De nombreux grands scientifiques sont croyants.

  • Membre Inconnu

    Membre
    9 mars 2021 à 0 h 19 min

    @romain_de_lyon

    J’ai corrigé mon idée en page 2. A défaut de pouvoir éditer la phrase en question, je suis tenté de supprimer mon 1er post.

    ok

  • Membre Inconnu

    Membre
    18 mars 2021 à 23 h 08 min

    bonjour à tous, alors j’ai lu tous vos commentaires, et je tiens à faire cette parenthèse, dans le milieu scientifique il est vraiment tabou voir discréditant d’utiliser le mot Dieu.

    car on associe trop souvent l’intelligence et la recherche scientifique à l’athéisme comme étant une garantie de sérieux.

    les physiciens qui se sont intéressés à ce qui se passait au delà du mur de plank, au moment précis de l’avant big bang, notamment le physicien georges Gamow qui dit à ce sujet que c’est l’air de saint augustin, une information primordiale, une sorte de code à l’origine de l’univers. le big bang est le moment ou le déploiement de toutes les règles physiques se mettent en place pour en arriver à l’univers qui nous entoure.

    cela équivaudrait en somme à se promener sur une plage et d’y trouver ecrit sur le sable ici été 2020, il fait 23degre , etc, et qu’on se pose la question est ce que ce message s’est écrit tout seul ou il y a quelqu’un qui l’a écrit?.

    pareil pour l’information génétique, comment peut on tous porter de l’information génétique sans qu’il y ait l’informateur à l’origine.

    bref je trouve que les athée à ce stade des découvertes scientifiques ont beaucoup de foi, j’admire cette capacité à rester sur des positions dépassées depuis fort longtemps, mais il faut dire que beaucoup de scientifiques n’osent pas boulversés l’orre des choses de peur d’être jeté hors du serail

  • Membre Inconnu

    Membre
    18 mars 2021 à 23 h 27 min

    je comprends, mais ne pas nommer une chose c’est nier son existence non?

  • Membre Inconnu

    Membre
    18 mars 2021 à 23 h 53 min

    Jusqu’à preuve du contraire…🤣🤣

  • rudeus

    Membre
    19 mars 2021 à 13 h 39 min

    Nombreux de ces ” croyants” ont été forcés de dire qu’ils étaient croyant afin de pouvoir continuer leurs recherches et ne pas se faire tuer.

    Les non croyants ont toujours eu la vie dure.

    Merci à l’opposition religieuse sur tous les siècles.

  • Membre Inconnu

    Membre
    20 mars 2021 à 7 h 05 min

  • Membre Inconnu

    Membre
    20 mars 2021 à 18 h 55 min

    Si on considère le fait religieux comme un certains nombre de dogme dont il ne faut pas déroger au risque d’être jeté en pâture l’athéisme dans le milieu scientifique en est une aussi à ce jour.

  • nowavesthanks

    Membre
    10 avril 2021 à 0 h 03 min

    Bonsoir,

    Pas connecté depuis des lustres car trop pris par mon boulot déjà bien envahissant en temps normal (ce qui est a priori attendu pour un “zozo certifié”) et beaucoup plus à cause de la pandémie, je suis tombé sur ce fil de discussion.

    Je pratique les sciences dures dès que je peux m’absoudre des contraintes administratives liés à l’enseignement comme enseignant-chercheur dans une petite école. Je navigue en fonction de l’avancée de mes réflexions entre l’acoustique, le traitement du signal et la physique quantique avec une hypothèse en cours de test : peut-on foutre à la poubelle la notion d’onde en tant que phénomène physique !? Et, ce n’est pas un projet folklorique mais plus que sérieux.

    Ayant ce genre d’idées, je “bénéficie” pour le moment d’un accueil “intellectuel” dans un laboratoire d’esthétique où je suis rattaché administrativement car tous les enseignant-chercheurs du master auquel j’appartiens y sont inscrits pour le moment. Mais, n’ayant personne avec qui parler (seul scientifique) et pas à peu de moyens financiers pour ne serait-ce que financer le coût des publications dans les revues scientifiques, j’ai le feu vert depuis peu pour chercher un point de chute dans un laboratoire ou un institut tout ce qu’il y a de scientifique. Voilà, pour donner une idée de la branche de l’arbre où je me situe.

    Personnellement, je pense être plutôt agnostique car je ne sais pas comment expliquer l’existence de l’univers et notre présence, surtout si nous étions seuls comme certains le pensent, mais, je pense que le hasard a une importance significative peut-être amplifiée dans le cas des phénomènes ou des systèmes complexes. Et, en plus, je manque déjà de temps pour essayer de répondre à d’autres questions (un peu) moins difficiles que j’ai la “folie” d’essayer de traiter ne serait-ce que pour partie.

    Par contre, je pense que la croyance commence plus rapidement que l’on ne le pense en sciences et qu’elle se traduit par des dogmes qu’il est très difficile de remettre en question.

