Échecs amoureux 🙁

  • Publié par chafaitdubien le 29 octobre 2022 à 1 h 56 min

    Bonjour à toutes et tous,

    Je me lance à écrire ce message car je me heurte à des difficultés que je n’arrive plus à résoudre toute seule.

    Tout d’abord; je me présente ! Je m’appelle Charlotte et suis une petite zèbre de 30 ans. Et aujourd’hui, je m’interroge sur ma façon d’aimer (non, plutôt… de mal aimer) que je ne comprends pas bien et que je voudrais résoudre. Peut-être que l’un(e) d’entre vous a déjà connu ça #bouteilleàlamer.

    J’ai un grand besoin et envie d’être aimée. Je suis très idéaliste et ai une soif d’absolu en amour. Durant mes périodes de celibat, je me sens vide et un peu malheureuse. Pourtant; lorsque je rencontre quelqu’un, cela se passe quasiment toujours de la même façon : les débuts sont souvent extrêmement forts et passionnels. Les échanges sont profonds, la personne en face s’emballe très vite, je me sens moi-même et ca part donc très fort… mais (!) dès je sens que ça devient un peu plus sérieux alors là c’est la catastrophe : j’ai un sentiment de peur qui m’envahit et c’est la panique : je fais un blocage total vis à vis du fait de rencontrer la famille et les amis de mon copain… par peur qu’ils ne m’apprécient pas (seul domaine où j’ai ce blocage total à m’en rendre malade), je me mets à devenir insupportable (je rejette l’autre, le quitte pour des broutilles comme pour me rassurer qu’il va revenir; je deviens contrôlante, étouffante, jalouse…en un mot insupportable et l’autre a peur de mes réactions et finit par s’épuiser de me rassurer sans cesse). Bref je maltraite la relation… par peur d’être abandonnée (ce que je finis donc par créer).

    C’est ce qu’il vient de se passer avec mon copain avec qui j’étais depuis un an et dont au fond j’etais profondément amoureuse… . Impossible de rencontrer sa famille et ses amis (je me suis mis une telle pression…); et un sentiment de saborder la relation. Ca a été l’escalade et il a fini par craquer aussi amoureux et adorable soit-il. Je l’ai poussé à le faire au fond…. . Et là c’est le drame, je n’en dors plus et culpabilise énormément car je sais que j’ai perdu une personne incroyable et je ne sais même pas quoi faire pour rattraper ça.

    Avez-vous deja ce type de fonctionnement svp ? Savez-vous ce qu’il est possible de faire pour changer ? Un immense merci !

    amonk a répondu il y a 1 année, 1 mois 10 Membres · 37 Réponses
  • 37 Réponses
  • max

    Modérateur
    29 octobre 2022 à 7 h 25 min

    Bonjour, on me dit dans l’oreillette que cet article pourrait t’intéresser,

    https://www.la-clinique-e-sante.com/blog/hauts-potentiels/adulte-amour

  • Membre Inconnu

    Membre
    29 octobre 2022 à 11 h 55 min

    @Chafaitdubien : pour moi il y a un équilibre à trouver entre le manque d’estime de soi et la peur de perdre l’autre d’un côté et de l’autre une trop importante estime de soi et la peur de détruire l’autre…

    Je pense qu’il est important d’avoir des relations amicales fortes à côté d’une relation de couple et aussi de prendre le temps de découvrir l’autre pour déterminer notamment la distance relationnelle qu’on peut avoir lui. Etre ami peut déjà être tellement intense voire chaotique tant qu’on n’a pas (re)trouvé un équilibre dans la relation, alors être en couple…

    Ma soeur jumelle (dizygote) a toujours été à mes côtés et moi aux siens, et elle a pu être ma meilleure amie ou encore ma Némésis. Notre relation a toujours été enrichissante et intense, d’autant plus qu’elle est introvertie et moi extravertie. Mais cela fait de nombreuses années maintenant que notre relation est “apaisée”.

    C’est sûr qu’à force qu’une relation s’effondre (amour ou amitié), nous qui avons soif d’éternité tout autant que d’intensité ou encore de perfection, comment trouver le courage de recommencer ou encore d’accepter de perdre une relation puissante et intense que nous avons mis parfois de nombreuses années à créer ? De plus, nous n’aimons pas les cages et nous ne voulons pas non plus mettre les autres en cage… L’équilibre est toujours à (re)trouver, y compris en nous-même.

