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  • dan26

    Membre
    30 septembre 2019 à 13 h 46 min

    bonjour, HP hétérogène testé.

    J’ai essayé d’avoir une relation suivie avec 2 personnes HP émotionnelle; cata.

    Elles avaient eu des expériences avec des personnes PN, et comme moi aussi, tout ce que l’on pouvait se dire était interprété de travers, en soupçonnant l’autre de tendances PN….

    bref échec.

     

    Une relation avec une “normale” n’a pas été mieux, car ma “différence” détectée l’an dernier, lui était incompréhensible…

    Donc, oui, dur dur de trouver l’âme soeur, que l’on désire tous, ne serait ce que par notre désir de donner notre amour qui déborde souvent.

     

  • edward

    Membre
    19 janvier 2023 à 1 h 13 min

    Hello,

    Je me permets de up ce sujet qui date un peu.

    Pour ma part ISTP et célibataire.

    Bonne soirée

  • mnxa3l

    Membre
    19 janvier 2023 à 15 h 24 min

    Il y a un moment donné ou à force de voir de PN partout cela en devient ridicule.

    Des femmes sont très autonomes dans leur manière d’aller flinguer une relation et emmurer leur conjoint avec leur super-pouvoir “refuser de dépasser du trait” et donc souvent d’être sincère.

    Dans l’histoire Européenne, il y eut un grand remplacement de la population masculine, la culture elle n’a pas changé, malgré l’élimination des mâles du pool des reproducteurs, cela est pour le passé.
    Pour le présent, les taches relatives au fait d’élever les gosses sont encore massivement féminines. A l’origine du “je refuse de dépasser du trait (ou d’assumer dépasser du) on trouve la société et ses transitions actuelles vers une matridominance dans un monde ou les hommes et femmes restent puérils de plus en plus. Cependant :

    Qui propage la culture ? Qui propage la culture y compris sur les aspects “machistes”, Qui se plaint de ces aspects ?
    Indice: Les 3 fois pointent sur le même groupe de gens.
    Donc quand on a la main et qu’on joue mal, il est un peu idiot de se plaindre, surtout en France un des pays les moins machistes et raciste du monde depuis des temps immémoriaux.

  • bagayaga

    Membre
    19 janvier 2023 à 20 h 15 min

    @mnxa3l

    C’est quoi ce super pouvoir? De ne pas dépasser le trait?

    Peux-tu développer ? Ce n’est pas mal ce que tu soulignes.

    De ce que j’observe, je suis d’accord aussi sur le remplacement, on voit bien la différence entre un homme du vingtième et un homme du vingt et unième siècle. Je regarde les photos et les profils sur une appli de rencontre, j’observe une horde de petits garçons. Même pas spécialement aboutits physiquement. Plutôt soumis. Avec cette culture de l’anti-hero. Les Sammy de Scooby- doo. Les profils sont tous un peu à charge et l’autodérision est là pour faire passer une nature veule et creuse. Je passe et je passe les pages et c’est les mêmes bonnets de dockers (qui n’en n’abritent pas même l’ombre), les mêmes lunettes, les mêmes barbes et moustaches, les mêmes chemises surranées et veste de survêtements rétro… La même façon d’alpaguer molement les nanas, “vient on va faire le tour du monde,” “vient on reste sous la couette”, “sushi-netflix”, “vient on boit une bière”, “mon dentiste dit que je suis drôle”,”ma mère m’a torché le cul trop longtemps”” et je ne sais pas faire mes lacets”, “ni dans quel sens tourner la clef dans la serrure”, “lol”… “Je suis médiocre et j’en suis fier..”

    J’imagine que s’il y en a autant c’est que c’est aussi ce que veulent les femmes en général. Un petit garçon.

    Perso voilà ce que ça m’inspire.

    https://youtu.be/jiJYdobdNiE

    ^^

    Je ne suis pas assez calée en sociologie, je n’ai pas étudié le glissement de notre culture vers ce modèle-là. Qui n’est de toute façon pas sous-tendu, je pense, par la prise de pouvoir d’un sexe sur l’autre. Mais plus par l’évolution du travail.