    C’est très dur de trouver des acousticiens et probablement même des physiciens prêts à ne serait-ce que considérer un moment que les phénomènes acoustiques ne sont pas des ondes. On peut le comprendre et dire que c’est humain car envisager que tout ce que l’on a appris puisse être peut-être faux est particulièrement difficile.

    Ce ne l’a pas été pour moi car je n’ai jamais encaissé la manière dont on m’a présenté les ondes en lycée, classes prépa, école d’ingénieur (un peu, car Arts et Métiers), DEA et Doctorat tous deux en acoustique… Probablement car je n’avais pas compris qu’il fallait se taire et accepter sans comprendre véritablement, se satisfaire des explications confuses et partielles rendues encore plus confuses par le fait que les professeurs de Physique en lycée et, même en classe préparatoire dans les années 90, n’étaient pas des enseignant-chercheurs, qu’ils régurgitaient plus ou moins clairement ce qu’ils avaient appris.

    Mais, l’idée que l’on puisse se passer des ondes c’est ce que j’ai vu apparaître au cours de ma thèse mais que je n’ai compris qu’un peu après. Sauf que de mon jury de thèse (1999), personne n’a encore compris pour le moment. J’ai a priori réussi à convaincre la personne la plus éveillée, selon moi, d’accepter de lire enfin ce que je propose sur le sujet dans les semaines qui viennent, histoire d’avoir un avis avant de soumettre ces idées hérétiques (mot choisi et malheureusement approprié). Mais, pour cela il a fallu que je mette mes tripes sur la table, que je liste toutes les bizarreries incomprises pour lesquelles ma proposition semble de nature à apporter des pistes d’explication pour instiller le doute chez cette personne, qui n’a pourtant plus rien à craindre pour sa carrière (critère de choix malheureusement pertinent) car passé émérite depuis peu. Mais, peut-être que ce que je propose c’est de glisser son doigt dans une boite de Pandore, dans laquelle j’ai glissé, pour ma part, plus qu’un bras : rejeter les ondes et les remplacer par quelque chose de plus naturel, selon moi, n’aide pas à trouver le sommeil, loin s’en faut !

    Le pire c’est que constatant que je pouvais faire de l’acoustique sans les ondes, je me suis tourné vers une autre discipline où l’onde constitue une partie du dogme : la physique quantique. Et, en revenant aux textes des pères de la mécanique quantique, quand ils sont disponibles en français ou en anglais, je me suis intéressé à l’hypothèse d’une absence de validité des ondes en tant que phénomène physique ou en tant que pseudo-composante d’une dualité onde/corpuscule.

    J’ai fini par construire une formulation alternative pour la mécanique quantique qui permet de dériver, oui c’est le terme, les équations quantiques (Schrödinger, Klein-Gordon et Dirac) à partir de la description corpusculaire classique. Je propose même un rapprochement entre deux des théories en concurrence : l’approche orthodoxe de l'”école de Copenhague” et l’approche de la mécanique Bohmienne issue des propositions de Louis de Broglie et de David Bohm. Par contre, cela conduit à faire disparaitre une très grande partie des “bizarreries” de la mécanique quantique (je dois réfléchir pour voir si certaines subsistent malgré tout dont la notion d’intrication) car la mécanique quantique ne décrit pas, selon moi, ce que l’on croit de manière majoritaire.

    J’ai quasi fini deux premiers textes en français pour des publications dans une revue américaine : j’attends le retour d’un collègue (débordé et en instance de divorce) sur les textes et, sitôt que j’aurai réuni les fonds nécessaires, je ferai traduire ces textes en anglais pour ne pas perdre la précision des textes en français que j’ai particulièrement travaillée (côté perfectionniste). Et, je vais me pencher sur la finalisation d’un troisième texte pour un troisième article. On verra quel est l’accueil, là-aussi, d’une proposition particulièrement hérétique…

    Depuis, dès que je le peux, je poursuis en me penchant sur les extensions de la mécanique quantique : l’électrodynamique quantique et la théorie quantique des champs. Sauf que, tout seul, cela n’avance pas aussi vite que cela pourrait. Mais, c’est trop délicat pour emmener un doctorant avec moi et l’exposer à la mitraille.

    En plus, ce sont des disciplines que je n’ai pas étudiées dans mes études, même si c’est peut-être une des raisons expliquant que j’ai pu jeter un regard très différent sur ces disciplines. Il faut que je complète mes connaissances sur les formes différentielles (pour vérifier si on peut, au passage, faire un sort aux ondes en électromagnétisme) et sur les formulations relativistes afin de statuer quant à l’idée d’envisager ou pas une description en champs continus.

    Mais, les difficultés que je rencontre pour trouver des chercheurs prêts à ne serait-ce qu’envisager que les ondes ne soient pas LA solution dans quelques (pour le moment ?) de la Physique s’expliquent par une croyance, au sens totalement religieux du terme, quasiment indéboulonnable dans les ondes en tant que phénomène physique. En fait, il y a une petite ouverture, de temps en temps, en Physique pour une nouvelle approche quand il n’est définitivement plus possible de faire autrement, mais, l’ouverture ne dure que le temps d’ériger un nouveau dogme remplaçant le précédent. Et, cela reste verrouillé pendant un bail.