    Pour moi la clef est une bonne estime de soi (l’exclusion sociale mine l’estime de soi, alors pour un haut potentiel qui a du mal à trouver sa place, cela peut être compliqué s’il ne s’est pas construit un clan…), la compréhension de notre fonctionnement et du fonctionnement de l’autre, la gestion de nos émotions (voire de celle des autres) et améliorer notre façon de communiquer avec lui. Et trouver un compromis au niveau des attentes que nous pouvons avoir envers nous-même et l’autre… Et vouloir avancer ensemble dans la même direction.

    Bon courage pour tout.

    https://www.youtube.com/watch?v=RQBDSciMe8c

  • amonk

    Membre
    29 octobre 2022 à 14 h 02 min

    Bonjour à tous.

    Je fais une petite analyse du texte de Charlotte. À l’initiatrice du sujet de me dire si je suis à côté de la plaque…

    Déjà, c’est un texte bien cadré. Le contexte est posé. Les questions claires aussi. C’est top.

    Je résume un peu tout par la phrase «et un sentiment de saborder la relation». La problématique, je la reformule ainsi, si je l’ai bien comprise: “Aimer, avoir une relation, et tout ficher en l’air. Comment éviter ce résultat négatif pour avoir une relation calme?”

    Je ne suis pas du tout dans le médical ou la psychologie. Par ailleurs, pour moi, j’ai distingué chaque élément qui a trait aux zèbres, et d’autres qui a trait à n’importe qui car parfois à trop mélanger, on s’y perd plus qu’on gagne en avancée.

    Par exemple, à lire tout le texte, est-ce que toi, Charlotte, tu t’es posée ces questions?

    – que connais-tu de toi?

    – que vois-tu dans tes influences? Par là, j’entends les approches classiques de psychothérapie, qui se basent pas mal sur les relations parents-enfants. Est-ce que tes parents ont apporté suffisamment de sécurité, dans ton enfance?

    – tu indiques que «Durant mes périodes de celibat, je me sens vide et un peu malheureuse». Pourquoi n’es-tu pas heureuse, seule? Pourquoi ce ressenti de vide? Car si l’on ne s’équilibre pas soi-même, on va trop attendre des autres…

    – «dès je sens que ça devient un peu plus sérieux alors là c’est la catastrophe» ce point me semble important. Je ferai donc l’hypothèse d’un profil “évitant”. Beaucoup de vidéos existent à ce sujet. Suivant le degré d’une personne “évitante”, il existe donc plusieurs distances: par exemple, une personne avec un fort degré refuse catégoriquement de se voir elle-même (à l’instar de profils plutôt narcissiques) et refuse même n’importe quelle aide (famille, amis, professionnels). Je suis conscient que le fait de demander de l’aide sur un forum a tendance à contredire ainsi mon hypothèse…

    Pourtant, en lisant la culpabilité, et d’autres indicateurs, je serai plutôt enclin à mettre vraiment sur la table cette hypothèse d’un profil “évitant”. Un jour, lors d’une discussion avec une THQI, elle m’en avait parlé. Je ne mesurais pas alors l’importance de ce sujet. Ce sujet a dormi jusqu’à un certain temps, où j’ai enfin compris mes propres schémas relationnels.

    Je fonctionne beaucoup en vision par schémas. Et c’est comme un oignon, il y a plusieurs couches. Quand on mélange une part zèbre, une part autiste, une part Anxieux, une part ci, une part ça… Ça peut être flou. Quand on découpe chaque part comme un filtre, on peut comprendre chaque situation, chaque résultat, qui peut être influé par un des filtres sur le parcours.

    “Avez-vous deja ce type de fonctionnement svp ?”

    Ce n’est pas mon type de fonctionnement. Mais du coup, j’ai croisé beaucoup de copines dans ce style là… En général, quand la situation devient sérieuse, la personne part dans ce qu’on appelle un “silence radio”, sans expliquer et sans pouvoir parler au copain… Ce n’est que récemment que j’ai pu décortiquer en détails ces mécanismes. Et apprendre du coup, que j’étais “de l’autre côté du miroir”, ce qu’on appelle un profil “anxieux”.

