de lancement étaient facile à identifier depuis les airs et à bombarder.

    Ce n’était plus du tout le cas avec les missiles V2 à décollage vertical, munis de moteurs de propulsion et tuilières d’échappement de gaz brûlés comparables aux fusées actuelles !

    Ces derniers n’avaient pas de rampes de lancement, ils étaient aisément transportable par des camions semi remorques, et leur pas de tirs pouvaient s’installer n’importe où dans le paysage, à la dérobée du regard ennemi !

    Leur vitesse de croisière dépassaient sans commune mesure celle de leurs prédécesseurs V1, l’artillerie anti aérienne était alors complètement désarmée à leur encontre !

    Robert Vincent Bernier était un excellent inventeur electromecanicien, mais il n’avait aucun sens des réalités sociales économiques, pour faire valoir le bien fondé de ses invention.

    Une seule de ses découvertes à ma connaissance a été commercialisée à destination de la production du cinéma en relief pour l’industrie du divertissement, c’est le “Trioptiscope” rebaptisé plus tard du nom commercial “Space Vision”, pendant une trentaine d’années, entre les années 60 et les années 90 du siècle dernier…

    Le projecteur de cinéma modifié que j’ai conçu reprend le même principe de fonctionnement, celui de son projecteur séquentiel à lumière polarisée en alternance avec inversion de phase par demi cycle.

    Dit ainsi cela semble compliqué, mais c’est en vérité un procédé d’une simplicité époustouflante !

    Le problème technique insoluble à l’époque, du moins partiellement, avait comme effet secondaire de générer un peu de fatigue visuelle, en raison du scintillement, papillotement, ou clignotement selon les fréquences, des images de cinéma en mouvement projetées à ses spectateurs…

    Une première solution consistait à filmer les scènes au moyen d’une caméra à très grande vitesse de prises de vues, quelques 180 images par seconde, puis de restituer les scènes à la projection à une vitesse comparable !

    Il va sans dire que le coût prohibitif de la production, celui de la pellicule cinématographique et de ses traitements de laboratoire, n’était alors pas compatible avec les critères de rentabilité déjà préexistants à l’époque !

    Une deuxième solution permettait de projeter les films à la vitesse standard de 24 images par seconde, standard commercial établi depuis ses origines pour le cinéma parlant, en modifiant les projecteurs de cinéma des années 1950 pour adopter le fonctionnement d’un projecteur de 1920, qui servait à l’époque à la synthèse couleur additive, à la projection d’images en couleurs recomposées à partir d’une pellicule strictement noir et blanc servant de sélecteur de densités et de gammes de gris, mécaniquement couplé à un filtre rotatif bichromique, réalisant ainsi la synthèse optique additive des couleurs en bichromie séquentielle !

    La modification consistait à équiper le projecteur de cinéma contemporain d’un obturateur Morgana ou “Morgana shutter”, de sorte que le cycle de projection soit le suivant à la vitesse relative de défilement des images à 24 images par secondes, le projecteur projette pendant ce cycle deux photogrammes en avant, puis un en arrière, réalisant un tissage liant optiquement les impulsions lumineuses entre elles, puis le cycle reprend à nouveau pour les photogrammes suivants, deux en avant et un en arrière, et ainsi de suite !

    La vitesse effective est alors de 72 impulsions lumineuses par seconde pour chaque cycle, soit 36 pour chaque oeil séparément avec le port des lunettes de filtrage polarisant !

    Ce qui n’est pas mal du tout, pas très éloigné du seuil physiologique perceptif moyen de la persistance rétinienne, assez varié parmi la population, mais communément admise autour de 50 Hertz !

    Cela correspond à l’ancien standard de télédiffusion de la vidéo analogique, qui équipait les tubes cathodiques à balayage électronique de nos anciens téléviseurs…

    La fréquence du courant secteur domestique est de 50 Hertz en Europe, c’est une constante issu du fonctionnement des alternateurs de courants électriques à la sortie de nos centrales électriques.

