De la nature de la Matrice

  • Psynoza

    Membre
    21 décembre 2024 à 13 h 28 min

    Ne croit on pas à ce qui nous manque?

    A ce que nous désirons, tout simplement,

    c’est à dire à ce qui nous fait défaut,

    dans la réalité ou … l’idéalité?

  • matty

    Membre
    21 décembre 2024 à 17 h 10 min

    @Psynoza

    Qui ne possède qu’un marteau voit des clous partout.

    C’est sûr que l’on ne peut faire qu’avec les outils que l’on a. Mais est ce suffisant pour renoncer au chemin qui nous semble le seul qui en vaille véritablement la peine au seul motif que nous n’en serons pas capable ou que nous ne serons pas équipé pour ?

    Je pense qu’à tout prendre et même si je me plante et qu’après le grand saut le néant absolu est la seul réalité, le Paris est toujours gagnant, car quoi qu’il en sera après mon passage éclairé au regard de l’éternité, j’aurai durant cette existence mis et remis sur le métier avec constance et détermination les moyens d’acquérir des qualités qui auront fait de ma vie une oeuvre de sens et m’aura construit un axe moins soumis aux aléas de souffrance des “changements de météo”.

  • Psynoza

    Membre
    22 décembre 2024 à 9 h 27 min

    Bonjour,

    quand vous écrivez :”Nous savons tous ……que notre perception du réel est issu d’un ensemble de constructions mentales qui s’alimentent des stimulations neurosensorielles, mais que….”

    Quel but poursuivez vous en utiliser les axiomes chers aux sophistes, qui comme “nous le savons tous” excellent dans l’art du verbe performatif.

    Car , pour l’ignorant que je suis, je ne me reconnais pas dans ce “Nous savons tous”…

    A une autre époque le “Nous” était réservé au roi, ou au despote…

    Merci pour votre retour

  • matty

    Membre
    22 décembre 2024 à 12 h 14 min

    Je n’ai que peu de culture philosophique académique, j’apprends donc avec intérêt la racine historique de cette formulation.

    Il y a au moins deux raisons pour lesquelles j’ai utilisé cette formule,

    1. Ce savoir est accessible à tout un chacun, dans le sens où il n’est pas réservé à une corporation.

    2. Je m’adresse à des surdoués pour lesquelles les notions de vie, de, mort, de solitude, de finitude et de réel sont rarement exclus de leurs préoccupations intimes.

    J’espère vous avoir éclairé, sachant que j’aurais pu utiliser n’importe quelle autre formulation pour m’exprimer.

  • matty

    Membre
    22 décembre 2024 à 13 h 10 min
Page 8 sur 8

Connectez-vous pour répondre.