    Pour les gens intéressés, il existe plusieurs profils. On classe en deux catégories les personnes, soit dans des profils dits “secure” (50%), soit “unsecure”. Dans cette dernière catégorie, on trouve des profils dits “évitants” (25% des unsecure), “anxieux” (20%) et “désorganisé” (5%). Je vous invite à creuser toutes ces informations, de votre côté, et à ne pas prendre pour argent comptant mes descriptions.

    “Savez-vous ce qu’il est possible de faire pour changer ?”

    Déjà, il faut à coup sûr trouver “l’origine du problème”. Si c’est bien le mécanisme où tu rejettes par peur d’être rejetée, d’un sentiment d’angoisse effrayante quand la relation est sérieuse, d’une peur d’un engagement… Cela a de grandes chances que ce soit vraiment une hypothèse de profil “évitant”. Personne ne peut te changer. Il n’y a que toi pour cela. Il faut donc prendre conscience de certains points et vouloir profondément avancer et travailler sur soi. L’aide d’un professionnel qualifié est recommandé. Encore faut-il savoir quel professionnel et s’il correspond bien au problème à traiter.

    D’où ma proposition d’une hypothèse: à voir si cela parle, si cela correspond, et à faire valider par toi, Charlotte, ou aussi avec la personne que tu auras choisie (professionnel, entourage qualifié, etc).

    Et petit point, je pense que l’aspect zèbre, lui, c’est comme un filtre amplificateur. Je retrouve un peu cela dans les phrases comme «Je suis très idéaliste et ai une soif d’absolu en amour. (…) les débuts sont souvent extrêmement forts et passionnels. Les échanges sont profonds, la personne en face s’emballe très vite, je me sens moi-même et ca part donc très fort…»

  • amonk

    Membre
    29 octobre 2022 à 14 h 03 min

    [Je digresse un poil, avec ce post, donc je le mets à part]<div>

    Comme dit Kitsunebi, «la compréhension de notre fonctionnement et du fonctionnement de l’autre, la gestion de nos émotions (voire de celle des autres) et améliorer notre façon de communiquer avec lui. Et trouver un compromis au niveau des attentes ». De mon expérience, j’avais croisé une fois une miss qui ne faisait aucun compromis… Je faisais tous les efforts… Au bout d’un moment, j’ai craqué, je suis retourné dans le pragmatisme.

    Pour que les choses soient claires sur comment je craque: j’ai à chaque fois posé un ultimatum. 1) Ou bien les choses s’arrangent, il y a des efforts reconnus, c’est un fonctionnement tout en communication des deux côtés, avec des solutions qui sont possibles sans rester prisonniers d’un seul carcan, 2) ou bien la personne ne veut rien changer et donc il n’y a pas d’autres possibilités pour moi que de dire que c’est fini… J’ai eu deux cas où les personnes ont préféré la dernière option. Au moins, c’est clair, je suis fixé. Parce qu’au bout d’un moment, j’en ai marre de me sacrifier pour les autres… Je dois apprendre une part de narcissisme, car les psychologues disent qu’autant n’avoir que ça, c’est potentiellement un trouble, autant ne pas en avoir du tout, c’est un autre type de trouble 😅</div><div>

    Je me sens stupide de chercher des choses comme “la compréhension des fonctionnements”, “la communication”, “l’écoute”, “la volonté d’avancer ensemble” ou “des compromis” alors que pourtant chaque fois que je discute de cela IRL, on me rassure bien en disant que c’est pourtant une base…


    Dans le domaine amoureux, je trouve que beaucoup de personnes se laissent emportées par les sentiments, et le reste suit après-coup… Alors que je me sens plutôt à part, à rechercher un équilibre “sentiments/réflexion” dès le départ…

    </div>

  • amonk

    Membre
    29 octobre 2022 à 14 h 06 min

    @olbius Hello, j’ai beau retirer des “< div >”, ça se remet dans le texte… À voir s’il n’y a pas un truc technique là-dessous? En tout cas c’est étrange. Je te remonte ce point, au cas où.

