L'argent, la sélection "naturelle" des amis

  • Membre Inconnu

    Membre
    25 janvier 2019 à 21 h 09 min

    @jasper

    Ou alors, mettre de l’intention quand c’est important? C’est peut-être ça, la clé finalement: savoir quand focaliser, et quand prendre du recul.
    Zoomer, ou ne pas zoomer, telle est la question…comme un appareil photo en quelques sortes.
    Tout un art, n’est ce pas!

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 janvier 2019 à 1 h 04 min

    Moi je n’aime pas les riches. Voilà c’était ma contribution argumentée.

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 janvier 2019 à 3 h 41 min

    @zphi

    C’est une contribution, mais sans arguments.
    Tu veux pas nous dire pourquoi t’aimes pas les riches, phiphi?
    T’es de mauvaise humeur ce soir?

  • calypso

    Membre
    26 janvier 2019 à 10 h 11 min

    Cela ne devrait pas en être un lucius !

    Mais, c’est une barrière !
    Je viens d’un milieu où l’argent compte ! J’ai été exclue, car j’étais pauvre , en dépit de mes qualités et de ma volonté. J’étais simplement pauvre. Je n’avais pas de dette personnelle, pas de dette morale envers la société non plus. Mais c’était suffisant.
    A cause de l’argent, des personnel abandonnent leur familles, des enfants…

    Moi, je me fiche de l’argent/ Je cherche un homme empathique. Je cherche des valeurs humaines, des qualités, de l’amour partagé..pas de l’avoir
    On peut être très malheureux et vivre un enfer dans l’argent.

  • calypso

    Membre
    26 janvier 2019 à 10 h 14 min

    Je peux répondre aussi ?

    L’empathie est une qualité rare. Elle est encore moins présente chez les riches. Voilà !

    Les pauvres sot plus empathiques. ILs savent d’instinct que leur survie sera due à leur solidarité…Alors ils sont plus empathique
    c’est pas forcémeent naturel chez eux très développé, mais ils se forcent..

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 janvier 2019 à 10 h 34 min

    ÊTRE & Avoir ?

    Être par l’avoir ; Être pour l’avoir ; l’avoir pour l’Être ou bien l’avoir dans l’Être sous scellé à l’intérieur des relations d’Amitié ?

    Chaque Être Humain a une relation différente avec la notion “avoir” et la matière “argent” peut être à la fois, et hypocentre ou épicentre. en fonction du rapport que chacun “nourrit” avec l’avoir.
    Les choses n’ont d’importance que le degré d’attention ou de référence que nous leur octroyons et plus ce degré est bas et plus les effets, causes et conséquences du “lien” de raccordement “reliant” est libre, indépendant et sans influence aucune sur le tissage de la relation amicale-affective.

    L’argent m’apparaît davantage comme une forme de “catégorisation” sociale, dont le fonds est totalement erroné, que comme un critère de sélection dans nos relations.

    N’est-ce pas notre Être qui va naturellement tisser (s’adapter, sélectionner) la relation qu’il va poser sur le socle de ses propres substances d’Être ; la forme,texture et matière des cordes liantes de la relation ne sont qu’une expression de l’Être que nous sommes et non de ce que nous représentons, côté miroir-avoir.

    Ce n’est pas l’argent, l’élément de “mesure évaluative pour assembler, rassembler, distinguer ou séparer”, mais la relation que chaque Être a ou n’a pas avec l’argent.

    L’avoir n’est pas un domaine, le capital “avoir”, je ne le perçois pas du tout comme faisant partie des champs de l’Être, mais comme le rapport que chaque Être cultive avec cette représentation projective-subjective de cette “matière” extérieure à l’Être.

    Les choses ne prennent que le pouvoir que nous les laissons prendre sur nous-mêmes et dans mon existence, l’argent n’a jamais réussi à cultiver la moindre parcelle dans mon architecture d’Être.

    Lors de mes fonctions professionnelles antérieures, ai dû composer avec des clients très riches d’argent “sans difficultés financières” et ai pu observer la teneur très diversifiée du rapport que chacun entretenait avec l’avoir.

    L’enseignement que j’ai extrait de cette observation ?
    Le pire cauchemar de ceux dont l’Être a été transformé par l’avoir, en champs d’avoir est de perdre la moindre quantité comptable de ce qu’ils ont accumulé. Cette possibilité les terrorise et semble être aux commandes de la majorité de leurs actes et choix.

    Au contraire, d’autres ne se sont pas laissés façonner par l’argent et son pouvoir de transformation.
    L’humilité, la générosité, la simplicité, la loyauté et le sens de l’essentiel n’ont pas été pervertis par l’avoir.

