Hypnose surdoué, peut-être surdoué

  • Hypnose surdoué, peut-être surdoué

    Publié par Membre Inconnu le 29 octobre 2019 à 21 h 47 min

    L hypnose ne fonctionne pas sur moi.

    Arborescence=impossible de me débrancher lol

     

    J aimerais savoir si d autres surdoué ou peut-être surdoué on testé l hypnose.

    Si sa fonctionné.

    Qu est ce que ça vous à apporté (émotion ou autres).

     

    https://youtu.be/PDYf6rmxCAU

     

    Membre Inconnu a répondu il y a 4 années, 5 mois 6 Membres · 12 Réponses
  • 12 Réponses
  • Membre Inconnu

    Membre
    29 octobre 2019 à 22 h 59 min

    @etienne

    Comme d habitude tu es hors sujet.

    Et merci pour le commentaire, j’en prends note.

  • byaku

    Membre
    29 octobre 2019 à 23 h 08 min

    Non, il n’est pas hors sujet 😛
    En revanche, son message frôle avec le 0 absolu de la pertinence et de l’utilité <3

  • Membre Inconnu

    Membre
    30 octobre 2019 à 6 h 33 min

    Yeap ! Mais il existe plusieurs formes et techniques de ce phénomène que l’on appelle hypnose. Dans le bouddhisme, nous utilisons par exemple des mantras, ce qui n’est pas foncièrement magique.

    Tu peux essayer quelque chose si ça te dit, cela ne coûte rien d’essayer. Tout d’abord, il faut que ton cerveau émettent dans les ondes thêta. Si tu peines à lâcher prise, si tu vois cela comme un outil permettant à ta volonté de s’imposer (je veux être comme ci ou comme ça), alors tu seras dans les ondes bêta voire gamma si tu forces un peu trop. Alors que le but est justement de relâcher la volonté, ce qui est assez contre-intuitif, je le reconnais…

    En psychologie, je crois savoir que l’on parle aussi de flow pour décrire cet état de lâcher prise. Et heureusement, il existe de nombreuses façons d’y accéder. Les arts sont un excellent moyen. Même la pratique d’un sport comme le footing ! Il faut être dans cet état où l’on se sent bien, on ne pense à rien, on est juste dans l’instant… Tu peux pourquoi pas écouter de la musique (instrumentale), te relaxer et imaginer des paysages, ou encore te concentrer sur ta respiration (c’est la méthode la plus directe mais pas nécessairement la plus efficace, cela dépend des individus, des tempéraments).

    Et une fois que tu te sens bien, imagine simplement ce que tu veux développer. Ce n’est pas quelque chose que tu dois t’imposer, comme une contrainte. Cela doit au contraire te faire sentir libre. Donc si tu souhaites développer ta créativité (pourquoi pas), alors tu ES artiste, c’est ainsi que tu dois te penser, t’imaginer et te ressentir. Et pour renforcer cette sensation tu peux répéter en boucle un mantra ‘je suis une artiste exceptionnelle !’ 😊

    Il y a également quelques règles à savoir. Cela porte ses fruits en fonction du temps et de l’intensité que l’on y met. Cela ne changera pas les lois de l’Univers ou de la physique. Et surtout, ne jamais opter pour des tournures négatives. C’est ainsi, notre ‘cerveau’ ne les reconnaît pas. Par ex, si je vous dis maintenant de ne pas penser à un Inuit dans son igloo, tout le monde aura pour autant l’image de cet Inuit à l’esprit 😊

    Donc si l’on opte pour des phrases comme ‘non, je ne suis pas un incapable !’ en pensant que ça va nous rebooster, cela ne va pas être terrible en terme d’effets… Vaut mieux rester positif… De même, il ne sert à rien d’aller contre ce que nous sommes… Les pressions sociales ne génèrent pas souvent de bonnes choses, disons qu’elles produisent souvent des décisions stupides. Chacun le comprendra à sa façon 😉

    Bonne journée !

  • Membre Inconnu

    Membre
    30 octobre 2019 à 9 h 45 min

    j’ai expérimenté , je voulais (vu le prix ) que ça marche ; je savais au préalable un peu me concentrer , respirer…

    j’ai eu l’impression que ça ne marchait pas complétement (peut être juste une impression), que je pouvais en sortir quand je voulais,  je suis restée consciente de l’environnement,  de l’hypnotiseur ….