  • olbius

    Organisateur
    29 octobre 2022 à 14 h 23 min

    @amonk

    Hello 🙂

    La cause la plus probable est que tu as fait un copier-coller (par exemple en écrivant sur Word dans un premier temps), sans faire de “coller en texte brut” (ce qui laisse donc du code au moment du collage) et/ou que tu utilises un logiciel type Adblock (qui cause des bugs en bloquant certains bouts de code). Tu confirmes un des deux ou pas du tout ?

  • amonk

    Membre
    29 octobre 2022 à 14 h 29 min

    @olbius Sous Android, j’ai copié les deux messages sur une application texte.<div>Le premier est passé sans souci. Pas le second 😅</div>Je n’ai pas d’option “coller en texte brut”.
    <div>
    </div><div>Je pense que le navigateur doit avoir un Adblock intégré (j’ai eu certaines notifications en ce sens sur certains sites).</div>

    C’est surtout que j’ai fait la même méthode pour les deux messages, avec un résultat différent. Peut-être que l’adblock a zappé du code sur le deuxième message en laissant tranquille le premier… Si ces éléments peuvent répondre à tes questions…

  • chafaitdubien

    Membre
    29 octobre 2022 à 14 h 29 min

    Merci beaucoup à toutes et tous pour vos réponses; très instructives et intéressantes.

    Je partage cette métaphore de l’oignon et ai bien conscience qu’il y a surement plusieurs couches à explorer et que je suis un mélange (un peu explosif) de tout cela. Mais quel boulot ! Je vois une psy mais cela ne m’aide pas trop pour le moment.

    A quand même y réfléchir, je ne me verrais pas comme ayant le profil évitant (je dirais plutôt que c’est mon ‘ex’ snif copain qui est ainsi) mais plutôt comme ayant peur de l’abandon et de l’échec : je préfère sûrement parfois pietiner les choses pour conserver une sensation de controle plutôt que de prendre le risque que l’on me rejette, ne m’aime plus et m’abandonne… et que je souffre. Ma façon de pietiner la relation ? Mes réactions excessives, qui la rendent invivable. J’ai tant besoin d’être rassurée que j’étouffe l’autre tout en ne le rassurant pas beaucoup moi même car j’ai peur d’être trop vulnérable. Et j’attends de lui qu’il me prouve qu’il tient à moi… encore et encore… pour pouvoir m’ouvrir. Mais je suis un peu un puit sans fond car l’autre a alors l’impression de ne jamais ‘être assez’ et de ne pas pouvoir me rendre heureuse. Il a aussi l’impression de perdre sa liberté alors qu’en me rencontrant je donne justement l’impression de quelqu’un de très libre et plein de joie de vivre. J’analyse tout, en permanence, et dès que je ressens le moindre ‘recul’ de mon copain; c’est la panique à bord et je ne maitrise plus rien.

    Concernant cette peur de l’abandon, je pense cerner un peu d’où elle vient : mon père était peu présent quand j’étais petit. Peu de gestes d’affection. J’ai grandi dans une famille conflictuelle (mon père avait beaucoup d’emprise sur ma mère et la denigrait énormément. Elle a fait 2 ou 3 tentatives de suicide). Puis, à mon adolescence monpère a trompé ma mère et l’a quittée. Ma mère et moi sommes tellement proches que j’ai aussi un peu vécu ça par procuration et j’ai donc une grande mefiance envers les hommes que je mets un peu tous dans le même panier (et je ne veux pas me retrouver dans la même situation qu’a vécu ma mère). Et mon père a choisi sa copine (une mégère qui a tout fait pour l’éloigner de ses enfants) plutôt que ma sœur et moi.


