Relation amoureuse

  • Membre Inconnu

    Membre
    8 juillet 2019 à 21 h 25 min

    @filledelair

    Non, tu l’expliques ton mode de fonctionnement. Tu te réfères à d’autres, tu prends le temps de mettre les mots. Puis ce qui résonne encore dans ce que tu as dit c’est “les perches”. Oui, tu en tends des perches, mais je les mets de côté pour avoir plus. C’était pas assez.

    Je crois que je cherche toujours plus, et ça dépasse la personne et sa vie. Je cherche comme… une essence. Quand je dis que je me trouve manipulatrice, c’est parce que je ne peux m’empêcher de pousser les gens. Pousser à me répondre et me répondre. Je t’ai reproché trop de mots, mais.. je demandais des explications. That’s fucked up… I will work on that…

    Merci d’avoir accepter de jouer avec moi.

    Je me suis focalisée sur une partie, le tourbillon que je vois chez toi, chez nous. Tu es bien plus que ça, je le vois bien.

    Ce qui est certain c’est que j’ai du mal quand tu te réfères à d’autres. Quand quelqu’un utilise les mots des autres, ça me demande un travail de séparation. Alors une phrase ça va, mais quand ça revient souvent, dans un post, ça c’est dur. I am confused with that.

  • Membre Inconnu

    Membre
    9 juillet 2019 à 13 h 00 min

    @idapresti :” Je crois que je cherche toujours plus, et ça dépasse la personne et sa vie. Je cherche comme… une essence. “

    Je l’avais bien compris…et effectivement, ai joué dans ta cour de “je”, en toute connaissance de cause.

    Sache que c’est un réflexe Naturel en mon Être, de toujours chercher à identifier l’INTENTION, que cela soit à la source de toute question que l’on me pose ou bien des Actes (qu’ils émanent de moi ou bien de mes semblables).

    Et dans le déroulement de l’interaction, cette Intention finit presque toujours,  par trouver sa propre vérification ; d’elle-même, par elle-même.

    Cela ne me demande aucun effort ; ce processus semble fonctionner librement, en toute autonomie, quel que soit l’environnement dans lequel il interagit (même professionnellement).

    Chercher à entrer dans les substances composantes de l’Essence d’un Être, chercher à comprendre qui cet Être est vraiment, chercher à comprendre son récit personnel d’existence, chercher à entrer dans son intimité pour essayer d’en distinguer son essence essentielle ; ne serait-ce pas chercher à en percer le secret, non pas de l’Être, mais de l’essence de toute Existence ?

    S’immiscent dans mon esprit ces mots de Carl Gustav Jung “Je ne suis pas ce qui m’est arrivé ; je suis ce que je choisis de devenir”.

    Ils reflètent avec beaucoup de justesse l’orientation que j’ai choisie de donner au mouvement de mon existence et de mon Être.

    Il me semble avoir compris très tôt, comme une évidence, que le levier d’action le plus simple, le plus accessible à ma portée (j’étais alors une  enfant) et sur lequel je pouvais AGIR était moi-même, mon Être. Lui, je pouvais le sculpter, le façonner, le transformer en toute liberté, en secret, bien enfoui à l’Intérieur de lui-même.

     De toute interactivité avec l’environnement extérieur, quelle que soit sa Nature, je semblais plonger directement dans les “profondeurs”, n’ayant jamais eu vraiment Conscience que je ne savais pas flotter et rester à la surface des choses…

    “Quand je dis que je me trouve manipulatrice, c’est parce que je ne peux m’empêcher de pousser les gens.”

    Rassures-toi, je ne considère pas du tout avoir fait l’objet d’une quelconque manipulation ; chaque mot que j’ai posé pour te répondre était transparent et correspondait à mon choix et volonté de me dévoiler un peu à ton “regard” ; ce que tu as pensé, cru y percevoir ou distinguer, ne changent en rien l’Être que je suis réellement. C’est cela l’essentiel pour moi.

    Il y a une éternité que je pense avoir “compris” que le regard de l’autre, n’est que son propre  regard ; le sien. Bien évidemment, les paysages qui nous sont les plus familiers, ce sont les nôtres, ceux que nous imaginons de nous-mêmes, ceux qui jaillissent de nos champs d’Être qui pense et qui panse ses peurs, ses blessures, ses tourments, ses questionnements existentiels.

    Et lorsque nous rencontrons d’autres paysages d’Être  Humains, bien sûr, nous reconnaissons immédiatement des couleurs communes, des thèmes communs, des formes matérialisés communes ; le plus fascinant restant à mon Sens, la découverte et la compréhension de paysages que je n’avais pas encore vus, imaginés, identifiés… Et, c’est cela le plus précieux et le plus merveilleux des enseignements et des apprentissages de la multi-dimension de l’ÊTRE.

  • Membre Inconnu

    Membre
    9 juillet 2019 à 14 h 20 min

    @filledelair

    Je t’ai vu, tu m’as vue… Je me suis vue, tourbillonnante, fondue dans d’autres. Toujours en mouvement, inaccessible. Mais j’ai essayé, à ma façon, de m’attraper, de t’attraper. Mais avec nous, ça ne marche pas comme ça. Peine perdue, perte de temps.

    Cette fois, je me retrouve dans chacun de tes mots. C’était facile à lire. Pourquoi? Je me le demande.

    Peut-être que cette fois-ci, je me sentais avec toi.

    Un message d’Amour, c’est le début du post. Ben j’ai trouvé. De beaucoup de façons. Grâce à plusieurs, dont tu fais partie. To be continued..

    Merci.

