Test Asperger

  • Membre Inconnu

    Membre
    1 février 2018 à 22 h 29 min

    @deepfunpact

    “certains symptômes asperger mais pas d’autres” c’est la clé 😉

    On ne peut pas être “un peu” autiste, c’est tout ou rien! Le tableau clinique se dresse comme on termine un puzzle… Ce qui est déterminant pour les spécialistes, c’est que les coins et les bords (certains traits obligés) soient présents, et qu’il y a assez de pièce pour qu’on comprenne ce qu’est l’image finale…

    Mon avis c’est qu’à partir du moment où les difficultés rencontrées ne font pas frein à un bon fonctionnement global, qu’importe l’étiquette! Ce qui est important c’est que tu vas bien et que tu trouves ta voie vers le mieux être.

  • Membre Inconnu

    Membre
    2 février 2018 à 7 h 32 min

    En fait c’est ça, je crois que parvenu à un certain stade du parcours de vie, on se fiche un peu de savoir pourquoi on fonctionne comme on fonctionne, et cela n’a plus guère d’importance d’y apposer une étiquette.
    Après je ne rejette pas en bloc la nébuleuse psy, je pointe seulement la quantité de conneries irréparables qui ont pu être commises pendant des années par certains praticiens, particulièrement ceux appartenant à la génération où la psychanalyse était devenue une espèce d’idéologie qui, assortie de la boîte à outils ad-hoc, à savoir les stupéfiants légalisés, prétendait à la fois tout expliquer des ressorts secrets de la nature humaine et traiter la folie sur le mode répressif, à savoir protéger la Société de ses fous et le fou de sa propre folie.
    Passons sur la psychologie d’abattage qui a longtemps sévi sur la base de tests dont la validité est aujourd’hui mise en doute, et qui a valu à nombre de cancres supposés et de dyslexiques de ma génération d’être expédiés dans les culs-de-basse-fosse de l’Education nationale.
    http://www.charlatans.info/patapsychologie.shtml
    A la lumière des neurosciences et de la déchéance de la psychanalyse dogmatique, encore défendue en France par une école sectaire (les Roudinesco et consorts…), les nouvelles générations de thérapeutes et de praticiens ont heureusement une approche plus humaine et réaliste du patient et des symptômes qu’il présente – même si par ailleurs, la question de l’accès aux thérapies tend à se poser du fait d’une désertification médicale, mais cela est un autre problème.

  • Membre Inconnu

    Membre
    2 février 2018 à 15 h 07 min

    C’est vrai que c’est pas la même réalité entre la Suisse (d’où je me tiens) et la france. Ca fait des années que je n’ai plus rencontré un praticien qui ne soit pas pluridisciplinaire et plutôt axé comportementaliste que psychodynamique. Après la relation thérapeutique est avant tout une relation humaine : parfois le mec adapté sur le papier ne l’est pas du tout dans les faits, pour une simple discordance d’attentes, de caractère, de dynamique relationnelle…

    Et puis excusez ma réaction qui peut sembler épidermique sur le sujet du syndrome d’asperger mais depuis bientôt 4 ans que je suis diagnostiquée et au fil des rencontres que j’ai faites, il y a juste un petit point de détail qui m’exaspère au plus haut point, c’est que ce qui fait fondamentalement la différence entre “moi” (et la très grande majorité des autistes que j’ai rencontrés, ce qui en fait quand même un sacré bon petit paquet) et les autres “zèbres” ou “NT”, c’est la capacité à fonctionner.

    C’est précisément cette incapacité à fonctionner qui m’a finalement convaincue d’aller me faire diagnostiquer, moi qui redoutais si fort d’être ostracisée, mise au rebut, étiquetée à vie. Je pensais trouver des solutions d’intégration, mais à mon âge et dans mon pays, malheureusement, “il est trop tard” et j’ai fini sur une voie de garage. Au moins ne suis-je plus “désintégrée” dans une vaine et interminable course à l’emploi qui ne s’arrêtait temporairement que le temps d’un craquage complet.

    Et j’ai souvent, trop souvent l’impression que ce qui est un handicap (qui, ici en tout cas, et chez moi en particulier, a donné lieu à l’octroi d’un statut d’invalide à 100%) est minimisé, romantisé, pris considérablement à la légère.

  • Membre Inconnu

    Membre
    2 février 2018 à 15 h 39 min

    Romantisé, minimisé, pris à la légère, voire héroïsé du fait de quelques personnalités médiatiques qui malgré elles, ont fait du syndrome d’Asperger une part de marché. Tandis que nos sociétés continuent de fonctionner selon leurs codes immuables, acceptant les uns selon leurs critères stricts, de compétences et de comportement, rejetant les autres dans les marges, tant pis pour les singularités, les créativités, les talents alternatifs sans appuis qui dans une société idéale seraient considérés comme un plus.

  • Membre Inconnu

    Membre
    2 février 2018 à 16 h 23 min

    Rien à rajouter.

  • deepfunpact

    Membre
    3 février 2018 à 2 h 17 min

    @morayner
    avec un peu de retard, la conversation ayant suivi son cours, je te remercie pour ta réponse encourageante, positive et pleine de bon sens 😎 👍🏽
    Mon thérapeute a d’ailleurs évoqué ces “pistes” pour mieux affirmer qu’aucune d’elles ne semblait s’imposer dans mon cas.

    Je préciserai tout de même que je fonctionne bel et bien, je ne peux pas vraiment prétendre aller bien en ce moment (je sais, tout est relatif, et d’autres vont bien plus mal que mal), c’est en moi que ça se passe.
    Je dois apprendre à m’accepter comme je suis, du moins: ne plus me juger (et arrêter de juger les autres comme je me sentais obligé de le faire), et encore remplacer ma quête éperdue d’être comme tout le monde par la quête de qui je suis, de mes émotions que j’ai censurées, niées pour me protéger de la douleur qu’elles induisaient.
    Sans doute que d’autres ont vécu pire, mais je me suis moi-même fait violence. Je dois en revenir, ne pas m’en vouloir de l’avoir fait et d’avoir passé autant de temps sur la fausse piste. Et ça ne se fait pas sans angoisse, ni doutes, ni douleur.

  • 0iso

    Membre
    24 avril 2018 à 23 h 43 min
  • 0iso

    Membre
    19 mai 2018 à 0 h 34 min
  • phoenix-angel

    Membre
    28 mai 2018 à 14 h 45 min

    sur : http://xn--tests-de-personnalit-u2b.net/AQfr.html

    Votre Quotient Autistique est de 27.
    • Asperger : 31 – 45
    • Norme ♂ : 12 – 26
    • Norme ♀ : 11 – 23

    sur : http://www.rdos.net/fr/

    • Votre résultat Aspie: 126 de 200
    • Votre score neurotypique (non autistique): 83 de 200
    • Vous êtes très probablement Aspie

    test

  • magali

    Membre
    28 mai 2018 à 20 h 43 min

    Je réponds le us honnêtement du monde… roulement de tambour…
    Résultat: “Vous avez répondu de façon incohérente à un trop grand nombre de questions”

    🤔

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