    Hommes comme femmes n’ont plus besoin l’un de l’autre pour nourrir et protéger les enfants. Et ne sont même plus obligés d’en faire.

    On peut aller acheter de la nourriture avec son enfant dans le chariot, payer quelqu’un pour garder l’enfant pendant que l’on gagne l’argent pour remplir le chariot. Nous ne sommes plus foncièrement en danger quand on sort de chez soi.

    Plus besoin d’être deux en relais pour protéger et nourrir le fruit de la reproduction. Plus réduit à faire des enfants, et donc avoir un objectif pour rester ensemble.

    Donc forcément sans ces impératifs la société,la culture glisse vers autre choses.

    Et le délicieux Marlon Brando, qui ouvre la porte de l’appartement,plein de cambouis sur ses biceps avec un cure-dents au coin de la bouche, avec une jolie femme docile bien pomponée qui l’attends avec un repas à bonne température et savoureux pour glisser sur une bonne pipe, ce n’est plus possible. C’est une image d’Épinal. C’était une autre époque. Les hommes étaient sacrement bandants mais nous n’accepterions plus d’être réduites à la pipe/missionnaire et touiller le pot-au-feu. Mais comme ça a évolué très vite. Chimiquement on est toujours attiré par les anciens schémas instinctivement. Mais intellectuellement on trouve ça ridicule. Et les gars ne pigent pas ils doivent être déconstruit le jour et construit la nuit. En mode Fiona l’ogresse de Schrek.

    Puisqu’un homme déconstruit qui nous respecte et cherche à s’égaliser… Ben ça ne fait pas bander dans les chaumières. Et est-ce qu’il est heureux ce mec qui se demande quelle trotinette est la plus assortie à son ombre, en se douchant de photos pour poster sur Insta. Et s’il est temps de s’acheter un sèche cheveux avant la calvitie ? Je ne sais pas. Je vois beaucoup d’hommes acculés dans leurs canapés. Incapables de vivre sans substances artificiels. Rivés à leurs consoles de jeu. Mangeant que du gras ,du salé et du sucré. Prenant les femmes pour des substituts du doudou de l’enfance. Cherchant à se faire materner. Alors que nous les femmes on nous apprends à être des salopes sans cœur…

    Entre femmes on se dit que les hommes sont des grosses chialeuses mais devant eux on fait genre ,oh le pauvre doudou. Et les gars font genre qu’ils sont des bonhommes mais ils chialent entre eux que les femmes sont des conasses. Qui ne savent pas ce qu’elles veulent. Et sont versatiles.

    Mais ce n’est pas nouveau…

    La femme est inconstante

    Comme plume au vent,

    Elle change de propos

    Et de pensées.

    Toujours un aimable

    Et gracieux visage,

    En pleurs ou souriant,

    Est trompeur.

    La femme est inconstante

    Comme plume au vent,

    Elle change de propos

    Et de pensées,

    Et de pensées,

    Et de pensées !

    Il est toujours malheureux

    Celui qui s’y fie

    Et qui s’y confie,

    Son cœur imprudent !

    Mais nul pourtant

    Ne se sent pleinement heureux

    Qui ne boit l’amour

    À leur sein !

    La femme est inconstante

    Comme plume au vent,

    Elle change de propos

    Et de pensées,

    Et de pensées,

    Et de pensées !

    Comme la plume au vent

    Femme est volage

    Est bien peu sage – qui s’y fie un instant.

    Tout en elle est menteur,

    Tout est frivole,

    C’est chose folle – que lui livrer son cœur

    Femme varie, femme varie,

    Fol qui s’y fie – un seul instant

    Comme la plume au vent

    Femme est volage

    Est bien peu sage – qui s’y fie un instant.

    Trompé par leurs doux yeux,

    J’ai l’air d’y croire,

    Bornant ma gloire – à tromper encore mieux.

    Femme varie, femme varie,

    Fol qui s’y fie – un seul instant.