  • Membre Inconnu

    Membre
    9 juillet 2019 à 15 h 22 min

    @idapresti : Je “vois” que tu as vu ce que j’essayais de te montrer sans pouvoir te dire ce que j’espérais que tu distingues…

    Ah, c’est grâce à ton amour pour  la musique que j’ai été orientée à te répondre…

    William Shakespeare a imaginé que “La poésie est cette musique que tout homme porte en soi” que je fusionne avec cette pensée d’Emmanuel Kant “La musique est la langue des émotions”…

    Un Être qui aime la Musique et qui la comprend, est de par Nature…BIENVEILLANT et ce, malgré tous les malgré, quels que soient ses tourments…

  • Membre Inconnu

    Membre
    9 juillet 2019 à 15 h 50 min

    @idapresti : spécialement choisie pour te remercier de cet échange, coloré et quelque peu “interpellant”, to be continued.. why not ?

    Les apparences ne sont que des apparences….l’essentiel n’est pas visible par les yeux…mais perceptible et rendu “visible” au regard de celui qui apprend à regarder au delà de ce que ses yeux lui montrent…

    https://youtu.be/j_6LC0HFims

  • Membre Inconnu

    Membre
    9 juillet 2019 à 17 h 30 min

    @etienne31, bonjour  : Je m’attendais à cet exemple, en réaction.

    Adolph aimait-il la musique de Wagner ou était-il fasciné par la personnalité de Wagner et de leurs points communs reliants ?

    Aimait-il la musique de Wagner ou bien a-t-il utilisé et détourné la musique de Wagner à des fins de propagande ainsi que pour nourrir sa MALVEILLANCE démoniaque et sa psychopathie effroyable.

    A.H n’aimait pas la musique, je pense même qu’il n’avait aucune idée de ce qu’était Aimer ; la seule et unique personne qu’il vénérait, était lui-même.

    Il n’était pas musicien non plus…et ce n’était pas la musique de Wagner qu’il comprenait et qui l’ont conduit à le choisir, mais tous les côtés sombres et destructeurs qu’ils partageaient en commun…ce n’est que ma vision personnelle.

    Là, je m’adressais à @idapresti…et ai bien pris la peine de rajouter “malgré les malgré” …le meilleur moyen d’aider les autres, n’est-il pas d’essayer au moins de donner l’exemple…?

     

     

  • Membre Inconnu

    Membre
    9 juillet 2019 à 17 h 41 min

    “il est bon de voir le bien partout, tant que cela n’aveugle pas sur l’absence de bien.”

    L’avantage du blanc c’est que c’est la “teinte de fond” est parfaitement adaptée pour nous permettre de distinguer (ressentir) l’existence de chaque mouvement de “substance” d’une autre couleur.

    Je suis peut-être naïve…mais pas aveugle…je ne vois pas le Bien partout, ni le mal d’ailleurs ; mais lorsque je les rencontre,  je les reconnais immédiatement…une fois de plus, il convient d’intégrer les notions de niveaux, degrés de nuisance et surtout la source de l’INTENTION.

    Sois rassuré ; ma “vue” n’est pas trop mauvaise…

  • Membre Inconnu

    Membre
    9 juillet 2019 à 19 h 21 min

    @etienne31 : merci ! Tu sais bien que la majorité des personnes ne voient que ce qu’elles ont envie de voir (moi, il m’arrive fréquemment de voir ce que je n’ai pas du tout envie de “voir” et c’est gênant et cela est source de beaucoup de questionnements pour moi)

    Cela se “fait” malgré moi et je t’avoue que pour me laisser moins impacter par ce que mon espèce de regard “ressens/perçoit”, ai choisi de me tenir à l’écart, le plus possible de l’extérieur.

    J’aime être seule donc cela me convient.

    Il me semble vrai que le “monde” ne se porte pas bien du tout ; je ne sais pas s’il est fou, puisque j’ignore ce qu’est la folie ; peut-être suis atteinte de “folie” et je ne le sais pas…va savoir…

    D’après le psy, je suis un sujet tourmenté par un océan de questions (troubles) existentielles, mais lorsque je lui ai demandé si j’étais “déséquilibrée au sens perte de raison” il m’a rassurée. 

    Je l’aime bien moi, mon petit grain de folie hi hi …car lui, est hautement perché !

    PS : tu ne m’as toujours pas expliqué au minimum, le sens des formules sur wikipedia ; essaie juste de m’éclairer en quelques mots compréhensibles en n’oubliant pas que je ne comprends pas le langage des chiffres !

  • Membre Inconnu

    Membre
    9 juillet 2019 à 19 h 40 min

    filledelair

    Aristote aurait dit (selon les sources dont je dispose) : “Il n’y a point de génie sans un grain de folie.”

    Et à propos de musique, d’aveuglement et de dire :

    https://www.youtube.com/watch?v=HAjeSS3kktA

    Sourire

  • Membre Inconnu

    Membre
    9 juillet 2019 à 19 h 55 min

    @et-pourtant : (j’aime bien ce pseudo car finalement, ces mots composés peuvent trouver leur juste place, que cela soit en début de pensée ou bien en fin, ou entre deux pensées, soit pour les relier ,soit pour les compléter, soit pour les séparer…)

    Ray Charles est un Être complexe, dont j’apprécie la musique et l’univers ; en y pensant, je me dis que les “tourments souffrants d’enfance” peuvent se transformer pour faire naître de très jolies créations artistiques (musicales, littéraires, poétiques, gestuelles..

    C’est bien en plongeant dans notre obscurité que nous apprenons à devenir plus “lumineux” (Jung a encore raison)

    “Ma musique a des racines que j’ai déterré de ma propre enfance, des racines musicales enfouies dans le sol le plus sombre.”

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