    MAIS j’ai aimé et utilisé les images qu’il a évoqué durant cette séance

    je l’ai fait lors de seances de coaching,  atteindre ses objectifs…

  • booo

    Membre
    30 octobre 2019 à 10 h 51 min

    Moi aussi, j’ai expérimenté, je fais partie du petit pourcentage de la population qui n’est pas hypnotisable, dixit l’hypnotiseur…

  • Membre Inconnu

    Membre
    31 octobre 2019 à 12 h 35 min

    @darren

    Pour le temps jsuis tout à fait d’accord.

    Quand je parlais de Hypnose, c + Dans la profondeur.

    L enfant intérieur.

    Le non respect de l enfance.

    Notre essence qui a été réprimée donc qui a été enfui en nous.

    Je me suis dit en passant par l’hypnose ça pourrait m’aider, mais apparemment l’hypnose ne fonctionne pas sur moi.

    Comme tu l as bien dit “contre intuitif”

    Sinon pour la créativité et l’imagination qui est débordante  chez moi, j ai aucun souci sur des projets. (Musique, créativité, imagination).

     

    https://youtu.be/wSywScsAJPk

     

  • Membre Inconnu

    Membre
    31 octobre 2019 à 20 h 33 min

    Salut @shaina,

    Ce dont je faisais allusion relève plus de l’auto-hypnose.

    Cela me semblait un outil intéressant, surtout si nous ne sommes pas influençable vis-à-vis de tierces personnes (ce qui est mon cas). J’ai pourtant essayé des approches telles que l’hypnose ericksonienne (sophrologie), mais mon esprit se met tout de suite en alerte. Je suis direct en mode auto-défense ^^

    Si la personne en face a le malheur de me sortir une “connerie”, de me parler de choses comme par exemple mon “enfant intérieur”, alors le contrat est rompu. Je ne lui accorderais aucun crédit et ne lui permettrais pas de faire son taff. Je ferais semblant pour ne pas mettre mal à l’aise, mais je ne reviendrais pas…

    Et bien sûr, je pesterais d’avoir dépensé 70 euros dans une consultation. Car il ne faut pas oublier que ce sont des solutions alternatives, onéreuses, non remboursées, avec une efficacité très relative (pour ne pas employer un autre adjectif).

    Donc autant le faire soi-même, avec des méthodes personnelles, ce sera toujours plus bénéfique en terme d’effets… Une fois que nous avons compris et démystifié ce qu’était l’état hypnotique, c’est tout de suite plus facile…

    ——-

    Bon, comme je l’ai sous-entendu, je suis assez critique vis-à-vis de certaines notions, telles que l’inconscient freudien, les théories de Jung, etc. Même chose pour ce qui est de notre “enfant intérieur”, j’ai vu que cela avait fait vendre beaucoup de livres, que c’était souvent employé dans certaines psychothérapies, mais je n’ai rien lu de sérieux sur d’où ça vient, comment ça a été pensé, et surtout si c’est vraiment efficace dans le domaine médical…

    Si nous avons eu une enfance malheureuse, je ne vois pas trop l’intérêt de la traîner comme un boulet, dans une analyse psychanalytique. L’approche sociologique me semble bien plus pertinente. Si tes parents sont ouvriers, dans une zone péri-urbaine, alors il y a plus de chances d’y voir de l’alcoolisme, un niveau d’études plus faible, etc. En revanche, ce qui m’intéresserait, ce serait à la rigueur de comprendre l’impact que la maltraitance a sur la santé.

    https://www.youtube.com/watch?v=95ovIJ3dsNk

    ——-

    “Notre essence qui a été réprimée donc qui a été enfui en nous.”

    En fait, nous sommes ce que nous faisons. Rien n’est véritablement enfoui. C’est ce qu’on appelle le conditionnement. Si quelqu’un a vécu un traumatisme lorsqu’il se baignait dans la mer enfant, alors il pourra ressentir de la peur dès qu’il verra l’océan (pourquoi pas). C’est un mécanisme de défense qui est très concret, ce n’est pas quelque chose de caché. Et à ma connaissance, la solution la plus efficace pour y remédier, ce n’est pas de faire une psychothérapie, mais c’est la psychologie comportementale. C’est-à-dire qu’on essaiera d’opposer un autre conditionnement à celui qui nous pourrit la vie. L’hypnose pourra pourquoi pas aider, mais son but n’est pas de nous aider dans une quête philosophique…

    Beaucoup s’imaginent qu’en payant un gus, un service, en rejoignant un mouvement, ils auront en retour des techniques pour mieux se connaître, découvrir le sens de la vie, être heureux après avoir libéré sa kundalini ou je ne sais quoi… Sauf que là, nous sommes dans le domaine de la philosophie, et ça ne fonctionne pas trop comme ça… Il faut lire, consacrer du temps, être seul et se confronter à soi-même… Je vois bien qu’il y a des espèces de “gourous” bienveillants, qui ont des discours qui plaisent, qui sont répétés ici ou là, mais ce sont quand même de gros conn*rds. Ils n’aident personne sinon leur compte en banque.