    Là j’aimerais vraiment arranger la situation avec mon ex copain car je pense profondement que c’est quelqu’un de bien… et c’est rare que je ressente ce connexion. Les choses ont mal tourné entre nous avons des fonctionnements qui alimentent un peu nos peurs respectives. Au début il était à fond de chez à fond. Je me suis un peu ouverte mais j’avais un fort besoin d’être rassurée. Je ne voulais pas voir sa famille et ses amis mais lui en voulait un peu quand il sortait. Mais il ne m’a rien dit. Il gardait pour lui. Sauf que j’aurais surement eu besoin d’être un peu recadrée. Et, au bout de 5 mois environ il s’est un peu éloigné. Et comme il fuit les conflits et communique peu j’ai du lui tirer les vers du nez pour qu’il m’avoue qu’il doutait un peu. Et là ca a amplifié mon insécurité : non seulement ses doutes m’ont paniquée mais le fait qu’il ne me le dise pas m’a fait perdre un peu confiance. Et du coup c’était un peu l’escalade. Lui revenait malgré tout toujours vers moi… mais sans plus vraiment se projetter etc… donc je n’arrivais plus à être moi même… et puis ca a un peu dégénéré parce que j’ai démissionné de mon CDI et trop d’incertitudes m’a fait totalement péter les plombs jusqu’à la rupture (il m’a demandé pourquoi on s’aimait mais que ca ne fonctionnait pas … je n’ai pas eu les mots, j’ai claqué la porte derrière lui).. et il a disparu depuis. Je pense qu’il n’a plus supporté mon inconstance, mes attentes, les reproches (et je l’ai même insulté la semaine précédente parce que je me sentais trahie).


    Après 2 semaines et demi de silence; mercredi (il y a 3 jours); je lui ai envoyé ces quelques mots :

    Je tenais à t’écrire ces quelques mots tout d’abord pour te demander pardon. Je suis sincèrement désolée de certaines paroles qui ont dépassé ma pensée et que je regrette profondément; d’attitudes & réactions que je ne peux qualifier aujourd’hui que d’incompréhensibles et enfin, d’instants précieux que j’ai pu gâcher.

    Je n’ai pas d’excuses; j’ai trébuché, des tas de fois, en mélangeant mon besoin (excessif) d’être rassurée, mon départ de mon entreprise, mes doutes et questionnements sur l’avenir et mon envie d’aimer… sans trop savoir comment m’y prendre. J’ai conscience de t’avoir fait porter un poids bien trop lourd et parfois injuste et du sentiment d’impuissance que tu as dû ressentir face à cette tornade. Je voulais “tuer le game” mais pas nous (e)t(o)u(ff)er ni nous saboter.

    Je repense souvent à cette envie de rencontrer les tiens; ta famille, tes amis et de participer à ce qui compte pour toi : le constat est que j’ai eu peur.

    En y réfléchissant, je me demande bien de quoi et je me trouve plutôt stupide.

    J’ai participé à mon triathlon dimanche. Un grand moment ! A l’arrivée… ma première réaction a été de te chercher… et j’ai pleuré.

    Je me suis rendue compte à quel point les moments partagés sont importants et combien il est précieux d’être là pour l’autre dans ces instants-là, dans ces instants qui comptent… et dans tous les moments de la vie d’ailleurs.

    Encore une fois, je suis désolée. Je crois que tu as eu raison de clôturer là cette relation.

    De cette fracture, j’ai appris. Ça m’a permis de me retrouver un peu; de prendre du recul, de réfléchir et de comprendre ce qu’on entend et attend d’une relation – heureuse et équilibrée – à deux.

    Ça m’a aussi permis de prendre conscience de mon fonctionnement et de mes peurs & manques et de m’atteler à la tâche pour changer ça et (ré)agir différemment à l’avenir.

    Ce n’est sûrement pas le texte le plus réussi mais il est bougrement sincère.

    Tu comptes beaucoup pour moi. Nos rires me manquent.

    Je te souhaite le meilleur et espère que tu voudras bien que l’on se reparle même si nous avons surement besoin d’un peu de temps pour le moment.”

    Mais rien. Aucun signe de vie. Et pour la première fois je veux me battre. Je ne veux pas que mes failles et insécurités me fassent perdre quelqu’un que j’aime vraiment et quelqu’un de rare. Alors j’aimerais vos conseils svp. Que pensez-vous que je peux faire ? Travailler sur moi, oui. Mais vis à vis de lui, pensez-vous qu’une action soit possible ?

    Mille mercis

  • amonk

    Membre
    29 octobre 2022 à 14 h 30 min

    Tiens! Ce qui est “rigolo”, c’est que là, je n’ai pas écrit en copiant collant…. Et je vois des div…

    La Piste de l’adblock? 🤔

  • olbius

    Organisateur
    29 octobre 2022 à 14 h 33 min

    Probablement.

    Pour rappel, il n’y a quasiment aucune pub lorsque l’on est inscrit donc aucun intérêt à l’activer 🙂

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