    Traduction de, La Dona e mobile, aria du Duc de Mantoue, Rigoletto,de Guiseppe Verdi.(1851)

    Alors je ne sais pas si c’est un complot de femmes qui ne savent pas ce qu’elles veulent et manipulent le monde en faisant de la merde. Ou plus une évolution des moeurs trop rapides, non corrélées avec les leviers moteurs émotionnels soutennus par le système endocrinien, qui permet de rendre logiques nos envies face à nos comportements.

    C’est toujours le même débat. Acquis et inné. Et la même réponse. Sûrement les deux^^

    Bref. Je précise que c’est mon analyse. Et que je ne dis pas que c’est la vérité vrai.

  • mnxa3l

    Membre
    19 janvier 2023 à 20 h 48 min

    Ne pas dépasser du trait, c’est un peu ce que tu peux voir parfois chez les poly-tocards, c’est en substance, ne pas montrer son opposition, ne pas proposer, laisser les choses se faire et les situations pourrir, pour en fait ne pas avoir à gérer le fait d’être exposé, car il existe le risque d’être en faute et de subir un reproche, une critique ou le mot magique (être) “jugé”.
    C’est un comportement extrêmement toxique pour le collectif et il est donc extrêmement nocif pour l’homme, qui lui porte jusqu’à présent le collectif dans la société, sur ses aspects positifs (solidarité, partage) et négatifs (guerre, racisme).

    Problème, puisque nous sommes en transition et que l’éducation des femmes, ne possède pas de chapitre pour nourrir le collectif, mais plutôt prendre soin des proches, nous n’avons pas encore de socle féminin du collectif et cela va prendre du temps, en attendant il y a une désagrégation de la société. Il suffit de parcourir un livre de dev. perso, principalement là pour soigner l’individu versus le collectif pour valider ce que j’avance.

    Les solutions sont simples selon moi, elles passent par le fait d’équilibrer la charge de l’éducation entre homme et femme des petites filles et de forcer la mixité dans les sports collectifs et au bout d’une à trois générations, nous pourrions avoir un socle collectif presque indifférencié entre homme et femme, mais en attendant ce sera compliqué. C’est une transition, pour laquelle nous sommes à l’avant-garde donc les méthodes sont de nature expérimentales.

    Quant à la puérilité, elle provient d’une mauvaise gestion des émotions et de mauvais apprentissages dans une société violente, et sa nature est due au fait que le cerveau ne sait plus classer tout ce que l’individu accumule comme émotion et donc ne peut plus tourner la page et stoppe le développement de la personne sur certains pans. Cela fait des hommes et des femmes incomplets.

    EDIT:

    Je précise un point le collectif, c’est aussi la guerre et certaines logiques de ségrégation, alors ce n’est pas que positif, tant s’en faut.
    Par contre, c’est une espèce d’éther qui a toujours été là, en tout cas depuis 300 000 ans, ainsi tout ce qui le chamboule, chamboule tout. Notre société mute et elle mute dans un moment où bien des mouvements et des contraintes semblent s’accumuler, à voir les impacts que ces changements entremêlés produiront.

  • bagayaga

    Membre
    19 janvier 2023 à 21 h 44 min

    Nocif pour l’Homme ou pour l’homme ?

    J’ai du mal à comprendre tes concepts, je pense que c’est la ponctuation.

    J’essaye de résumer ce que je comprends.

    Tu penses que l’on apprend aux femmes à être complaisantes avec les mecs et/ou tout le monde? Et qu’elles sont lâches ?

    Ce faisant c’est l’homme du coup qui doit gérer toute la sphère collective à cause de ce silence féminin. Que ce soit le positif,comme le négatif.

    Et les femmes s’en lavent les mains et montrent du doigt ?

    Puis tu dis que le problo c’est l’éducation des meufs. Tournée sur le soin de l’indiv. Que c’est en transition et que dans trois générations, si on arrêtes de genrer, c’est plié?

    Donc tu es un adepte de l’acquis. Tu ne prends pas en compte l’inné. Trois générations pour effacer la genèse de l’individuation sexuelle ça ne me paraît pas lerche.

    Toi ton estimation c’est que nous devrions desindividualiser, arrêter de genrer pour aller vers du collectivisme?

    Mais pourquoi ce serait mieux ?