    Bonne soirée !

  • Membre Inconnu

    Membre
    1 novembre 2019 à 0 h 49 min

    Chaque thérapie ont des limites.

    Et chaque individu, pouvant être + ou – réceptif a l une ou l’ autre des thérapies.

    Détente physique, psychique.

    Activation des prises de conscience.

    C plutôt une approche pluridisciplinaire.

    Sur chaque type de personne qui est unique.

    Car pas le même vécu, chacun a son histoire.

    Donc méthode différentes.

    Lien avec tous les messages : (pour moi)

    C est à l intérieur de nos propres règles=qualifie de réel.

    Les signes observés de l extérieur, c la qu’on se aperçoit la structure de sens.

    Acte =cause.

    Cause=conséquence.

    Psychologie= fond intérieur.

    Sociologie= fond extérieur.

     

    Retour = début de l estime de soit.

    Un travail long mais bénéfique.

  • Membre Inconnu

    Membre
    1 novembre 2019 à 16 h 57 min

    Salutations,

    Je pense que les thérapies à tendance psychanalitiques sont clairement malsaines.

    De plus en plus de personnes en prennent conscience, et essaient de sonner l’alarme vis-à-vis des pouvoirs publics, notamment en dénonçant leur caractère ouvertement “anti-science”. D’un point de vue épistémologique, le gros a déjà été écrit par Karl Popper. Mais en France, ils gangrènent l’espace public et médiatique, ils jouissent d’une popularité qui me sidère…

    Beaucoup pensent par exemple que l’inconscient de Freud ou de Lacan est une réalité, idem pour l’inconscient collectif de Jung. Alors cela peut être fun pour alimenter sa réflexion personnelle à la suite d’une lecture, mais quand ça sert de base pour “guérir” des troubles psychologiques, ça me semble abusé… Arf… :-/

    La vidéo que j’ai mise au sujet des EAE a été pour moi une révélation. Grâce à la science, nous savons aujourd’hui que la maltraitance a un impact biologique, sur le développement neurologique, sur le système immunitaire, avec des conséquences qui se feront ressentir sur le moyen et long terme. Et comme j’ai moi-même une maladie auto-immune, forcément que ça me parle…

    Lorsque nous cherchons des solutions pour ne plus avoir mal, bah on finit par se tourner vers tout et n’importe quoi. On a beau être rationnel, si le paysan du coin nous dit qu’il y a une fontaine magique qui guérit, on y va ! LOL J’ai donc essayé pas mal de choses alternatives, beaucoup m’ont parlé de psychosomatique (l’esprit influe sur le corps), avec des discours parfois très culpabilisant. C’est-à-dire que si leurs solutions ne fonctionnent pas, c’est peut-être parce que tu n’as pas le bon état d’esprit, c’est un peu de ta faute…

    Et en fait, bah non. Les causes sont sociales, on ne peut décemment reprocher à quelqu’un d’avoir eu des parents violents. Et les conséquences sont physiques, elles ont un impact biologique qui est identifiable et mesurable. Et forcément, cela finit par impacter l’état d’esprit (effet somatopsychique). Mais penser que c’est l’état d’esprit qui est la cause, cela est non seulement faux, mais si nous pensons résoudre nos problèmes en faisant une psychothérapie, c’est juste idiot. Il faut tenter de réparer les dégâts physiquement. Et ensuite, très curieusement, le moral va tout de suite mieux ! 😀

    Je suis donc d’accord pour dire que le vécu est unique à chacun. Mais les lois de la physique et de la biologie sont les mêmes pour tout le monde. A une vache près 🙂

    – – – – –

    Brièvement, je peux démontrer en quoi l’analyse est contre-productive. Quelques définitions conceptuelles, histoire de conserver une certaine clarté au niveau de la pensée, car il est courant d’employer des mots valises où chacun y met un petit peu ce qu’il veut. Qu’est-ce que l’imagination ? C’est notre faculté à nous représenter les objets, les choses, les êtres, etc. Qu’est-ce que l’ego ? C’est l’image que nous avons de nous-mêmes, c’est la représentation que nous avons de notre personne. Par définition, l’ego naît de notre imagination (raisonnement modus ponens).

