Théories du complot

  • matty

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    11 janvier 2022 à 20 h 13 min

    11 janvier 2022

    <b itemprop=”name”> Macron appelle Bernard Arnault au secours pour sauver la ségrégation anti-non-vaccinés

    Bernard
    Arnault a publié dans l’un de ses quotidiens (en l’espèce le Parisien)
    une impressionnante tribune appelant à la pénalisation de la
    non-vaccination. Les lecteurs du Courrier n’ont pas été surpris par ce
    texte, puisque nous décrivons depuis plusieurs jours l’activation de la
    pulsion génocidaire par Emmanuel Macron à l’égard des non-vaccinés. Le
    fait que le milliardaire français, qui a soutenu Macron à ses débuts,
    prête main forte au Président pour agir en ce sens, en dit long sur
    l’intensité de la bataille qui se joue désormais pour imposer le
    vaccin… et surtout le passe vaccinal.

    Il faut lire la tribune du Parisien rédigée par un certain David Smadja, hématologue à l’hôpital Georges Pompidou, et un certain Benjamin Fellous, présenté comme avocat au bureau de Paris. Ces deux énergumènes proposent d’appliquer aux non-vaccinés l’infraction d’administration de substance nuisible.

    Nous publions ce jour une tribune d’intellectuels qui dénoncent l’étrange résonance nazie de ces propos et de ces intentions : comment ne pas voir que la dénonciation de la toxicité prétendue des non-vaccinés est la reprise du fantasme très national-socialiste selon lequel les Juifs étaient porteurs de maladie.

    Les époques changent, l’ambiance putride reste, même si les bourreaux changent de visage.

    La suite : http://echelledejacob.blogspot.com/2022/01/macron-appelle-bernard-arnault-au.html

    <b itemprop=”name”>

  • matty

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    12 janvier 2022 à 14 h 05 min

    Le député néerlandais Thierry Baudet évoque le rapport de la Fondation Rockefeller de 2010

    5mn20

    https://www.youtube.com/watch?v=gXRyYqFgxyk

  • matty

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    15 janvier 2022 à 14 h 37 min

    Le 7 janvier dernier, l’un des plus grands journaux danois a présenté des excuses à son lectorat, avouant avoir été « absorbés de façon presque hypnotique » par les discours des autorités pendant près de deux ans, et n’avoir pas fait preuve d’assez de vigilance.

    À la bonne heure

    Une repentance qui contraste avec les récentes mesures prises par le royaume. Sous la vague de contaminations d’Omicron, depuis la mi-décembre 2021, le pays a mis en place couvre-feu, passe sanitaire, tests obligatoires malgré la vaccination, fermeture des théâtres, cinémas, salles de concert… Des mesures qui avaient pourtant disparu en septembre 2021, au moment où le Danemark atteignait 73 % de vaccination.

    Trois semaines plus tard, dans son article, le journal assure que « les experts nous expliquent la situation par des mouvements de pendules, nous mettant sans cesse en garde contre le monstre corona qui sommeille sous nos lits. » Un renouveau exaspérant des mesures sanitaires, qui ne semblent toutefois pas parties pour durer. Au début du mois, Tyra Grove Krause, responsable de la santé au Danemark, se montrait optimiste quant à l’évolution de l’épidémie, bien qu’elle n’ait pas encore mentionné de changements au niveau des mesures.

    Le Ekstra Bladet titre « Nous avons échoué »

    Il s’agit de l’un des plus grands groupes de presse du pays, un quotidien généraliste en format tabloïd qui date de 1904. « Nous, la presse, avons fait le bilan sur notre travail, et nous avons échoué », écrivent-ils.

    À quoi cette soudaine prise de conscience est-elle due ? Aux chiffres des hospitalisations et des décès, et à l’interprétation que l’on peut en faire : « Quelle est la différence entre “avec Covid”, et “du Covid” ? Nous ne nous sommes pas posée la question au bon moment. Cela fait une grande différence. » C’est une hypothèse émise depuis longtemps par lesdits complotistes, selon laquelle les chiffres seraient largement gonflés par l’étiquetage abusif des cas “Covid”, qui souvent, souffrent de comorbidités. Alors, “avec Covid” ou “du Covid” ?

    « Les chiffres officiels d’admission se sont avérés être 27 % plus élevés que le chiffre réel du nombre de personnes hospitalisées simplement parce qu’elles sont atteintes du Covid-19. Nous ne le savons que maintenant », avouent-ils dans l’article.