    C’est même le paramètre le plus stable qu’il soit, les autres composantes du courant électrique alternatif varient en permanence, la tension comme l’intensité, et 220 Volt ce n’est au final qu’une moyenne statistique…

    L’affichage du balayage électronique de nos anciens téléviseurs était directement tributaire de cette fréquence de 50 Hertz, qui correspond aussi à un seuil physiologique, raison pour laquelle la vidéo au standard européen entrelacée produit 25 images par seconde, en vérité 50 demi images par seconde, ou 50 demi trames électroniques entrelacés.

    Au USA la fréquence du courant électrique domestique est de 60 Hertz, par conséquent les téléviseurs affichaient 30 images par seconde, soit 60 demi trames de balayage électronique entrelacées.

    C’est à présent un standard industriel commercial maintenu, même avec le format de la vidéo numérique affichée en mode progressif sans entrelacements, puisque la vitesse des vidéos est à présent de 30 ou 60 images relatives par seconde, un standard imposé dans le monde entier par les USA pour cette norme industrielle !

    Cela dit en passant, c’est un trait d’humour je précise au préalable, la Russie impose également sa propre norme industrielle des missiles balistiques à propulsion magnéto hydro dynamique ou MHD, pouvant voler à mach 20 ou plus encore sans limite apparente si ce n’est la réserve d’énergie de carburant embarqué, face aux USA incapable d’une riposte comparable à l’heure actuelle !

    Rien ne peut technologiquement arrêter ces missiles à ces vitesses de vol élevées…

    Cela n’a peut-être rien à voir avec Robert Vincent Bernier, mais un certain ingénieur en aéronautique a ses débuts de carrière, du nom de Jean Pierre Petit, alors directeur de recherches au CNRS, avait développé lui-même ses propres recherches en MHD, des crédits qui lui ont été suspendu par l’État français dans les années 1980, estimant que ses recherches coûtaient trop chères et ne menaient nul part !

    A présent c’est la Russie qui possède cette suprématie mondiale géostratégique, et Macron est une marionnette aux ordres des États Unis …

    Comme quoi il ne faut jamais dépendre des aides d’État et des subventions, ce n’est pas un régime de développement sain et profitable à terme…

    Voyez plutôt, c’est mon salaire de jardinier qui finance mes recherches…

    À ce dernier propos j’ai découvert une troisième solution élégante pour résoudre l’ergonomie de confort du système de projection de cinéma en relief séquentiel proposé par Robert Vincent Bernier, “the alternate frame system” comme il le nommait lui-même.

    Je pense concevoir un deuxième projecteur de cinéma qui sera la copie exacte du premier dans son principe, les deux seront reliés ensemble par un couplage mécanique des axes moteurs en sortie, au moyen d’une simple transmission mécanique par flexible, laissant une marge de manœuvre pour placer les deux projecteurs côte à côte, et modifier à loisir l’angle de projection de chacun sur l’écran de cinéma, afin que les deux écrans de films en relief projetés se recouvrent parfaitement, quelque soit la taille de l’écran de cinéma ou la distance des projecteurs à l’écran !

    Je fais pouvoir réaliser des films en relief stéréoscopique et en surimpression simultanément !

    C’est ce que je faisais déjà auparavant, des films monoscopiques, ou films plats classiques, en surimpression cependant, avec un petit effet de relief produit par la parallaxe de mouvement !

    Pour éclaircir le propos, j’avais oublié de préciser que ce couplage synchrone en opposition de phase des deux projecteurs de cinéma, permettra en principe de supprimer complètement la composante du clignotement des images projetées qui était déplaisante au regard, sans même devoir augmenter drastiquement la vitesse de projection …

    Chaque projecteur de cinéma enverra les impulsions lumineuses de ses photogrammes pendant les phases obscures vacantes produites par le projecteur conjoint !

    Ce qui était problématique c’était surtout les ruptures violentes de contraste de lumière entre les impulsions lumineuses, et les phases noires d’occultation complète de la lumière en alternance avec les précédentes…

    Je devrais obtenir un confort équivalent de vision assez comparable à celui de mes films de surimpression 2D ?

Connectez-vous pour répondre.