  • calypso

    Membre
    26 janvier 2019 à 10 h 48 min

    Alors là ! Tu me parles d’une personne exceptionnelle. La zébritude ne suffit pas ! IL faut aussi de solides valeurs pour ne pas se laisser pervertir..D’autant plus qu’il ya la pression sociale…

    Tu parles d’êtres exceptionnels..ou/et .qui ont eu de la chance

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 janvier 2019 à 11 h 14 min

    Une petite illustration du fil, en humour !
    https://youtu.be/e-MBjjlt9g4

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 janvier 2019 à 11 h 34 min

    @zhpi

    Moi je n’aime pas les riches. Voilà c’était ma contribution argumentée.

    Toutes les personnes “riches d’argent” n’ont pas le même Être, ni les mêmes champs d’application de leur “fortune matérielle.

    https://www.demotivateur.fr/article-buzz/en-revenant-dans-le-village-o-il-a-grandit-ce-milliardaire-est-venu-en-aide-aux-habitantso-une-belle-le-on-de-vie–2065

    Et des Êtres Humains, milliardaires et généreux, il en existe aux quatre coins de notre monde.

    Voici un extrait de l’interview de Bill Gates :

    Bill Gates. Mes parents étaient très impliqués dans le volontariat. Ils donnaient de l’argent aux écoles du quartier où j’habitais, ainsi qu’à Planned Parenthood, une association d’aide aux femmes.
    On en parlait souvent le soir, au dîner. Quand j’ai créé Microsoft, j’ai encouragé les employés de la société à en faire autant. Dès qu’ils faisaient un don à un organisme de leur choix, l’entreprise doublait le montant de ce don. Microsoft est ainsi devenu leader dans ce domaine. J’ai toujours pensé que la générosité était la meilleure chose qui puisse vous arriver quand vous avez la chance d’avoir de l’argent.

    Qu’est-ce qui vous a décidé à créer cette fondation?

    Le déclic a eu lieu en 1993, à l’occasion d’un voyage touristique en Afrique. Avec Melinda, nous sommes allés en Tanzanie, au Zaïre [aujourd’hui République démocratique du Congo] et au Kenya. Nous n’avions jamais vu la pauvreté de près, les femmes sans chaussures dans les rues, les enfants souffrant de malnutrition… Je ne connaissais que les statistiques. En voyant la situation de nos propres yeux, nous avons compris ce qu’est l’existence sans ce qui, pour nous, fait partie du quotidien: des routes, des systèmes d’irrigation qui permettent à l’agriculture de ne pas dépendre du climat. Je me souviens être allé, un peu plus tard, dans un hôpital. Tous les enfants souffraient de malaria. Peu s’en sont sortis, probablement. Je me souviens aussi de cliniques où les femmes enceintes arrivaient trop tard et mouraient sur place, d’une infection parfaitement curable chez nous, avec leur bébé. J’ai aussi passé beaucoup de temps en Haïti. Tout cela m’a ouvert les yeux.
    Votre réaction?
    Je me suis demandé pourquoi on en était là, comment on pouvait résoudre ces problèmes. J’ai cherché à savoir si des solutions existaient. Et j’ai compris qu’elles manquaient. Alors j’ai créé la fondation.

    En 2000, vous avez donné beaucoup d’argent à la Fondation Bill& Melinda Gates, faisant de cette organisation la plus importante oeuvre de charité dans le monde. Que ressent-on quand on signe ce genre de chèque?
    C’était excitant. Cette initiative signifiait que je créais une nouvelle équipe, exactement sur le modèle de Microsoft, avec les meilleurs talents, une stratégie qui permette de cerner les problèmes les plus urgents, le meilleur syst
    ème de distribution dans des zones très défavorisées, le type de science le plus prometteur, les bons partenariats…

    Vos enfants étaient-ils d’accord?

    Melinda et moi avons pris bien avant notre mariage cette décision de donner l’essentiel de mon patrimoine à la fondation. Nos enfants n’étaient pas nés. Mais je pense que leur transmettre ma fortune ne leur aurait pas rendu service. L’argent sera en très grande partie reversé à la fondation.

    « Ne dites pas que je sauve le monde, je contribue juste à sauver des vies »
    Pourquoi?

    Mes trois enfants ont déjà beaucoup de chance. Ils bénéficient des meilleures écoles, des meilleurs médecins et, quand ils seront adultes, ils s’en sortiront très bien. Mais je pense qu’ils doivent grandir, trouver leur voie et découvrir la vie par leurs propres moyens. C’est mieux pour eux. Ce ne serait pas leur faire un cadeau que de leur transmettre tout notre patrimoine de façon dynastique.