    Un échec partagé avec les autorités sanitaires

    Autre exemple mis en avant par le journal : celui des vaccins. « Les vaccins sont constamment désignés comme notre “super arme”. Et nos hôpitaux sont appelés “super hôpitaux”. Néanmoins, ces “super-hôpitaux” sont apparemment soumis à une pression maximale, même si la quasi-totalité de la population est armée d’une “super-arme”. Même les enfants sont vaccinés, dans une très large mesure, ce qui n’a pas été fait dans nos pays voisins », explique humblement le Ekstra Bladet pour souligner le manque d’efficacité des vaccins, notamment pour faire face à Omicron, qui contamine les vaccinés comme les non-vaccinés. Un constat qui fait écho à ce que l’on peut entendre en France.

    Aussi le journal tient-il à partager son échec avec les autorités : « Dans l’ensemble, les messages adressés par les autorités et les responsables politiques au public dans cette crise historique laissent beaucoup à désirer. Ils mentent, comme ils l’ont toujours fait lorsque la population perd confiance en eux. »

    Le quatrième pouvoir

    En juin 2021, c’était le rédacteur en chef du journal allemand Bild, qui ouvrait la marche en présentant ses excuses à la population dans une vidéo rendue publique : « Je veux exprimer ici ce que ni notre gouvernement, ni notre chancelière n’osent vous dire : nous vous demandons pardon pour avoir fait de vous, pendant un an et demi, des victimes de violences, de négligences, d’isolement et de solitude. […] Pardon pour cette politique et cette couverture médiatique qui, comme un poison, vous a inculqué le sentiment que vous étiez un danger mortel pour la société. […] Quand un État vole ses droits à un enfant, il doit prouver que, par là, il le protège contre un danger concret imminent. Cette preuve n’a jamais été apportée. Elle a été remplacée par de la propagande présentant l’enfant comme un vecteur de la pandémie. Ceux qui voulaient détruire cette propagande n’ont jamais été invités à la table des experts. »

    Si l’année 2021 n’a pas connu beaucoup d’autres aveux de ce genre, l’article du journal danois s’inscrit quant à lui dans un bouleversement général de l’opinion, que l’on observe un peu partout depuis l’arrivée du variant Omicron. Servira-t-il d’exemple à d’autres grands médias ?

    https://www.francesoir.fr/politique-monde/nous-avons-echoue-un-grand-titre-danois-presente-ses-excuses-et-charge-les-autorites

  • matty

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    15 janvier 2022 à 14 h 59 min

    QUE PENSEZ-VOUS DES THEORIES DU COMPLOT ?


    «Big Pharma», ou la corruption ordinaire

    A la suite d’une vague de fusions sans précédent, dix groupes pharmaceutiques se partagent 50% du marché mondial des médicaments — pour le plus grand bénéfice de leurs actionnaires. Ils soulagent la planète et financent la recherche avec le produit des ventes. Voici le visage, lisse et souriant, que les «Big Pharma» présentent au monde.

    https://www.monde-diplomatique.fr/2003/10/RIVIERE/10610

    Cet article date de 2003, en 20 ans quelle est l’évolution de la tendance ?


    Big Pharma, labos tout-puissants

    Plus riches et plus puissantes que jamais, les firmes pharmaceutiques orientent la recherche et le remboursement des soins. Enquête sur une industrie hors de contrôle, dont les intérêts ne coïncident pas toujours avec les impératifs de santé publique.

    On les surnomme les “Big Pharma” : à eux seuls, les suisses Novartis et Roche, les américains Pfizer et Johnson & Johnson, et le français Sanofi contrôlent la majeure partie de la fabrication de médicaments. Pour conserver leur monopole, ces grands laboratoires minimiseraient, voire occulteraient, certains effets indésirables causés par leurs produits. En Europe, la Dépakine, un antiépileptique responsable de malformations congénitales et de troubles neurodéveloppementaux chez des enfants exposés in utero, est au cœur d’un retentissant scandale. Soupçonné d’avoir tardé à alerter les autorités sanitaires et les consommateurs sur ces risques pourtant connus, Sanofi a été mis en examen pour “tromperie aggravée”, “blessures involontaires” et “homicides involontaires”. Aux États-Unis, où la crise des opioïdes fait des ravages (plus de cent morts par jour), les multinationales pharmaceutiques sont accusées d’avoir encouragé la prescription massive de ces antidouleurs en dissimulant leur caractère hautement addictif. En 2019, Johnson & Johnson a ainsi été condamné à payer 572 millions de dollars à l’État d’Oklahoma pour avoir mis en danger la vie de ses citoyens. Alors que l’industrie pharmaceutique bénéficie largement des innovations de la recherche publique, les prix des médicaments atteignent des sommets : facturé 84 000 dollars aux États-Unis, où la tarification n’est pas encadrée, le traitement contre l’hépatite C coûte 24 000 euros en France, quand la nouvelle thérapie génique contre la leucémie commercialisée par Novartis avoisine les 300 000 euros. Entre intense lobbying et ententes illicites, les laboratoires déploient d’efficaces stratégies pour préserver leurs exclusivités, à l’instar du même Novartis, qui est parvenu à imposer sur le marché un médicament contre la DMLA (dégénérescence maculaire liée à l’âge) quarante fois plus coûteux que son concurrent.