    Tu fais quoi des productions hormonales codées génétiquement ? Des pilules?

    Que les hommes et les femmes se confondent? Je ne sais pas. Après la reproduction pourrait encore plus perdre de sens. Et sans motivation hormonales pour niquer…. Coup dur pour l’humanité.

    Pour les émotions,j’entends.

    L’éducation ancienne,du siècle dernier, brimme en effet les émotions. Ce qui est ballot puisque c’est le moteur du corps. La motivation chimique de la vie. Et malheureusement la peur qui est très représentée, fige, fait fuire ou fait attaquer. De plus la production de cortisol détruit le corps. Alors que les différentes émotions sont des balises ,qui sont là pour informer de la marche à suivre. Et que si on ne les écoutes pas ou les traduits à côté, ben c’est comme laisser l’aiguille de la pression s’aventurer dans la zone rouge.

    Je comprends ce que tu veux dire par incomplet. Du coup. Ça plonge l’humain à vivre sans compréhension de lui même et de ses besoins. Et de tourner en rond vers de fausses idoles, qui le rende dépendant à des trucs inutiles. Et à s’agenouiller devant de la merde qui ne résout rien. Et de s’en prendre à ceux qui s’agenouillent devant d’autres trucs. En croyant que si tout le monde s’agenouille à l’unisson, ce sera bueno.

    Ce qui est une grosse utopie. J’ai l’impression, ce désir d’unisson…

    Et le sentiment de connaître la solution. Non?

    EDIT:

    Le collectif c’est depuis bien avant. Je pense. Rien qu’à voir dans notre taxon simiesque.

    C’est le principe des trucs trops faibles pour gérer solo.

    Plus l’organisme vivant est bourrin sur terre ,plus il est seul. C’est un peu un principe.

    Je pense que l’individualisme découle de l’autonomie, l’autosuffisance et la puissance.

    Chasser un mamoute solo, c’est une bien mauvaise idée,nous sommes d’accord. Mais avec l’entrée dans l’Holocène et la fin de la période glacière, le biotope a changé. De vastes toundras sans forêts avec des animaux géants, un froid énorme. À forêts touffues, petits animaux,climat au petits oignons et invention de l’arc.

    Plus besoin d’être un crew pour chasser un sanglier.

    Je ne pense pas que l’humanité,sauf si on se prend à nouveau un changement climatique,qui détruise notre indépendance, ou un cataclysme humain ou naturel, bref sans cette fragilisation. Nous serons individualistes encore longtemps.

  • mnxa3l

    Membre
    19 janvier 2023 à 22 h 13 min

    Manifestement, on ne s’est pas compris.
    Quand je dis que l’homme porte le collectif, c’est l’humain masculin.
    Je te conseille le livre “ou en sont elles” de Emmanuel Todd.

    Quand je dis que des femmes ou des hommes ne veulent pas dépasser du trait quitte à pourrir les situations, tu peux en déduire l’impact sur le collectif. C’est un comportement individualiste et ce type de comportement est plus féminin que masculin.

    De la même manière que chez les chasseurs-cueilleurs les hommes chassent et cueillent alors que les femmes cueillent exclusivement, tu peux penser que les hommes portent le collectif et parfois une part de l’individualisme, tandis que les femmes portent l’individualisme exclusivement.

    Notre collectif existait depuis des temps immémoriaux, sous une forme différente, que celui qui vient en ce moment. De cette évolution, je trouve une partie de l’explication vis-à-vis de l’effondrement. Ce n’est pas ni bien, ni mal, c’est une évolution en cours et donc cela engendre de l’instabilité.

    Je ne te parle ni d’hormone ou quoi que ce soit d’autre, je te parle de société, c’est une question de culture essentiellement portée par des considérations mécaniques ou physiologiques. Une femme diminuée par des choses en rapport avec la maternité est plus vulnérable face à une faune dangereuse, par contre elle est moins exposée durant une cueillette.

    D’où la répartition des taches et peut-être un élément qui a favorisé le dysmorphisme sexuel.