    Puis, vient alors le temps de la purge parmi les précurseurs dès lors qu’ils n’adhèrent pas au nouveau dogme car ils en perçoivent quelques limites. Il n’y a qu’à se pencher sur l’histoire des oppositions à la notion d’atome à la fin du XIXème, à la relativité au début du XXème puis à l’exclusion d’Einstein, de de Broglie comme d’autres, du Panthéon quantique car ils n’adhéraient pas à la vision orthodoxe.

    Je trouve d’ailleurs très éclairant que l’on trouve beaucoup de scientifiques testant majoritairement la relativité générale car elle ne s’accorde pas à la théorie quantique alors que l’inverse n’est pas vrai. Personne ne teste avec un tel “acharnement” la physique quantique car, parce qu’on a réussi à faire une “petite” unification entre trois forces fondamentales, beaucoup pensent que c’est à la relativité générale de rentrer dans le moule quantique.

    Ceci étant, on a aussi beaucoup de “physiciens agnostiques” qui appliquent la mécanique, comme une recette de cuisine, sans chercher à savoir pourquoi elle fonctionne laissant cette question à quelques théoriciens, et, attendant éventuellement qu’on tranche un jour la question du pourquoi.

    Je ne sais pas si mes propositions aideront à trancher définitivement, mais, si elles ne font pas l’objet d’une censure (ce qui reste possible auquel cas j’opterai pour un autre moyen pour les diffuser), elles pourront peut-être aider à reconsidérer les dogmes en Physique pour ce qu’ils devraient être : des proposition fausses mais qui restent ce que l’on a de meilleur à proposer à ce jour.

    Qu’il serait bon qu’un petit doute vienne perturber les réflexions un peu ronronnantes des physiciens !

    Pour ceux qui pensent que je suis un peu (voire plus) à la masse, je mets un article sur lequel je suis tombé la semaine dernière, datant d’un an, qui propose que les ondes acoustiques ont une masse puisqu’elles ont un effet gravitationnel. Ce qui est marrant (ou pas ?) c’est que je suis tombé sur ce document en effectuant des recherches pour trouver de quand date la notion d’onde en physique suite à la lecture d’un des derniers livres d’Etienne Klein.

    Mon approche de l’acoustique n’est pas la même que dans l’article, car je travaille avec les équations de la mécanique des fluides et de la thermodynamique, mais j’ai un résultat qui semble pouvoir se mettre sous la forme de leur équation pour la masse des ondes acoustiques, ce que je devrais pouvoir vérifier dans les 15 jours qui viennent, plus tôt j’espère.

    Par contre, pour étudier la physique quantique, c’est une approche similaire à celle de l’article dont il faut partir : reprendre a priori le questionnement au niveau du lagrangien et de la détermination d’un hamiltonien associé. Puis, réfléchir contre, non pas son cerveau, mais contre l’approche orthodoxe.

    Désolé pour la longueur de ce post,

    Loran

  • auroredenuit

    Membre
    10 avril 2021 à 9 h 59 min

    Hey salut salut

    votre conversation elle me fait faire des feedbacks universitaires.

    Ça me fait penser à mes cours de géographie herméneutique. ( C’est de la philosophie sur le sens de la géographie et des sciences en gros. Un courant de pensées qui questionne tout ça)

    Donc ce qui me revient c’est que la science elle en premier lieu la quête du descriptif. Elle décrit le fonctionnement du monde, son processus. Son rôle n’est pas de déterminer le sens des choses. Ça c’est la spiritualité, la philosophie, la sémiologie qui l’amène et là on est plus dans le vrai vraiment vérifiable mais dans le champ des croyances et là, la co-naissance est multiple, non quantifiable et non vérifiable.

    Moi j’adore. Ensuite y a les scientifiques qui en ont conscience et ceux qui sont en croisade pour poser des vérités non discutables…

    La science est descriptive et non pas sémiologique ( je trouve pas.le mot 😱)

  • Membre Inconnu

    Membre
    20 avril 2021 à 22 h 03 min

    Salut, je suis nouveau et je survole vite fait les sujets. Et j’ai été attiré par ce titre. J’ai juste survolé les post et j’aurais deux trucs à dire.

    D’après Richard Dawkins dans “Pour en finir avec Dieu”, et d’après une étude poussée, moins de 10% des grands scientifiques dans le monde sont croyants (théiste ou déiste).

    Et à propos du hasard, il ne faut pas oublié qu’il intervient dans toutes formes d’organisation dans cet univers. Ici un lien de 41 interview de scientifiques qui parlent du hasard. Sans hasard, pas d’évolution.

    https://www.youtube.com/watch?v=OpI8Sj8yR4g&list=PLXKcBtKoFI_6rzmVbC-z-lRL0_IsHfz12

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