    D’un point de vue phénoménologique, l’ego est un objet, car il est produit par le sujet, il peut être analysé par le sujet, mais il n’est pas le sujet. Même si le sujet s’identifie à cet ego, à cette image réductrice qui est figée dans le temps et dans un espace imaginaire, le sujet dans le réel évolue à chaque instant. Nous ne sommes en rien semblable à qui nous avons été durant notre adolescence. Alors en quoi le fait de se forger une image de soi basée sur des épisodes douloureuses de notre enfance, un égo qui se doit de plus d’être figé pour que nous puissions l’analyser sur de longues périodes, serait pertinent pour décrire ce que nous sommes réellement aujourd’hui ? Désolé de le dire aussi cash, mais cela me semble complètement malsain…

    Voilà pourquoi je pense qu’il faut être pragmatique. Loin de moi l’idée de faire un quelconque prosélytisme, mais il y a une histoire que je trouve intéressante, au sujet de Siddharta Gautama. Le Bouddha se promenait en forêt, et sur son chemin, il voit un gars sur le sol, en chien de fusil. Il se précipite vers lui pour comprendre ce qu’il se passe, et là il voit que l’homme a reçu une flèche. Le Bouddha s’apprète à faire les premiers soins, mais l’homme agonisant l’arrête et lui demande s’il a vu qui lui a tiré dessus. Le Bouddha n’en sait rien. L’homme explique que sa famille est en guerre avec une autre, lui demande s’il est au courant de ça. S’il ne s’agirait pas d’une vengeance, etc. Et durant tout ce temps qu’il passe à chercher la cause de son mal, il se vide de son sang et décède sans qu’on ne puisse plus rien faire pour lui. Et toute l’ironie de la situation, c’est que l’histoire nous explique que c’était simplement le tir d’un chasseur. C’était juste un accident.

    Il peut y avoir des milliers de facteurs possibles qui peuvent expliquer pourquoi nous n’allons pas bien; pourquoi nous avons vécu ça et pas un autre. Mais au bout d’un moment, faut laisser de côté son égo, arrêter de l’alimenter en spéculant à l’infini, et juste résoudre la situation concrètement, en prenant le taureau par les cornes. Dans une société où nous avons appris que la victime était reine, qu’elle était digne de toutes les attentions, je sais que ce n’est pas évident… Mais d’un autre côté, je n’ai pas l’impression que cela rend ces gens spécialement épanouis…

    – – – – –

    Par conséquent, l’hypnose me semble être un outil intéressant, en ce sens où c’est très pragmatique. Si nous manquons de confiance en nous, inutile de perdre son temps en faisant la liste de toutes les fois où nos parents, nos amis, etc. nous ont rabaissés. On se forge une autre image de nous-mêmes, et qui nous rendra plus heureux. On contre-carre les mauvaises inductions/injonctions, par d’autres qui seront plus positives. Puis naturellement, on finit par se détacher de ceux qui ne nous apportent rien de bénéfiques. Si une femme a un mari violent, elle pourra faire 20 ans de psychothérapie, cela ne résoudra jamais son problème. La solution la plus évidente et la plus pragmatique est toujours, et de loin, la meilleure…

    Je finis ici mon long pavé ^^

  • Membre Inconnu

    Membre
    1 novembre 2019 à 23 h 20 min

    J’ai testé l’Hypnose il y a quelques années.

    Acte=cause.

    Cause=consequence.

    Développement

    J’ai trouvé ma voie dans la foi en dieu et je me porte largement mieux (passé).

    j’ai étudié la science religieuse et j’en ai encore à apprendre en fonction de mes capacités.

    on a des outils que ce soit spirituel mental donc voie médiane et du domaine médical.

    si l’analyste pouvait adopter une position qui permet l’intégration des enseignement religieux à la compréhension psychanalytique, je pense qu’il en résulte une relation plus productive. ( C’est mon avis personnel).

    L’approche de la santé se fait très large=réalités spirituelles psychologiques sociales et physiologiques.

    c’est des épreuves que j’accepte ça m apprends à être patiente et confiante dans ma foi (spiritualité).

    La maladie considérer au niveau psychique=évaluer de ce que le futur nous réserve change et le rôle social de la personne peut être modifié.

    Alors d’aujourd’hui j’avance avec un poids léger confiante dans mon fort intérieur

    PS: par contre j’ai du respect envers les professionnels de santé qui font leur travail avec patience et sagesse car il aident beaucoup de gens.

     

     

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