    Par ailleurs la chasse n’est pas la guerre et donc des femmes chez les Celtes par exemple allaient se battre comme les hommes avec les gosses en prime.
    Et sur le registre militaire moderne les Russes utilisaient les femmes en tant que tireur d’élite et pilote de chasse, du fait que ces éléments requièrent de l’individualisme.

    Tout ceci pour te dire : Le collectif est bien et mal à la fois, l’individualisme est bien et mal à la fois.

    Ce que je propose est de mitiger l’instabilité et favoriser l’émergence d’un collectif féminin et masculin, équivalents. Cela pour limer les effets de bords de la transition et la précipiter. Et je pense que 3 générations au moins sont nécessaires.

    Quant à l’importance de l’émotion : Un type qui dans un embouteillage, se faufile et change de voie sans arrêts, ira plus vite, mais ralentira tout le monde.
    Tu viens de comprendre en quoi s’occuper de ses émotions à soi, de manière individualiste, abime le collectif…
    Donc comprendre les émotions, oui, savoir les gérer oui, tout mettre derrière, non et en plus d’avantage non, car cette société de consommation existe du fait de la perversion des émotions pour orienter les comportements compulsifs du genre des achats par exemple.

    En plus abimer le collectif, ne rendra pas les gens plus heureux, or en l’état cet “émotionalisme” est un des éléments qui rend malheureux les gens. Espérons que cela n’est que transitoire.

  • bagayaga

    Membre
    19 janvier 2023 à 22 h 24 min

    On ne peut pas vraiment affirmer les rôles chez les humains à la préhistoire. C’est purement des théories. On n’en sait rien. Parce qu’il n’y a plus de traces. De preuves avérées que ce soit autant genré. D’ailleurs il y a masses théories. Que ce soit la femme ultra puissante guerrière ou la femme au campement, éducation des enfants, invention du langage et cueillette. Ça nous semble logique à notre époque. Mais ce n’est pas forcé que cela l’est été réellement. C’est à prendre avec des pincettes.

    Ça me paraît un peu fantasmé comme vision. Et tu occultes vachement la réalité hormonale. Ce qui enlève à mon sens une dimension nécessaire à ton analyse. Qui n’est pas complètement fausse je trouve, sur certains points. Si tu transmets la parole de ce Todd je ne pense pas forcément le lire. Car pour moi c’est biaisé. La théorie de l’Acquis c’est bien. Mais ce n’est pas à dissocier de l’inné.

  • mnxa3l

    Membre
    19 janvier 2023 à 22 h 32 min

    Et bien ce n’est pas vrai, car il existe des traces, si cela te semble contre-intuitif c’est normal si tu ne t’es pas penchée sur le sujet.

    Quand on vient à mesurer la teneur en stontium des dents pour savoir si les enfants allaient habiter chez maman ou papa après avoir trouvé une compagne, c’est que l’on a bien plus que l’écrit comme base de référence. On a des milliers de traces, un peu partout sur terre datant de plus de 300 000 ans., tout ne commence pas avec la céramique japonaise il y a 12 000 ans, ou en Mésopotamie il y a 8000 ans.

    Suis mon conseil, trouve ce bouquin, si tu étais bretonne, je te le passerais volontiers.

    Et encore une fois être guerrière et ne jamais chasser est compatible, puisque les Celtes allaient se battre en famille.

    Les hormones créent et amplifient le dysmorphisme, mais ca ne sert pas qu’à cela … Les hormones, c’est aussi un media de communication.

  • mnxa3l

    Membre
    19 janvier 2023 à 22 h 46 min

    Je vais utiliser la rhétorique pour te répondre, par un procédé que tu verras.

    – Si tout obéit aux lois mathématiques, est-ce que l’on peut tout expliquer par les mathématiques ?

    – Si tu n’as pas besoin de l’hypothèse des hormones pour expliquer ce qui est observé, cela ne signifie pas que les hormones sont sans effets. Vrai ou Faux ?

    – On n’a pas besoin de tout connaître toutes les réactions chimiques pour savoir si la terre se réchauffe, il suffit de faire le bilan thermique : comptabiliser ce qui rentre et ce qui sort de l’atmosphère en matière d’énergie.

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