    Course au profit
    À l’heure où la lutte contre le Covid-19 alimente les mastodontes pharmaceutiques, Luc Hermann (Starbucks sans filtre) et Claire Lasko éclairent le nouveau paradigme à l’œuvre dans le secteur, entre concentration, financiarisation et course effrénée aux profits. À l’aide d’exemples documentés et de nombreux témoignages (de médecins, patients, journalistes, victimes et avocats, ainsi que d’un représentant de Sanofi et de l’ancienne ministre de la Santé Marisol Touraine), leur enquête met en lumière la puissance démesurée des Big Pharma – “comparable à celle d’un État”, selon le professeur François Chast –, les menaces qu’ils font peser sur les systèmes de santé publique, mais aussi les élans de résistance qu’ils suscitent, entre multiplication des procédures judiciaires et constitution de collectifs de médecins luttant contre la corruption dans le domaine de la santé.

    https://www.arte.tv/fr/videos/085428-000-A/big-pharma-labos-tout-puissants/

  • matty

    Membre
    15 janvier 2022 à 15 h 04 min

    Ici le reportage d’Arte : https://www.youtube.com/watch?v=HUODE0sR3n0

  • matty

    Membre
    16 janvier 2022 à 14 h 38 min

    Une hausse “brutale” des décès observée en décembre dans les grandes villes de la Côte d’Azur

    La plupart des grandes villes azuréennes ont constaté une surmortalité. Même si elle coïncide avec la propagation exponentielle de l’épidémie, il est difficile de l’imputer à la Covid-19.

    Une hausse “brutale” des décès observée en décembre dans les grandes villes de la Côte d’Azur

    La plupart des grandes villes azuréennes ont constaté une surmortalité. Même si elle coïncide avec la propagation exponentielle de l’épidémie, il est difficile de l’imputer à la Covid-19.

    https://www.nicematin.com/sante/une-hausse-brutale-des-deces-observee-en-decembre-dans-les-grandes-villes-de-la-cote-dazur-739697

  • matty

    Membre
    8 février 2022 à 22 h 25 min
  • olbius

    Organisateur
    8 février 2022 à 22 h 54 min

    D’après des chercheurs de l’Hôpital général du Massachusetts (Etats-Unis), “un biais général en faveur de la négativité” augmenterait les chances d’être exposé à de la désinformation.

    Les chercheurs ont utilisé les données d’une enquête américaine nommée “COVID States Project” et menée dans 50 Etats américains depuis 2020. Elle demandait à ses 15.464 participants plusieurs informations en lien avec le Covid-19, comme les sources utilisées pour se tenir au courant de la pandémie (médias, réseaux sociaux…) ou encore leur statut vaccinal. Il était également demandé à ses participants de juger l’exactitude de quatre propositions majoritairement répandues sur les réseaux sociaux au printemps 2021 : “les vaccins contre le Covid-19 contiennent des micropuces qui pourraient tracer les personnes vaccinées”, “les vaccins contre le Covid-19 peuvent causer de l’infertilité”, “les vaccins contre le Covid-19 modifient l’ADN” et “les vaccins contre le Covid-19 contiennent du tissu pulmonaire de fœtus avortés”.

    les personnes présentant des symptômes dépressifs (modérés ou plus importants) étaient plus susceptibles d’approuver au moins une des quatre “fake news” énoncées précédemment.

    la dépression “pourrait faciliter la désinformation au niveau individuel”, indiquent les chercheurs de l’Hôpital Général du Massachusetts. En continuant les investigations sur le sujet, des causes et non seulement des associations entre dépression et désinformation pourraient être déterminées, ajoutent-ils. Cet éclairage deviendrait alors un avantage en termes de santé publique pour lutter contre les effets de la dépression sur la croyance en des informations de santé erronées.

    Source : Covid-19 : la dépression favoriserait la croyance aux “fake news” sur le vaccin

  • matty

    Membre
    9 février 2022 à 10 h 27 min

    D’après des chercheurs de l’Hôpital général du Massachusetts

    Putain la médecine devient multi-tâches. Par tous les Saints ce covid à des effets magiques secondaires surprenants sur le long terme. Je me demande quelles sont les nouvelles compétences de mon boucher ?

  • olbius

    Organisateur
    9 février 2022 à 11 h 29 min

    Le Massachusetts General Hospital (ou Mass General ou MGH) est l’hôpital de la Harvard Medical School de l’université Harvard à Boston dans le Massachusetts. Il a été fondé en 1811.

    Source : Massachusetts General Hospital

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