    Fonder une dynastie Gates, très peu pour vous?
    Je ne pense pas que le monde soit fait pour être détenu par un roi ou une aristocratie. On a déjà vécu ça. A chaque génération son challenge. Cela dit, je connais beaucoup d’enfants issus de dynasties qui arrivent à monter un business avec succès, en ayant hérité…

    Vos enfants soutiennent ‘papa-qui-va-sauver-le monde’?

    Ils se rendent en effet en Afrique et constatent le travail que nous y effectuons. Mais ne dites pas que je sauve le monde, je contribue juste à sauver des vies, à réduire la mortalité et la malnutrition là où c’est possible, à la hauteur de mes moyens

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 janvier 2019 à 12 h 17 min

    @calypso

    L’empathie est une qualité rare. Elle est encore moins présente chez les riches. Voilà !
    Les pauvres sot plus empathiques. ILs savent d’instinct que leur survie sera due à leur solidarité…Alors ils sont plus empathique
    c’est pas forcémeent naturel chez eux très développé, mais ils se forcent..

    Je suis bien d’accord. On aura beau dire ce qu’on veut ou encore exhiber la philanthropie de certains riches @filledelair , il y a et aura toujours une incompréhension de base. Moi en tant qu’homme par exemple, je peux comprendre théoriquement la misogynie dont peuvent souffrir les femmes mais ça ne restera toujours QUE théorique. C’est pas du vécu.

    Quelqu’un de né riche resteras pour moi toujours dans un rapport au monde différent. Non qu’il sera nécessairement un connard hein… Mais j’ai constaté que généralement, les personnes avec lesquels j’étais le moins à l’aise était toujours des gens d’une autre classe sociale et souvent cela se traduit par un sens du tragique et du comique bien différent. On a pas le même rapport au monde, c’est ainsi. Je constate d’ailleurs que la plupart du temps les gens qui disent se “foutre de l’argent” sont ceux qui justement ont le luxe de pouvoir dire qu’ils s’en foutent.

    J’ai aussi lu ailleurs sur ce tread je ne sais plus où que les pauvres manquaient d’engagement face à la vie, ou un truc du genre. Typiquement une remarque de bourg déconnecté ou qui vote Macron parce que, quelque part, les pauvres sont un peu des fénéants et qu’on peut tous (oui il s’agit de volonté apparemment) devenir millionnaire. Sauf que c’est plus facile pour faire fructifier son pognon d’en avoir déjà de base ou d’être né dans des milieux de réseaux. Alors oui peut-être que quand on est né riche on a plus d’ambition, de confiance dans la vie parce qu’on a voyagé, parce qu’on est né dans un milieu socio culturel qui portaient plus facilement vers l'”élévation”. Bah moi je ne suis pas né riche et j’en suis fière, ça m’a appris d’autres valeurs de ne pas appartenir à la classe dominante.

    Non que je sois fondamentalement déterministe mais j’ai un rapport à l’art qui est celui du pauvre, j’ai une philosophie de pauvre, j’ai un humour de pauvre, un rapport à la nature de pauvre, j’ai un rapport au monde de pauvre. Et je parle bien d’argent. Cet argent qui nous sert à accaparer le bien commun comme au monopoly comme si on était dans un jeu.

    Je n’aime pas les riche. Je CHIE sur les riches.
    Pourquoi ? parce qu’en ce monde le pouvoir appartient aux riches et que cela est totalement injuste car avoir de l’argent n’est pas le signe qu’on sait gérer les affaires de la société, bien au contraire. Alors oui, je l’avoue, quand j’entends des gens être fier d’être riche ou essayer de justifier leur statut social par leur philanthropie à deux balles ou pire encore sous-entendre que “tout le monde peut être riche” dans cette putain de société qui tient uniquement parce que les pauvres sont maintenus dans l’ignorance du fonctionnement de l’arnaque bancaire notamment, préférant jouer au loto en espérant un jours être riche, parce que faut bien rêver, et qui par dessus le marché se tapent les discours culpabilisant du type “sortez vous les doigt du cul vous pouvez y arriver aussi” au sein d’un monde qui justement arrive à sa destruction écologique finale, détruit JUSTEMENT à cause de cette logique d’accaparement de la richesse par quelques uns… bah j’ai envie de vous dire, oui, j’encule les riches, avec des graviers.

    @darren @pepita

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